Laurent,
cadre de trente cinq ans, et sa ravissante épouse Audrey, âgée de vingt six
ans, fête leur un an de mariage. C’est la deuxième fois que Laurent se marie. Ca
première femme, il l’a surprise au lit en train de faire l’amour avec Guy, son
pire ennemi, l’homme qu’il hait par-dessus tout. Il se souvient comme elle
hurlait de plaisir quand il l’a faisait jouir, comme elle le suppliait de la
niquer, de l’enculer, de lui bouffer la chatte. Mai aussi, quand elle comparait
les mensurations de sa bite par rapport à la sienne. Ce qui lui a su mal, c’est
que son épouse savait que c’était son plus grand rival, même dans la vie
professionnelle. Aujourd’hui, Laurent rentre du travail vers dix sept heures.
Il prend sa femme dans ses bras.
-Oh mon
amour, si tu savais, c’est moi que le directeur a choisi comme nouveau chef des
ventes. Je pars en stage de formation mercredi.
-Félicitations
mon chéri, dit-elle, j’en connais un qui doit être déçu. Mais, j’y pense, on
n’est pas invité à une soirée chez ton patron ce soir là. Ce n’est pas grave,
je me ferai une soirée télé, d’autant qu’il y aura Guy.
-Mais pas du
tout, reprend Laurent, même s’il est là, tu peux y aller sans moi, je te fais
confiance. Je sais très bien que tu m’aimes. Puis, ce sera une façon de me
représenter. Tu vas voir, ça va bien se passer.
Ce fameux
mercredi, une vingtaine de personnes sont conviées à la réception, dont Guy. Il n’arrête pas de mâter Audrey, lui envoie
des sourires narquois. Celle-ci se sent mal à l’aise, mais soutient son regard.
En plus, elle le trouve très séduisant. Elle est sauvée par l’intervention du
directeur…enfin, c’est ce qu’elle croit. En effet, pendant le discours, elle
sent des mains s’insinuer sous sa mini jupe, saisir sa petite culotte, et la
quitter. Un doigt glisse sur sa fente, remonte sur le clitoris. Audrey,
surprise, se retourne, croise les yeux bleus acier du pire ennemi de son mari.
Elle veut le gifler, mais se ravise, les invités diraient quoi.
-Quel toupet,
dit-elle, te gênes pas, mets moi un doigt pendant que tu y es…rends moi ma
culotte…sinon…
-Sinon quoi,
murmure Guy, chut, tu vas attirer l’attention…je te la rendrai si tu es sage.
Je t’attends au salon privé. Ne m’oblige pas à demander à qui est le string que
j’ai trouvé ton.
Audrey vient
de se faire piéger par l’ennemi juré se son mari. Elle n’a pas d’autre choix
que de le rejoindre, sous peine d’être ridicule. Elle rentre dans le salon ou
l’attend Guy, deux coupes de champagne à la main.
-Trinquons à
nôtre future relation, ironise-t-il. Nous avons toute la nuit devant nous.
Allez, assied toi.
-Quoi, sale
goujat, une relation, mais tu n’y pense pas. Tu me prends pour qui…je suis une fidèle
moi.
Audrey fini
par s’asseoir. Mieux, elle accepte la coupe que lui tend Guy. Celui-ci passe
derrière le fauteuil. Lentement, il lui caresse les épaules, l’embrasse dans le
cou, ce qui provoque agréables frissons sur tout le corps de la jeune femme.
Petit à petit, elle se laisse aller. Guy sent qu’elle va succomber, se
soumettre. Les mains glissent sur la poitrine d’Audrey, ouvre le chemisier.
Deux superbes seins jaillissent du soutien gorge. Les mains descendent plus bas
sur les cuises, remonte la jupe au dessus de la taille. Puis un doigt caresse
la fente.
-Assez,
souffle Audrey, pas ça…pas ma petite chatte…ni mon clitoris…s’il te plait, tu
es un salaud…je suis une femme, et tu sais que les femmes aiment se faire
gratter à cet endroit…je t’en prie…
-J’ai simplement
envie de jouer avec ta chatte, te la faire mouiller, juste pour voir…après, tu
pourras partir.
La respiration
de la jeune femme s’accélère. Elle se dit que c’est un mauvais moment à passer.
Elle ferme les yeux et ouvre grand ses jambes. Elle pousse un long soupir quand
les doigts pénètrent sa chatte. Guy fait une fouille minutieuse dans les entrailles
d’Audrey. Finalement, le mauvais moment à passer s’avère être très agréable. La
jeune épouse tend son bassin sur les doigts qui la branle.
-Enfoiré,
gémit-elle, décalotte mon petit bouton…doigte le…oh putain, tu sais ce qu’aime
les femmes toi… comme tu me fais mouiller la chatte…c’est ça que tu voilais…oh
oui…je vais jouir…salaud…vas-y…oui… t’arrêtes pas…que c’est bon de se faire
branler…ça y est…je joui…hou…hou…oui…encore…encore…
L’orgasme est
puissant, les cris de plaisir résonnent dans le salon. Guy est obligé de la
museler pour les atténuer. Audrey se retourne, prend Guy par la nuque et lui
donne un sulfureux baiser.
-Qu’est- ce-
que t’as fait à ma petite chatte salaud, dit-elle, et mon clitoris…regarde dans
quel état tu me l’as mis…mon mari m’a jamais fait crier comme ça…j’en veux plus
maintenant.
Guy ouvre le
canapé, pendant qu’Audrey ôte sa jupe et son chemisier. Il se déshabille à son
tour. La jeune épouse met sa main devant sa bouche en voyant l’énorme bite, et
la grosse paire de couilles de Guy.
« Mon dieu,
se dit-elle, c’est quoi ça ? Mon pauvre Laurent, si tu voyais ce qui pend
entre les jambes de ton rival comparé à ton fifre, tu en mourais de jalousie.
Je crois que j’ai bien fais de venir ».
-Comme tu es
monté, oh la la…dis moi, j’ai été sage…j’ai droit à un bon coup de queue maintenant…
Des coups de
queues, elle va en prendre au dessus de ses espérances. Guy s’avère être un
étalon hors pair. Elle se le fait mettre dans toutes les positions. Guy la sent
innocente, aussi en profite-t-il pour jouer avec elle. De pensé qu’il nique la
femme de son pire ennemi, le stimule. Audrey, elle, découvre l’amour, le vrai.
Elle taille une pipe à son amant, qui éjacule dans sa bouche pour humilier
d’avantage son rival.
-C’est la
première fois que je suce une bite, avoue-t-elle…j’ai jamais fait ça à mon mari…s’il
savait…
-Je ne suis
pas surpris qu’il ne sache pas se servir de toi. Tu vas voir les cartouches que
je vais te mettre. Laisse-moi faire, tu ne vas pas être déçu. Je vais te rendre
infidèle, et planter des cornes à ton mari cocu.
-Vas-y mon
amour, je suis à toi cette nuit…fais ce que tu veux…tant pis si je trompe mon
mari…après tout, sa première femme l’a bien fait…et je l’a comprend.
Guy glisse
son visage entre les jambes écartées de la belle infidèle. Il lui lèche la
chatte, aspire le clitoris. Audrey se prend le bout des seins qu’elle fait
rouler entre ses doigts, elle se tord de plaisir sur le canapé. Guy remonte sur
elle, la bite en érection, jusqu’à l’entrée de la fente. D’une légère pression,
il pénètre la chatte pleine de mouille. Le cri que pousse Audrey ne fait aucun
doute sur ce qu’elle ressent.
-Ha…râle-t-elle,
qu’elle bite…vas-y, enfonce là, bien profond…je suis déjà prête à jouir…salaud…oui…
En effet,
dans la minute qui suit, Audrey à un terrible orgasme, le second de la soirée.
Puis elle sent le sperme chaud de Guy gicler au fond de sa chatte. Elle retient
le bite en elle jusqu’à la dernière goutte.
-Oh mon dieu,
gémit-elle, si tu savais…ça fait un mois que j’ai arrêté la pilule…faudrait pas
que…
-Tu tombes
enceinte, c’est ça…un bébé de moi, reprend Guy, tu imagines…ton mari en train
de garder nôtre enfant pendant que tu viendrais te faire baiser…houa…qu’elle
humiliation pour lui…
-Tais toi,
poursuit Audrey, soit pas méchant, tu trouves que tu ne l’as pas assez
humilié…c’est quand même sa deuxième femme que tu baises…et puis ça veut dire
quoi…garder nôtre bébé pendant que tu me niqueras…que tu veux qu’on devienne
amant…d’accord, mais faudra être discret…je ne veux pas perdre mon mari…vas-y,
prend moi encore…j’ai envie de me le faire mettre…tu me baises tellement bien…
Guy la force
à se mettre à genoux, la tête sur le coussin. Il se penche, écarte les fesses.
Le pouce court sur la fente humide, vite remplacé par la langue qui lèche aussi
le petit trou. Audrey feule de plaisir. Elle s’attend à tout de la part de ce
mâle qui la domine. Guy s’agrippe à ses hanches, présente sa bite à l’entrée du
petit orifice, et le pénètre. Audrey se cambre, hurle de douleur. Si Laurent
savait comme son éternel rival s’amuse avec son épouse, ce qu’il lui fait
subir, comme il l’a sodomise en levrette, ce qu’elle lui a toujours refusé.
-Aie…aie…tu
m’encules salaud…j’ai jamais fais ça non plus…tu m’auras tout fait cette nuit…enfoiré…pourquoi
on ne s’est pas rencontré avant…
-Tu te
régales salope…tu aimes sentir ma grosse bite…ton cocu te baises pas comme
çà…est-ce que tu vas lui dire que je t’ai dépucelée à cet incapable…tu as mal
hein…tu veux que j’arrête…dis moi…
-Surtout pas,
souffle Audrey…il fallait bien que quelqu’un fasse sauter le verrou de mon
petit trou…autant que ce soit ta grosse bite qui le fasse…mon mari n’est pas
monté comme çà…puis il n’assure pas au lit, je m’ennuie terriblement…vas-y mon
amour…donne moi ce que je n’ai pas… défonce moi le cul…fais moi mourir…prend
moi en levrette, ça change du missionnaire…je veux sentir tes couilles contre
ses fesses…
Enfin
épuisée, Audrey s’assoupit dans les bras de Guy, son merveilleux amant qui a su
réveiller son corps de femme. Au petit matin, Guy est réveillé par une agréable
sensation. C’est Audrey qui est en train de lui taille une pipe. Son énorme
bite en érection coulisse dans la bouche de la jeune femme.
-Tu prends
ton biberon ma chérie, sourit-il. Tu vois que tu aimes maintenant…vas-y…avale
mon amour…si tu en as pas assez, j’ai de la réserve. Ecarte tes jambes que je
te gratte la chatte…tiens, mais je le connais lui…ton petit bouton…il est
encore décalotté…le vilain, il n’est pas rentré de la nuit…
Audrey avale
la semence, nettoie le gland avec gourmandise en poussant un léger soupir. Elle
se place en amazone sur le corps de son amant, saisit l’énorme calibre, et s’y
empale dessus, jusqu’aux couilles.
-Ma chatte
aussi à faim, murmure-t-elle, donne lui sa dose…après, je veux que tu m’encules
encore un coup, sous la douche….que tu te vides les couilles dans ma bouche…c’est
tellement bon…
Deux mois ont
passés. Audrey et Guy entretiennent toujours leur sulfureuse relation, en toute
discrétion. Un jour, Laurent fait une entrée tonitruante dans le bureau de Guy,
le regard débordant d’orgueil.
-J’ai une
bonne nouvelle, dit-il, ma femme est enceinte…ça te la coupe hein…je lui au
fait un bébé…je vais être papa, une situation que tu ne connaitras jamais, être
père. A part coucher avec la femme des autres, tu ne sais rien faire d’autre.
-Félicitations,
sourit Guy, j’espère que ce sera une fille, et qu’elle ressemblera à sa mère,
elle est si belle. Tu devrais l’appeler et l’inviter au restaurant. Puis vous
rentrez faire l’amour…pour te remercier de l’avoir mise enceinte, tu lui
demande de te tailler une petite pipe…de la sodomiser pour épargner son ventre.
-Non, mais ça
va pas, rétorque Laurent, tu la connais pas, ce n’est pas une pute. Jamais elle
n’acceptera de me sucer ou de se laisser enculer. Je suis sur qu’elle à horreur
de ça. Par contre, moi, j’aimerai que ce soit un garçon, et qu’il ressemble à
son père. Pour le restau, je l’appellerai plus tard, j’ai appris qu’elle avait
rendez-vous au dentiste pour un détartrage.
Pauvre
Laurent. Ce qui l’ignore, c’est que l’enfant n’est pas de lui, mais de Guy. Il
ne sait pas, qu’il y a deux mois, sa ravissante épouse se faisait initier aux
vrais plaisir de la chair, qu’elle s’est faite niquer, enculer, qu’elle a
taillé des pipes à son pire ennemi, qu’elle a tout avalé, et que Guy prenait un
réel plaisir à se vider les couilles dans tous ses orifices, pour l’humilier
d’avantage. Il ne sait pas non plus, qu’à cet instant précis, Audrey est sous
le bureau en train de tailler une pipe à son éternel rival, et qu’il est en
train d’éjaculer au fond de sa gorge.
