Je marche donc vers ce bungalow, où plus tôt dans la journée un bel homme m’avait donné beaucoup de plaisir.
Alors que je m’approche, il est là, assis sur la petite terrasse verre à la main. En me voyant, il me sourit, et je sens mon cœur battre à 100 à l’heure, non pas que j’aie peur, mais je suis terriblement excité.
– Pile à l’heure ! Comment va depuis tout à l’heure ?
– Très bien, je ne pouvais plus attendre. (Je rougis sur ces paroles)
– Coquin va ! Cependant avant de rentrer, sache que je ne suis pas tout seul en vacances. Tu vois ce que je veux dire ?
– Il y a quelqu’un d’autre à l’intérieur ?
– Oui, et je comprendrais si tu veux faire demi-tour.
Cette situation m’excita encore plus, et ne je ne luis répondis rien, je me contentai d’ouvrir la porte, et je vis quatre hommes nus jouant aux cartes. Je sentis une main derrière moi se poser sur mes fesses et qui les malaxait.
– Entre on pourrait voir que je te pelote petit.
Il me poussa et il ferma derrière nous. À peine entré il glissa sa main dans mon short.
– Voilà les gars, je vous avais dit qu’il viendrait ! Et en plus sans slip.
Depuis que j’avais ouvert la porte jusqu’à cet instant, je n’avais pas quitté des yeux ces hommes nus, et les queues que je pouvais voir. Je pouvais voir que les deux du fond se branlaient. Tous me mataient de haut en bas. Je dois avouer que tout allait trop vite pour que j’aie le temps de réfléchir à la situation, et puis peut-être que je m’en fichais au fond.
– Vous avez fini ?
Sébastien répondit en souriant, il avait la quarantaine, grand et avec du bidon, et très poilu :
– Je pense qu’on a fini oui.
Ils posèrent tous leur carte et pendant que Michel (50 ans grand également et très musclé) et Alexandre (Le plus jeune de tous, il devait avoir 30 ans, très beau gosse grand également, en fait ils étaient tous grand quand j’y repense) rangeait la table, Sébastien et Philippe (Lui avait un gros bidon, sans doute la bière, mais une queue de cheval) se levèrent et m’entourèrent avec Jean. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire j’étais à poil, leurs mains me malaxant les fesses les jambes, la queue, leur bouche m’embrassant le cou. Sans qu’ils ne me le disent, je me mis à genoux, et avala la première queue que je vis.
– Sébastien : Oh ! t’avais raison c’est un affamé
– Jean : Je vous l’avais dit.
Il s’approcha et me susurra :
– Tu vas te régaler mon beau.
Pendant que je m’appliquais à sucer ces belles queues, leurs couilles, goulûment, je vis Jean aller dans la chambre et aidé de Michel, ils revinrent avec le matelas, pour le mettre dans le salon.
– Michel : Poussez-vous deux secondes, qu’on mette ça là.
Pendant que le matelas était posé, les 3 que je suçais m’avaient relevé et me caressaient de partout, les doigts s’immisçant dans mon petit trou.
– Sébastien : Ce petit cul à l’air bien accueillant les gars.
– Alexandre : Baiser un petit pédé de 17 ans, un fantasme qui va se réaliser, mes plus belles vacances.
À peine le matelas posé, je me retrouvai projeté sur celui-ci par Sébastien qui me mit à quatre pattes, une queue se présenta devant moi, je la suçai sans réfléchir, pour montrer que je leur étais soumis.
Sébastien se plaça derrière moi, il frottait sa queue sur ma raie qui ne s’était pas refermée depuis l’après-midi, chose qu’il remarqua.
– Tu l’as bien ouvert le petit mon vieux ! Ça va rentrer comme dans du beurre Philippe.
Il cracha sur mon anneau, m’attrapa par les hanches, et me prit jusqu’à poser son ventre sur mes fesses, je lâchai un gémissement étouffé par la queue que je suçais. Pendant les premiers instants, il s’amusait à retirer sa queue tout en m’écartant les fesses, cracher dans mon cul ouvert, me claquer les deux fesses, et me remettre sa queue. Ces enchaînements me chauffaient incroyablement, à chaque fois qu’il ressortait sa queue je reculais mon cul pour qu’il y retourne.
– Sébastien : Ça c’est un vrai cul de petit pédé
Au vu de la queue qui se présentait devant moi à ce moment-là, je sus que Philippe voulait que je m’occupe de lui, mais avec cette queue, je ne pouvais sucer que le gland, et pendant que Sébastien me pistonnait le cul, et que je commençais à avoir l’esprit dans les nuages, je me dis que cette queue que je suçais difficilement allait faire des ravages. Les queues devant tournaient, je les suçais toutes sans ménagement, profitant des changements pour respirer et gémir. Sébastien sortit sa queue et lâcha un simple :
– Au suivant.
À peine avait-il sorti sa queue, que je sentis le suivant s’installer. Voyant mon cul bien ouvert, il ne se fit pas prier, et me baisa directement avec de grand coup de rein rapide et puissant. Il me baisa si fort que je m’arrêtai de sucer, et gémis.
À ce moment-là je ne savais pas qui parlait.
– Eux : Vas-y baise le ce petit pédé, regarde comment il aime cela.
– Celui qui me sodomise : Putain ce cul ! T’aimes ça te faire baiser par des inconnus hein ?
– Ce n’est que mon premier jour j’ai été dépucelé cet après-midi, oui j’aime bien, plus fort.
– Eux : Si c’est ce que tu veux.
Je le sentis pousser vers l’avant pour que je me retrouve allongé sur le ventre, lui sur moi, j’ouvris les yeux, pour voir qui était mon bourreau, Alexandre me baisa ainsi, s’activant vigoureusement dans mon cul. Il respirait fort, moi je gémissais comme une salope tellement il me baisait bien, les mains accrochées au matelas comme pour résister à ses assauts puissants. Les autres l’encourageaient, se branlaient, Sébastien lui qui m’avait déjà baisé avait allumé la TV, je me dis alors que si après chaque baise ils faisaient tous baisser la tension devant la TV, les 2 heures du matin pour rentrer n’allait pas suffire. Il sortit, me laissant là haletant, j’attendis quelque seconde pensant que comme la première fois, un autre prendrait la suite, mais rien. Je m’allongeai sur le côté face à eux, et les regardai tous, cherchant le prochain qui me baiserait.
– Michel : Regardez-le ! Ses yeux nous supplient de le baiser ce petit pédé de 17 ans en chaleur.
– Alexandre : Vas-y tu vas voir son cul est extra !
J’étais allongé devant ces hommes, l’esprit totalement soumis à leurs queues, qui juste en les regardant me mettaient des étoiles dans les yeux. Je me mis alors à quatre pattes et m’avança vers Michel ne quittant pas sa queue. Tous me mataient, sourire en coin.
– Jean : Humm ! Le petit se lâche ! Il te veut mon vieux.
La queue de Michel en bouche, les yeux rivés dans les siens comme pour le provoquer, il me dit :
– T’aimes ça la queue toi ? Je vais t’ouvrir petit salop. Allez viens par là.
Il sortit sa queue de ma bouche me releva, me plaqua le ventre sur la table, me mit deux doigts comme pour tester la marchandise.
Il me rentra sa queue puissamment, je m’accrochai au rebord de la table, et fermai les yeux. A chaque coup de rein je sentais ses couilles taper fort contre les miennes. Accroché à mes hanches, il répondait à ma provocation de la meilleure des manières. Ma provocation les avait vraiment chauffés, je me dis que ça allait chauffer pour mon cul. Michel sortit sa queue, me releva, m’attrapa, me roula une pelle d’enfer et totalement inattendu tout en me doigtant, me fouillant.
– On va te donner ce que tu veux petit.
Pendant ce temps Philippe c’était allongé son énorme queue tendue. Sans peur (Bon peut-être un peu si) je me mis dos à lui, et me baissa en me dandinant langoureusement.
– Jean : Regardez-le ! Il a peur de rien ce salop de gosse, même pas de ta queue Philippe.
Les autres rigolèrent mais Philippe ne dit rien, il se contenta de cracher sur sa main et d’humidifier sa queue. Je pris sa queue d’une main, la plaça devant mon trou. Lui m’avait attrapé les hanches, comme pour me dire « tu es à moi ». Il me fit descendre lentement, et l’intromission de son énorme gland m’électrisa, je me pinçai une lèvre pour remplacer une douleur par une autre. A peine le gland rentré, je basculai en arrière et plaçai mes mains de chaque côté de son corps.
– Sébastien : Je te l’avais dit que ça rentrerait comme dans du beurre dans celui-là ! Dès le premier essai.
Philippe me susurra :
– Le plus gros est passé mon beau.
Il m’attrapa par les hanches, et dirigea ma descente sur son pieux. Je crus ressentir ma première pénétration. Je fis cette descente en apnée, sans pouvoir lutter contre cette poigne, la tête renversée. Une fois totalement rentré, et moi assis sur son ventre je pris une grande inspiration et lâchai : Oh putain ! suivi de plusieurs inspirations pour chercher de l’air. Toujours agrippé à mes hanches et bien au fond de moi, il fit de léger mouvement de rein qui me déchirait le cul. À chacun de ces mouvements, il me relevait un peu plus, de telle sorte que l’amplitude de la pénétration augmente. Et sans m’en rendre compte, je me faisais ouvrir le cul par cette queue énorme.
Sentant que mon cul avait accepté sa queue, Philippe dit :
– C’est bon les gars vous pouvez présenter vos queues.
Ils ne se firent pas prier et à tour de rôle je suçais leur queue, pendant que j’en suçais un, je pouvais entendre les autres parler de moi, disant que j’avais un trou exquis, félicitant Jean d’avoir trouvé un salop de gosse sexy. Le fait que le plus gros de la bande me baise, avait changé le ton de la soirée. Les mots cochons et qualificatifs fusaient. Tous étaient à côté de moi, me présentant sa queue, m’embrassant. Philippe lui me tenait à une hauteur fixe, et me déchirait le cul, de telle sorte que je suçais les yeux fermés en gémissant sans cesse, sentant mes entrailles brûler.
– Philippe : Hummmm ! Allez au suivant ! Son cul est vraiment trop chaud.
Il me releva totalement, et la sortie de sa queue me fis lâcher la queue que je suçais.
– Alexandre : Vas-y Jean baise le.
Jean ne se fit pas prier, se glissa sous moi et me fis m’empaler sur sa queue d’un coup.
– Jean : Ahah ! J’adore passer après toi ! Son cul est béant ! Elle est bonne la queue de mon pote hein ?
– Oui
– Jean : T’inquiètes pas ! T’as rien vu, il va vraiment te baiser après.
Le changement de queue était flagrant, et je me dis qu’il m’avait vraiment déchiré les entrailles avec son braquemart. Pendant que Jean me baisait variant rapidités et lenteur, Philippe me présenta sa queue, je souris en la voyant, car même si je l’avais déjà sucée, le fait de savoir que je venais de me faire baiser par celle-ci me rendait fière de moi.
Tout s’enchaînait vite. Jean me mis sur le dos, et me baisa jambe relevée sur ses épaules. Il me baisa deux minutes ainsi, se retira et Michel prit sa place, tous me prenant à tour de rôle, me baisant puissamment voire plus fort que le précédent. Me voir gémir et les supplier de me baiser, les faisaient sourire, des sourire malicieux.
Je ne savais pas depuis combien de temps j’étais là, encore moins l’heure qu’il pouvait être, je n’y pensais pas, l’esprit était concentré sur ces hommes dont j’étais la poupée.
– Alexandre prenant son tour : Je ne sais pas vous, mais moi je vais le remplir ce mignon !
– Jean : Vas-y ! Il adore ça !
En effet il ne fallut pas longtemps pour que je sente les premiers jets crémeux d’Alexandre et pas les derniers taper au fond de mon trou.
– Moi : Humm ! c’est trop bon ! Encore !
– Michel : Bon on le rempli tous les gars !
Alexandre se retira, me lécha le cul pour goûter à son jus, et tous me remplirent dans la même position. Le jus n’avait pas le temps de s’échapper qu’une autre queue me prenait et en rajoutait. Je me sentais remplie, les queues glissaient, même celle de Philippe qui passa en dernier rentra comme dans du beurre, et il put s’y donner à grand coup de rein au fond de moi, chose qu’il apprécia :
– Philippe : Comme dans du beurre, ton cul est incroyable ! Je vais jouir putain ! Ohhh !
– Moi : Oh oui ! Hummmm
Je sentais chacune de ses giclées puissantes, mais il ne s’arrêta pas. Il continua à me baiser, relevant mes jambes pour dégager ma queue, et laisser jean me branler.
– Jean : Tu vas jouir vite avec cette bonne queue
Je fermai les yeux, et en effet en quelques secondes, je jouis une grande quantité de sperme, que Jean étala sur mon corps, avant de me présenter sa main à lécher.
– Sébastien : Attends avant de sortir !
Sébastien plaça une serviette sous moi, et Philippe sortit la queue toute juteuse. Alors que je me relevais, je les voyais tous queues à la main, tous durs, Je me dis alors que je ne voulais pas rentrer pour 2 heures, que je resterais. Je sentais le jus couler sur ma raie, et accroupi, je me doigtai, c’est alors que je me rendis compte de l’état de mon trou, ne se refermant plus, laissant passer mes doigts sans grande résistance. Je sortis mes 2 doigts et les porta à ma bouche pour les sucer.
– Jean : Il est bon ce jus
– Moi : Oui très !
– Sébastien : T’en veux encore ?
Je fis un hochement de tête et dis :
– Par contre je pourrais avoir un verre d’eau ?
Tous rigolèrent et Alexandre dit :
– Trop mimi, on te laisse te reposer un peu, on n’est pas des sauvages…
Et alors que l’on me servait un verre, je regardais tous ces hommes qui comme si rien ne s’était passé sortaient prendre l’air, regardaient la TV. Je bus donc mon verre et sur les conseils de Jean je partis à la douche pour ne pas en mettre partout, et être frais pour la suite …