L’habit ne fait pas le moine
ClĂ©mentine entend des bruits suspects dans la cour, son chien grogne, elle a peur et descend avec un bâton pour comprendre ce qu’il se passe.
Introduction un peu longue, mais il faut mettre en place le cadre de la série!
Proposée le 19/11/2015 par First79 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Vendredi soir, enfin le weekend tant attendu.MalgrĂ© tout, je ne sors pas ce soir, j’en ai profitĂ© pour grignoter quelques morceaux de fromages, pain et des fruits devant un film classique. Le genre de comĂ©die qu’on peut regarder en ayant posĂ© son cerveau Ă cĂ´tĂ©.Je couche Guppi, ma fidèle chienne. RĂ©cupĂ©rĂ©e Ă la SPA, je ne connais pas son passĂ©, mais après quelques temps compliquĂ©s pour lui faire reprendre confiance en l’homme, c’est une compagne fidèle et joyeuse.
Elle ressemble Ă un chien de berger, mĂŞme si elle est le fruit de mĂ©tissages canins.Je vis en bordure de ville mais elle peut sortir dans mon jardin et surtout dès que je vais courir, je l’emmène avec moi pour son plus grand plaisir.
Nous faisons aussi de longues balades dans les forĂŞts alentours. D’ailleurs au lit, demain footing matinal, je prĂ©pare un semi marathon, Ă moins que je ne fasse finalement le 10 kilomètres. Je sombre dans un demi sommeil, Ă moitiĂ© Ă©veillĂ©e, Ă moitiĂ© endormie, je suis dans la bonne voie pour aller dans les bras de MorphĂ©e.J’entends un bruit, lointain… Il se rapproche, qu’est ce que c’est…? Je distingue un grognement, oui c’est ça, c’est le grognement de Guppi! Ca achève de me rĂ©veiller en sursaut! C’est un vrai grognement inquiĂ©tant comme j’en ai rarement entendu.
Je pense tout de suite Ă un voleur dans la maison… Mon cerveau fonctionne Ă toute vitesse, je regrette de ne pas avoir de batte de baseball Ă proximitĂ©, qu’est ce que je peux prendre pour me dĂ©fendre…? Je m’assois sur le bord de mon lit, ca m’aide Ă mieux rĂ©flĂ©chir, mes yeux s’habituent Ă l’obscuritĂ©. Il est 1h08. Une Ă©tagère IkĂ©a brille dans le noir, je n’ai pas fini de la monter, j’attrape un de montant, ça m’a l’air assez solide, un peu plus grand qu’une batte de baseball, je l’adopte.Je descend les marches Ă pas feutrĂ©s, prĂŞte Ă frapper le premier inconnu que je croise dans MA maison.Je me rapproche de l’endroit oĂą Guppi grogne, elle est devant la baie vitrĂ©e. Je me dĂ©tends un peu, j’ai encore oubliĂ© de fermer le volet, j’espère qu’elle grogne simplement après les chats qui batifolent dans la cour intĂ©rieure. On y trouve l’arrière d’un restaurant, ils viennent souvent chiner quelques restes. Elle a le poil complètement hĂ©rissĂ© et les crocs bien visibles, je l’ai rarement vu dans cet Ă©tat, je n’aimerai pas croiser son chemin.J’ouvre doucement et sans bruit la baie vitrĂ©e, Guppi se jette littĂ©ralement dehors vers les poubelles du restaurant.
Je sors légèrement dehors toujours armée.
Je vois que Guppi a acculĂ© un chiot et son propriĂ©taire. Les deux semblent dans un piteux Ă©tat et essaie tant bien que mal de raisonner Guppi.-Doucement, doucement… Calme toi, tout doux-GUPPI!! Viens ici, tout de suite!Le regard de l’homme se tourne vers moi, la chienne quant Ă elle tourne seulement une oreille.-GUPPI! Elle esquisse, Ă regret, un mouvement de retour vers la maison.
– Je suis dĂ©solĂ©e, elle a du vous faire peur.Moi aussi j’ai eu très peur, j’essaie de ne pas le montrer.Elle revient lentement vers moi, sans lâcher les deux intrus du regard. J’attrape son collier dès que je peux. Finalement, rien de dangereux, juste un SDF et son chien! Je me dĂ©tends. Je sens le regarde fixe de l’homme sur moi.Et merde, je suis Ă moitiĂ© Ă poil… Le seul vĂŞtement qui cache une partie de mon intimitĂ© est mon boxer en dentelle noire. Je dors tout le temps en petite culotte seulement, pour moi le temps des pyjamas de petite fille est fini! Par reflex, je lâche le collier de Guppi et mon arme improvisĂ©e pour cacher ma petite poitrine, j’ai un mouvement de recul vers le salon, je me sens rougir… J’attrape un plaid sur le canapĂ© pour m’emmitoufler et cacher ma nuditĂ© aux yeux de cet inconnu. Il est visiblement aussi gĂŞnĂ© que moi et ne sais plus oĂą regarder… Quant Ă l’adorable chiot, il a du avoir la frousse de sa vie, il se cache dans les jambes de son maĂ®tre.-Excusez moi, Guppi a du vous faire peur, habituellement elle n’est pas mĂ©chante.
-Heu… Oui j’ai eu un peu peur, elle est impressionnante quand mĂŞme… En mĂŞme temps elle protège son territoire, c’est plutĂ´t rassurant!
-Oui, oui, c’est plutĂ´t rassurant en effet.
-… (Silence gĂŞnĂ© de sa part)
-… (Silence gĂŞnĂ© de ma part)
– Bon je ne vais pas vous dĂ©ranger plus longtemps, il est tard et vous avez eu votre lot d’Ă©motions pour ce soir je crois! Viens Crapouille on y va!Je suis terriblement gĂŞnĂ©e. L’homme Ă l’air jeune, mon âge je dirais, entre 25 et 30 ans.
Il Ă©tait quand mĂŞme en train de fouiller la poubelle du restaurant, avait il faim?! -Maintenant que je suis rĂ©veillĂ©e..! J’ai le coeur qui bat un peu a 100 Ă l’heure moi…
Allez je me jette Ă l’eau, il ne faut pas ĂŞtre gĂŞnĂ©e avec la charitĂ©.- Vous avez faim? Je vois que vous cherchiez dans les poubelles du restaurant?A son tour d’ĂŞtre gĂŞnĂ©, honteux. Il baisse doucement la tĂŞte.- Oui j’ai faim… Ca fait quelques semaines que je me suis trouvĂ© Ă la rue. J’ai perdu mon travail, j’Ă©tais cuisinier, je sais que les restaurants ont en gĂ©nĂ©ral des poubelles bien remplies de mets tout Ă fait comestibles…Son visage s’Ă©claire un peu.- Oh mais je ne vous embĂŞte pas avec mes histoires!
– Ah mais pas du tout!Et sans rĂ©flĂ©chir, je lui propose :- Je peux vous hĂ©berger pour la nuit si vous le souhaitez, j’ai une chambre d’ami, des croquettes pour votre petit chiot, et des restes dans le frigo pour un repas ce soir.A cĂ´tĂ© de moi Guppi grogne toujours, vous savez ce grognement sourd, la gueule est fermĂ©e et le grondement vient de plus profond.Il est clairement gĂŞnĂ© par la proposition et je vois bien qu’il n’ose accepter. J’insiste, il baisse la garde et accepte.Il s’avance et Ă la lumière faible et jaunâtre du lampadaire, je le vois mieux. Il entre, Crapouille dans ses bras, le chiot est toujours terrorisĂ©. Il doit se dire que son maĂ®tre est inconscient de rentrer dans cette maison.Je ferme la baie vitrĂ©e derrière eux. Il pose Crapouille par terre qui n’ose aller Ă la rencontre de Guppi.
Elle est moins agressive, mais reste sur ses gardes, un peu grognon.
– Je reviens, juste histoire de passer un peignoir, lui dis-je, toujours embarrassĂ©e.Quand je reviens quelques instants plus tard, il n’a pas bougĂ© et Guppi, bien assise sur derrière les toise, les empĂŞchant presque de se dĂ©placer, quelle canaille.-Guppi arrĂŞte, va Ă ta place. A contre coeur, elle s’exĂ©cute pour rejoindre sa couverture, ne lâchant pas les inconnus du regard.-La salle de bain est lĂ , j’ouvre la porte pour joindre le mouvement Ă la parole, quand vous vous serez dĂ©shabillĂ©, passez vos vĂŞtements par la porte, je les mettrai Ă laver directement.
-Mais…. Je ne veux surtout pas vous dĂ©ranger, vous ĂŞtes sure que…?Je lui rĂ©ponds en souriant:-Oui je suis sĂ»re que ca ne me dĂ©range pas! Prenez le temps que vous voulez, profitez de l’eau chaude! Vous avez aussi de quoi vous raser, bon le rasoir est rose et la mousse est pour les jambes mais bon…Pendant qu’il prend sa douche, je lance la machine Ă laver. Ses vĂŞtements ne sentent pas vraiment bon, ils ont besoin d’un bon lavage avec prĂ©lavage, lessive et assouplissant!Dans le frigo, j’attrape le reste des lasagnes maison, le Tupperware avec la salade, la sauce, je sors les yaourts et dresse un couvert.
Je mets de l’eau Ă chauffer, je ne serais pas contre une tisane. Puis je m’assoie dans le canapĂ©, Guppi vient poser sa tĂŞte sur mes genoux pour rĂ©clamer quelques caresses, Crapouille en profite pour aller renifler en long en large et en travers sa couverture.-Heu… Madame…? En fait je n’ai plus d’habits Ă me mettre…Je lève les yeux, en effet, il n’a que la serviette nouĂ©e autour de la taille. Il est amaigri certes, mais bien bâti, il a du ĂŞtre musclĂ© du temps oĂą il mangeait Ă sa faim et faisait du sport. Ses cheveux sont un peu longs, mais sa barbe rasĂ©e lui donne meilleure mine. Il est beau garçon.-Ah oui, je vais vous trouver de quoi vous habiller.Il est grand, bien plus grand que moi mais je suis grande Ă©galement, mon jogging devrait lui aller, et un grand t-shirt fera l’affaire. Le temps qu’il s’habille, je prĂ©pare un bol de croquette et un bol d’eau pour le petit chiot qui est de plus en plus tĂ©mĂ©raire et aimerai bien jouer avec Guppi, elle, n’a pas envie du tout.Ma tisane est infusĂ©e et il sort propre comme un sous neuf de la salle de bain.Il mange de bon appĂ©tit, nous restons en silence. J’ai les mains autour de ma tasse fumante et le regard perdu dans les volutes de vapeur.-Merci pour votre accueil et votre gentillesse.
-De rien, c’est normal…Crapouille a littĂ©ralement avalĂ© les croquettes sans mĂŞme les mâcher. Le ventre tout rond, elle s’est endormie contre Guppi, les 4 pattes en l’air! Ses frasques nous font rire.-Quel âge a Crapouille?
– Je ne sais pas bien, je l’ai trouvĂ© dans un quartier reculĂ©, des gens ont du l’abandonner, elle avait encore un collier, mais plus d’adresse. Elle doit avoir 4 mois je pense.Aujourd’hui, elle aborde un bandana bleu en guise de collier, ce qui lui donne un air de chien voyou, comme dans Oliver et compagnie.-Comment vous appelez vous au fait?
-ClĂ©mentine, et vous? Si ca ne vous dĂ©range pas, on peut se tutoyer, c’est plus sympa.
-Moi c’est Cyril, enchantĂ©, me rĂ©pond t’il avec le sourire.Il a finit son assiette et son yaourt, j’espère qu’il a mangĂ© Ă sa faim.- Vous…Tu veux une tisane? Je ne lui laisse pas trop le choix de la rĂ©ponse et me lève pour dĂ©barrasser et prĂ©parer une eau chaude.
-Installe toi dans le canapĂ©!Je reviens avec deux tasses fumantes, ressert mon peignoir qui a souvent tendance Ă glisser et s’ouvrir lĂ©gèrement. Il commence Ă me raconter son histoire.Il Ă©tait Cuisto dans un petit restaurant, le patron n’Ă©tait pas très honnĂŞte, d’oĂą une santĂ© financière moyenne. A force d’acheter des mauvais produits faute de budget, la cuisine Ă©tait de moins en moins bonne, les clients de plus en plus rares, et la caisse de moins en moins pleine. Les prĂ©lèvements frauduleux du dirigeant n’aidant pas, le restaurant a fini par mettre la clef sous la porte. Cyril Ă©tait logĂ© dans une petite chambre de bonne au dessus du restaurant, il a du quitter son logement après avoir perdu son travail. Il a 28 ans, tiens seulement 1 an de plus que moi.-Mais et ta famille? Tes parents? Tes amis?
– Oh ma famille… Je suis le fils unique, d’un père violent et d’une mère soumise qui cautionnait cette violence envers moi comme envers elle, je suis parti Ă 16 ans pour mes Ă©tudes de cuisine en apprentissage, alors je n’allais pas revenir! -Et mes amis, ben, ils ne sont pas encore au courant de la situation, avoue t’il, penaud.-Je ne leur ai pas dit, j’ai honte et je pensais que la situation serait temporaire, elle ne dure pas depuis si longtemps. Mais je me rends compte que dans la rue, c’est un cercle vicieux, on ne peut pas comprendre tant qu’on ne le vit pas.Une larme coule sur sa joue, puis une deuxième.
Ses coudes sont posés sur ses genoux, ses mains jointes et la tête est basse.
Je suis un peu empotĂ©e et embarrassĂ©e devant sa peine. Je me rapproche et pose ma main gauche sur ses mains jointes, la paume de ma main droite trouve sa joue et essuie la larme avec mon pouce. Nous restons quelques secondes ainsi, le moment est doux et pure. Je dĂ©pose un lĂ©ger baiser sur le coin de ses lèvres, avant de me rendre compte de ce que je viens de faire. J’ai un mouvement de recul, je me lève brusquement pour dĂ©barrasser nos deux tasses. Il n’en revient pas non plus, je le vois Ă ses grands yeux Ă©tonnĂ©s et sa bouche bĂ©ate.
Mais qu’est ce qui t’a prit?! Tu es folle ou quoi? Cet homme t’est totalement inconnu, il vient de la rue, et toi? Tu l’embrasses! Nan mais tu es folle ma vielle! Bon il n’est vraiment pas vilain, plutĂ´t bien fait… Mais quand mĂŞme! ArrĂŞte de penser Ă des trucs comme ça. Après une bonne respiration, je retourne dans le salon. Je m’assoie sur le canapĂ©, de façon qu’il n’y ait pas de contact possible entre nous. MalgrĂ© tout mon coeur bat fort et le petit dĂ©mon qui est en moi aimerai l’embrasser de nouveau.- Je suis dĂ©solĂ©e, je ne sais pas ce qui m’a prit.
Il ne rĂ©pond pas et me regarde simplement. Il se rapproche de moi, Ă son tour de me prendre la main, de caresser ma joue et de dĂ©poser du bout des lèvres un baiser sur le coin de ma bouche, il s’Ă©carte.-Merci encore pour l’accueil, pour ta compassion et ton rĂ©confort. Et alors tu fais quoi toi dans la vie?Il est Ă©tonnamment Ă l’aise pour quelqu’un qui vient de se faire recueillir!Je lui raconte brièvement les grandes lignes de ma vie, j’ai 27 ans, originaire de l’Est, je travaille dans un bureau d’Ă©tude BTP spĂ©cialisĂ© dans les fuites thermiques des bâtiments, Ă l’ouest du Mans. Le siège est dans un quartier calme et campagnard, j’aime aller courir avec ma chienne et parfois des ami(e)s, je sors rĂ©gulièrement avec mes copines cĂ©libataires, comme moi, celles qui ont des enfants sont moins disponibles, mais je passe d’aussi bons moments avec elles et leur progĂ©niture.
Les longues balades en forĂŞt avec ma chienne sont un bon Ă©chappatoire.
J’aimerai apprendre Ă danser, je suis actuellement souple comme un manche Ă balais et n’ai pas vraiment le rythme dans la peau. Bref, voilĂ en quelques lignes mon CV: BTP, sport, chien, nature. Rien d’exceptionnel!
Mais je me rends compte après le rĂ©cit de Cyril que je peux remercier mes parents de m’avoir aimĂ©, aidĂ© Ă faire mes Ă©tudes, Ă©duquĂ© selon leurs valeurs… Cyril semble s’y intĂ©resser et m’Ă©coute en hochant la tĂŞte. Au fur et Ă mesure que je parle, mon peignoir s’est lĂ©gèrement ouvert au niveau des cuisses et il baille au niveau de la poitrine.
Je m’en rend compte mais ne fais rien pour rectifier le tir. J’aimerai tellement qu’il m’embrasse Ă nouveau, et j’ai vraiment peur de faire le premier pas, je n’ai jamais vraiment embrassĂ© ou fait l’amour avec un parfait inconnu, et encore moins avec un SDF!Il continue Ă me poser quelques questions, je rĂ©ponds, nous papotons lĂ©gèrement. Conversation entrecoupĂ©e de moment de silences un peu troublĂ©s.-Bon, on va peut ĂŞtre aller se coucher, il est tard, je vais te montrer la chambre d’ami. Je me lève, lui aussi, nous sommes proches, nos mouvements se frĂ´lent.
Mon coeur s’affolent, mon peignoir glisse encore un peu. La situation est tendue, je sens que je suis excitĂ©e, et mon dĂ©shabillĂ© en tissu fin ne cache pas mes tĂ©tons qui pointent, animĂ©s par cette mĂŞme excitation.
Un coup d’oeil discret vers son entre jambe me permet de voir que lui non plus n’est pas indiffĂ©rent Ă la tension qui règne dans le salon.
Le jogging large laisse toute la place Ă son sexe pour se dresser et il ne peut cacher la bosse qui commence Ă dĂ©former son pantalon. Je lève les yeux et le regarde dans les yeux. Ils sont verts, plutĂ´t jolis, je n’avais pas encore remarquĂ©! Je ne peux plus luter contre cette biensĂ©ance, je baisse les yeux, attrape dĂ©licatement ses mains qui pendent le long de son corps, il ne bouge pas, Ă quoi pense t’il?
J’ai l’impression que ma poitrine va exploser tellement mon coeur bat vite et fort, il bourdonne jusque dans mes oreilles. J’ai juste besoin de lever le menton et me mettre lĂ©gèrement sur la pointe des pieds pour atteindre sa bouche et l’embrasser cette fois sur la bouche. Quelle montĂ©e d’adrĂ©naline… Et d’excitation. Je sens mon ventre se nouer, se rĂ©chauffer, se remplir de picotements qui descendent vers mon sexe. Je me remets sur mes talons et je le regarde, brulante. Il garde ses mains dans les miennes, assure la prise des mes doigts et baisse la tĂŞte en la penchant lĂ©gèrement pour m’embrasser lĂ©gèrement.
Je sens ses lèvres fermes dans un premier temps qui se font plus molles, plus douces, plus ouvertes. Je ferme les yeux, mes mains remontent le long de ses bras pour caresser sa nuque. Ses mains Ă lui trouvent mes hanches. Je m’abandonne totalement Ă sa bouche et nos langues se trouvent, se caressent, se lèchent. Ce baiser est d’une douceur.Digne d’un baiser de cinĂ©ma. Il recule un peu la tĂŞte, ses yeux s’ouvrent dĂ©licatement pour me sourire.Je rougis un peu, je sens que mon corps ne reste pas insensible Ă ce baiser ultra sensuel. Il me sert un peu plus contre lui et je sens son membre dur contre mon ventre. J’en veux encore, mes lèvres quĂ©mandent, ma langue se langui, mon regard est fiĂ©vreux. Je supplie d’une voie faible et rauque:-Embrasse moi encoreA nouveau nos lèvres se trouvent mais la passion ne prend toujours pas le dessus, nos gestes sont doux, voluptueux, je passe mes mains dans ses cheveux lĂ©gèrement bouclĂ©s et un peu trop longs pendant que nos langues continuent leur ballet Ă©rotique. Je me sens vibrer le long de son corps, ses mains me caressent le dos et se font plus pressantes, elles collent mon corps contre le sien et descendent de plus en plus vers mes fesses pour s’arrĂŞter Ă la naissance de mon postĂ©rieur. DĂ©sormais mon peignoir forme un dĂ©colletĂ© profond entre mes deux petits seins qui pointent toujours autant, c’est presque douloureux. La ceinture retient les deux pans de tissus qui cachent Ă peine mon boxer, je sens mes lèvres gonflĂ©es qui se lubrifient de seconde en seconde. Je sens Ă©galement son sexe gonflĂ© de sang et d’envie qui bat contre mon ventre. Ses mains remontent jusqu’Ă ma nuque pour saisir ma tĂŞte tout en m’embrassant.
Les doigts d’une de ses mains glissent sur mes Ă©paules, puis sur mon tĂ©ton Ă©rigĂ©. Ses caresses sont lĂ©gères, comme une abeille qui butine.Mes mains passent sous son t-shirt et le bout de mes doigts chatouille son dos, je sens sa peau frissonner et ses poils se dresser après mon passage, plus je monte et plus je lève son t-shirt pour dĂ©couvrir son torse, il lève les bras, j’achève de lui Ă´ter pour me recoller aussitĂ´t Ă lui. Il remet sa main sur mon sein, cette fois, sa paume englobe mon mamelon pour le masser lĂ©gèrement, l’autre descend le long de mes reins pour trouver ma fesse, enfin, il l’agrippe un peu plus vigoureusement.
Me voilĂ ainsi verrouillĂ©e par ses mains suaves et ses bras forts, quelle sensation dĂ©licieuse. Je sens le long de mon bas-ventre son chibre viril, dressĂ©, au garde Ă vous.Ses doigts viennent vers le noeud de la ceinture qui Ă cet instant ne retient dĂ©jĂ plus grand chose, il coulisse, le tissu s’ouvre sur mon corps fĂ©brile et mes seins libĂ©rĂ©s pointent fièrement vers cet inconnu qui m’excite tant. Je veux retourner auprès de ce grand corps sec et malgrĂ© tout encore un peu musclĂ©, mais il n’en n’a pas fini, ses index passent sous le tissu qui couvre mes Ă©paules pour le faire glisser vers mes bras.
Le tissu fluide du peignoir glisse le long de ma chair, je ferme les yeux et ma bouche est lĂ©gèrement entrouverte, je frissonne de plaisir, nos gestes sont toujours sensuels et doux. Mais j’ai les entrailles en feu, un feu qu’il est en train d’attiser, la douceur et la lenteur sont bien pires que la passion violente.Nos bustes se rapprochent et mes tĂ©tons rentrent en contact avec sa peau… Exquis, puis mes deux globes tendus s’Ă©crasent contre sa poitrine. LĂ , nos baisers se font moins sensuels, plus Ă©rotiques, nous mettons plus de ferveur dans nos Ă©changes corporels. Il a toujours son jogging, sans douceur, sans rĂ©flĂ©chir, je passe mes doigts dans l’Ă©lastique pour le descendre et libĂ©rer cette colonne de chair qui Ă©touffait.
Je descends mes mains le long de ses cuisses en m’accroupissant, l’Ă©lastique du pantalon suit, il lève un pied, puis l’autre. Le voilĂ Ă©galement nu. Maintenant que je suis accroupie devant lui, son sexe est Ă hauteur de mon visage, en m’accrochant Ă ses cuisses, je prodigue de lĂ©gers baisers autour de sa verge turgescente, regardant parfois son sexe, parfois ses yeux mis clos qui me fixent et sa bouche ouverte d’oĂą s’Ă©chappent de lĂ©gers râles. Je suis contente de l’effet que ça lui fait, l’exciter me stimule Ă©galement, dĂ©sormais je sens ma cyprine affluer vers mes grandes lèvres, ĂŞtre accroupie les jambes Ă©cartĂ©es libère un peu la tension sexuelle qui s’accumulent dans mon bas ventre, je sens l’air lĂ©gèrement frais qui glisse le long de mon sexe. Sa verge est tellement tendue que petit Ă petit je la vois grossir encore et le gland se dĂ©calotte petit Ă petit. J’embrasse alors doucement et du plus sensuellement dont je suis capable cette colonne de chair, sans oublier les bourses. Je l’entends haleter, sa main vient se perdre dans mes longs cheveux en bataille.
Avec ses doigts, il les coiffe pour les basculer du mĂŞme cĂ´tĂ©, ainsi il peut surement mieux voir mon visage.Une goutte de liquide sĂ©minale perle, je le recueille du bout des lèvres. Ma main se saisit de ce sexe pour mieux l’offrir aux caresses de ma bouche, je lèche toute langue dehors son sexe de la base vers le prĂ©puce en le regardant dans les yeux, j’aime toujours l’effet que fais cette caresse aux hommes.Je le fais plusieurs fois avant d’engloutir son sexe dans ma bouche, je commence des va et vient accompagnĂ©s de ma main, tout en suçant, lĂ©chant, faisant coulisser mes lèvres. J’ai toujours aimĂ© la fellation, toujours aimĂ© prodiguer cette caresse buccale, du dĂ©but jusqu’Ă … la fin, en gĂ©nĂ©ral pour le plus grand bonheur de ces messieurs. Avec ma main je promène son gland sur le bord de mes lèvres, en le regardant encore et le masturbant doucement. J’Ă©crase son gland sur mon tĂ©ton excitĂ© en le branlant plus franchement et lapant parfois son membre au passage.Le ferveur m’emportant, je suce franchement le sexe d’un parfait inconnu au milieu de mon salon, accroupie, les jambes Ă©cartĂ©es. L’image me parait Ă©rotique, pornographique…Ses mains caressent toujours mes cheveux, il gĂ©mit franchement et je perçois sa respiration qui s’accĂ©lère franchement, sa main presse ma nuque pour imprimer son rythme Ă ma bouche. Je choisis ce moment pour me relever et tout en frottant mon corps sur son sexe dressĂ©, surtout mes tĂ©tons et mes seins. Je remonte jusqu’Ă sa bouche, nous Ă©changeons alors un baiser qui n’a plus rien de sensuel, c’est presque bestial. J’ai honte de l’avouer, mais j’aimerai qu’il me prenne tout de suite. Il en a dĂ©cidĂ© autrement puisqu’il me pousse sur le canapĂ©, m’Ă©carte les jambes et s’agenouille pour commencer Ă m’embrasser l’intĂ©rieur des cuisses.Mais comment fait il pour garder son sang froid?Ca me chatouille et je me tortille tellement mon sexe rĂ©clame sa caresse.J’attrape sa tĂŞte pour la placer en face de ma fente brulante et tellement humide, lĂ encore il l’Ă©vite en me lĂ©chant tout autour.
Je n’en peux plus, mon corps et mon esprit ne sont que dĂ©sir, un dĂ©sir tellement ardent, tellement brulant…Puis enfin, je sens sa douce langue remonter le cĂ´tĂ© de mes lèvres, Ă droite d’abord, puis Ă gauche, elle se fait plus dure pour remonter le long de ma fente jusqu’Ă mon clitoris qui a le droit Ă un lapement.
Je sens mes grandes lèvres se lubrifier. Quelle dĂ©licieuse sensation que de sentir sa langue monter et descendre le long de mes lèvres. Puis il laisse cette douceur de cotĂ© pour laisser parler l’Ă©rotisme qui est en lui, avec ses doigts, il titille mon clitoris, centre de jouissance.
Ses doigts Ă©cartent les chairs qui le retiennent pour mieux le lĂ©cher, l’aspirer. Un de ses doigts glisse le long de mes lèvres pour Ă©taler liquide visqueux qui en sort, puis rentrer Ă l’intĂ©rieur de cette fente lisse et brillante. Je sens que je ne suis pas loin de l’orgasme, il faut qu’il arrĂŞte. Je le prĂ©viens que s’il continue, je vais jouir. Alors je me lève avec force, je vais dans le meuble de l’entrĂ©e pour chercher les prĂ©servatifs. Il ne sait pas trop comment rĂ©agir dans le salon, il est assis, son sexe bien dressĂ©.Je me penche, ma bouche fait 5-6 allers retours sur son membre fier et je lui mets le prĂ©servatif, il se laisse faire.D’une pression sur les Ă©paules, je l’allonge par terre et l’enjambe. Nos bouches se trouvent encore et je l’embrasse, il a le gout de ma cyprine au dĂ©but, c’est Ă©tonnant, puis nos salivent se mĂŞlent.Je suis alors sur lui, ma fente juste au dessus de son sexe. Il est tellement dressĂ© que mes lèvres frĂ´lent tendrement son gland, dĂ©licieux… Sans mal, j’introduis son sexe dans ma minette trempĂ©e de dĂ©sir, quel soulagement… Je me presse contre lui pour pouvoir l’embrasser encore, il soulève lĂ©gèrement mes fesses pour pouvoir libĂ©rer son bassin et me faire l’amour.
Les mouvements de sa colonne de chair sur les parois humides de mon vagin me font dĂ©faillir de plaisir. Je me redresse et reprend le contrĂ´le. DĂ©sormais, c’est moi qui monte et qui descend le long de son sexe, j’accĂ©lère, que c’est bon… Mes mains qui Ă©taient sur son torse trouvent le chemin de mon bourgeon de plaisir, je me caresse le clitoris, les seins et m’empale sur Cyril.
Ses mains qui jusqu’Ă prĂ©sent marquaient le rythme de nos Ă©bats sont posĂ©es de chaque cĂ´tĂ© de mon clitoris et Ă©carte bien les lèvres pour que je puisse me toucher. Son bassin reprend ses mouvements en adĂ©quation avec les miens, son sexe vient buter au fond de moi, je sens ses bourses contre la naissance de mes fesses.S’en est trop pour moi, je me redresse, une de mes mains attrape mon sein, dĂ©sormais c’est lui qui me touche en me faisant l’amour.
Je le vois transpirer, suffoquer, je l’entends gĂ©mir. Nos mouvements sont dĂ©sordonnĂ©s, dĂ©sunis, bestiaux. Je transpire, mon corps est luisant, bouillant, bouillonnant.Nous jouissons alors Ă l’unisson, cette jouissance libĂ©ratrice arrive enfin. Je la sens venir, j’adore ce sentiment, quand on ne jouit pas encore, mais quand on sent que ca vient, que ça monte en puissance. Je ne peux m’empĂŞcher de gĂ©mir, ma bouche ne pouvant se fermer. Mes mains agrippent son torse, ses Ă©paules, j’aimerai qu’il rentre entièrement en moi.Je l’entends crier son plaisir, et moi qui crie le mien, voilĂ un plaisir partagĂ©.
Nous restons un moment l’un sur l’autre, repus de dĂ©sir, luisants de transpiration, les yeux clos. Je sens son sexe qui dĂ©gonfle progressivement, je me soulève doucement pour le retirer de ma minette, puis me repose lourdement au sol, contre lui.Nous somnolons ainsi quelques instants, je ne saurais dire s’il s’agit de secondes, de minutes, de demi heure… Je reprends peu Ă peu conscience, il dort toujours. Vraiment beau gosse ce SDF.Je me lève, prend une douche rapide. Quand je ressors dans le salon, il est rĂ©veillĂ©. Je lui propose de se doucher Ă nouveau.-Deux douches dans la mĂŞme soirĂ©e, c’est vraiment du luxe! Me rĂ©pond t’il en souriant.Avant qu’il ne rentre dans la salle de bain, je lui indique la chambre d’ami et lui dit que demain matin, il n’y a pas de rĂ©veil, il y a eu un peu trop d’Ă©motions pour cette nuit.
C’est la première fois qu’il m’arrive ce genre d’aventure, je n’ai pas envie de dormir avec lui, j’ai besoin de me retrouver avec moi mĂŞme.Je met du temps Ă trouver le sommeil, je l’entend se coucher, Ă quoi pense t’il? Beaucoup de questions se posent dans ma tĂŞte, qu’est ce qui m’a prit de faire ça? De fil en aiguille, je finis par m’endormir, un sommeil troublĂ©, empli de petits rĂ©veils, de rĂŞves Ă©rotiques et de corps nus.Il est 11 heures quand j’ouvre enfin les yeux, les Ă©vènements de la veille me reviennent Ă la mĂ©moire, je sens que ma minette est encore humide. Je reste allongĂ©e un moment puis j’entends des glapissements, surement les chiens qui jouent, une dĂ©licieuse odeur de gâteau arrive jusqu’Ă mes narines.J’enfile mon peignoir et me dĂ©cide Ă descendre prendre le petit dĂ©jeuner. Cyril est bien aux fourneaux.-Bonjour, j’ai fait des cookies pour le petit dej, je me suis permis de fouiller dans tes placards.Je regarde vers le salon, la lessive d’hier soir est Ă©tendue.
Les chiens sont dans le jardin et batifolent comme de vielles connaissances.Et bien cet homme est plein de surprise!Je m’avance, m’assoie Ă la table et grignote un de ses cookies du bout des lèvres, pensive.
Une idĂ©e germe dans ma tĂŞte, lentement mais surement elle fait son chemin. Discrète au dĂ©but, en quelques minutes, elle devient une folle Ă©vidence. Oui de la folie, c’est bien ça.-Ca va? Me demande t’il
-Oui oui, très bien, et toi? Répondis je automatiquement.
-Oui merci, la meilleure nuit que j’ai passĂ© depuis longtemps, me rĂ©pond il avec un grand sourire! Dès que mes affaires seront sèches, je pourrais partir. Il me semble que sa mine s’assombrit lĂ©gèrement quand il prononce la fin de sa phrase.-J’ai une proposition Ă te faire Cyril. Il me regarde d’un air interrogateur.-Je veux bien t’hĂ©berger le temps que tu te retournes. En Ă©change tu t’occupes de faire les repas, un peu de la maison, du linge et…Je laisse un temps de suspend, Ă©tonnĂ©e de ma propre audace et quelque peu indĂ©cise.- Et si tu me fais l’amour, si tu me surprends…VoilĂ , c’est dit… Je suis complètement folle…Je le vois rĂ©flĂ©chir un moment. Le silence est pesant, je reprends un cookies en fixant un coin de la nappe. Rarement les petits radis qui la dĂ©corent ne m’ont autant passionnĂ©e… – C’est d’accord, me dis t’il, bon par contre j’ai dĂ©jĂ payĂ© la nuit dernière!
Il a un regard un peu espiègle et un sourire en coin. -Ok, marchĂ© conclu! Je tends la main pour acter l’affaire.Il la prend mais au lieu de la secouer comme pour une poignĂ©e de main classique, il m’attire vers lui.-Est ainsi qu’on conclue un pacte comme celui lĂ ? Sur ce il m’embrasse fougueusement, arrache presque mon peignoir, je baisse son pantalon sans lâcher sa langue et me retourne, les coudes posĂ©s sur le bar de la cuisine.Avec son sexe il caresse deux fois mes lèvres pour s’assurer qu’elles sont bien lubrifiĂ©es avant de s’avancer aux portes de ma caverne.Sa bouche se rapproche de mon cou, qu’il embrasse, titille le lobe de mon oreille avant de me chuchoter:
– Tu as bien dis que tu voulais que je te surprenne?La rĂ©ponse reste en suspend et il me pĂ©nètre d’un coup. Une main s’occupe d’un de mes tĂ©tons et l’autre sur ma hanche, il imprime son rythme Ă mon corps.La prise est brusque violente et rapide. Quand ses deux mains accrochent mes hanches et que son sexe vient fouiller et frotter encore plus en moi, je sens que la jouissance est proche. Je ne peux m’empĂŞcher de gĂ©mir de ravissement, de pousser mon bassin vers son membre que je sens gonfler imperceptiblement
Il gĂ©mit et je le sens jouir, exploser en moi, je pars avec lui, ne peux m’empĂŞcher de crier, les coups de sa verge sont dĂ©sordonnĂ©s puis se calment. Ca n’aura pas durer longtemps, mais comme quoi, parfois ce n’est pas la durĂ©e qui compte.
Il me dĂ©pose un baiser dans le cou.-VoilĂ un acte scellĂ©.Je souris, je sens que cette histoire va pimenter ma vie dans les Ă©pisodes Ă venir.A suivre bien sĂ»r… Avez vous aimĂ©? MalgrĂ© l’introduction un peu longue avez vous Ă©tĂ© jusqu’au bout? © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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