Pour la matinĂ©e, Marie due se faire belle ou plutĂ´t aguicheuse et sexy. Vic la voulait pute contrairement Ă la veille lors du resto. Ma mère s’exĂ©cuta et resta une bonne heure Ă faire une toilette et sĂ©ance de maquillage. Elle sortit , nue, n’Ă©tant autorisĂ©e qu’Ă porter des mules Ă talons haut. Vic voulait que les clients voient en prioritĂ© sa grosse poitrine. Il me regarda , satisfait:-Je crois que je vais faire une bonne vente cette fois ci!-Pourquoi?-Ta mère a une sacrĂ©e paire de nibards et son cotĂ© mature semble bien plaire aux clients! D’habitude, ils torturent des femmes plus jeunes!-« Torturent » mais….Il rit:-tu as bien du entendre qu’elle irait au « supplice »!-Non, non!! hurlais je-Je t’avais dit dĂ©s le dĂ©part que des dettes de jeu devaient ĂŞtre remboursĂ©es sinon tu subirais un supplice pire que la mort!-Ma mère a assez souffert comme cela! elle a Ă©tĂ© enlevĂ©e, sĂ©questrĂ©e, humiliĂ©e et violĂ©e. Puis prostituĂ©e Ă la chaĂ®ne!-Et alors? Je n’en ai rien Ă faire! le fautif , c’est toi, petit connard qui rĂ©alise enfin que tout Ă un prix! tu as voulu jouer au con en voulant te tirer sans payer!Ma mère avança et posa ses douces mains sur mes Ă©paules. Elle Ă©tait vraiment bandante maquillĂ©e comme ça.-Écoute! j’accepte mon sort, mon fils! tu dois t’en sortir! Moi, je suis fichue! les photos de mes actes sexuels sont sur le net! On me reconnaĂ®tra tĂ´t ou tard! Je prĂ©fère que ma famille me croie disparue plutĂ´t que de rĂ©apparaĂ®tre humiliĂ©e!Vic prit ma mère par la taille et plota ses grosses pastèques!-Ta mère a Ă©tĂ© une bonne putain et va rembourser ta dette avec de sacrĂ©s intĂ©rĂŞts.Marie, rĂ©signĂ©e baissa la tĂŞte lorsqu’un gars de Vic prĂ©vint:-Çà y’est, les clients arrivent! ils ont hâte!-La salle est prĂŞte?-Oui, tous les outils sont lĂ ! les trois bourreaux aussi!-Parfait! on signe l’acte de vente et vous emmènerez cette salope au lieu de torture!-Avec plaisir!Marie accompagna Vic qui la prĂ©senta nue cette fois, insista sur l’Ă©norme poitrine maternelle. Les clients portaient des masque vĂ©nitiens et affichaient des sourires pervers. C’Ă©tait les mĂŞme qu’hier au resto. Je reconnaissais certains couples malgrĂ© les masques dont l’un oĂą la femme avait une quarantaine d’annĂ©e. Il y’ avait aussi le couple malsain mère/fils qui semblait ĂŞtre les deux plus pervers. Ils Ă©taient silencieux, en attente. Les trois bourreaux firent leur apparition. En latex avec cagoule. Ils Ă©taient musculeux et on devinait Ă travers leurs yeux apparaissant Ă travers les trous de leur cagoule, une perversion extrĂŞme. Dans la salle, feutrĂ©e, une croix de saint AndrĂ©. Une longue table sur laquelle Ă©tait posĂ©e une multitude d’outils Ă©trange mais dont l’usage Ă©tait Ă©vident. Lors de l’arrivĂ©e de ma mère, applaudissements. On apporta Ă Vic une petite mallette d’oĂą il sortit des papiers: l’acte de vente.-Très bien! mesdames et messieurs! Avant d’entamer les rĂ©jouissances, nous devons passer par la partie administrative de la chose. Chacun devra apposer sa signature sur les pages du formulaire, suite Ă cela, j’y apposerai la mienne et enfin Marie signera en dernier!-pourquoi signe t’elle sa propre vente? demanda l’un des clients. J’Ă©tais moi mĂŞme intriguĂ© par la chose.-Vous le saurez dĂ©s lors qu’elle devra signer! C’est elle qui m’a proposĂ© de rajouter cela et j’ai acceptĂ© bien qu’Ă la base, elle n’avait pas son mot Ă dire.Alors tour Ă tour les participants signèrent avec hâte. Vic Ă son tour signa puis se fut autour de ma mère. Elle prit le stylo, dĂ©terminĂ©e puis regarda ses acheteurs:-VoilĂ pourquoi je vais signer ce contrat! Comme vous le savez, mon fils Ă tenter de fuir ses dettes et Vic a dĂ©cider de lui faire payer la chose Ă travers moi. Je suis consciente de la chose mais j’ai besoin de savoir que suite Ă mon supplice et Ă ma mise Ă mort, il soit dĂ©gagĂ© de toute ses dettes et reparte sauf!-M…mise Ă mort balbutiais je!Il y’ eut un brouhaha dans le public et les clients semblaient adorer la chose.-Hmm! oui, c’est la première fois qu’une victime signe et accepte son châtiment! je trouve ça intĂ©ressant!Ma mère repris:-Donc par ma signature, j’accepte mon supplice et ma mise Ă mort devant vous! En Ă©change, mon fils doit ĂŞtre libre et s’engage Ă ne rien dire Ă la police.Elle me regarda et dit :-tu apposeras toi aussi ta signature!-Mais, maman, je ne peux pas signer pour te faire mourir!-Fais le! je te l’ai dit, je prĂ©fère cela Ă la honte de rĂ©apparaĂ®tre! Je vais ĂŞtre torturĂ©e et ma mort doit ĂŞtre utile pour toi!Elle me pris la main et me fit signer puis Ă son tour, convaincu, elle mis sa signature sous les applaudissements. Vic jubilait:-VoilĂ ! Ă prĂ©sent que le spectacle commence!les bourreaux s’emparèrent d’elle. Elle ne se dĂ©battit pas, rĂ©signĂ©e, son corps ne lui appartenait plus en quelque sorte. Vic avait vendu ma pauvre mère comme un vulgaire tas de viande. L’un des bourreaux lui attacha les bras derrière le dos avec des menottes en plastique puis lui caressa les seins avec perversion. Il le faisait devant les spectateurs visiblement satisfaits de leur acquisition. Marie se laissait faire,dĂ©tendue tout en sachant l’issue fatale de son supplice. A force de malaxage, ses tĂ©tons durcirent. Le plaisir commença Ă envahir son corps. Le bourreau la doigta devant l’assemblĂ©e masquĂ©e. Il voulait que la victime jouisse avant son supplice. Marie, les bras attachĂ©s derrière le dos, fut promenĂ©e dans le public qui se mit Ă la tripoter. Ma mère jouissait de sentir toute ses mains la toucher. Des doigts lui rentraient dans le cul tandis qu’on lui fouillait la chatte. Ils voulaient ploter ce corps qu’ils avaient achetĂ©. Marie mouilla et se mit Ă gĂ©mir de plaisir, excitant l’assemblĂ©e. Après l’avoir laissĂ© se faire tripoter pendant un moment,l’un des bourreau la ramena au centre de la pièce, la fit se mettre Ă genoux, sortit son sexe Ă©norme et le lui enfourna dans la bouche. Marie s’activa Ă le pomper tandis que Vic meregardait avec un sourire narquois. Il Ă©tait heureux d’avoir transformĂ© cette femme en la dernière des putes. Cette femme qui, il ‘y a pas si longtemps Ă©tait une bourgeoise ordinaire. oui, il avait transformĂ© ma propre mère en putain: une putain qu’il allait faire torturer et mettre Ă mort pour me punir de ma tentative de ne pas payer ma dette. Pendant que ma mère attachĂ©e et Ă genoux, suçait Ă fond l’homme cagoulĂ©,un deuxième bourreau s’empara d’une cravache et commença Ă lui fouetter les fesses. Surprise , elle hurla de douleur et faillit mordre la bite de son partenaire malgrĂ© elle. L’homme retira son sexe gonflĂ© Ă bloc tandis que son collègue fouettait mĂ©thodiquement les fesses maternelles. Ma mère serra les dents tandis que son cul recevait les coups. Elle fut relevĂ©e et l’un des bourreaux la pris par les bras attachĂ©s derrière le dos et la poussa en avant. Il la maintint cambrĂ©e, poitrine en avant. Ce fut autour de sa grosse poitrine de subir les coups de cravache. Dans la salle , des hommes se masturbaient tandis que les femmes masquĂ©es jubilaient. Ma mère gĂ©mit de douleur cette fois. Elle Ă©tait très sensible des seins surtout que son tortionnaire lui fouettait tantĂ´t les nibards, tantĂ´t les tĂ©tons. Le troisième avait une cravache aussi et aida son camarade. Il travailla les cuisses, le cul et le ventre tandis que l’autre se concentrait sur les grosses loches de Marie. Des marques commencèrent Ă apparaĂ®tre. Ma mère souffrait terriblement. Ils s’arrĂŞtèrent permettant Ă Marie de reprendre son souffle. L’un des bourreaux la caressa comme pour faire disparaĂ®tre la douleur. Il lui caressa les seins, lĂ©cha les tĂ©tons et la doigta un peu. Le plaisir revint. La torture reprit. Maintenant les bourreaux se munissent de bâtons Ă©lectriques. Chacun leur tour, ils lui provoquent de petites dĂ©charges. Ses seins sont la principale cible. A chaque dĂ©charge, ma mère gĂ©mit et les clients sont heureux de la voir se tordre. la souffrance de cette femme mâture, aux gros seins, les remplit d’excitation. Ils commencent Ă lui Ă©lectrocuter la chatte. Les dĂ©charges ne sont pas puissantes mais suffisantes pour infliger de la douleur. Ma mère est saisie puis attachĂ©e lentement sur la croix de saint AndrĂ©: ses chevilles et poignets immobilisĂ©s par des lanières en cuir . On lui met aussi un « gag ball » noir. crucifiĂ©e, chatte et seins offerts, ma mère est godĂ©e puis baisĂ©e par l’un des bourreaux devant l’assemblĂ©e excitĂ©e. Certains clients ne peuvent plus se retenir et demandent de se vider les couilles Ă leur tour. Ils en profitent pour malaxer les grosses loches maternelles. Le visage de Marie alterne entre douleur et plaisir intense. ÉlectrocutĂ©e, ramonĂ©e, son corps alterne plaisir et souffrance. La sueur recouvre son corps tant il est sollicitĂ©. Son corps est luisant, ses beaux cheveux commencent Ă coller et elle a du mal Ă reprendre son souffle. Vic savoure cette performance. Cette femme bien que mâture, aura sans doute Ă©tait son meilleur gagne pain Ă court terme. Les bourreaux laissent la femme reprendre son souffle. Elle halète, Ă©puisĂ©e faisant gonfler sa poitrine luisante. Pendant ce temps, les bourreaux dĂ©posèrent tout un matĂ©riel Ă cotĂ© d’elle puis lentement, lui posèrent des dizaines d’Ă©lectrodes sur tous le corps. Ma mère tressaillit Ă cause du contact des miniventouses froides. Les Ă©lectrodes lui furent placĂ©es sur les seins, le ventre, les biceps, les cuisses et les mollets. Les clients Ă©taient assez circonspects: quel Ă©tait l’intĂ©rĂŞt de truffer ce corps plantureux d’Ă©lectrodes? Vic regarda ses trois bourreaux et sourit. L’un des trois acquiesça et tourna un bouton sur la console. Le courant passa dans les fils et atteint le corps de Marie qui cria de douleur. Les deux gros seins se contractèrent puis se relâchèrent. Le courant contractait les pectoraux provoquant un ballotement des deux grosses masses de chair qu’Ă©taient ses seins. La dĂ©monstration plu…tonnerre d’applaudissements. Le bourreau rĂ©pĂ©ta une dizaine de fois l’opĂ©ration et je vis avec Ă la fois fascination et horreur, la poitrine maternelle remuer sous l’effet de l’Ă©lectricitĂ©. Vic proposa alors que chaque membre du public puisse jouer de la console. Pendant une heure qui dura une Ă©ternitĂ©, le corps plantureux de ma mère fut soumis Ă la torture. Ainsi, son ventre, ses cuisses, mollets, biceps et surtout son Ă©norme poitrine subirent des contractions. La douleur Ă©tait insoutenable mais Marie tint bon. Toujours basĂ© sur le mĂŞme principe que tout Ă l’heure, un bourreau la godait de temps Ă autre histoire de lui donner du plaisir. Je voyais que ma mère Ă©tait Ă nouveau Ă©puisĂ©e, suante, haletante. Mais ce qui importait au public masquĂ©, c’Ă©tait leur propre plaisir. Par exemple, le fils du couple incestueux Ă©prouvait un immense plaisir Ă lui torturer les seins. Chacun avait son truc. Les cuisses plaisaient aussi. Le courant contractait les muscles et en se relâchant, bougeait la lĂ©gère couche de cellulite. Le fils incestueux fit remarquer que les fesses avaient Ă©tĂ© oubliĂ©es. Pas de problème. On apposa deux Ă©lectrodes sur chacune des fesses et le calvaire pu se poursuivre pour le plus grand plaisir des clients. Pareillement, les muscles fessiers se contractèrent et se relâchèrent provoquant un superbe ballottement.Vic s’empara de deux pinces crocodiles qu’il posa sur les tĂ©tons hypersensibles de ma mère qui hurla. puis, sans pitiĂ© , balança du courant . Ma mère se contorsionna pour Ă©chapper Ă la douleur mais les liens Ă©taient bien serrĂ©s. Ses grosses loches ne pouvaient que subir l’abominable torture. Elle tentait de ne pas crier de douleur mais c’Ă©tait quasi impossible. Je voyais son beau visage se crisper, les yeux fermĂ©s, serrant les mâchoires tandis que le courant torturait son corps.On lui enleva alors les Ă©lectrodes et elle fut dĂ©tachĂ©e de la croix de saint AndrĂ©. Les bourreaux la retenait pour pas qu’elle tombe tant elle Ă©tait Ă©puisĂ©e. Au bord de l’Ă©vanouissement, le corps de ma mère pendait mollement entre les bras puissants de ses bourreaux. la fin allait arriver bientĂ´t , je le sentais. Marie fut attachĂ©e Ă deux anneaux reliĂ©s Ă une palan. puis suspendue, bras tendu vers le haut. Ses pieds touchaient le sol. Vic se positionna derrière elle et entama un discourt:-Mesdames et messieurs! cette superbe femme mâture fut un rĂ©gal pour ce spectacle! Je dois faire part de tout mes remerciements Ă son dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© de fils qui sans son addiction pour le jeu, n’aurait jamais permis que l’on puisse s’amuser avec le corps de sa propre mère. je vous demande de l’applaudir!Applaudissements.-Maintenant, il est temps que cet abruti paie les intĂ©rĂŞts de sa dette!Il se tourna vers moi et avec un regard monstrueux me dit:-Tu vas voir que ton châtiment sera pire que la mort!Il claqua des doigts. les bourreaux se mirent Ă fouetter les gros seins, le cul, le ventre de ma mère suspendue. La , ils se laissèrent aller. Des marques rouges commencèrent Ă strier son corps. Mais dĂ©jĂ Marie ne sentait presque plus rien. Pendant la flagellation, Vic sortit s’empara d’un gode Ă©lectrique et la pĂ©nĂ©tra avec. Les vibrations dĂ©clenchèrent une immense vague de plaisir qui sembla ressusciter ma mère. Elle lâcha un râle de plaisir tandis que vic la masturbait. Son corps commença Ă se tordre sous l’effet du bonheur qui l’envahissait. Son cĹ“ur Ă©tait sur le point d’exploser.Elle ruisselait complĂ©tement de sueur. Vic excitĂ© par la plaisir de cette femme continuait son acte. Le gode, d’une taille plus que raisonnable, semblait donner de l’Ă©nergie au corps de Marie. Les cris de plaisir de ma mère excita aussi toute la clientèle. LĂ , je me demandais si vic ne voulait pas la mettre Ă mort par un excès de plaisir sexuel. Si marie jouissait, on pouvait aisĂ©ment voir qu’elle puisait dans ses dernière forces. Il la branla encore 5 minutes puis jeta un regard Ă un des bourreaux qui cette fois revint avec un poinçon. MĂ©thodiquement, il s’empara d’une des grosses loches, tira sur le tĂ©ton et le perça. puis il y fixa un anneau. Ma mère serra les dents et regarda l’opĂ©ration se faire sur son gros nibard, impuissante. Le bourreau rĂ©pĂ©ta l’opĂ©ration sur son autre sein. Ensuite, il attacha les anneaux Ă de fines cordes reliĂ©es Ă des poulies au plafond. Puis lentement , il se mit Ă tirer sur les longs tĂ©tons, les cordes soulevant les Ă©normes nichons maternels vers le plafond. Pendant ce temps, vic la masturba Ă nouveau avec le gode. On se mit Ă fouetter les loches suspendues, ses cuisses, son ventre et ses bras Ă©tirĂ©s au maximum. On pouvait lire le calvaire douloureux de Marie sur son visage. Ils Ă©taient Ă 2 y compris Vic Ă s’affairer sur le corps sans dĂ©fense de ma pauvre mère. L’homme qui fouettait les seins accĂ©lĂ©ra la cadence tandis que deux autres bourreaux vinrent avec de longues aiguilles. Marie hurla d’horreur puis de douleur lorsqu’on lui transperça de part en part ses si beaux seins. Ils prenaient leur temps tandis qu’un gode gigantesque fut insĂ©rĂ© dans son anus. Rapidement les gros nichons ressemblaient Ă deux pelotes de laines transpercĂ©es par des dizaines et des dizaines d’aiguilles. Inutile de prĂ©ciser que ça filmait et ça photographiait dans le public. Au bout de trois longues heures de tortures ininterrompues , l’ homme masquĂ© qui avait attachĂ© les nichons se munit d’une pince et attrapa le tĂ©ton. Il tira , tira jusqu’Ă l’arrachage de celui ci. Marie hurla de douleur et le nibard transpercĂ© d’aiguilles aux mamelons ensanglantĂ©s retomba lourdement. L’homme fit de mĂŞme pour l’autre sein gigantesque qui retomba en ballottant. Vic approcha du corps de ma mère meurtri et gĂ©missante et me regarda .-Je t’avais dit! Si tu ne payais pas tes dettes, ta punition serait pire que la mort.Il sortit alors son taser…Il visa entre les deux gros seins ravagĂ©s et transpercĂ©s d’aiguilles. Les deux aiguillons s’enfoncèrent dans la chair tendre rependant une nouvelle vague de souffrance pour la pauvre Marie dont le corps tressautait sous l’effet de l’Ă©lectricitĂ© qui dĂ©truisait son corps. Sauf qu’il n’arrĂŞta pas cette fois. Je m’Ă©vanouis horrifiĂ© car je m’apercevais qu’il Ă©tait en train de la mettre Ă mort pour le plus grand plaisir de ses tarĂ©s de clients.J’Ă©mergeais au bout d’une bonne heure. Tous Ă©taient partis sauf Vic et ses comparses qui m’observaient d’un air pervers. LĂ , je vis ma mère, Ă©chevelĂ©e, nue et sans vie allongĂ©e sur une bâche, les bras et les jambes n’importe comment. Elle ressemblait Ă un pantin au corps ravagĂ© et souillĂ©e de sang, de foutre et de sueur.-Des clients, des saletĂ©s de nĂ©crophiles,mĂŞme moi, je les dĂ©teste, ont payĂ© pour jouer avec son corps après sa mort.Je faillis vomir. Vic sorti un flingue et me mis en joue.-VoilĂ , ta dette est effacĂ©e comme convenu avec ta mère. Mais si tu t’avises de baver , on s’attaquera a ta sĹ“ur et ton ex compagne. un gars va venir s’occuper du corps.-elle savait depuis le dĂ©but que vous alliez la mettre Ă mort!-Elle s’est sacrifiĂ©e pour toi au nom de ta bĂŞtise et de ta lâchetĂ©. Les addictions ont des consĂ©quences qui se rĂ©percutent sur tes proches.-Vous auriez pu juste la prostituer.-Non, les sales cons de ton espèce mĂ©rite une leçon de la pire espèce. Si tu n’avais pas jouĂ© et payĂ© tes dettes comme convenu, elle serait encore en vie. Pire encore, tu as essayĂ© de nous doubler. Et mes clients se sont bien amusĂ©s avec ta maman et nous aussi.Il rit. Son tĂ©lĂ©phone portable vibra.-Vous avez la blonde enceinte?…bien…son mari va comprendre son erreur!DĂ©jĂ , Vic avait oubliĂ© Marie et allait se concentrer sur la femme d’un autre connard comme moi. Une camionnette arriva. En sortit un homme, la cinquantaine, Ă©norme. Il salua Vic et regarda le corps sans vie de Marie.-J’aurai bien aimĂ© la baiser celle lĂ , avec ses gros nichons.Il me regarda avec un air mĂ©prisant:-Pauvre connard! une belle femme comme ça…Ă cause de toi!Il ferma la bâche et l’emporta. On me dĂ©posa prĂ©s de chez moi. J’Ă©tais anĂ©anti. Plus jamais je ne mis le pied dans un casino…Fin