Ce jour-là, j’avais rendez-vous avec l’une de mes étudiantes. J’étais un jeune professeur universitaire et cette situation était pour moi inédite. C’était en effet la première fois que j’accompagnais une élève dans la préparation de son mémoire. Elle était en troisième cycle et comptait se lancer dans un travail approfondi de recherche universitaire, si toutefois je jugeais qu’elle en avait les capacités, m’avait-elle avoué.Nous étions au mois de septembre et la rentrée avait eu lieu quinze jours auparavant. Nous devions discuter du sujet de mémoire, il restait en effet à éclaircir quelques points qui lui serviraient d’aiguillage, notamment la délimitation temporelle. Pour un travail historique, c’était fondamental.Nous avions convenu d’un point de rencontre à la bibliothèque universitaire, le samedi matin. D’ordinaire, le fonds Moyen Âge n’était pas ouvert, mais je connaissais bien l’un des deux responsables de cette section qui avait gentiment accepté de me confier les clés, y compris celles de la réserve. La seule condition qu’il avait posée tenait à notre discrétion. Il n’avait théoriquement pas le droit d’agir de la sorte et ne souhaitait pas que ce genre de privilège parvienne aux oreilles du doyen de la faculté.J’arrivai sur le campus avec un peu de retard. Je garai ma voiture parmi celles des étudiants qui, sérieux, souhaitaient réussir leurs examens et bûchaient comme des damnés. Je quittai enfin le parking en hâtant le pas, chassant ma veste d’un revers de main. Je portais une chemise rose déboutonnée au col et un costume noir très seyant. Il me fallait être honnête, je savais combien les relations entre élève et professeur reposaient sur le charisme et la séduction. Et de ce côté, force était de reconnaître que j’avais un certain succès auprès de la gent féminine. Je m’étais tapé quantité d’étudiantes lorsque je préparais ma thèse de doctorat. J’assurais alors quelques travaux dirigés, une position confortable qui m’avait toutefois affublé d’une réputation dans mon ancienne faculté, avant d’être nommé ici en tant que professeur. Je me souvenais d’une aventure dans un ascenseur qui avait fait grand bruit au sein de l’université. L’affaire était remontée jusqu’au président qui m’avait convoqué pour me passer une sacrée soufflante. Il faut dire que la fille m’avait possédé comme jamais, balançant devant ma classe entière ce qui s’était réellement passé, une pipe hallucinante avant d’entrer en cours. Le mien. Tout ça s’était passé dans l’ascenseur qui nous acheminait vers la salle… (NDA : voir « L’étudiante », n°11584). Depuis ce temps, je m’étais arrangé pour fauter le moins possible, sans grande réussite. Si bien que ce qui m’avait fait conserver mon poste jusqu’à la soutenance de ma thèse reposait sur le secret de mes relations sexuelles. Car il s’agissait bien de cela, et uniquement de cela. Je n’avais jamais rencontré l’amour et mes contacts avec les femmes s’étaient régulièrement résumés à des aventures débridées.J’ignorais pourquoi je pensais à cet épisode de ma vie à cet instant précis. Peut-être redoutais-je après tout cette rencontre ? Marion, la jeune fille avec qui j’avais rendez-vous, m’avait toujours paru ambiguë dans son approche. À chacun de mes cours qui ne comptaient jamais plus d’une quinzaine d’étudiants, elle arborait des tenues affriolantes qui excitaient les sens. Et je ne faisais pas exception à cette règle.Une fois encore, j’avais tapé dans le mille. Marion m’attendait à l’extérieur du bâtiment, juste en face de l’entrée. Affublée d’une minijupe violette et d’un top blanc qui moulait sa poitrine à la perfection pour signifier l’absence de soutien-gorge, elle était très provocante. Ses longues jambes paraissaient démesurées avec les mi-bas fumés qui épousaient ses mollets pour remonter aux genoux. Marion était une superbe jeune femme qui n’avait pas besoin de ce genre d’artifices pour se mettre en valeur.Gâtée par la nature, elle possédait un visage d’ange qui la rendait toutefois plus excitante lorsqu’elle portait ce type de parure. Les lèvres fines, le nez mutin et de larges yeux clairs sur une peau laiteuse, elle me rappelait la beauté des femmes slaves. Sa longue chevelure de miel dans laquelle perlait une longue tresse glissait sur ses épaules pour longer sa colonne vertébrale et caresser ses reins. Juste au-dessous enfin, des fesses rondes au galbe indécent. Jamais je n’avais vu un cul si bien dessiné, et je devais admettre l’avoir déjà furtivement admiré plusieurs fois aux intercours lorsque la possibilité m’en avait été offerte.À ma vue, elle s’empressa de jeter sa cigarette et s’approcha de moi en me tendant sa main sertie de bagues, un large sourire aux lèvres. Je la serrai chaleureusement et après les convenances d’usage, nous grimpâmes au troisième étage. Arrivée devant la porte du fonds Moyen Âge, j’introduisis la clé dans la serrure, ouvris pour laisser entrer Marion la première, et refermai derrière nous en fourrant la clé dans ma poche. La salle était petite et austère, tapissée d’un carrelage douteux. Les étagères croulaient sous les livres anciens qui sentaient la poussière et une vingtaine de tables offraient aux étudiants la possibilité de travailler dans un silence studieux. J’invitai alors Marion à prendre place pendant que j’allai tirer l’un des rideaux opaques pour chasser l’obscurité étouffante. En ce beau jour ensoleillé, la lumière naturelle serait suffisante pour illuminer la pièce. J’en profitai également pour faire coulisser le lourd battant de la fenêtre, histoire d’aérer la salle qui respirait le renfermé.Puis très vite, je m’assis aux côtés de Marion qui venait de déballer ses affaires d’un petit sac à dos en cuir violet. Elle commença à m’exposer le fruit de ses recherches bibliographiques avant de me laisser prendre la parole. Installé à sa droite, je ne pouvais m’empêcher de remarquer le tissu tendu à l’extrême au niveau des seins. En expert, je me surpris à les estimer, un bon 85 B, la mensuration idéale pour moi. Mais sa poitrine n’était pas le seul fruit qui me faisait maintenant envie. Sa peau dégageait un parfum époustouflant, Jardins de Bagatelle de Guerlain. J’avais toujours adoré, sans que j’en connaisse la cause.Je décidai alors de regagner mes esprits en allant puiser dans la réserve. Il nous fallait un ouvrage bibliographique pour l’aider dans ses travaux. Je m’emparai alors des clés et poussai la porte qui menait dans cette salle aux trésors pour tout chercheur qui se respecte. J’avais invité Marion à venir avec moi, afin de lui faire visiter ce temple sacré, le cœur de la bibliothèque. Au premier abord, l’endroit se résumait à une vaste salle pleine d’étagères et de rayons parfaitement alignés, rien de plus. Les casiers métalliques devaient contenir au bas mot un millier de bouquins, la plupart rédigés en latin. Une collection dont la faculté n’était pas peu fière.Nous nous dirigeâmes lentement dans la première allée, côte à côte, elle jetant des regards émerveillés sur les reliures et les dos des incunables. Elle caressait parfois leur couverture, m’avouant à demi-mot qu’elle avait toujours trouvé cela très sensuel. Nous avancions ainsi, elle un papier dans la main sur lequel était inscrite la cote de l’ouvrage, lorsque mon téléphone portable retentit. Je priai alors ma jeune disciple de m’excuser et quittai la réserve pour rejoindre la salle principale. À l’autre bout du fil, le responsable de la section qui me demandait si tout se passait bien. C’est du moins ce que j’imaginais étant donnée la faiblesse du réseau qui rendait toute conversation impossible. Je ne distinguais que des bribes de mots, des syllabes incohérentes qui me poussèrent à mettre un terme à notre tentative de conversation et couper mon portable pour rejoindre l’étudiante.L’allée dans laquelle nous nous tenions tout à l’heure était nue. Seuls les effluves de son aura délicate m’indiquaient la voie que Marion avait empruntée. Me laissant guider par ce doux parfum, je ne tardai pas à la retrouver dans la huitième allée. À l’évidence, l’étudiante ne m’avait pas entendu approcher, si bien qu’elle m’offrait maintenant une vue plongeante sur son joli petit cul. À la recherche d’un livre situé au deuxième rayon en bas, elle était penchée vers l’avant, les jambes légèrement pliées et les mains posées sur un ouvrage. Elle était en train d’en lire la référence. Et dans cette posture, sa jupe était suffisamment relevée sur ses cuisses pour que je devine la naissance de ses fesses. Je pouvais ainsi apercevoir un string de dentelle blanche s’insinuer dans sa raie. Ce fut là que je réalisai que je bandais depuis un bon quart d’heure. Je sentais ma queue battre à l’intérieur de mon pantalon, cherchant à se libérer de sa cellule de tissu.Cette pose aguicheuse où j’étais devenu voyeur malgré moi eut aussitôt raison de mes instincts les plus vils. D’un geste souple, je glissai ma main sous sa minijupe pour caresser l’étoffe qui épousait sa toison entre ses cuisses, découvrant une moiteur insoupçonnée. Marion poussa un léger cri de surprise en se redressant d’un bond, le visage empourpré et son regard interrogatif planté dans le mien.— Qu… qu’est-ce que vous faites ? bredouilla-t-elle en s’adossant à l’étagère, les mains sur sa jupe.— Vous avez trouvé l’ouvrage en question ? demandai-je.— N… non…Silence.— Attendez… vous, vous m’avez mis la main aux fesses, hein ? J’ai pas rêvé…Silence.Je la détaillai des pieds à la tête, lorgnant ses cuisses pour remonter au niveau de son entrejambe. La jeune femme ne tarda pas à comprendre mon émotion à la découverte de l’empreinte gonflée dans mon pantalon.— Remarquez, c’était pas désagréable, poursuivit-elle. J’ai simplement été surprise…Elle était maintenant rouge comme une pivoine. Je devais être dans le même état. Alors n’y pouvant plus, je fondis sur elle en l’empoignant par les fesses, ses omoplates plaquées contre le casier métallique. Tout en l’embrassant à pleine bouche, je passai ma main sous sa jupe, caressant son cul pour insinuer mes doigts dans sa raie. De son côté, sa bouche me dévorait, ses mains s’étaient multipliées pour ramper sur mon torse. Et très vite, j’entendis un cliquetis et sentis mon pantalon glisser sur mes cuisses pour libérer ma queue déjà dressée.L’étudiante se laissa alors choir sur le sol pour se retrouver à genoux et empoigner mon membre. Sa main chaude était d’une douceur incroyable. Elle commença à me branler vigoureusement tout en plaçant sa bouche à l’extrémité du gland. Je sentais l’humidité qui perlait à ses lèvres égales à une tempête tropicale. Puis lorsqu’elle sentit mes mains se poser sur son crâne, elle lia ses mains dans son dos et empala sa bouche sur mon sexe. Ma queue coulissa en elle jusqu’à la garde, cognant son palais au moment où je m’enfonçais dans sa gorge. J’y allai ainsi de quelques coups de reins, lui tirant des bruits de succion dans une cadence infernale. Des flots de salive luisaient maintenant sur son menton.Puis lorsque je fus rassasié de ce festin, le membre gorgé de bave, parfaitement lubrifié, je la décollai du sol par les épaules. Marion comprit aussitôt ce que j’attendais d’elle puisque, toutes jambes tendues, elle prit appui sur le montant de l’étagère et bomba les fesses en relevant sa minijupe.— Mmmm prends-moi, salaud, implora-t-elle.D’un geste, je fis glisser le string sur ses cuisses et plaçai ma queue dans toute la longueur de sa raie. Une chaleur infernale y régnait, une vraie fournaise dans laquelle j’avais envie de m’introduire. Je plaçai mon membre à l’extrémité de l’orifice que m’offrait son cul, et exerçai une lente poussée vers l’avant pour m’enfoncer en elle. Ma main était posée sur la nuque de la jeune femme, si bien que je la sentis défaillir lorsque mon sexe fut à la moitié du chemin. Marion haletait, criait sous la douleur mêlée au plaisir de m’accueillir dans ce puits interdit. Je la saisis ensuite par les cheveux pour en faire une queue de cheval et, assurant mon emprise en agrippant une épaule, poursuivis l’exploration de son anus.Une fois au plus profond de ses entrailles, je débutai par de petits va-et-vient pour dilater l’orifice qui finit par me sourire. Je pus alors y entrer à ma guise en donnant cette fois un mouvement de balancier saccadé. Je cassai le cul de cette petite salope et elle aimait ça. Ses plaintes s’étaient subitement changées en gémissements entre lesquels je percevais les claquements de mes abdominaux contre ses fesses. La chevauchée était grandiose, intense. Marion était une pouliche de première classe et je la déchirais sans tabou, son crin dans ma main. J’y allai de quelques claques sur les fesses pour mieux exciter cette chienne qui subissait avec amour cette sodomie improvisée.Lorsque je sentis que le moment était venu, je me retirai alors subitement et, sa tignasse au creux de ma paume, la fis s’agenouiller pour décharger dans sa bouche tout ce que je possédais de foutre en réserve. Cinq jets qui tapissèrent son palais et sa langue sans que cette petite pute n’en perde une seule goutte. Sa langue offerte était gorgée de sperme et je contemplai la semence dégouliner sur ses lèvres comme une œuvre d’art. Marion ferma la bouche en souriant, gonfla les joues, et déglutit. Elle semblait apprécier.Épuisée, les jambes tremblantes, elle finit par se relever en s’aidant de ma main, et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue épousait maintenant la mienne pour déposer sur mes papilles le goût âcre du sperme. Je distinguai nettement couler dans ma gorge la semence que la petite garce avait gardée en bouche. Et curieusement, j’adorais ça, je trouvais même cette audace particulièrement excitante. Ce baiser savoureux témoignait de la sincérité de notre échange. J’avais inondé son palais et elle tentait de me faire partager ce qu’elle avait ressenti à ce moment.Je pelotai encore ses fesses durant l’étreinte, lorsque les néons de la salle s’activèrent, illuminant la réserve d’une lueur blanchâtre. Des voix. Celle du conservateur et des bruits de pas. Impossible de réagir, il était trop tard. Une quinzaine de paires d’yeux nous fixaient maintenant Marion et moi, enlacés dans un baiser de foutre dégoulinant sur nos lèvres. Elle le string sur les cuisses et moi, la queue à l’air, agrippé à son cul.La voix fut subitement coupée dans sa présentation de l’établissement, comme fauchée par la mort.En face de nous, une classe entière de lycéens en visite, accompagnés du conservateur, du recteur d’académie et d’un conseiller régional.Passée la surprise, Marion éclata d’un rire coupable et ne se démonta pas. Elle se pencha vers l’avant et prit de nouveau ma queue dans sa bouche sous les quolibets des lycéens surexcités. C’était donc ça, la fac ! Une façade au lustre éclatant qui dégénérait en partouze monumentale en coulisse…Sachant que j’étais foutu, je décidai de profiter de ce moment de plénitude. Alors je détournai le regard, et allumai une clope. Rien à foutre !