Les vertus de la patience.À tout juste 21 ans, Caroline se sentait encore une enfant et ne pensait que fête et musique. Éternelle célibataire, elle ne voyait que peu d’avantages à s’encombrer d’une relation et ne répondait donc jamais aux avances qui lui étaient faites.Et pourtant tout changeait autour d’elle. Depuis longtemps déjà , les amourettes d’adolescents avaient cédé la place à des relations plus durables, et la plupart de ses amis imaginait leur vie à deux. Laura, sa propre sœur vivait de plus en plus régulièrement avec son petit ami, et Caroline en concevait une vague jalousie à l’égard de ce garçon qui lui volait sa sœur.Un mardi, le petit ami de sa sœur était venu passer la soirée dans l’appartement qu’elles partageaient. Après un repas très simple, Laura et lui étaient partis se coucher, laissant Caroline seule au salon. Moins d’une demi-heure plus tard, de petits gémissements étouffés commencèrent à s’échapper de la chambre de Laura. Caroline tenta vainement de se concentrer sur son film, mais la persistance des cris de sa sœur rendait cette tentative quasi impossible. Contre sa volonté, des images se bousculaient dans la tête de la jeune femme, les plus gênantes la mettant en scène… en lieu et place de sa sœur !Le cœur battant la chamade, Caroline se leva et s’approcha de la porte de la chambre de Laura. Les bruits lui parvenaient maintenant plus forts, malgré la nette volonté de Laura de ne pas trop exposer son plaisir. Tout en se maudissant intérieurement, Caroline sentit que la curiosité, et sans doute l’excitation, la gagnait. Malgré elle, elle sentit ses jambes plier et son œil venir se coller à la serrure. Après quelques instants, Caroline dût convenir que cette position ne lui permettait pas de voir ce qui se passait à l’intérieur de la chambre.Déçue, elle se releva et se préparait à regagner le salon quand une idée commença à la tarauder. Et si elle ouvrait la porte ? Oh, pas beaucoup, juste l’entrebâiller et la refermer. Compte-tenu de la disposition de la pièce, elle avait toutes les chances de passer inaperçue ! Caroline se rongeait les sangs, l’opération était risquée, elle n’aurait pas d’excuse. De plus, la jeune femme savait pertinemment que l’excitation qui la gagnait était difficilement pardonnable…Caroline en était là dans ses réflexions quand le silence se fit dans l’appartement l’espace d’un instant. La télé fonctionnait toujours, mais l’arrêt des petits cris de Laura lui paraissait provoquer un silence incroyable. Presque déçue, Caroline se dit qu’il en valait peut-être mieux ainsi et retourna dans le salon. Elle n’avait pas fait deux pas en direction du canapé que les cris repartaient de plus belle ! Bien que sans expérience, Caroline en conclut que le couple avait dû changer de position. Ne pouvant s’empêcher de se demander laquelle était mise en œuvre, elle n’y tint plus et décida de jeter un coup d’œil.Le cœur battant, la jeune femme posa la main sur la poignée et prit une profonde inspiration. Quand elle entrouvrit la porte d’un coup sec, le temps sembla s’arrêter. Sa sœur était à quatre pattes sur son lit, prise en levrette par son copain. Les violents coups de reins de celui-ci faisaient ballotter sa poitrine sous elle dans un mouvement véritablement obscène et semblaient lui procurer un intense plaisir.Caroline referma le battant, espérant ne pas l’avoir fait trop brusquement. La scène qu’elle venait de voir était gravée dans sa tête, et c’est chancelante qu’elle rejoignit sa chambre.Lorsqu’elle se réveilla le lendemain, elle constata que sa couette était presque tombée de son lit. Se rappelant de la soirée qu’elle avait vécue, Caroline en conclut que ses rêves avaient dû être agités… Se résignant à se lever, elle vit que la chambre de sa sœur était ouverte. Le reste de l’appartement étant vide, les tourtereaux avaient quittés le nid.La journée du mercredi se passa sans incident majeur. Les cours étaient aussi rébarbatifs qu’à l’accoutumée, et Caroline eut tout loisir de laisser vagabonder son esprit. Vers 16h, elle reçut un message d’Olivier, l’un de ses amis, lui proposant d’aller boire un verre le soir même. Caroline s’empressa de répondre et, les cours finis, rentra chez elle. Elle disposait de quatre longues heures avant de partir en ville.Sa sœur ne rentrant pas, elle en conclut qu’elle devait être chez son petit ami. Après l’avoir informée par texto qu’elle ne la trouverait pas à l’appartement si elle rentrait, Caroline mangea sur le pouce et commença à se préparer.Il ne s’agissait que d’un verre entre amis et non d’une véritable « soirée ». Après une douche brûlante, Caroline renfila ses vêtements de la journée. Alors qu’elle démêlait ses cheveux châtains clairs, son image dans le miroir la fit suspendre son geste. Jeans noir, T-shirt noir, chaussures de skate… elle ne comprenait décidément pas comment elle avait pu intéresser quelques garçons. Caroline avait certes conscience d’avoir une jolie peau d’une blancheur d’ivoire, et ses grands yeux verts ne devaient pas être un désavantage. On lui avait également dit que l’ovale de son visage était très régulier, sa petite bouche arborant une moue permanente très jolie, et sa nuque haute et dégagée superbe.Elle dut se concéder à elle-même qu’elle s’habillait avec des sacs à patates.Retournant dans sa chambre, elle vida le contenu de ses placards sur le sol. Désespérée par les vêtements qui s’y trouvaient, elle resta un instant pensive. Soudain décidée, Caroline se releva et rentra d’un pas décidée dans la chambre de Laura. À peine plus petite que sa sœur, elle savait depuis de longues années que les vêtements de l’une allaient comme un gant à l’autre, et vice versa. D’autorité, la jeune fille se saisit d’un jeans taille basse bleu ciel et d’un top blanc un peu décolleté.De retour dans la salle de bain, elle arracha presque ses vêtements et se planta à nouveau, en sous-vêtements, devant son reflet. Affichant 1m68 pour 50 kilos, Caroline pouvait prétendre être bien faite. La taille finie, les hanches épanouies et les fesses rebondies, seule la taille de sa poitrine trop menue rappelait le garçon manqué que le miroir lui avait montré quelques instants plus tôt. Après un léger soupir, elle enfila sa nouvelle tenue. Elle dut admettre que le contraste était saisissant ! Ses belles fesses étaient mises en valeur par la taille basse du jeans serré et le décolleté sauvait les meubles devant. Elle remarqua néanmoins que le top baillait légèrement, et dut se promettre d’y faire attention.Après s’être maquillée et avoir trouvé une paire de bottines noires qui ne juraient pas trop avec sa tenue, Caroline décida qu’elle était prête à affronter le monde, et elle sortit.Arrivée au point de rendez-vous, elle aperçut Olivier et se dirigea vers lui. Il était accompagnée de Marion, sa petite amie, que Caroline connaissait bien, et de deux garçons qu’elle n’avait jamais vu. Dès qu’elle lui eut dit bonjour, Olivier s’empressa de les lui présenter :— J’te présente Fred et Paul. Ils sont en cours avec moi. Un peu reloux, mais j’ai pas le choix, faut que j’me les traîne.Caroline ne réagit pas à la plaisanterie d’Olivier, et se contenta de faire une bise polie aux deux jeunes hommes. Paul semblait plutôt effacé. Sa petite taille et son physique ingrat ajoutait sans doute à cette impression. Fred, quant à lui, était un métis bien balancé, et ses gestes brusques révélaient son caractère expansif. Caroline sourit en constatant qu’il s’agissait de parfaits contraires.Ayant approuvé le choix du bar fait par Marion, les cinq jeunes gens s’y rendirent. Un mercredi soir, la salle n’était que peu remplie, et ils purent s’installer sans difficulté. Olivier et Marion se blottirent sur une banquette large, tandis que Fred et Paul s’assirent sur deux sièges simples de l’autre côté de la table. La banquette disposant encore d’une place, Caroline s’y glissa, face à Fred.Les commandes faites, la discussion s’engagea sur des sujets variés, passant sans transition du sport à la musique, et de la musique au travail. Alors que les trois garçons discutaient de leurs cours, les deux jeunes filles, qui ne s’intéressaient que peu au sujet, échangèrent un regard complice tandis qu’elles mimaient un soupir. Réfrénant une envie de rire, Caroline détourna le regard et s’aperçut que Fred la dévisageait. Lorsqu’elle croisa son regard, le jeune homme se reprit en une fraction de seconde et fit mine de relancer la conversation.Vingt minutes, et un verre, plus tard, la même scène se reproduisit.Caroline, cette fois, resta songeuse. Hasard ou intérêt mal dissimulé ? Caroline se mordit la lèvre quand elle se surprit à espérer que la deuxième réponse soit la bonne… Chassant ces questions de son esprit, elle tenta de s’intéresser de nouveau à la conversation.Après quelques échanges, Caroline entendit son téléphone vibrer. Elle se pencha pour le récupérer dans son sac, et dut chercher de longues secondes où celui-ci avait pu se loger. Satisfaite de l’avoir trouvé, elle se releva brusquement, mais resta pétrifié quand elle se rendit compte que le regard de Fred était encore une fois fixé sur elle. Ou plus exactement sur son petit décolleté. Cette fois-ci, le jeune homme mit plus de temps à détourner le regard, et Caroline sentit que le rouge lui montait aux joues. Tandis qu’elle lisait le texto sans intérêt de sa cousine, elle se maudit de ne pas avoir fait plus attention à ce top trop large pour sa poitrine menue et qui avait dû offrir une vue splendide de son soutien-gorge en baillant. Encore troublée, elle reposa son téléphone, s’excusa et se dirigea vers les toilettes.Caroline s’appuya sur le rebord du lavabo, et se regarda dans la mauvaise glace qui le surmontait. Comment se faisait-il qu’elle se sente aussi troublée ? Ce n’était pas la première fois qu’elle surprenait un garçon à la mater, mais jamais elle n’avait ressenti cette gêne honteuse d’y trouver un plaisir. Fred n’était à proprement parler un beau garçon, mais elle ne pouvait s’empêcher de l’imaginer la désirer, la prendre dans ses bras, etc. Quand le fil de sa pensée lui échappa, elle repensa à la scène qu’elle avait espionnée la veille. Tous les détails lui apparaissaient fidèlement, mais c’est bien elle et Fred qui s’envoyaient en l’air !Caroline sentait maintenant l’effet des trois verres de Martini qu’elle avait bu, et elle se trouvait dans un état d’excitation qu’elle n’avait que rarement connu. Comme pétrifiée, elle vit ses mains remonter son petit top blanc, et saisir l’attache de son soutien-gorge. Caroline eut un instant d’arrêt tant la folie qu’elle allait faire lui paraissait énorme. Dans un soupir d’abandon, elle dégrafa son soutien-gorge et le retira.Après l’avoir consciencieusement plié pour pouvoir le mettre dans sa poche, Caroline réajusta son petit top sur ses seins nus. Leur petite taille leur assurait une tenue parfaite, mais Caroline constata que ses tétons pointaient dorénavant sous le tissu pourtant lâche. Après une profonde inspiration, elle pivota et sortit des toilettes d’un pas assuré.Quand elle eut rejoint sa place, elle vit la tête de Marion repasser derrière celle d’Olivier qui discutait sans relâche. Quand elle vit le regard mi-interrogatif mi-scandalisé de Marion, Caroline comprit que la jeune femme, habituée aux tenues féminines donc perspicace, avait vu le léger changement vestimentaire opéré. Elle sentit son cœur accélérer à l’idée que son secret était éventé et risquait d’être divulgué à Olivier voire à d’autres le soir même. Comprenant que le mal était fait, elle décida de continuer ce qu’elle avait initié.Elle saisit son téléphone sur la table et se pencha en avant dans le but, accessoire, de le remettre dans son sac. Le mouvement ample et lent de la jeune fille était calculé pour offrir la vue la plus parfaite et la plus longue de sa poitrine au pauvre Fred.Quand elle reprit sa position initiale, le regard prostré et la déglutition difficile de ce dernier lui firent comprendre qu’il avait eu tout le temps de plonger le regard dans l’ouverture du top trop large et d’y découvrir les deux petites poires blanches et fières, ainsi que leurs mamelons roses et gonflés.Caroline tentait de paraître la plus sereine possible malgré l’excitation qui la gagnait. Elle ne savait absolument pas où cette histoire la menait et accueillit avec soulagement la proposition d’Olivier de rentrer dormir. Devant la porte, elle salua tout le monde rapidement, son cœur battant sensiblement plus fort quand vint le tour de Fred. Alors que chacun s’éloignait dans des directions opposées, Caroline sentit que le jeune métis la suivait du regard à la lumière des réverbères. Instinctivement, ses hanches accentuèrent leur balancement naturel, faisant littéralement rouler ses belles fesses rondes au-dessus de ses jambes.Une fois blottie dans son lit, la jeune femme s’endormit rapidement comme usée par cette soirée déroutante.Lorsqu’elle se réveilla le lendemain, il lui fallut plusieurs minutes pour reconstituer le fil des évènements de la veille. Une fois sa douche prise, ses idées avaient repris leur place et Caroline put enfin envisager pleinement ce qui s’était passé. Elle avait tapé dans l’œil d’un garçon et l’avait un peu allumé. Rien de bien grave en réalité ! Ce genre de scène se produisait à chaque seconde dans le monde. Elle était rentrée chez. Fin de l’histoire.Cette dernière pensée la fit sourire.Il était clair, vu son attitude, que Fred était prêt à ramper à ses pieds et que d’un mot elle aurait pu le « mettre dans son lit » ! Mais cela aurait été une attitude de fille facile et jamais elle n’avait envisagé ce genre de chose. À ce niveau de sa réflexion, Caroline dut admettre qu’elle n’avait jamais non plus été aussi troublée, voire excitée. Lorsque la vision de Fred la serrant nue dans ses bras lui apparut, ses pensées commencèrent à vagabonder et à lui échapper. Le sexe était un plaisir, sa sœur lui en avait apporté la preuve, et Caroline se sentait maintenant frustrée de ne pas en profiter elle aussi. Elle se voyait désormais très clairement en train de s’offrir à Fred, accroupie sur celui-ci. Abandonnée à ses rêves, ses doigts commencèrent à glisser sur son sexe, et Caroline se retrouva bientôt allongée sur le sol de sa salle de bain à se masturber délicatement.Malgré son excitation, elle constata que dans son rêve éveillé Fred était particulièrement bien membré, présentant un sexe en érection digne d’un acteur porno ! Amusée par l’image, elle se mit dans la peau d’une actrice et elle constata que son rêve l’avait bientôt dotée d’une poitrine plus opulente et d’un sexe parfaitement glabre comme elle en avait vu dans les rares images pornographiques à avoir circulé sous ses yeux. Son excitation ne faisant que croître à ce souvenir, une idée commença à germer en elle. Arrêtant le mouvement de son doigt sur son clitoris gonflé, elle convint que si la taille de sa poitrine lui était imposée par la nature, la pilosité de son sexe pouvait devenir l’objet d’un jeu érotique !En transe, elle se leva et se dirigea les jambes tremblantes vers le placard de la salle de bain. Sa sœur et son copain, du fait de leurs allées et venues continuelles s’étaient organisés pour posséder en double leurs affaires de toilette. Caroline n’eut pas de difficulté à trouver le rasoir du jeune homme, un peu de mousse à raser et de la crème apaisante. Après avoir changé la lame et s’être également saisie de ses ciseaux de coiffure, elle se plaça debout face à son lavabo et d’un geste décidé tailla dans les poils châtains blonds qui couvraient son pubis. Une fois ce travail fait, elle se couvrit de mousse à raser, puis passant son rasoir sous l’eau chaude comme elle avait vu son père faire, elle le fit glisser une première fois sur sa peau frissonnante. La sensation n’était pas particulièrement agréable, mais Caroline prit rapidement de l’assurance et son pubis fut bientôt entièrement rasé. La jeune femme n’était pas particulièrement poilue et les lèvres de son sexe étaient dégagées.Cependant décidée à faire les choses jusqu’au bout, Caroline s’assit par terre, cuisses écartées afin de se dégager l’accès, et finit de raser sa petite chatte entrouverte.Après un instant d’hésitation, elle reprit un peu de mousse, et se mit à genoux. Après avoir écarté les genoux au maximum et s’être penchée jusqu’à ce que son visage touche le carrelage froid, Caroline saisit sa fesse gauche à pleine main et l’écarta de sa jumelle. Sa main droite passa sous son ventre et badigeonna de mousse sa raie, puis se saisit du rasoir posé à côté de la jeune fille pour raser à l’aveugle les quelques poils pouvant entourer son petit trou.Cette opération terminée, Caroline se redoucha rapidement pour enlever les traces de mousse, puis après s’être abondamment badigeonnée de crème apaisante, elle entreprit d’inspecter le résultat. Un mélange de honte et d’excitation l’emplissait à se contempler plus nue que nue ! Sa chatte complètement lisse ressemblait à un petit abricot tout blanc et elle se surprit à comprendre ce que les hommes trouvaient d’excitant à cela !La journée de cours parut interminable à Caroline. Chaque regard lui faisait croire que tous connaissaient son petit secret. Vers 15h, elle avait reçu une nouvelle invitation d’Olivier qui la priait de venir chez lui le soir même. Il organisait une petite fête, et Caroline frémit quand elle vit qu’il lui précisait que Fred serait là . Comme prévu, Marion avait dû parler ! Cette nouvelle redoublait sa gêne et son excitation. Comment Fred allait-il se comporter vis à vis d’elle ? Comment allait-elle réagir ?Le soir venu, elle essaya d’avaler un morceau, mais elle n’avait pas faim. Elle se prépara en vitesse, ré-enfilant le même jeans que la veille et piquant un nouveau top à sa sœur. Plus ajusté, celui-ci ne baillait pas, mais par défi, et par jeu, elle ne mit pas de soutien-gorge. Une fois prête, elle quitta son appartement la gorge serrée et la tête pleine de questions.Arrivée chez Olivier, Caroline salua les quelques personnes présentes, déçue de ne pas y voir Fred. Après s’être servie un whisky-coca, elle s’installa dans le canapé en écoutant alternativement la musique et les conversations l’environnant. Lorsque Fred arriva enfin, la jeune femme sentit les battements de son cœur s’accélérer. Elle tenta de dissimuler son émotion et avala une grande lampée d’alcool qui lui brûla la gorge. La jeune femme sentit même un grand frisson la parcourir quand le jeune métis s’assit à côté d’elle pour lui faire la bise :— Salut ! Ça va depuis hier ?Caroline sentit l’hésitation de Fred qui ajouta cependant— En tout cas, t’as l’air tout les jours un peu plus jolie…Souriant à ce compliment qui manquait d’originalité mais pas de sincérité, elle répondit :— Ça va, rien de neuf depuis hier, on est jeudi soir et c’est bientôt le week-end !Après avoir elle aussi rassemblé son courage, elle conclut dans un clin d’œil,Fred lui sourit de toutes ses dents, et Caroline ne put s’empêcher de penser qu’il n’était vraiment pas le portrait du prince charmant. Malgré tout, il semblait gentil et sensible, et sa carrure d’athlète avait un aspect rassurant. Caroline se détendit peu à peu et se laissa faire quand Fred, après avoir échangé quelques banalités, lui passa son bras autour des épaules. Prenant de l’assurance, il lui demanda bientôt de le suivre dehors, ce que Caroline accepta après s’être saisie de sa veste.Quand ils furent au pied de l’immeuble, Fred se tint face à elle et sembla chercher quelque chose à dire. L’alcool aidant, Caroline décida de prendre ses responsabilités et elle posa délicatement un baiser sur les lèvres du jeune homme. Celui-ci ne prit que le temps de lui sourire avant de la prendre dans ses bras et de l’embrasser à son tour plus passionnément. Caroline répondit à ce baiser avec enthousiasme et se lova littéralement contre la poitrine de Fred. Alors que les baisers se suivaient en silence, elle sentit les mains de Fred quitter son dos et migrer doucement vers ses fesses, que Fred commença par caresser avant de s’en saisir à pleines mains. Caroline décida de ne pas réagir et laissa le jeune homme lui peloter le cul. De sentir ses fesses rondes si désirées commençait à exciter Caroline qui redoublait d’ardeur dans ses baisers. Après quelques instants, Fred brisa le silence :Surprise, Caroline répondit par réflexe :— Non, j’avais juste ma veste.A ces mots, Fred lui prit la main et l’entraîna à sa suite. Quand il s’arrêta devant une voiture, et en ouvrit la porte passager, Caroline comprit qu’il voulait la remmener chez lui. En une fraction de seconde, les idées se bousculèrent dans sa tête. Si elle montait, le fil de la soirée lui échapperait et elle se retrouverait rapidement dans le lit de Fred. Elle passerait sûrement pour une fille facile, d’autant que tout le monde les avait vus partir ensemble de la soirée !Malgré tout, elle s’installa dans la voiture. Depuis deux jours tout se combinait pour lui faire comprendre qu’il fallait qu’elle sorte enfin de l’enfance, elle devait suivre son destin !Le trajet se fit rapidement, donnant juste l’occasion à d’ultimes échanges de banalités réconfortantes.Caroline sentait ses jambes prêtes à la laisser tomber quand elle pénétra dans le studio de Fred. Une fois la porte fermée, le jeune homme la reprit dans ses bras et l’embrassa à nouveau. Dans le même geste, il s’assit sur le bord de son lit, entraînant Caroline avec lui.Le jeune métis continua ses baisers quelques secondes, qui permirent à Caroline de se détendre à nouveau. D’un geste doux mais assuré, il glissa ses mains sous son top et le fit remonter vers le haut. Par réflexe, Caroline leva les bras et le top se retrouva bientôt par terre, libérant ses deux petits seins aux mamelons dressés. Fred fit glisser un doigt de droite à gauche sur la poitrine menue, accompagnant les courbes, titillant les pointes et arrachant un premier frisson de plaisir à Caroline. Prolongeant son geste, il la coucha sur le lit, avant de faire sauter le bouton de son jeans, que Caroline l’aida à retirer d’un geste du bassin. Quand le jeans eut rejoint le top par terre, Caroline se retrouva en string devant Fred qui marqua un temps d’arrêt. La pièce de lingerie noire tranchait sur la peau blanche, et la lumière diffuse de la pièce enveloppait d’ombre ses petites poires, sa taille fine et ses larges hanches. Caroline était réellement sexy.Debout au pied du lit, il quitta rapidement t-shirt et jeans pour se retrouver en boxer. Continuant à mener les choses, il entreprit de faire tomber le dernier rempart de Caroline. Sans un mot, il la rapprocha du bord du lit, permettant à ses pieds de toucher terre comme en position assise. Après s’être agenouillé devant la jeune femme, il défit délicatement les côtés du string et le fit glisser vers lui. Quand celui-ci révéla la chatte complètement lisse de Caroline, Fred ne put retenir un petit son de surprise. Partant du nombril de la jeune fille, il laissa là encore son doigt glisser sur le corps de la jeune fille, jusqu’à ce qu’il se glisse entre les deux petites lèvres blanches.Alors que Fred restait figé dans sa contemplation, Caroline se fit souffrance pour faire avancer les choses. Se redressant, elle descendit son caleçon sur ses chevilles, découvrant un sexe en érection. Malgré son inexpérience, elle constata que Fred était circoncis, tradition qu’il tenait sans doute de son père, et plutôt bien membré.Caroline regarda le jeune homme nu qui lui faisait face. La peau chocolat et les épaules larges de Fred lui plaisait beaucoup et elle caressa des deux mains ses pectoraux, avant de descendre sur les abdominaux puis de toucher enfin et pour la première fois un sexe d’homme. Elle posa les lèvres sur le gland qui se présentait à elle et commença à l’enfoncer délicatement dans sa bouche. La taille du pénis la gênait, mais Caroline tenta tant bien que mal de réussir sa première fellation, laissant sa langue glisser sur le bout luisant et chaud du sexe de Fred.Au fil des secondes, elle prenait de l’assurance, et s’habituait au goût de cette sucette si particulière. Le jeune métis respirait de plus en plus bruyamment et glissa bientôt une main derrière la tête de Caroline pour l’obliger à de petits mouvements horizontaux. La jeune fille sentit le sexe pénétrer plus profondément dans sa bouche à chaque mouvement, manquant de l’étouffer mais accentuant le plaisir de son partenaire.Après quelques minutes qui semblèrent interminables, Fred se retira de sa bouche :— À mon tour ma belle.Il appuya sur les épaules de Caroline, l’obligeant à s’allonger sur le lit, les pieds toujours posés au sol. Après s’être agenouillé devant elle, il lui écarta les cuisses et Caroline sentit que son sexe s’ouvrait littéralement. La tête de Fred disparut entre ses deux jambes et la jeune fille manqua de crier quand sa langue toucha son clitoris. Après trois coups de langue rapides, le jeune homme dégagea complètement un clitoris complètement gonflé qui irradiait Caroline de plaisir. Fred entama alors un lent et doux cunnilingus tandis que ses mains remontèrent vers les seins de Caroline, dont il titilla les pointes tendues. Caroline ondulait sur les draps au rythme des caresses, et laissait échapper quelques petits gémissements aussitôt ravalés.Lorsque Fred arrêta ses caresses buccales, Caroline resta quelques instants les yeux fermés, comme endormie en plein rêve. Relevant la tête, elle vit que Fred venait d’enfiler un préservatif, et elle sentit comme une boule se former dans son ventre. Fred vint s’allonger à ses côtés et l’embrassa tendrement. Dans le même temps, sa main droite vint caresser le sexe de Caroline et son majeur vint bientôt pénétrer son petit temple. Le doigt glissa dans la chatte trempée, mais Fred s’arrêta brusquement :— Mais t’es vierge !!!Caroline se sentit bêtement rougir.— Oui… J’aurais dû te le dire…— C’est pas grave ma belle, on va y aller doucement et ce sera comme dans un rêve.Joignant le geste à la parole, Fred vint se placer sur Caroline et tenant son sexe d’une main, il le dirigea vers l’entrée de la petite chatte lisse. Il appuya délicatement pour faire pénétrer son gland, ce qui tira une grimace à Caroline. Soudain, elle sentit dans un éclair qu’elle n’était plus vierge. Une vague de chaleur la traversa, transformée en sentiment de plénitude quand le sexe de Fred fut au plus profond d’elle. Le jeune métis commença ses mouvements de va-et-vient et Caroline sentit que son corps prenait plus de plaisir à chacun d’eux.Quand Fred se retira, la jeune femme resta quelques instants interdite. Fred s’allongea à ses côtés puis la saisit délicatement avant de la faire rouler sur lui. À califourchon sur son amant, Caroline saisit d’instinct la verge bandée et s’empala en arrachant un feulement rauque à Fred. Caroline commença à bouger sur le sexe qui lui emplissait la chatte. Les gémissements de plaisir reprirent lorsque Fred étendit les bras pour lui malaxer les tétons et Caroline sentit bientôt son premier orgasme de femme lui transpercer le corps. Elle s’écroula sans force sur Fred qui, après l’avoir embrassée, se dégagea des bras de son amante pour venir se placer au pied du lit. Les genoux appuyés sur le matelas, il saisit son bassin et attira le corps inerte de Caroline vers lui, puis la plaça à quatre pattes au bord du lit. Quand Fred commença à la prendre en levrette, Caroline sentit que le plaisir pouvait revenir aisément et elle fit de son mieux pour accueillir les coups de bassin de Fred qui faisait buter son gland au fond de son vagin.Après avoir subit ce traitement quelques minutes, tout en se caressant les tétons, Caroline sentit que l’inépuisable jeune homme se retirait à nouveau. Déçue, Caroline cambra le bassin tant qu’elle put à la recherche de l’instrument de son plaisir. Bientôt elle sentit les deux mains puissantes de Fred lui écarter ses deux fesses rondes et blanches, et manqua de pousser un cri quand Fred passa un doigt sur son anus :— Nan… je… je préfère pas…— Laisse-toi faire… Tu vas voir ! Tu vas aimer !Sur sa lancée, Fred commença à caresser le petit trou de Caroline tout en lui titillant le clitoris pour maintenir son excitation. Abandonnée au plaisir, la jeune fille se laissa faire et se retrouva bientôt avec un doigt dans les entrailles. La sensation n’était pas très agréable, mais une certaine excitation découlait du sentiment d’interdit.Lorsque le jeune homme commença à appliquer un liquide froid sur sa rosette, une angoisse monta en elle. Fred se saisit délicatement de ses hanches, avant d’appuyer son sexe sur l’anus de Caroline. Celle-ci grimaça quand la sensation de brûlure commença, mais les caresses de Fred avaient produit leur effet et ses muscles décontractés accueillirent assez facilement le gland pourtant imposant du métis. Fred continua sa progression en respirant bruyamment et Caroline ne put y croire quand le bassin de son amant se colla sur ses fesses. Elle prit conscience qu’elle avait au moins 18cm de chairs bandées au plus profond d’elle. Pour sa première nuit, elle offrait son cul. Pour sa première nuit, elle se faisait enculer !Fred commença à aller et venir en elle. La sensation d’écartèlement était intense mais ne procurait pas de plaisir à la jeune fille. Bientôt Fred réussit à caresser sa vulve tout en continuant ses va-et-vient. Cette double sensation réveilla le plaisir chez Caroline, et bientôt son corps se fit plus réceptif à la sodomie. Fred prit de l’assurance et accentua la force de ses coups de bassin, tout en encourageant sa maîtresse :— Hum, tu vois que tu aimes ça… et moi j’aime ton cul, ton joli gros cul serré ! Hum… oh, salope, t’aimes ça hein ?Personne n’avait jamais parlé aussi crûment à Caroline, mais cela ne lui déplaisait pas, et elle se surprit même à répondre :— Oui, je crois que j’aime ça… vas-y… oh, oui…A ces mots, Fred accompagna son coup de rein d’une claque sonore sur le postérieur rebondi de la jeune fille. Caroline fut trop surprise pour réagir, et ne dit toujours rien quand la deuxième claque s’abattit. Caroline sentit que ses fesses rondes ondulaient sous les claques et sa peau rougie chauffait de plus en plus. Ce traitement de choc lui faisait découvrir un plaisir honteux mais réel, et elle jouit une seconde fois. À cet instant, Fred se retira de son anus, et retira son préservatif. Caroline se retourna vers son amant qui n’attendit que cet instant pour éjaculer sur sa menue poitrine.Caroline se leva avec difficulté. D’instinct elle porta sa main à son anus qu’elle découvrit encore béant. Cette découverte arracha une grimace à la jeune fille, qui se transforma en sourire quand elle pensa au plaisir que ce petit trou leur avait donné. Après avoir pris une douche brûlante ensemble, Caroline s’endormit lovée contre le torse de Fred, consciente que leur relation pouvait ne pas aller plus loin que leur réveil.