Préambule : Les récits de ces vacances sont totalement imaginaires. J’étais en vacances, ce qui explique le retard pris dans la rédaction des aventures de ces demoiselles…Fabienne et Luc nous firent entrer dans le salon. La villa, sans être luxueuse, paraissait sympa. Fabienne nous pria de l’excuser : « Juste le temps d’aller chercher quelques rafraîchissements, notre petit goûter … ». L’œil pétillant de malice, elle ajouta à l’adresse de Céline. « Je vous confie Luc… ».Il s’assit au beau milieu de l’un des deux canapés, nous priant de prendre place. Gaëlle et moi prîmes place face à lui sur le second canapé, Céline s’avança et s’assit contre lui, prétextant qu’il fallait laisser une place à Fabienne de l’autre côté. Luc portait un pantalon de toile et une chemisette. Céline nous regarda en souriant. « Puisque Fabienne nous a confié Luc, elle n’aura rien à nous objecter si nous prenons soin de lui ». Elle joignit immédiatement le geste à la parole, collant sa cuisse contre celle de Luc et laissant sa main vagabonder sur la jambe. Gaëlle et moi n’en perdions pas une miette, conscientes qu’il avait son regard figé sur nos jambes découvertes assez haut. Notre attention était attirée par la bosse qui commençait à se former au bas de son ventre. Céline prenait bien garde à masquer le moins possible l’objet de notre curiosité. Elle laissa monter sa main le long des cuisses de Luc qui les écarta. Elle commença de suite une caresse à travers le pantalon. La bosse qu’elle engendra ne me donnait qu’une envie : voir ce sexe d’homme qui se tendait, et même pire…Appréhendant notre impatience (Gaëlle semblait bien en avoir autant envie que moi), Céline nous invita à la rejoindre. Elle s’accroupit devant Luc et nous fit asseoir de chaque côté de lui. Dans la posture qu’elle avait choisie, sa jupe remontait le long de ses cuisses, n’en cachant presque plus rien. Il fallait vraiment faire un véritable effort pour ne pas voir sa culotte. Luc la regardait sans aucune gêne, appréciant le spectacle. Céline tendit à nouveau ses mains vers la verge. Sans hésiter, elle déboutonna le pantalon, fit glisser vers le bas la fermeture éclair et écarta les deux pans de tissu, dévoilant un slip boxer de coton blanc qui moulait une bite d’une taille qui me parut imposante. J’avançai ma main, poussée par la curiosité, caressant cette turgescence. Une petite tache apparaissait déjà sur le tissu, à l’endroit du gland. Céline, en bonne initiatrice, libéra le chibre en tirant sur le boxer.C’était la première fois que je voyais en pleine lumière un sexe d’homme en érection : énorme. Je n’eus qu’une question à l’esprit : « Comment une telle chose pouvait-elle pénétrer un vagin ? ». Cela me paraissait impossible. J’en pris presque peur. Je m’étais imaginé cela tout autrement, certainement plus fin, plus à même d’entrer en douceur. Je marquai un temps d’arrêt dans ma caresse pendant que Céline et Gaëlle aidaient Luc à se dévêtir.Il était maintenant intégralement nu. Céline entreprit de caresser son torse, nous laissant le soin de taquiner le membre nœud. Gaëlle avait commencé une masturbation lente, chose qu’elle avait déjà pratiqué. Pour ma part, je me contentais de jouer avec ses bourses et la base de sa tige. Luc bougeait de plus en plus, ses mouvements et sa respiration étaient désordonnés. Il ne faisait aucun doute qu’il avait décidé de se laisser emporter par nos caresses, de nous laisser faire, malgré nos maladresses et notre inexpérience qu’il ne pouvait qu’avoir remarquées. Nos défauts prouvant une certaine ingénuité ne pouvaient que l’exciter d’avantage. Céline embrassait maintenant son torse, et bien décidée à ne le priver d’aucune sensation, lui dit doucement : « Je n’aurais jamais cru que ça te plairait autant de te faire caresser les couilles par deux pucelles ». Luc nous regarda avec des yeux ronds : « Oh non, oh oui, ce n’est pas possible… Vous êtes pucelles, oh, oui, caressez-moi encore ». Il s’arrêta net de bouger, sans doute pour profiter plus encore de nos mains, mais les mots de Céline avaient dû créer en lui un choc. Il eut une longue inspiration, suivie d’un « oh ouiii » crié dans un râle. Au même moment, sa verge sembla échapper à tout contrôle. Elle se mit à battre. Surprise, je ne prêtai pas attention au nombre de spasme, mais je surveillai son gland. Sa semence gicla en une série de jets puissants, inondant son ventre et nos mains.J’avais du sperme sur la main… et Gaëlle n’avait rien à m’envier. Le suc blanchâtre avait coulé en abondance. C’était le premier contact du sperme avec ma peau. Une douce chaleur envahissait le bas de mon ventre, humidifiant mon entre-cuisse. Je me sentais bien, rassurée d’être parvenue (avec l’aide de Gaëlle, certes), à faire jouir cet homme qui pourtant devait en avoir connu, des plaisirs…La lance qui m’avait tant impressionnée commençait à se rétracter. Ni Gaëlle ni moi ne savions quoi faire maintenant. Céline se glissa alors vers le sexe de Luc, puis commença à lécher la main de Gaëlle et la mienne afin d’en déguster le sperme. Occupées à regarder Céline se délecter du nectar blanchâtre, nous ne vîmes pas Fabienne arriver. Elle approcha avec douceur du ventre de Luc et se mit à laper la précieuse liqueur avec Céline. De bout de la langue, Fabienne partageait le festin que constituait le plaisir de son mari. Après avoir nettoyé nos mains, Céline et Fabienne s’attachèrent à enlever toute trace de foutre de la verge fourbue. Leurs deux langues s’affairaient, ce qui eut finalement pour effet de redonner du tonus au membre viril. Luc fut vite à nouveau en érection. Fabienne laissa Céline entamer la fellation et se mit à la dévêtir, dénouant le cache cœur qui s’ouvrit sur le soutien-gorge gonflé. Céline se laissait faire avec complaisance.Pour les deux « élèves » que nous étions, la scène était surréaliste. Fabienne avait étendu sur le sol une large couette sur laquelle Luc s’était allongée sur le dos. Céline, maintenant nue, à 4 pattes entre les jambes de Luc, lui administrait une fellation que nous avions du mal à croire possible. Elle engouffrait presque la totalité de la bite à chaque intromission. Fabienne, derrière elle, la caressait et léchait son entre-jambes, allant des fesses au ventre avec voracité. Leurs gémissements nous mirent dans un état d’excitation tel que Gaëlle et moi commençâmes à nous masturber. Luc, sans doute calmé par sa première éjaculation, résistait aux assauts de la bouche de Céline, son plaisir durait. Fabienne se leva alors et invita Céline à faire de même, l’aidant à s’agenouiller au-dessus de Luc, une jambe de chaque côté de son torse. C’était trop pour Gaëlle qui enleva sa robe et glissa sa main dans sa culotte. Luc s’empara de son sexe dardé et le maintint à la verticale, tandis que Fabienne caressait avec vigueur les fesses de Céline. Les mains de Fabienne s’étaient déplacées sur les hanches de Céline pour mieux l’accompagner à venir s’empaler. Sa vulve toucha le gland de Luc. Céline écarta elle-même ses lèvres intimes, s’ouvrant sans pudeur. J’avais arrêté ma masturbation tant mon voyeurisme l’emportait sur tout le reste. Je vis Céline se laisser descendre lentement sur le bâton nœud, ses lèvres s’écartant pour engloutir ce pieu de chair. J’avais beau savoir, avoir lu tout cela, et même je l’avoue, avoir vu des photos et des films pornographiques devant lesquels je me caressais, ce que je voyais m’impressionnait au plus haut point. La pénétration n’en finissait plus. Elle ne cessa que lorsque Céline fut tout tout à fait empalée sur la raideur de Luc. Elle avait retenu sa respiration durant tout ce temps qui m’avait paru si long. Elle poussa un soupir que j’interprétai comme de la satisfaction. Accompagnée par Fabienne qui tenait toujours ses hanches, elle commença une chevauchée de plaisir, tout d’abord lentement, poussant un « han » expressif à chaque fois qu’elle s’emplissait du sexe de Luc.Gaëlle s’était accroupie à leurs côtés, se massant sans retenue sous sa culotte détrempée. Toutes ces images m’entraînèrent à commettre ce que j’aurais cru impossible. Je me levai et me dirigeai vers Fabienne et sans hésiter, je défis les boutons de la veste de son tailleur. Son soutien-gorge à balconnet en dentelle emprisonnait ses seins que je trouvai si désirables. J’y portai mes mains, les caressant avec frénésie, les massant presque. Je mouillais comme jamais. Vivre un tel moment… Céline avait accéléré le mouvement. Son rythme était maintenant rapide. Elle poussait de petits cris, ce qui m’excitait au possible. Ma tête s’emplissait des pensées les plus folles, j’enviais mon amie, et malgré toute la « bonne éducation » que j’avais pu recevoir de mes parents, je me surpris à souhaiter occuper sa place, m’emplissant de ce pal humain. Mes pensées n’étaient que rêves d’actes sexuels, me faisant oublier toutes les craintes qui m’assaillaient régulièrement lorsque j’imaginais ma « première fois ».Luc se raidit dans un râle. Je n’en doutais pas, il jouissait. Céline s’empala une dernière fois et resta collée à lui, immobile, poussant un long cri étouffé. Ils jouissaient sous mes yeux, j’étais trempée. J’imaginais son foutre venir frapper les parois du vagin de Céline… Elle s’effondra sur lui, présentant ainsi sa croupe offerte à Fabienne qui se mit à la lécher. Gaëlle explosa à cet instant. La langue de Fabienne, dans sa douce caresse, aidait Céline à recouvrer ses esprits. Elle la soutint pour se relever. Le sexe ramolli de Luc sortit de son ventre. La chatte de Céline était encore ouverte, laissant échapper un filet de leurs plaisirs mêlés. Fabienne vint le déguster.Nous bûmes les rafraîchissements en bavardant gentiment après être allées nous doucher et nous rhabiller. Fabienne et Luc formaient vraiment un couple bien sympa… Ils nous reconduisirent au camping, prenant bien soin de nous demander notre numéro de portable avant de nous quitter. Il était déjà presque 19 heures.N’hésitez pas à me donner votre avis sur mes textes, cela m’encouragera à poursuivre ou m’en dissuadera totalement. Merci.Mon adresse : soliste@ifrance.com