Cela faisait maintenant deux que Charlotte et moi Ă©tions mariĂ©s. Depuis le premier jour, elle n’avait pas changĂ©e Ă mes yeux, elle Ă©tait toujours la seule femme qui comptait pour moi. Elle le savait très bien d’ailleurs ! Nous vivions le parfait idylle. Notre situation Ă©tait très bonne, notre vie sexuelle regorgeait de plaisirs insensĂ©s et nous envisagions de quitter notre appartement de banlieue pour s’acheter un petit pavillon. Rien ne pouvait troubler notre amour…Seul ombre au beau tableau, Charlotte et moi mĂŞme, nous n’avions pas d’enfant. Souvent, après l’amour, nos corps soudĂ©s par la sueur et les fluides corporels, elle me regardait longuement dans les yeux et me disait : »Tu crois que ça a marchĂ©Â ? »Moi, je ne savais pas très bien quoi lui rĂ©pondre, mais abdiquant sous le charme de ses yeux aux bords des larmes, je lui glissais Ă l’oreille: »Je ne crois pas… RĂ©essayons ! »Puis nous recommencions Ă faire l’amour pendant de longues heures. Mon sperme jaillissant de plus belle dans le fond de sa chatte onctueuse qui n’attendait que ça. Ă€ chaque fois que je jouissais, elle gĂ©missait de plaisir en me criant que j’étais un vrai rĂ©servoir Ă sperme. Cela avait le don de m’exciter encore plus et je repartais pour une nouvelle Ă©jaculation…— ——————-Un soir, il se passa quelque chose d’étrange. MĂŞme l’air avait quelque chose de sensuel… Rentrant d’un travail harassant, je ne dĂ©sirai plus qu’une chose : un Ă©bat avec Charlotte. Je ne la vis pas tout de suite… Après une longue recherche dans la maison, j’entrais dans la salle de bain et la vit en train de pleurer, accoudĂ©e sur le rebord du lavabo. Elle Ă©tait entièrement nue, et j’avoue Ă prĂ©sent, que je ressentie ma bite se raidir d’un seul coup en entrant. N’étant pas un rustre, je mis mes pulsions de cĂ´tĂ© sur le moment pour m’approcher d’elle et lui demander ce qu’il se passait. Les yeux rouges, mais toujours le visage radieux et le corps d’un mannequin, elle posa sa tĂŞte sur mon torse et pleura longuement. »Que se passe-t-il ma puce ?— Je n’aurai jamais d’enfant… , me dit-elle en sanglotant.— Qu’est ce que tu racontes ? Tu es faite pour ĂŞtre mère !— Pourquoi ça ne marche pas alors ?! Je suis maudite ou quoi ?!— Tu n’est pas maudite, tu es la plus belle des femmes et tu auras des enfants, je te le jure. »Sur ce, elle leva la tĂŞte et nos lèvres s’effleurèrent. Elle n’avait jamais eut si bon goĂ»t. Les larmes perlant sur ses lèvres donnait Ă ce baiser quelque chose de magique. Elle posa ses mains sur mes fesses et tandis que nous nous enlacions, je descendais ma main en direction de sa petite chatte que je caressai longtemps jusqu’à sentir l’humiditĂ© envahir cette antre du plaisir. Dans mon pantalon, mon sexe grossissait Ă vue d’œil et une bosse se forma Ă son niveau. Charlotte la ressentit et la palpa. Nous fusionnons presque et j’étais prĂŞt Ă exploser. » Charlotte… Nous allons avoir un enfant…— C’est le bon jour je crois, me dit-elle »Nous Ă©tions tout les deux comme des bĂŞtes, n’attendant qu’une chose : une jouissance immense!Charlotte Ă©tait dĂ©jĂ nue. Je la pris dans mais bras et allai l’allonger sur notre lit. Elle laissa apparaĂ®tre un petit sourire et je compris que c’était le moment. Je l’embrassai et peu Ă peu descendis vers son minou, n’attendant q’une chose : recevoir la semence pour donner la vie. Ma langue caressa doucement son clito et s’enfourna dans son vagin. Les sanglots de Charlotte se transformèrent en petits cris de plaisirs et je sentais ses sĂ©crĂ©tions couler dans ma bouche. Quand elle fĂ»t bien Ă©chauffĂ©e, je dĂ©cidai donc de me mettre en oeuvre. Ma bouche quitta sa chatte et je me relevai pour enlever ma chemise puis mon pantalon. Ma bite Ă©tait prĂŞte Ă exploser et n’attendait qu’une chose, fĂ©conder cette petite chatte qui n’attendait que ça. Ce fĂ»t chose faite, et lentement, je me glissai Ă cĂ´tĂ© de cette superbe crĂ©ature. NOus nous sommes embrassĂ©s durant de longue minutes, et je sentais mon sexe turgescent frottĂ© sur le ventre qui devait prochainement contenir le vie. On aurait dit que me sexe cherchait absolument Ă pĂ©nĂ©trer son vagin. InĂ©vitablement, ce fĂ»t chose faite et je commençais Ă donner des coups de reins Ă tout va en poussant des cris de jouissances. La jouissance Ă©tait lĂ , et bien lĂ mĂŞme !Mais, je n’éjaculais toujours pas! Ce n’est pas que je n’en avait pas envie, mais je sentais que j’étais toujours Ă deux doigt mais qu’au dernier moment, ça ne venait pas ! Tout cela me procurait donc une jouissance continue et Ă Charlotte Ă©galement ! Je ne me croyais pas capable de rĂ©sister aussi longtemps, mais au bout d’un certain temps, Charlotte eut un orgasme impressionnant, qui me fit frissonner ! Du mĂŞme coup, je me mis Ă Ă©jaculer Ă grands jets de la vagin de ma dulcinĂ©e. Ce fĂ»t la première fois que nous jouissions ensemble… Un long silence vint s’abattre sur nous, nous sommes restĂ©s sur le lit de notre chambre, nos corps luisants sous le coup de la sueur. Nous nous sommes regardĂ©s longtemps, pendant un long instant, chacun devinant ce que l’autre pensait. Nos deux corps enlacĂ©s, nous nous sommes endormit amoureusement…Les jours avaient passĂ©s et finalement Charlotte Ă©tait tombĂ©e enceinte. Personnes ne le disait, mais nous savions tout les deux. Cet enfant Ă©tait le fruit de cette nuit magique que nous avions passĂ©.Chaque soir, lorsque je rentrai, le ventre grossissant de Charlotte m’excitait de plus en plus. Ă€ la normal, Charlotte Ă©tait une femme assez maigre, elle avait les proportions d’un mannequin. Mais, alors qu’elle portait la vie, son ventre complĂ©tait son physique de manière parfaite. Rien qu’a voir son ventre bombĂ©, je bandais, je devenais une machine de sexe. D’ailleurs, Charlotte, du fait des hormones paraĂ®t-il, Ă©tait Ă©galement assoiffĂ© de baise. Tous les matins, je caressais son ventre durant de longues minutes sous la douche et nous faisions l’amour torridement. Charlotte ne prĂ©sentait aucun des symptĂ´mes nĂ©faste de la grossesse. Ni nausĂ©e du matin, ni contraction prĂ©maturĂ©es… Tout se passait Ă merveille ! Nous baisions tous les jours et mĂŞme plusieurs fois par jours. Le dĂ©lice Ă©tait de malaxer ses seins qui regorgeaient de lait et qui avait doublĂ© de volume. C’était un plaisir extra ! Profitant de cette aubaine, Charlotte me faisait des branlettes espagnoles rĂ©gulièrement ! Un rĂ©gal !Ce que nous prĂ©fĂ©rions, c’était se mettre nu sur le tapis du salon et faire l’amour pendant des heures.Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes ! L’heureux Ă©vènement allait bientĂ´t arrivĂ© et au niveau sexuel c’était le pied ! Cependant, notre projet de dĂ©mĂ©nager allait pouvoir se concrĂ©tiser et nous nous sommes mis en quĂŞte d’un pavillon. Nous voulions un endroit calme ou nous pourrions terminer cette grossesse dans les meilleures conditions et faire profiter notre enfant d’une enfance heureuse. Charlotte Ă©tait Ă son cinquième mois et le bĂ©bĂ© n’était pas pour tout de suite. Nous avions donc le temps de trouver une maison. Au bout de quelques semaine de recherche. Nous avons trouvez notre compte dans une maison situĂ© en bord de mer, assez Ă©loignĂ©e de l’urbanisation oppressante mais assez près pour ne pas ĂŞtre coupĂ© du monde. Le rĂŞve quoi ! Le prix Ă©tait un peu excessif, mais pour nous rien ne comptait plus que le bonheur de notre enfant et notre bonheur par la mĂŞme occasion.Nous avons signĂ© les papiers et avons emmĂ©nagĂ© assez vite. En deux semaines nous Ă©tions installĂ©s !Ce fĂ»t la dĂ©couverte des pièces de la maisons par le sexe, une par une, il n’y avait pas un seul endroits ou nous ne faisions pas l’amour… Nous nous couchions tout les soirs, enlacĂ©s, moi la main posĂ© sur le ventre de Charlotte et elle, me grattant le torse, comme un chat l’aurait fait.Charlotte Ă©tait bientĂ´t Ă terme. Elle arborait un ventre Ă©norme et j’étais au comble de l’excitation ! Ses seins avaient atteint des proportions inimaginable ! Nous Ă©tions tout les deux un peu tristes de la fin de cette grossesse si merveilleuse, mais l’arrivĂ©e de ce bĂ©bĂ© Ă©tait un Ă©vĂ©nement que nous attendions avec impatience !Comme tout les soirs, nous allions faire notre ballade sur la plage. Personnes n’était aux alentours et comme d’habitude, nous allions nous baigner dans l’eau tiède de ce soir d’étĂ©. Nous nous serrions fort dans l’eau salĂ©e qui laissait sur nos peau une odeur âcre qui favorisait notre excitation. Cela avait le don de me rappeler ce baiser merveilleux que nous avions eut lors de la crĂ©ation de notre enfant. Ce soir-lĂ , nous avons donc fait l’amour et sommes allĂ©s nous sĂ©cher sur la plage. Charlotte Ă©tait magnifique, nue comme un ver et moi de mĂŞme ! De retour sur la plage et après nous ĂŞtre sĂ©chĂ©, Charlotte se releva et vint se dresser juste au-dessus de mon visage. Une image magnifique que le ventre d’une femme enceinte dans la lumière du soleil ! De lĂ ou j’étais, je voyais sa chatte bombĂ©e sous la pression de ce bĂ©bĂ© qui ne dĂ©sirait qu’une chose : sortir ! Je me redressai et embrassai cette chatte prĂŞte Ă exploser. Je remontai le long de son ventre en prenant soin d’embrasser chaque partie de son corps. Quand je fus debout, je pus embrasser ses lèvres pulpeuses. Mais, je vis bien que quelque chose n’était pas normale, je vis les yeux de Charlotte s’écarquiller. Soudain, je sentis un liquide chaud tombĂ© Ă grand flot sur mes pieds. Sur le moment, je ne compris pas bien, mais l’évidence Ă©tait lĂ Â : Charlotte avait perdu les eaux ! »Tu as perdu les eaux ma puce !— Oui je crois que… »Elle s’arrĂŞta net sous la douleur de l’accouchement. »Aaaah…— Il faut aller Ă l’hĂ´pital ! dis-je effrayĂ©Â ! »Je fĂ»t complètement paniquĂ©. Charlotte s’assit sur le sable chaud puis poussa un autre cri, qui s’accompagna d’un autre jet Ă©manant de sa chatte dĂ©jĂ mouillĂ©e. LĂ ce fĂ»t le comble ! Je ne savais pas très bien quoi faire ! »Pas le temps d’aller Ă l’hĂ´pital, me dit-elle, je crois que je vais accoucher ici….Aaaaaaaah!!!!!!!!!— Mais tu es folle ma puce !Tu ne va tout de mĂŞme pas accoucher ici ?!— Pourquoi ? C’est magnifique ici ! Quoi de plus beau pour donner la vie ?— Mais si il arrive quelque chose ?!— Il n’arrivera rien ! Calme toi… Aaaaaaaaaah…..Oooooooooooooooh…Les douleurs se faisaient de plus en plus rapprochĂ©es et je voyais bien que ce n’était pas normal ! Je paniquais tout azimuts ! Charlotte se tordait rĂ©gulièrement de douleur je ne savait pas quoi faire !!!!!!!!! »Qu’est ce que je dois faire ma puce ?!— Je ne sais pas… Fais comme tu le sens… »J’étais perdu, mais quand Charlotte eut une autre contraction, elle eut le rĂ©flexe de poser la main sur sa chatte pour savoir ce qu’il en Ă©tait. C’est Ă ce moment que je m’aperçus que moi-mĂŞme, n’avais pas eu le rĂ©flexe de regarder de quoi il retournait. Me penchant entre ses cuisses, je ne vis rien qui me semblait anormal jusqu’à prĂ©sent, pas la moindre trace de la tĂŞte du bĂ©bĂ©. Ă€ ce moment, un sentiment Ă©trange m’envahit… Ce n’était peut-ĂŞtre pas le bon moment, mais j’eus une envie folle d’elle. Je la regardai dans les yeux et constatai que quelque chose d’étrange Ă©manait de sa personne. Ce fĂ»t comme un dĂ©clic, comme si j’avais toujours su quoi faire dans ce moment prĂ©sent. J’embrassai Charlotte et repris mon sang froid. Je vins coller mon torse contre son dos et ainsi m’emboĂ®tai avec elle. J’avais l’impression de ressentir ce qu’elle Ă©prouvait. Charlotte se blottit contre moi du plus qu’elle pouvait, elle s’adossait Ă moi pour aider le travail. Elle poussait des cris qui devanait un peu comme une mĂ©lodie et je ne sais ce qu’il m’a pris : je me mis Ă bander comme jamais auparavant ! Charlotte l’a bien senti et m’a dit : »Tu bandes ? Je n’osais pas te le dire, mais j’ai envie de toi… Aaaaah….— Moi aussi ma puce… Mais ce n’est pas vraiment le moment ! »Elle poussa un cri, qui s’apparenta Ă un cri de jouissance. Ă€ ce moment je ne sais pas ce qu’il m’arrivait mais nous Ă©tions emboĂ®tĂ© et je n’eus qu’une envie : la pĂ©nĂ©trer. Peu Ă peu, tel un glaive, mon sexe dur comme du roc s’enfonça dans son anus… »Ooooooooooooh ! Oui ! Ouuuuuui ! Vas-y ! »cria-t-elle.Elle avait l’air d’aimer ça et je continuai dans ce moment qui n’était pas vraiment approprié… Je donnais des coups de reins dans son petit cul comme pour l’aider dans cette Ă©preuve. Elle poussait des cri de jouissance entremĂŞler de ceux de la douleur. »Pousse ma puce ! Pousse !— Il vient ! Je sens qu’il vient ! Aaaaaaaah ! « Tout Ă coup, sa main prit la mienne et me la guida en direction de sa chatte. L’excitation montait et j’accĂ©lĂ©rai les coups que je lui mettait dans le cul. Sur le bout de mes doigts, je sentit la tĂŞte de mon enfant qui Ă©mergeait de son vagin. Charlotte hurla de plus belle et je sentait l’éjaculation qui pointait son nez. Le bĂ©bĂ© aussi d’ailleurs ! Quel magnifique sensation : je prenais du plaisir, tout en sentant mon enfant venir au monde !Je gĂ©missais de bonheur, l’extase ! J’étais sur le point d’éjaculer quand au moment suprĂŞme oĂą ma semence giclait de mon sexe, je sentis la tĂŞte de mon enfant sortir brusquement du vagin de ma femme. Le septième ciel fĂ»t atteint ! Je devenais père dans un moment de plaisir intense et devant un coucher de soleil merveilleux ! »Aaaaaaah ! La tĂŞte est sortie, me dit Charlotte. »Je repris vite mes esprits et accourus entre les cuisse de Charlotte pour rĂ©ceptionner mon enfant. »Pousse ma puce, pousse ! Une dernière fois ! »Charlotte expulsa notre bĂ©bĂ© d’une seul coup. Ce fĂ»t Ă ce soir-lĂ que je vĂ©cu les plus beau instants de ma vie. Je tenais mon fils dans les bras devant le soleil qui s’éteignait au loin. J’ai posĂ© notre enfant sur le ventre Ă prĂ©sent vide de Charlotte, nous nous sommes embrassĂ©s longuement comme au premier jour. Nous avons mis notre fils dans une serviette et nous nous sommes dirigĂ© vers l’hĂ´pital…En revenant aujourd’hui sur cette plage, je me rends Ă prĂ©sent compte du bonheur immense dont nous pouvons jouir…