« Voilà ce que tu vas faire : je te laisse jusqu’à samedi pour te faire épiler. Lorsque ce sera fait, accroche un mouchoir blanc dans la vitrine. Alors je reviendrai, d’accord? ». Sans attendre sa réponse, je la fis pivoter et l’embrassai sur les lèvres, forçant ma langue dans sa bouche. Elle répondit fougueusement à mon baiser. Je ramassais mes affaires et sortis en lui disant : « Je garde la robe … en gage! »En attendant, je téléphonais à Dana, la jeune métisse dont j’avais fait connaissance à l’hôtel. Elle me proposa de passer le soir même. Je me réjouissais à l’avance de la revoir et de faire connaissance de son amie sénégalaise. C’est celle-ci qui m’ouvrit la porte… et elle était intégralement nue! « Tu dois être Claire? », me dit-elle. Je lui fis un signe de tête d’acquiescement, troublée par son corps somptueux. « Moi, c’est Félicité. Je te préviens : dans cet appartement, on ne tolère aucun vêtement. Cela te pose un problème? ».Sans me laisser le temps de répondre, elle attrapa le bas de ma robe courte et la fis passer par-dessus ma tête. « Hummm, je vois que tu n’avais que le strict minimum! Entre et sois la bienvenue!». J’avais effectivement renoncé aux dessous, certaine de ce qui m’attendait.Elle m’entraina dans le séjour où Dana, totalement nue elle aussi, m’enlaça et m’embrassa à pleine bouche. Puis nous nous assîmes sur le canapé et sirotâmes un cocktail. Je ne pouvais m’empêcher de regarder Dana qui avait 3 piercings, deux anneaux à ses tétons et un autre en haut de sa vulve. Mais mes deux hôtesses ne me laissèrent pas le temps de fantasmer. Assises de part et d’autre du canapé, elles se mirent à s’occuper de moi très intensément. Tandis que Dana me bécotait, Félicité s’était emparée de mes seins qu’elle léchait et suçait alternativement.Puis elle s’éloigna quelques instants et revint avec un gode ceinture. Elle se positionna entre mes cuisses et se mit à frotter le pénis de latex sur mes lèvres intimes déjà bien mouillées. Puis elle me pénétra et commença des longs mouvements de va et vient.Puis Dana s’allongea sur la moquette. Félicité se recula. J’en profitai pour me mettre à quatre pattes au-dessus de Dana. Je l’embrassai fiévreusement, puis descendis sur ses seins, léchant les pointes et tirant sur les anneaux. Pendant ce temps, Félicité s’était agenouillée derrière moi. Je sentis bientôt ses mains sur ma croupe et son souffle sur mon sexe. Elle se mit à aller et venir dans mon sillon, remontant de mon bouton jusqu’à ma rosette. C’était délicieux. J’avais moi-aussi progressé et j’embrassai l’intérieur des cuisses de Dana avant de m’approcher de sa fourche. Je me mis à la lécher et à tirer sur son anneau, ce qui la faisait gémir.Ensuite je sentis à nouveau le phallus de latex se promener dans ma vallée et s’approcher de mon œillet. Je tendis encore plus la croupe, écartant mes fesses de mes mains pour donner à Félicité un meilleur accès. Elle m’avait merveilleusement préparé le cul à une intromission et j’en avais terriblement envie. Tandis qu’elle me pénétrait la rosette doucement, je me mis moi-aussi à lécher, puis à agacer de mon index l’anus de Dana qui semblait elle-aussi apprécier la chose.Félicité se pencha sur moi et me murmura à l’oreille : « Dana adore qu’on la fiste! ». « Heu, je n’ai jamais fait ça! ». « Ce n’est pas difficile, humecte bien ta main avec ta salive, puis entre petit à petit tous tes doigts ». « D’accord, mais prends-moi déjà à fond, je lui ferai après ». Félicité se mit à me pilonner l’anus, je glissai ma main entre mes cuisses et je pressai mon bouton. Je sentis le plaisir monter dans mes reins et je criai.Après avoir récupéré un peu, je mouillai bien ma main, puis j’introduisis deux doigts, puis trois dans la chatte de Dana. J’en mis un quatrième et je fis des va-et-vient. Félicité murmura : « Vas-y, maintenant mets le pouce! ». Je continuai d’aller et venir et bientôt j’entrai toute ma main dans son sexe jusqu’au poignet. « Super! maintenant forme un poing et donne des coups d’avant en arrière! ». Je fis ce que Félicité me suggérait et je vis le corps de Dana se tendre de plus en plus. Elle poussait maintenant des cris et des gémissements. Félicité attrapa ses anneaux de seins et tira. Dana poussa un grand hurlement et jouit comme une folle.Tandis qu’elle récupérait, Félicité m’attira sur elle en 69. Elle avait une toison frisée coupée très ras et une odeur forte mais pas déplaisante. Nous nous léchâmes et nous doigtâmes mutuellement. Je fus la première à jouir mais elle me suivit de près. Nous nous embrassâmes en nous promettant de nous revoir bientôt. Je fus contente de retrouver mon lit et je m’endormis comme une masse.Les jours suivants, je passai devant la boutique de Florence, mais je ne vis pas de mouchoir. Puis la semaine suivante, j’aperçus un mouchoir blanc accroché en haut. J’attendis encore deux jours pour la laisser un peu mariner. Puis un matin vers 11h, je franchis la porte de la boutique. Florence était occupée avec une cliente. « Regardez ce qui vous plait, je suis à vous tout de suite! ». Je souris en regardant ses formes épanouies. Elle était un peu énervée par ma présence et mes regards et aussi parce que la cliente ne semblait pas décidée. Elle hésitait entre deux chemisiers. Florence finit par lui dire de prendre les deux en lui faisant 50% sur le 2ème. La cliente accepta la proposition.Tandis qu’elle payait, je pris une robe et me dirigeai vers la cabine d’essayage. La cliente était à peine sortie que j’entendis la clé tourner dans la serrure. Florence arriva en courant, tout essoufflée. « Humm, quel empressement! Tu as bien dit que je regarde ce qui me plaisait et que tu serais à moi tout de suite, je ne me trompe pas? ». « Euh oui », dit-elle en rougissant. « Eh bien, ce qui me plairait, c’est de voir nue et vérifier que tu as bien suivi mes instructions ». Elle n’hésita pas longtemps et déboutonna son chemisier et dégrafa son soutien-gorge. Je retrouvais avec plaisir sa poitrine épanouie. « Continue! ». Elle défit sa robe, puis avec un soupir, elle fit glisser sa culotte au sol.Je ne voyais effectivement plus de trace de toison apparente, mais je voulais être sûre de mon pouvoir et je lui dis : « Va t’allonger sur le bureau, lève bien les jambes et écarte les cuisses que je vois tout ça de près ». Elle m’obéit et s’allongea sur le dos, les cuisses bien ouvertes. Elle avait un sexe épanoui avec des grosses lèvres proéminentes. « Bien », lui dis-je. « Maintenant, tu vas te caresser pour moi! ». « Oh non, s’il te plait, ne me demande pas ça! Je suis très pudique, tu sais! ». Eh bien justement, on va voir si tu es prête à t’ouvrir à de nouveaux plaisirs. Je compte jusqu’à 10… et je m’en vais… 1…2…3…4…5 ».J’arrêtai mon décompte car, avec un soupir, elle avait posé une main sur ses seins et l’autre descendit jusqu’à sa fourche. Elle se mit à se caresser. Je m’approchai de son visage et me penchant, je posai mes lèvres sur les siennes. Après quelques bisous, notre baiser devint passionné. Puis je me penchais sur son buste et je me mis à agacer ses seins de ma langue. Elle soupirait de plus en plus fort et sa main s’activait de plus en plus vite entre ses cuisses.« Arrête! », lui dis-je. « Je veux gouter ton plaisir ». Je fis le tour de la table et je me mis à lui lécher l’entrecuisse, m’approchant toujours plus de son minou d’où montait une odeur poivrée. Je me mis à la lécher, puis j’aspirai son bouton dans ma bouche. Je sentis son plaisir monter et la submerger. Je lapai goulument sa mouille.J’ôtai ma culotte et retroussant ma robe, je m’assieds à califourchon sur elle. J’approchai mon minet de sa bouche. Je vis qu’elle le regardait, fascinée. Je n’eus pas besoin de parler. Lorsque mon sexe s’approcha de sa bouche, elle sortit sa langue et se mit à me lécher maladroitement. J’écartai alors ma corolle de mes doigts et collai mon bouton à la pointe de sa langue. « Oui, là lèche-moi, oui comme ça… hmmm suce-moi maintenant… ». Je me sentis partir et je mouillai abondamment sa bouche. Elle aspira le tout sans hésiter.