174 35Histoire de sexe : Lili rencontre un mec en boite de nuit CorrigĂ© et rĂ©sumĂ© par Dialogue69 le 27/11/2013PubliĂ© le 27/11/2013Coucou Ă tous, c’est Lili.J’espère que vous allez bien par ce temps qui se rafraĂ®chit de plus en plus. Moi rien ne me refroidit! Je suis toujours chaude, toujours bouillante et toujours opĂ©rationnel pour vous raconter mes petites aventures.Comme vous le savez je suis une grande fĂŞtarde et le week-end dernier, pour ne rien changer Ă mes habitudes, je suis allĂ©e en discothèque.Le club Ă©tait rempli et il y avait une ambiance de folie.Je me suis dĂ©chaĂ®nĂ©e sur la piste de danse. Je me dĂ©hanchais comme une petite folle. Mes mouvements de bassins n’ont pas laissĂ© indiffĂ©rent certains individus de la gente masculine et j’ai senti quelqu’un se coller derrière moi. Je dansais avec une amie qui Ă©tait en face de moi et elle m’a fait un petit signe de tĂŞte pour me signifier qu’il Ă©tait mignon. Alors j’ai laissĂ© l’inconnu dont je ne connaissais mĂŞme pas encore le visage, se plaquer contre mon corps. Ses mains se sont agrippĂ©es Ă mes hanches et nous avons commencĂ© Ă onduler ensemble.C’Ă©tait chaud très chaud, j’Ă©tais limite excitĂ©e et j’ai compris que c’Ă©tait rĂ©ciproque en sentant une bosse appuyer contre mes fesses. Vu sa taille je devinais que sa queue devait ĂŞtre Ă©norme. Rien que d’essayer d’imaginer son calibre, ça m’a rendue toute chose.Je me suis retrouvĂ©e et j’ai dĂ©couvert son visage. C’est vrai, il Ă©tait plutĂ´t bogosse. Nous avons continuĂ© Ă danser cuisses contre cuisses, ma poitrine Ă©crasĂ©e contre son torse. Il a plongĂ© sa tĂŞte dans mes cheveux et ses lèvres ont effleurĂ© mon cou. Un petit frisson d’excitation m’a chatouillĂ© l’entre jambe.Nous nous sommes arrĂŞtĂ©s un instant pour aller boire un verre au bar, histoire de nous rafraĂ®chir. J’ai appris qu’il s’appelait Dylan, ça fait un peu Beverly Hills j’avoue, d’ailleurs maintenant que j’y pense ce n’est mĂŞme peux-ĂŞtre mĂŞme pas son vrai prĂ©nom 🙂 Qu’importe…Nous sommes retournĂ©s sur la piste et lĂ il est devenu très entreprenant. Discrètement il a glissĂ© sa main sous ma jupe et sous mon string et il m’a mis des doigts. Je me faisais doigter en plein milieu de la piste de danse et je mouillais comme une petite chienne.C’est mes amis qui ont interrompu cette caresse. Ils voulaient rentrer et comme j’Ă©tais venue avec eux, je n’avais pas d’autres choix que de les suivre. Je n’avais pas envie de laisser ma nouvelle rencontre, mais heureusement, ce dernier a proposĂ© de me raccompagner.En fait, nous sommes aussi partis tout de suite. J’avais ma petite idĂ©e en tĂŞte.Quand nous avons Ă©tĂ© en bas de l’immeuble, je lui ai proposĂ© de monter. Il n’attendait que ça.Dès que la porte de mon appartement a Ă©tĂ© fermĂ©e, nous nous sommes jetĂ©s l’un sur l’autre, comme des bĂŞtes. Il m’a presque arrachĂ© mes vĂŞtements. Moi je n’en pouvais plus, j’avais envie de dĂ©couvrir sa grosse queue.Je me suis agenouillĂ©e en baissant Ă la fois son pantalon et son boxer. Comme je l’avais devinĂ©, sa queue Ă©tait Ă©norme.Elle Ă©tait bien dure, prĂŞte Ă l’emploi et je l’ai gobĂ© entièrement. Elle a emplit complètement ma bouche et je l’ai pompĂ©e avec aviditĂ©.Dylan a empoignĂ© ma tĂŞte pour m’accompagner dans mon mouvement.C’Ă©tait bon, inattendu. Ma mouille inondait l’intĂ©rieur de mes cuisses.Ses mains toujours plaquĂ©e sur mon visage, il m’a redressĂ©. Il m’a soulevĂ© du sol et il m’a entraĂ®nĂ©e sur le canapĂ© oĂą il m’a poussĂ©e.- Capote? a-t-il demandĂ©.Je lui ai dĂ©signĂ© mon sac Ă main et il l’a fouillĂ© jusqu’Ă en sortir le prĂ©servatif qu’il s’est empressĂ© d’enfiler.J’Ă©tais Ă©tendue sur le dos et il s’est allongĂ© entre mes cuisses grandes ouvertes. D’un lent mouvement de rein, il a enfoncĂ© sa grosse queue en moi. Centimètre par centimètre, elle a glissĂ© le long des parois de mon vagin jusqu’Ă m’emplir complètement. Je me suis arche boutĂ©e pour l’accueillir encore plus profondĂ©ment.Il a entamĂ© de lent vas et viens, trop lents pour moi. Alors j’ai appuyĂ© sur ses fesses pour lui faire comprendre. Je n’ai pas eu besoin de lui faire un dessin. Il m’a dĂ©foncĂ©e. Il s’acharnait dans ma chatte comme un marteau piqueur. Sa peau claquait contre la mienne et j’Ă©prouvais tellement de plaisir que je n’arrivais mĂŞme plus Ă gĂ©mir.Et puis tout Ă coup, l’explosion, pour lui, comme pour moi. Il a remplit sa capote de sperme et j’ai jouis en mouillant abondamment.Rien de tel qu’une petite partie de jambe en l’air pour passer un bon week-end.Je vous lèche partout vous lecteurs de dialogue 69 et je vous dis Ă bientĂ´t pour de nouvelles aventures.
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