Après plusieurs relations entretenant en moi une forme de frustration perpétuelle, je me suis mis en quête d’un autre type de relation. Je n’étais pas à la recherche de la femme parfaite telle que les magazines nous la présentent. Avec un corps de rêve, un visage d’ange et sachant mener avec succès vie de famille et carrière. Ce que je voulais avant tout, c’était une femme agréable, ouverte et surtout aimant se faire guider dans de nouvelles expériences. Certains disent que le sexe est le ciment du couple, à mon avis ce sont plutôt les fondations.J’ai donc arpenté un fameux site de rencontres en annonçant clairement la couleur. J’aurais pensé qu’aimer les femmes très dociles au lit et l’écrire me mènerait à une boîte e-mail vide. Eh bien non !Messieurs, il faut croire qu’un homme assumant et affirmant ses désirs, attire. Parmi les réponses reçues, l’une d’elle capta de suite mon attention : une jeune femme de vingt-neuf ans se prénommant Adeline, célibataire et se disant charmante mais timide, attirée par ma description et souhaitant faire connaissance. Un coup d’œil à son profil m’en apprit un peu plus sur son apparence : assez petite (1,62 m), quelques kilos en trop selon sa propre description, les yeux marron, les cheveux châtain, le teint pâle et de généreuses lèvres roses. Le visage plutôt charmant d’une jeune femme que l’on aime croiser dans la rue, sans pour autant être une briseuse de cœurs. Son atout charme étant évidemment ses lèvres gourmandes que je me voyais déjà embrasser et que j’imaginais également me dévorer…Au fil de nos discussions virtuelles nous avons fait connaissance. La phrase sur mes préférences sexuelles n’est pas passée inaperçue et a permis de lancer rapidement la conversation sur ce sujet. J’appris que l’emprise forte d’un homme lui plaisait. Non pas qu’elle ne sache pas se débrouiller seule, elle occupait d’ailleurs un poste respectable au sein d’une banque et n’était pas socialement isolée… Mais côté sexe, elle aimait être guidée, dirigée, et s’offrir aux désirs d’un homme. En somme, être la clé de son plaisir la satisfaisait pleinement. Sur cette perspective prometteuse, nous sommes convenus de nous rencontrer autour d’un verre. Une bonne occasion de vérifier que le courant passe réellement. Ceux qui ont déjà fait des rencontres en ligne savent qu’au-delà des discussions par claviers interposés, les déconvenues ne sont pas rares lors des premières rencontres.Je l’attendais depuis moins de deux minutes lorsque je l’ai aperçue. Adeline portait un manteau trois-quarts bleu-marine assorti d’un petit chapeau de laine et d’une écharpe. Au bas de son manteau, j’apercevais ce qui semblait être une jolie paire de jambes, habillée de collants et plongeant dans une paire de bottines grises. L’ensemble était habillé et harmonieux. J’appréciais qu’elle ait fait le choix de porter de fins collants malgré la fraîcheur de cette soirée. Après nous être salués, nous entrâmes rapidement nous mettre au chaud dans un café proche.Nous nous sommes installés autour d’une petite table à l’écart des clients. La lumière tamisée contribuait à l’atmosphère chaleureuse et intime des lieux. Je découvris lorsqu’elle l’ôta, que son manteau cachait un élégant chemisier rouge et une jupe-crayon grise. Ses formes étaient ainsi agréablement mises en valeur et les quelques kilos de trop annoncés dans sa description n’y paraissaient pas. Voluptueuse était un terme plus juste. Son chemisier était légèrement tendu au niveau de la poitrine et cintré à la taille. Sa jupe galbait son fessier et se terminait à mi-cuisses. Après avoir brisé une glace un peu épaissie par sa timidité, la discussion était fluide et très agréable. J’espérais alors lui plaire tout autant qu’elle me plaisait. Nous sommes du même âge et je mesure un peu plus de quinze centimètres de plus qu’elle. Je pratique un peu de sport mais ma nature me rend naturellement , ce qui fait que je n’ai pas à me forcer à courir, outre pour le fait de rester en bonne santé. Cependant, le bleu de mes yeux semblait accrocher son regard.Pour ne pas nous faire perdre de temps, je commençai alors à la taquiner sur les quelques révélations qu’elle m’avait faites depuis son clavier. Le rouge lui monta rapidement aux joues ; elle semblait peu à l’aise sur le sujet, mais je poursuivis néanmoins. Après un certain temps, je décidai alors de la mettre à l’épreuve. Elle devait aller aux toilettes, retirer sa culotte et me la rapporter. Un défi plutôt osé pour une première rencontre, j’en avais conscience. Elle rougit à n’en plus finir et, après un moment de défi, elle se leva et prit la direction des toilettes. Il s’écoula bien quinze minutes avant qu’elle ne réapparaisse et, à son regard, je sus qu’elle s’était exécutée. Elle revint d’un pas mal assuré jusqu’à notre table et, avant même de s’asseoir, tira de son sac le morceau de tissu demandé. Elle me le tendit discrètement tout en scrutant ma réaction. Son émotion se lisait sur son visage et je compris que ces quinze minutes n’étaient pas seulement dues à la difficulté de retirer sa culotte avec des collants, mais qu’elle avait dû se demander si elle devait aller au bout des choses ou prendre ses jambes à son cou…Je saisis alors sa main et en retirai délicatement ce qui se révéla être une culotte de dentelle noire. La broderie était fine et presque soyeuse au toucher. Elle s’assit de nouveau face à moi tout en me dévisageant, les traits du visage tendus dans l’attente d’une réaction. Lorsque je lui souris chaudement, la tension de son corps se relâcha et un sourire réciproque apparut. Ce petit geste coquin effectué auprès d’un quasi-inconnu l’avait semble-t-il secouée. Prenant sa main, je m’approchai d’elle et embrassai ses lèvres si appétissantes. Ce baiser fut le premier d’une longue série ce soir-là.Nous étions convenus que je la retrouverais quelques jours plus tard pour un dîner romantique à son appartement. Je m’étais préparé à une agréable soirée mais, lorsque la porte s’ouvrit, je fus sidéré par la vision que m’offrait Adeline. Elle portait une belle robe de soirée noire dont les bretelles finissaient entrelacées à son cou. Ces bretelles tendues présentaient un décolleté avantageux mais discret, laissant tout juste apercevoir la naissance de ses seins rebondis. Adeline ne portait pas de collants cette fois-ci, et la pâleur de ses jambes contrastait avec le noir profond de sa robe. Peu de maquillage ornait son visage, seuls ses yeux étaient soulignés. L’ensemble était à croquer ! Et je ne tardai pas à l’embrasser.En franchissant le seuil de sa porte, je découvris un appartement habilement décoré, propre et ordonné, reflétant assez bien ce que je connaissais de la personnalité de ma charmante hôtesse. La soirée débuta par un verre de vin agrémenté de quelques baisers, suivi d’un délicieux repas. Après ce premier épisode coquin au café et les discussions qui ont suivi en ligne, une complicité s’était rapidement créée entre nous. La timidité d’Adeline semblait s’atténuer et laisser place au désir qui l’avait poussée à me contacter. À plusieurs reprises au cours de la soirée, j’aperçus le tissu de sa robe se tendre sur sa poitrine et poindre les deux témoins de son désir.Alors que nous nous installions sur le sofa, je sentis qu’Adeline était à la fois nerveuse et excitée à l’idée de ce vers quoi notre dîner allait évoluer. Je la surpris alors en sortant de ma poche la culotte noire qu’elle m’avait précédemment donnée. Plaisantant en lui annonçant mon envie de compléter ma collection, je lui demandai alors de se lever du sofa et de me tourner le dos. Ayant saisi que je l’entraînais dans un nouveau jeu, elle obtempéra. Me levant à mon tour pour la rejoindre, je remarquai, aux mouvements de sa poitrine, que sa respiration s’était accélérée. Je sortis de ma poche un bandeau de soie préparé pour l’occasion que j’utilisai pour bander les yeux de ma belle. En dépit de la surprise, elle n’essaya pas d’échapper au bandeau que je nouais et accepta que je la prive de la vue.Posant ma main sur le haut de sa poitrine, je ressentis les battements rapides de son cœur et son émoi. Ma main glissa vers son décolleté et la naissance de ses seins généreux. De nouveau, les tétons d’Adeline pointaient fièrement. À deux mains, je les massai et les pinçai très légèrement à travers ses habits, les sentant durcir et grossir plus encore sous mon traitement. Adeline irradiait de chaleur, et la rougeur de sa peau trahissait son état. Des plaques rouges se formaient sur son buste et sa respiration devint saccadée. Les lèvres pulpeuses de mon hôtesse étaient maintenant entrouvertes et j’en profitai pour lui voler un nouveau baiser. Je m’interrompis alors, voulant prolonger cette tension sexuelle et le trouble dans lequel le bandeau et mes caresses la plongeaient. Je la contemplai tout en finissant mon verre de vin. Elle patienta debout et silencieuse dans l’attente de la reprise des caresses.Observant ma belle et intrigué par la protubérance de ses tétons, je dénouai alors les bretelles de sa robe et découvris lentement le soutien-gorge emprisonnant les amples mamelles d’Adeline. Celui-ci ne pouvait malheureusement rien faire pour camoufler les mamelons protubérants dont la nature l’avait gratifiée. Ils apparaissaient rose-rouge sous le tissu, gonflés de désir et trônant au sommet de sa poitrine. Ainsi exposée les yeux bandés et la poitrine en partie dénudée, Adeline était plus belle que jamais.Laissant courir ma main le long de ses hanches, je me positionnai alors dans son dos et lui fis sentir mon propre désir en me plaquant contre son fessier. Elle avait des hanches plutôt larges, impression amplifiée par la finesse de sa taille. J’y plaçai mes mains, et déposai quelques baisers à l’arrière de son cou. Conservant d’une main la pression de ses fesses contre mon membre érigé, je remontai ma seconde pour appliquer une pression de la paume contre sa nuque, la courbant devant moi. Afin de maintenir la position, Adeline trouva à tâtons la table basse devant elle et y posa ses mains. L’ayant ainsi disposée, je pouvais admirer en me décalant sa lourde poitrine suspendue tendre les bretelles de son soutien-gorge, implorant d’être libérée. Je retroussai alors le bas de sa robe sur ses hanches, découvrant un tanga plus coquin que la culotte portée lors de notre première rencontre. Cette pièce de lingerie découvrait en grande partie les galbe de ses fesses, finissant presque par y disparaître avant d’enserrer son précieux fruit.Le corps d’Adeline était tendu, dans l’expectative de mes prochains mouvements. Après un moment d’attente, savourant le spectacle qui m’était offert, je glissai le bout de mes doigts contre sa fente couverte. Adeline sursauta légèrement et j’entendis le doux son d’un premier gémissement. Le tissu était humide et chaud, trahissant un peu plus l’état d’excitation de mon hôtesse. Portant mes doigts à ma bouche, je goûtai la douceur d’un arôme suave et légèrement salé.La position d’Adeline ne cachait rien de ses délices. À deux doigts, je fis délicatement glisser son tanga, découvrant tout d’abord la fleur de son petit anus serré, d’une couleur tirant du rose vers le marron. Poursuivant la descente du sous-vêtement, s’offrit à mon regard une vulve gonflée et humide à la pilosité soigneusement entretenue. Ses petites lèvres étaient déjà entrouvertes, dépassant légèrement des grandes. Je pouvais contempler le rose pourpre de ses chairs luisantes de désir. Le sous-vêtement finit par tomber au sol ; ne supportant plus d’être si serré dans les miens, j’entrepris de me dévêtir. Mon sexe était tendu et presque douloureux. Approchant mon bassin du sien, la forme courbée vers le ciel de mon sexe le fit se placer le long de sa fente, le gland se posant juste au-dessus de son anus, au creux de ses fesses. J’entrepris un lent mouvement de va-et-vient, stimulant la vulve d’Adeline et lubrifiant mon membre. Cela ne tarda pas à faire de l’effet à ma compagne. Son bassin commença à onduler pour accompagner et amplifier ma caresse. À chacun de ses mouvements, ses muscles fessiers se contractaient et son anus clignait. Ses grandes lèvres s’écartaient autour de ma queue et Adeline se plaquait contre moi afin de ressentir au mieux cette présence masculine. Lors de nos mouvements, mes bourses frottaient contre les plis de son sexe et son clitoris engorgé, déclenchant des gémissements hâtifs. Perdu dans la contemplation de ce spectacle, je fus surpris de sentir une main se poser sous mes bourses. Adeline, appuyée d’une main sur la table basse, s’était saisie aveuglément de mon sac et le pesait, le caressait.Sachant que la position de ma compagne depuis le début de notre petit jeu devait être de plus en plus difficile à tenir, je la saisis par les hanches et la fis pivoter pour la placer face au sofa. En la guidant, elle positionna ses genoux sur l’assise et ses bras croisés au sommet du dossier. En appuyant au bas de son dos, je la fis se cambrer, la rendant de nouveau totalement offerte à mon regard. Sa poitrine était écrasée contre le dossier du canapé et je voyais déborder légèrement ses seins, toujours maintenus par son soutien-gorge, de chaque côté de son dos. Adeline, toujours aveugle et silencieuse depuis le début de notre jeu érotique, posa sa tête sur ses bras et attendit que je la prenne.N’y tenant plus, je ne la fis pas attendre. Après avoir fait glisser le bout de mon sexe à trois reprises contre son vagin ouvert, je m’insérai en elle d’un puissant coup de reins. Adeline sursauta et projeta sa tête en arrière, cambrée autant qu’elle pouvait l’être. Je la saisis alors par les hanches et, pour mon propre plaisir, commençai un rapide va-et-vient. Tout au long de mon assaut, le claquement de ses fesses contre mes hanches était hypnotique. La pâleur de sa peau avait laissé place à une rougeur particulièrement marquée à l’endroit où nos corps se heurtaient. Adeline, la bouche ouverte et la tête toujours projetée en arrière, gémissait à chaque coup de boutoir.Ne pouvant maintenir le rythme indéfiniment, je ralentis la cadence jusqu’à me maintenir enfoncé au plus profond. Me collant à elle, je lui pris le visage d’une main et nous nous embrassâmes passionnément. Adeline ondulait, empalée sur ma virilité, dardant sa langue amoureusement. Dans ce moment de passion intense, je sentais qu’elle était entièrement mienne. Je repris l’assaut de ses reins, la tenant par les cuisses au niveau de l’aine et cherchant à entrer toujours au plus profond de son corps. Adeline ne retenait plus son plaisir, et ses gémissements se changeaient en râle ininterrompu. La sueur perlait sur son dos pendant je la malmenais. Adeline haletait, tremblait et vibrait sous mes coups. Je sentis soudain la pression de son vagin augmenter et venir à bout de ma détermination alors que son sexe se contractait, me serrait, inondé par la vague d’un violent orgasme. Après un dernier coup de hanches, nous nous arrêtâmes subitement de bouger, la respiration coupée, savourant cette déferlante de plaisir. Je sentais son sexe masser le mien par ses contractions, aspirant la semence qui jaillissait de mes bourses, déjà injectée puissamment à l’entrée de son utérus.Lorsque je repris mes esprits, je constatai l’état d’Adeline. Le corps affalé contre le sofa, les fesses empourprées, les cheveux ébouriffés et la tête appuyée au creux de ses bras. Je lui ôtai alors le bandeau. Épuisée mais épanouie, le sourire aux lèvres, elle s’assit sur le sofa. Sa fente rougie déversait le surplus de ma passion.
