Rassasiées ensuite toutes les deux, nous papotâmes agréablement. « Alors, tu aimes faire l’amour avec une femme? ». « Tu sais, j’y pensais depuis longtemps. Mais je n’avais jamais osé passer à l’acte. Mais je ne regrette pas du tout que tu m’aies fait franchir le pas. ». « Et avec ton mari, c’est comment? ». « Tu sais, nous sommes mariés depuis plus de 15 ans. C’est un peu la routine. Nous faisons l’amour de temps en temps, mais sans grande passion ». « Et tu n’as jamais eu d’amant? ». « Si, j’ai essayé plusieurs fois, mais je trouve les hommes souvent trop brutaux. Et je crois que je fantasme plutôt sur les femmes depuis un certain temps ». « Ah bon? Et sur qui as-tu fantasmé particulièrement? ». Elle rougit, un peu gênée. « Heu, j’ai un peu honte, mais j’ai beaucoup fantasmé sur une de mes nièces. Elle est encore très jeune, mais elle est ravissante et a un corps superbe. Elle te ressemble d’ailleurs ». « Humm, tu as les yeux qui brillent quand tu parles d’elle. J’ai l’impression qu’il ne s’en est fallu que d’un cheveu pour que tu la séduises, je me trompe? »« Tu ne crois pas si bien dire! ». « Raconte un peu… ». « Eh bien, l’hiver dernier, Aurélie, ma nièce, qui n’habite pas très loin de chez nous, est venu me rendre visite un après-midi. J’avais prévu une séance de sauna et je venais donc d’allumer le poêle dans le sauna au sous-sol. Je lui ai offert un coca et on a papoté. Après quelques minutes, la conversation est devenue plus intime. Elle m’a dit qu’elle aimerait bien sortir avec un garçon, mais qu’elle ne savait pas comment s’y prendre. Je lui dis qu’il fallait sans doute leur donner envie, mettre des tenues plus sexy. Elle portait une jupe assez longue boutonnée sur le côté et un chemisier boutonné jusqu’au cou. Je lui suggérai d’ouvrir quelques boutons. Joignant le geste à la parole, je déboutonnai un peu son chemisier, puis je déboutonnai un peu sa jupe. On apercevait maintenant ses fines jambes et ses cuisses et son décolleté était aussi plus engageant. Elle me demanda si je la trouvais jolie ainsi et je lui dis qu’elle était vraiment ravissante.Puis je lui dis que j’allais faire une petite demi-heure de sauna et qu’elle pouvait rester un peu et m’attendre si elle voulait. Elle me demanda si elle ne pouvait pas venir dans le sauna avec moi. Ravie de l’aubaine, je lui pris la main et l’entrainais au sous-sol. Je vérifiais que la température du sauna était bonne, puis je me déshabillais. Elle commença elle-aussi à se dévêtir, mais gardait ses sous-vêtements. Je lui qu’il valait mieux être nue dans un sauna, à cause de la chaleur. Un peu intimidée, elle dégrafa son soutien-gorge et ôta sa culotte. Elle était vraiment craquante : de petits seins pointus aux aréoles roses et un joli minou à peine ombré de quelques poils blonds.Nous nous installâmes dans le sauna. Elle regardait ma poitrine avec envie et je lui dis que ses petits seins étaient ravissants et qu’ils allaient encore pousser. Elle regardait aussi ma toison rousse et je lui dis que la sienne allait aussi pousser, ce qui serait d’ailleurs dommage car on ne pourrait plus voir son joli petit abricot. Elle rosit sous mes compliments. Après 20 minutes, nous sortîmes du sauna et primes une douche froide. Je lui tendis un drap de bains et nous nous séchâmes. Puis je commençai à me passer une crème hydratante. Je lui tendis le tube en lui demandant de m’en mettre sur le dos. Je frémis en sentant sa main douce m’enduire les épaules, le dos, les reins. Elle n’osa pas m’en mettre sur les fesses.Je lui pris le tube des mains et lui demandai si elle voulait que je lui en mette. Sans dire un mot, elle me tourna le dos. Je me mis à oindre ses épaules, son dos, ses reins et je descendis sur ses fesses. Je lui demandai alors si elle voulait que je fasse aussi le côté pile. Elle me fit signe que oui. Je la fis pivoter et me mis à enduire son ventre, ses seins qui se dressaient doucement. Puis je m’agenouillai pour enduire ses jambes, puis ses cuisses. J’avais sous les yeux son petit abricot et j’avoue que là j’étais à deux doigts de craquer et d’y porter la main ». « Oui, j’imagine! A ta place, j’aurais pas pu résister. Mais tout n’est pas perdu, je pense? ». « Oui, maintenant, je crois que je vais l’inviter un de ces jours et là j’oserai ».Son récit m’avait bien émoustillée. Je m’assis sur la moquette en face d’elle, les jambes bien ouvertes et je me mis à me caresser. Elle ouvrit les siennes aussi et sa main se posa sur sa fourche. Après quelques minutes de caresses, j’eus envie de plus. J’approchai doucement mon sexe du sien. Je n’avais hélas pas de gode, mais j’eus envie de frotter mon sexe contre le sien. Je passai une jambe par-dessus sa cuisse et collai mon abricot contre le sien. Nous nous mîmes à remuer le bassin toutes les deux, c’était divin. « Tu n’as pas un concombre dans ton frigo là? », lui demandai-je. Elle fit un signe affirmatif de la tête. « Alors, va le chercher! ».Elle rapporta un concombre de bonne taille. Je le pris et l’humectai de ma salive, puis j’introduisis une extrémité dans mon minou. Je lui fis signe de faire de même. Elle n’hésita qu’une seconde, s’assit à nouveau face à moi et attrapa l’autre extrémité du concombre. Elle se le fourra elle-aussi dans la chatte. Je me mis à aller et venir. Au début, nos minous étaient assez loin, mais au fur et à mesure que nos vagins se dilataient, le concombre entrait de plus en plus profondément dans nos sexes qui se rapprochaient et qui finirent par se coller l’un à l’autre à chaque va-et-vient. Nous nous mîmes à gémir toutes les deux, emportées par un plaisir de plus en plus impérieux.Je jouis la première. Je sortis alors le concombre de mon sexe et fis mettre Florence à quatre pattes, le concombre toujours fiché dans son vagin. Je le pris à pleines mains et me mis à le faire aller et venir de plus en plus vite. Florence se mit à pousser des cris de plus en plus suraigus. Je retirai le concombre d’un coup et un flot de jus blanchâtre jaillit de sa fentine. Je renfilai le concombre et refis une série de va-et-vient. Une nouvelle salve de jus jaillit. Elle se laissa tomber sur le côté, exténuée. « Mon Dieu, je n’ai jamais joui ainsi! ». « Oui, tu es une vraie femme fontaine, tu ne le savais pas? ». « Ben non! C’est toi qui me fais découvrir tout ça… ». Elle m’embrassa amoureusement.Nous restâmes allongées un long moment à nous bécoter. Puis je lui demandai : « Ça te dirait de faire des trucs à 3? ». « Tu veux dire avec une autre femme? ». « Une autre femme ou un homme, comme tu veux… ». « Eh bien, tu es sacrément délurée pour ton âge! Une autre femme, peut-être. Si elle me plait… ». « Et quel genre de femme? Plutôt une jeune? Plutôt mince? Bien en chair? ». « Humm je crois que j’aimerais bien une petite jeune, mince, comme ma nièce ». « Je crois que j’ai ce qu’il te faut : Angélique, une jeune que j’ai dévergondée! Tu sais quoi? Je vais l’envoyer à ton magasin pour essayer des dessous. Je lui dirai que c’est un cadeau que je lui fais. Mais tu me raconteras tout, hein? ». « Oui, promis! ». Après quelques bécots, je la quittai.Je passai très vite un coup de fil à Angélique qui me fit quelques reproches : « Je croyais que tu m’avais oubliée! ». « Mais non, pas du tout! Allez, pour me faire pardonner, je t’achète des dessous coquins. Tu vas aller à la boutique de lingerie 17, rue Champeau. La patronne s’appelle Florence. Dis-lui bien que tu viens de ma part. Tu n’auras pas besoin de payer. » Angélique me promit d’y aller dès le lendemain. J’appelai Florence pour la prévenir. La semaine suivante, je passai à la boutique de Florence. Elle en terminait avec une cliente. Dès que cette dernière fut sortie, elle alla verrouiller la porte car il était pas loin de midi. Puis elle m’entraina dans l’arrière-boutique et m’enlaça. Nous nous embrassâmes et de fil en aiguille, nous nous retrouvâmes toutes les deux nues sur le canapé. Nous nous mîmes en 69 et nous léchâmes jusqu’à l’orgasme qui fut quasiment simultané. Puis je l’interrogeai sur Angélique.« Eh bien, figure-toi que je l’ai trouvée tout à fait à mon goût. Quant à elle, elle me dévorait des yeux. Il faut dire que j’avais mis une petite jupe bien courte et un chemisier blanc quasi transparent et bien échancré ». « Et elle? Comment était-elle vêtue? ». « Elle portait une robe turquoise assez sage, quoiqu’assez moulante ». « Et alors? Tu l’as séduite? ». « Ben, j’avoue que je n’ai pas résisté longtemps! Je lui ai demandé de se déshabiller tandis que j’allais chercher quelques modèles qui pourraient lui plaire. Lorsque je suis revenue, elle avait ôté sa robe et attendait debout, un peu gênée. Je lui dis de se détendre car nous étions entre femmes et de plus elle était une amie de Claire que j’aimais beaucoup. En parlant, je me mis derrière elle et dégrafai son soutien-gorge, un modèle planplan trop petit pour elle.