L’homme fontaine (1)
Louis, ado de 18 ans, est un complexe sexuel ambulant : puceau, Ă©jaculateur prĂ©coce et accroc Ă la masturbation. Mais sa vraie particularitĂ©, c’est d’Ă©jaculer des quantitĂ©s astronomiques Ă chaque fois.
Voici le dĂ©but des aventures fantastiques d’un « homme fontaine »…
Proposée le 12/07/2019 par André Halphus Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: MasturbationPersonnages: SoloLieu: A la maison, intimeType: Roman
Louis est un adolescent comme tant d’autres : il prĂ©pare assidĂ»ment son baccalaurĂ©at, il aime lire des BD, il aime regarder les jolies filles, en particulier pendant les cours de sport. A tout juste 18 ans, il jouit de la libertĂ© des jeunes lycĂ©ens majeurs, libre de gĂ©rer leur carnet de correspondance Ă leur guise, et d’aller et venir en boite et dans les bars.Mais Louis est aussi un adolescent complexĂ©. Non pas par le très rĂ©pandu syndrome de la douche, la nature l’ayant plutĂ´t bien dotĂ© de ce cĂ´tĂ©, mais davantage par sa carrure : il n’a pas le physique des athlètes stars du lycĂ©e. Et malheureusement il n’a pas l’assurance et le bagout des autres stars de sĂ©ducteurs. Il est au contraire timide et assez renfermĂ©. Son complexe ? Il ne se sent pas normal, et il a quelques raisons : quand il se masturbe, et cela lui arrive très souvent, il Ă©jacule très vite. Trop vite. Il en a bien conscience. De plus, il Ă©jacule des quantitĂ©s impressionnantes de sperme, et il peut le faire plusieurs fois de suite. Il est en quelque sorte une version masculine de la femme fontaine, et, comme beaucoup d’entre elles, en ressent un important complexe.Mais s’il n’a jamais osĂ© aborder les filles, et reste ainsi un puceau surchargĂ© d’hormones, il est devenu un vĂ©ritable professionnel de la masturbation, qu’il pratique au moins aussi assidument que ses Ă©tudes, plusieurs fois par jour. Le matin dans la salle de bain, en reniflant l’odeur intime des culottes sales de sa sĹ“ur et de sa mère. Aux rĂ©crĂ©ations, avec une petite branlette rapide pour se soulager des fantasmes qu’il accumule pendant la journĂ©e en regardant ses camarades ou sa jeune prof de mathĂ©matiques, tout juste diplĂ´mĂ©e. En milieu de soirĂ©e, selon le degrĂ© d’Ă©rotisme du film du soir. Et avant de dormir, dans son lit, en faisant le bilan de sa journĂ©e, prolifique en production sĂ©minale, mais toujours aussi catastrophique sur le plan relationnel. Pourtant un jour, tout a basculĂ© …C’est l’Ă©tĂ©, bientĂ´t la fin de l’annĂ©e, et les terribles Ă©preuves du bac. Terribles parce que, n’ayant pas de facilitĂ©s particulières, il est obligĂ© de beaucoup travailler pour assurer des notes descentes, qui lui permettront de poursuivre ses Ă©tudes en histoire de l’art. Ce qu’il y a de bien avec l’Ă©tĂ©, c’est que c’est très agrĂ©able de travailler dehors, d’autant que la petite bibliothèque de quartier oĂą il a pris ses habitudes dispose d’une terrasse oĂą il peut lire au soleil. Mais l’Ă©tĂ© c’est Ă©galement la pĂ©riode oĂą les jupes raccourcissent, les tops et t-shirts sont de moins en moins occultant, et l’ambiance gĂ©nĂ©rale est Ă©videmment plus Ă la fĂŞte que pendant les journĂ©es froides de l’hiver.
L’Ă©tĂ© est une pĂ©riode qu’il aime autant qu’il la craint : la chaleur, les couleurs de la nature luxuriante, les tenues affriolantes des jolies filles, sont autant d’aspects positifs de la belle saison. Mais avec l’Ă©tĂ©, son Ă©rotomanie prend des proportions difficiles Ă juguler. D’autant que plus il grandit, plus son sexe grandit lui aussi, rendant ses Ă©rections de plus en plus difficiles Ă masquer, et plus les quantitĂ©s de sperme qu’il Ă©vacue Ă chaque orgasme deviennent importantes, rendant le rĂ©sultat de ses masturbations de plus en plus difficile Ă cacher. Et il n’est pas question que quiconque apprenne qu’il se masturbe autant : puceau, Ă©jaculateur prĂ©coce et accroc Ă la masturbation, ce serait la honte suprĂŞme.Un soir, après d’intenses rĂ©visions dans la journĂ©e, il se rend donc dans la salle de bain pour voler une culotte de sa sĹ“ur dans le panier de linge sale, et s’enferme dans les toilettes avec son trophĂ©e. Sa sĹ“ur vient juste de se mettre en pyjama : la culotte est encore humide de ses sĂ©crĂ©tions intimes. Plus âgĂ©e que lui, sa sĹ“ur Sandra est surtout plus extravertie et dĂ©lurĂ©e. Si la transpiration est en grande partie responsable de l’humiditĂ© de ses sous-vĂŞtements, ses rencontres estivales beaucoup plus frĂ©quentes avec son petit ami du moment en sont Ă©galement partie prenante. Louis, dĂ©jĂ excitĂ© par l’humiditĂ© qu’il attribue Ă l’excitation de sa sĹ“ur, devient Ă moitiĂ© fou lorsqu’il porte la culotte Ă son nez : cette fois c’est sĂ»r, les traces blanchâtres qu’il caresse sur le linge sont bien le tĂ©moin des activitĂ©s Ă©rotiques de sa sĹ“ur, sur qui il fantasme Ă©videmment depuis longtemps, comme beaucoup d’ados ayant une grande (voire une petite) sĹ“ur !
Tout en respirant Ă pleins poumons l’odeur intime lĂ©gèrement acre de sa sĹ“ur, il fait courir son autre main sur sa hampe tendue Ă l’extrĂŞme. Il se contente d’effleurer son sexe, sans faire coulisser la peau. Il s’imagine en train de caresser le chaton de son hypothĂ©tique petite amie, pour ĂŞtre lui-mĂŞme la cause de cet Ă©panchement. Il imagine en retour que sa copine lui caresse le sexe, qu’elle empoigne finalement fermement, pour faire coulisser le prĂ©puce sur le gland, jusqu’Ă le dĂ©calotter complètement. Il tire sa main jusqu’Ă la base de son sexe, et empoigne ses testicules gonflĂ©s Ă l’extrĂŞme : il ne s’est pas masturbĂ© depuis sa branlette matinale.
Tenant sa bite par la base, il en tapote le gland sur la partie humide de la culotte : s’il Ă©tait en couple, il serait en train de flatter la vulve de sa copine, et enfoncerait son Ă©pĂ©e jusqu’Ă la garde, ce qu’il fait dans la culotte, en formant un puits avec ses doigts. Il est tellement excitĂ©, que dès le deuxième va-et-vient il retient un grognement et lâche une vingtaine de jets de sperme Ă©pais sur le fond de la culotte. Pour rester discret, il fait couler ce qu’il peut dans la cuvette, et essuie le reste avec du papier.
Mais la journĂ©e de continence a des consĂ©quences qu’il ne connait que trop bien : une seule Ă©jaculation, aussi imposante soit-elle, ne sera pas suffisante. Tant pis pour le rĂŞve et l’imagination : il doit jouir encore pour se soulager. Il repense Ă la petite Nadège, sa voisine de classe, venue s’installer Ă cĂ´tĂ© de lui dans la bibliothèque, exhibant sa poitrine de femme maladroitement enserrĂ©e dans son soutien-gorge trop petit de jeune fille. Ou encore Ă Karine, qu’il a croisĂ©e en rentrant, dans sa tenue de sport trempĂ©e de transpiration, et dont le minuscule bloomer moulait insidieusement ses grandes lèvres. Quelques allers-retours de sa main droite et dĂ©jĂ la jouissance frappe aux portes de son mĂ©at, soudainement transpercĂ© par une nouvelle rasade de sperme toujours aussi Ă©pais.
Mais alors mĂŞme qu’il profite des soubresauts des dernières rĂ©pliques, avant de pouvoir nettoyer la culotte pour un troisième tour, sa sĹ“ur hurle Ă travers la porte :
– « Putain Louis ça fait 10 minutes que t’es lĂ -dedans ! T’es en train de te branler ou quoi ?! »
Le mot « branler » agit comme un électrochoc pour Louis : et si elle savait ?! Il secoue rapidement la culotte au-dessus de la cuvette, pensant la débarrasser des preuves de son vol, remonte son boxer et son pantalon, tire la chasse et asperge les toilettes de désodorisant, pour se donner une excuse sur le temps passé dans les cabinets.
Il est rouge pivoine, non seulement par les chaleurs causĂ©es par sa masturbation, mais aussi, et surtout, par la honte qu’il Ă©prouve en passant devant sa sĹ“ur, qui l’Ă©carte de son chemin pour s’assoir sur le trĂ´ne. ObligĂ© de cacher la culotte dans son dos, Louis ne peut empĂŞcher sa sĹ“ur de le bousculer sur ce qu’il a de plus proĂ©minent : son sexe encore dur maladroitement cachĂ© dans son pantalon. Cette fois c’est sĂ»r, elle a du sentir son sexe. Elle sait tout.
Cette pensĂ©e honteuse l’aurait presque fait dĂ©bander si sa sĹ“ur, si pressĂ©e de se soulager, n’Ă©tait pas passĂ©e en l’ignorant totalement, sans mĂŞme prendre la peine de fermer la porte des toilettes. En passant devant la porte pour se rendre Ă la salle de bains, son regard est irrĂ©mĂ©diablement attirĂ© par le triangle noir de sa sĹ“ur, agrippĂ©e Ă la cuvette, la tĂŞte en arrière, manifestant par un long et profond soupir son soulagement. Cette vision, et le dĂ©tournement que son esprit lubrique opère, en s’imaginant Ă la place de la cuvette, avec sa sĹ“ur assise sur lui, l’achève une nouvelle fois, et c’est dans son boxer qu’il se rĂ©pand pour la troisième fois en 10 minutes.
Sans y penser, la tĂŞte encore dans les nuages de cette vision fugace, il s’essuie sommairement avec la culotte avant de la remettre sur le dessus du panier, oubliant toutes ses prĂ©cautions habituelles.- « Sandra, ma puce, tu peux aller chercher du lait Ă l’Ă©picerie ? Il n’y en a plus, et j’en ai absolument besoin maintenant, et je ne peux pas quitter la cuisine. »
« – Maman ! Je suis en pyjama, t’as qu’Ă envoyer Louis ! »
« – Non, Louis doit continuer Ă travailler. Aller, sois gentille, tu n’en auras que pour 5 minutes ».
En maugrĂ©ant, tant contre sa mère qui la traite comme si elle Ă©tait encore une petite fille, que contre son frère qui profite vraiment de l’approche du bac pour ne plus rien faire Ă la maison, Sandra sort des toilettes, et se dirige vers la salle de bains pour se laver les mains et rĂ©cupĂ©rer sa culotte. Hors de question de sortir en pyjama : si elle croise un copain ou une copine, c’est carrĂ©ment la honte.
Elle ouvre le panier et dĂ©couvre sa culotte complètement maculĂ©e d’une substance blanchâtre, crĂ©meuse, translucide par endroit, très Ă©paisse Ă d’autres. L’odeur très forte qui se dĂ©gage de la culotte ne laisse planer aucun doute : c’est du sperme, et il est frais !
Or il n’y a qu’un seul garçon prĂ©sent dans la maison : son frère Louis …La suite des aventures de Louis dans un prochain numĂ©ro ;)© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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