Dimanche matin, heureusement que maman me rĂ©veille, j’ai dormi comme un loir.Mon dĂ©jeuner est vite expĂ©diĂ©, s’ensuit une douche rapide, mon maquillage est lĂ©ger.Je mets un short qui Ă©pouse mes formes, mes fesses ressortent et on devine mon pubis. J’enfile un tee-shirt moulant.Je prĂ©pare des affaires de rechange dans un sac.Luc est Ă l’heure, un baiser passionnĂ© qui dure nous unit.Il prend mon sac pour le mettre dans le coffre.- tu as dĂ©valisĂ© ta penderie ma puce — je prends mes prĂ©cautions avec un cochon comme toi, je n’ai pas oubliĂ© les outrages que tu m’as fait subir hier — tu gardes un mauvais souvenir de nos petits moments intimes? je pensais que comme moi cela t’avait plu — faire mourir de plaisir sa partenaire tu trouves ça normal, moi je dis que c’est de la torture. Comme je suis une fille sympa je te pardonne -Tout comme moi il rit pendant que nous montons dans sa voiture.Nous partons.La route est longue avant d’arriver Ă la mer, nous faisons une halte dans un chemin pour un petit pipi.Avant de repartir, debout Ă cĂ´tĂ© de la voiture ce sont des embrassades, je me colle contre lui et mon ventre rencontre la bosse qui dĂ©forme son short.Je le caresse, il en fait autant sur mes seins et mon entre-cuisses.- on n’a pas beaucoup de temps, je vais te soulager, tu ne peux pas conduire dans cet Ă©tat -Luc n’a pas le temps de rĂ©pondre, son short et son slip de bain gisent Ă ses pieds.Son pĂ©nis est bien dressĂ©, je m’accroupis.j’embrasse son membre, le lèche puis le suce avec des mouvements rapides en l’enfonçant au maximum dans ma bouche.Aux mouvements de son corps je vois qu’il apprĂ©cie, il agrippe ses doigts sur mes Ă©paules.Au dernier moment il se retire et Ă©jacule dirigeant les jets de sperme dans l’herbe.Il s’essuie avec un mouchoir en papier et se rhabille.Nous repartons.- pourquoi ne m’as tu pas laissĂ©e boire ta semence — je voulais te garder propre — dommage, j’aime bien ton sperme -ArrivĂ©s sur place Ă Merlimont petite promenade dans la rue principale de la petite ville et surtout en bordure de plage en attendant midi.Nous nous tenons par la taille et nous arrĂŞtons souvent pour nous embrasser.Avant d’aller sur la plage nous mangeons des saucisses frites et buvons une bière Ă la terrasse d’un snack.Luc plante le pied du parasol, nous installons les serviettes puis nous enlevons nos shorts et maillots avant de nous assoir.Il regarde ma tenue:- tu n’as pas du le payer cher ton deux pièces vu le peu de tissu >>- moqueur, je pensais qu’il te plairait — c’est le cas mais il n’y a pas que moi qui vais mâter ton corps presque nu mais je ne voudrais pas que tu repartes avec les seins de deux couleurs — tu veux que j’enlève le soutien-gorge — oui, de plus il est minuscule et ne pas grand chose Ă part les tĂ©tons — vicieux -Je fais ce qu’il me demande et m’allonge sur le ventre pour cacher mes gros seins.le soleil chauffe mon corps, je me retourne.Luc me regarde et une bosse augmente de volume dans son slip.Je ris et caresse son dos ce qui n’arrange pas sa situation.Je monopolise le regard des hommes installĂ©s aux alentours et certains font un dĂ©tour pour passer devant nous en allant se baigner. Je vois aussi le regard envieux de certaines femmes.CouchĂ© sur le ventre Luc attend que son Ă©rection se calme.Il veut aller se baigner, je veux remettre mon soutien-gorge. Il n’est pas d’accord et me tire par la main pour me mettre debout.Nous tenant par la main nous allons vers l’eau, je suis gĂŞnĂ©e et regarde droit devant moi.- Tu fais sensation surtout que tes seins se tiennent bien, beaucoup d’hommes doivent me jalouser de les avoir Ă ma disposition, je suis fier de toi — tu es un salaud de m’exhiber devant tout le monde, je t’en veux Ă mort chĂ©ri, si nous Ă©tions mariĂ©s ce serait un motif de divorce -Nous Ă©clatons de rire et plongeons dans la mer. Une fois dedans la tempĂ©rature de l’eau est bonne.Entre deux nages nous nous embrassons et caressons. Dans l’eau la queue de Luc reste calme.Nous retournons nous allonger et profiter des rayons solaires.Nouvelle baignade et de nouveau bronzage.Le temps passe, il faut repartir. J’enfile mon tee-shirt (sans soutien gorge puisque mon amoureux le veut ainsi) et mon short.Nous prenons nos affaires et les mettons dans le coffre de la voiture.Nouvelle ballade en ville en nous tenant par la main.- tu vas provoquer une Ă©meute avec tes seins qui se dessinent Ă travers ton maillot -C’est vrai Ă voir des regards des personnes que nous croisons.- c’est ce que tu voulais alors pourquoi te plaindre — je ne me plains pas, je suis fier de me montrer en ta compagnie et de faire des envieux — c’est bien ce que je dis, tu n’es qu’un vicieux et un pervers -Les gens se demandent pourquoi nous rions aux Ă©clats.Nous dĂ©cidons de manger des moules frites et de boire une bière avant de partir.Le repas terminĂ© prĂ©textant le besoin d’aller aux toilettes discrètement je vais au comptoir rĂ©gler l’addition.Luc n’a pas voulu que je paye celle du midi, son crĂ©do est « ce n’est aux femmes de payer ».Nous partons après qu’il ait un peu ronchonnĂ©.En route il stoppe dans un chemin bordĂ© de futaies.- maintenant je vais me venger du tour que tu m’as jouĂ© au restaurant, dĂ©shabilles toi -Je me demande s’il est vexĂ© ou pas et je m’exĂ©cute sans parler.Sa bouche et ses lèvres parcourent ma poitrine, ses dents mordillent les tĂ©tons pendant qu’une main se porte entre mes cuisses et caresse ma chatte.On dirait un affamĂ©. Il trouve que j’ai le mĂŞme goĂ»t que l’eau de mer.Ses doigts s’attaquent alternativement Ă mon vagin et mon clitoris, j’Ă©carte les cuisses et je commence Ă gĂ©mir.Il accĂ©lère et appuie ses mouvements en me disant qu’il allait me faire crier très fort.Pour crier, j’ai beaucoup criĂ© car il m’a suppliciĂ©e longtemps. Après une première jouissance les orgasmes se sont succĂ©dĂ©es.Quand enfin il s’est calmĂ© je ne suis plus qu’une loque.Ensuite Luc me sort de l’auto, me couche sur le capot, il sort son sexe et pĂ©nètre violemment dans ma chatte dĂ©goulinante de mouillure.Il me pilonnĂ© le ventre et très excitĂ© rapidement l’arrose de sperme.Pas encore satisfait, il me retourne, me courĂ©e et son pĂ©nis s’enfonce dans mon anus. Sa queue bien lubrifiĂ©e coulisse facilement.Les va et vient durent un bon moment avec mon concert de gĂ©missements et de cris.A cause du plaisir trop intense que je ressens et de ma sensibilitĂ© je jouis plusieurs fois, la poitrine appuyĂ©e sur le capot je ne peux pas me dĂ©placer et seul mon bassin remue beaucoup.Il finit par arroser mon cul.Il se retire, s’essuie avec un mouchoir en papier et se rhabille.Je ne bouge pas, il m’essuie. Il place ses mains sous mes aisselles, il m’aide Ă marcher puis Ă m’assoir dans l’auto.En route je reprends mes esprits et je remets mes vĂŞtements.- tu as vu ce qu’il en coĂ»te de me contrarier >>- tu es un sadique et malgrĂ© ça je t’aime bien mon chĂ©ri -Il me sourit content de lui.Retour chez moi, longues embrassades.- samedi prochain s’il fait beau pique-nique -Me dit t’il.- d’accord! amènes les boissons je m’occupe du reste — comme tu veux, de toute façon tu n’en feras qu’Ă ta tète comme aujourd’hui — tu commences Ă me connaĂ®tre et en venant me chercher si tu veux tu pourras entrer dire bonjour Ă mes parents comme ça ma mère te verra et cessera de me harceler — tu en as vraiment envie — enfin si tu veux, je ne te force pas, je vais peut ĂŞtre trop vite en besogne mais cela ne t’engage Ă rien il n’y a pas d’arrière pensĂ©e — non, je te comprends et c’est très bien. C’est avec plaisir que je ferais la connaissance de tes parents -Nous nous quittons après un dernier baiser passionnĂ© et très long, nos langues ne veulent pas se quitter et se cherchent en permanence.Le samedi suivant pendant que je me prĂ©pare Luc arrive et sonne Ă la porte.Maman qui n’a pas cessĂ© de me poser des questions sur lui pendant la semaine est surprise en ouvrant la porte, elle le fait entrer.Je les entends parler pendant que je me maquille.Je les rejoins, sans rĂ©flĂ©chir je saute au cou de mon amoureux et l’embrasse fougueusement en faisant durer le baiser.Il ne rĂ©pond pas comme il a l’habitude de le faire et je rĂ©alise que m’embrasser amoureusement comme ça pour une première fois devant mes parents le gĂŞne.Ma mère en reste bouche bĂ©e pendant un instant avant de rĂ©agir.- tu ne fais pas semblant, c’est comme ça que tu agis avec tes copains — maman c’est juste un petit baiser Ă un bon copain pour lui dire bonjour — copain? mon Ĺ“il! j’ai Ă©tĂ© jeune avant toi -Nous Ă©clatons de rire sauf maman.Qu’est ce que je vois, le fayot, sur la table trĂ´ne un super bouquet de fleurs que Luc a offert Ă maman ainsi qu’une bouteille de bon vin qui est pour papa. Il a du savoir vivre mon chĂ©ri.Mes parents me disent qu’il l’ont invitĂ© pour le repas de midi du lendemain dimanche.- dommage, je ne suis pas lĂ — tu vas oĂą — je sors avec un copain — quel copain, le tien sera ici — vous accaparez mon copain, il faut que j’en trouve un autre -Je me mets Ă rire aux Ă©clats, mon père me suit puis Luc. ma mère reste coincĂ©e.Elle me dit:- bĂ©bĂ© ton humour n’est pas marrant -(depuis toute petite elle me donne ce surnom).- en parlant de bĂ©bĂ©, vous aller bientĂ´t en avoir un autre Ă dorloter -Les trois me regardent bouche bĂ©e.Maman:- Aude ce n’est pas possible tu es enceinte et tu n’as rien dit, ce n’est pas sĂ©rieux et c’est beaucoup trop rapide tu ne trouves pas -Moi:- mais non, je voulais voir ta rĂ©action, je blague -Maman:- Luc il va falloir vous habituer, son humour est spĂ©cial -Luc prend la glacière et le sac que j’ai prĂ©parĂ©s et nous partons.En route:- tu as Ă©tĂ© dure avec ta mère — elle est gentille mais de temps en temps ça me fait du bien car parfois elle est lourde -Luc dĂ©cide de s’arrĂŞter dans un endroit qu’il connait.Nous Ă©talons une couverture sous un arbre au bord d’un lac. Luc sort une bouteille de vin et deux verres, nous trinquons.La pose tranquille est de courte durĂ©e, je caresse ses cuisses.Il s’approche de moi, passe un bras autour de mon cou et m’embrasse, sa langue cherche la mienne.Je lui dis:- hier matin tu m’as privĂ© de quelque chose, je le veux maintenant, ça va bien avec le vin -Je dĂ©boutonne son short, il se soulève pour que je l’abaisse, son caleçon suit le mème chemin.Son pĂ©nis est bien dressĂ©, je le caresse. Je me penche et l’embrasse, le lèche en faisant des aller retour sur toute sa longueur puis le prend dans ma bouche.En serrant bien les lèvres et veillant Ă ce que ma bouche bute sur ses bourses je commence les va et vient.Il me caresse les cheveux, les joues et le dos.- c’est bien ma puce, c’est trop bon, continue Ă me sucer comme une salope -j’accĂ©lère les mouvements, il se raidit, ses mains sont sur mes Ă©paules et ses ongles pĂ©nètrent dans ma peau. Il se libère Ă longs jets chauds dans ma bouche.J’avale consciencieusement le sperme et lui lèche bien la queue pour la laisser propre.- merci pour la salope mon chĂ©ri — ne le prends pas mal, c’est un terme affectueux. J’aime que tu te comportes comme ça, j’y prends beaucoup de plaisir -Un peu calmĂ©s nous continuons Ă dĂ©guster le verre de vin puis sortons la glacière et le sac. J’installe les assiettes et les couverts sur la couverture.Je remplis les assiettes de cruditĂ©s et charcuterie et nous commençons notre repas.Il me dit qu’on est bien tout les deux, tranquilles au bord de l’eau.Je lui rĂ©ponds que je suis toujours bien quand il est Ă mes cotĂ©s.Une fois les assiettes vides il m’embrasse et commence Ă me dĂ©shabiller.- je veux voir si tes seins ont bronzĂ© — tu n’es qu’un voyeur de la pire espèce -Il rit et me rĂ©pond- toujours ton humour -Il inspecte mes seins, les palpe. Il me dĂ©place pour voir si la marque de mon slip de bain est bien nette.Je mouille et j’ai envie de sa queue.Je le dĂ©shabille, il m’aide.Nos mains se mettent en action. Je caresse son corps et ses cuisses, lui mes seins mon ventre et mes cuisses.Il se met Ă l’inverse de moi et Ă©carte mes cuisses. Sa langue pĂ©nètre et fouille ma chatte puis titille mon clitoris.Je ne suis pas en reste, je caresse ses testicules et ses cuisses pendent que mes lèvres et ma langue embrassent et lèchent son pĂ©nis dressĂ© comme un pieu.Mes gĂ©missements commencent. Je dĂ©cide de faire une fellation, ça attĂ©nuera les bruits que j’Ă©mets et qui augmentent car le plaisir s’amplifie dans mon ventre. Je jouis.Luc se dĂ©place et se couche sur moi. Sa queue glisse dans mon vagin bien humide.Je le serre fort dans mes bras, en remuant du bassin nous embrassons sauvagement, nos langues se livrent un duel acharnĂ©.EmportĂ©e par la jouissance qui monte je dĂ©laisse sa bouche, je crie et prise de spasmes j’ai un orgasme.Imperturbable Luc continue son travail de sape et se dĂ©verse dans mon ventre puis se retire et s’assois.Je mets une serviette de table en papier entre mes cuisses pendant que Luc remplit nos assiettes.Nus comme des vers nous continuons notre repas.Nos assiettes sont vides, le vin me monte Ă la tète et augmente ma libido.Je caresse sa queue. En couchant Luc sur le dos, j’embrasse et lèche sa poitrine et son ventre admirant au passage sa musculature.Une fois ma bouche descendue entre ses jambes je lui fais une fellation Ă©nergique et insiste jusqu’Ă ce que son membre reprenne une taille honorable.Pendant ce temps des doigts passent de ma chatte Ă mon anus qu’ils imprègnent de sperme et de mouillure et distendent l’ouverture. Une main masturbe mon clitoris.Le concert de gĂ©missements et de cris est reparti, j’ai du mal Ă continuer la fellation et passe Ă la masturbation bien que le membre bande de nouveau. Je jouis encore.Luc sachant dans l’Ă©tat second ou je commence Ă me trouver me couche sur le dos, plie et relève mes jambes en les Ă©cartant.il se met entre mes cuisses et sa queue me pĂ©nètre, en prenant son temps elle passe alternativement dans ma chatte et mon anus.Je crie et je crie Ă n’en plus finir, les orgasmes se succèdent.Cela ne le dĂ©range pas Ă part qu’il est obligĂ© de suivre les dĂ©placements de mon corps pour rester dans l’orifice qu’il pilonne.Il fait durer le plaisir et enfin dĂ©charge dans mon cul.Il se retire, s’essuie et sympa m’essuie aussi.Il me laisse lĂ inerte pendant qu’il sort le dessert.Il nous verse du vin, prend mon verre, me soulève la tète et me fait boire.Il me parle et me caresse doucement le corps pendant que je reprends mes esprits.- tu vas finir par me faire mourir, comment veux tu que mon cĹ“ur tienne avec tout ce que tu me fais subir -Il sourit mais ne dit rien.Nous avalons le dessert et buvons notre verre puis nous remettons nos vĂŞtements et rangeons les affaires.- tu veux faire le tour du lac Ă pieds — je vais essayer, j’espère y arriver -Nous partons en nous tenant par la taille, il se soucie souvent de savoir si je vais bien.La promenade est longue surtout parce que nous faisons beaucoup de haltes pour nous embrasser.Tard dans l’après-midi il m’offre une glace.Quand il me ramène chez moi je n’ai qu’une envie: me coucher, je ne rĂ©ponds mĂŞme pas quand ma mère me questionne voulant savoir comment s’est passĂ©e ma journĂ©e.Le lendemain le repas avec mes parents se passe super bien. Ma mère est conquise elle trouve Luc charmant et bien Ă©levĂ©.Avant de me quitter et entre deux embrassades fougueuses Luc m’annonce que ses parents veulent me connaitre et m’invitent le dimanche suivant « si je le veux bien ».Je suis d’accord. Je rayonne de joie, les Ă©vènements s’accĂ©lèrent.Je ne veux pas arriver chez lui les mains vides et sur les conseils de Luc je vais offrir une boĂ®te de chocolats Ă sa mère et des cigares Ă son père.De la façon dont les choses Ă©voluent je commence Ă espĂ©rer que ma vie va bientĂ´t prendre un virage important.