Cette histoire et la suite de mes échanges et rencontres avec Linda, rencontrée peu avant dans une brasserie (voir histoire 4595).Depuis ma rencontre avec Linda et ce magnifique après midi qu’elle m’a offert, deux semaines se sont écoulées. Nous nous étions quittés en échangeant nos adresses e-mail et nous nous sommes écrit presque chaque jour. Au début, nous nous racontions des banalités et parfois nos discussions dérivaient sur nos fantasmes et nos envies, nos besoins et nos manques en matière de sexualité. Je dois dire que Linda qui est pourtant d’origine étrangère a une écriture excellente et l’érotisme doivent faire partie de ses gênes. C’est une très bonne conteuse et la lecture de ses messages liés aux souvenirs de notre première rencontre me mettent chaque fois dans un fort état d’excitation que je ne peux réprouver et il m’arrive d’en venir à me soulager seul. Le plaisir n’est évidemment pas le même que lorsque cela est fait par une tierce personne mais depuis mon adolescence, j’ai toujours pratiqué la masturbation et je considère cette pratique tout à fait naturelle et normale.Après une première semaine d’échanges plutôt gais et enjoués, je sentais le ton changer dans ses propos. Son mari, qui devait rentrer de sa mission pour les vacances était retenu plus longtemps que prévu et Maria, sa dame à tout faire avec qui elle a des échanges qui sont parfois bien loin de ceux qu’a une employée avec sa patronne est partie en congés pour plusieurs semaines. Elle ne reste donc qu’avec sa belle-fille que je n’ai pas l’honneur de connaître. Sentant le désarroi grandir, je décidais de prendre une demi-journée de repos pour aller la voir.Il fait très chaud ce jour. La canicule de cette fin de juillet est insupportable mais elle a le mérite de rendre les femmes plus belles dans des petites tenues toutes plus affriolantes les unes que les autres. Que l’été est agréable au regard des hommes ! J’arrive chez Linda vers quatorze heures et je sonne à la grande porte en fer de son jardin. Des bruits de pas dans les cailloux de la cour m’avertissent de la venue de quelqu’un. La lourde porte s’entrouvre et une jeune fille, le type asiatique, habillée d’un peignoir blanc pointe la tête et m’interpelle :— Bonjour, vous désirez ?— Je viens voir Linda— Vous êtes Kevyn ?— Oui— EntrezJe pénètre dans la cour et attends. La jeune personne ferme la porte derrière moi et me demande de la suivre. Nous pénétrons dans la maison et elle me guide dans le salon. Les souvenirs des ébats d’il y a deux semaines me reviennent en mémoire. Je m’assieds dans le petit canapé deux places à son invitation.— Voulez-vous un café ?— Avec plaisir.— Linda a du s’absenter un instant, elle m’a expliqué et demandé de vous faire patienter.Mon hôte s’en retourne et me laisse seul. Je ne sais plus vraiment que faire. Dois-je rester et attendre ou dois-je trouver un prétexte pour m’en retourner. Je n’ai pas le temps de réfléchir que la jeune fille est déjà de retour avec les cafés. Elle les pose sur la table basse et m’invite à me servir en sucre. Je prends ma tasse et la regarde. Elle n’est pas grande, moins d’un mètre soixante sans doute, très menue, assez fragile même, le teint mat, les yeux légèrement bridées. Son peignoir ne me permet pas d’en voir plus. Je la dévisage maladroitement de la tête aux pieds et je perçois une certaine gêne chez elle.— Je suis Kim, la belle-fille de Linda.— Enchantée de faire votre connaissance— Après le décès de ma mère, mon père a rencontré Linda. Je n’étais encore qu’une petite-fille. Il a ensuite obtenu un poste en France et nous sommes venus habiter ici. J’aime beaucoup cette ville. La province est agréable et il y a ici tout ce dont j’ai besoin.— Vous poursuivez des études ?— On pourrait se tutoyer si cela ne vous dérange pas ?— Pas du tout, au contraire.— Je me sentirais moins gamine ainsi. J’ai passé mon bac en France et je fais maintenant des études de l’art depuis 3 ans.Depuis trois ans ! Ces mots m’avaient interpellés. Depuis mon voyage en Indonésie je savais qu’il était difficile de donner un âge aux femmes asiatiques et qu’elles faisaient longtemps très adolescente mais Kim me semblait vraiment jeune. Je lui donnais tout au plus dix-sept ans.— Je m’excuse Kim, je vais te poser une question indiscrète et tu n’es pas obligé de me répondre mais j’ai beaucoup de mal à te donner un âge.— Ça ne me dérange pas. J’ai vingt et un ans. Vous autres, européens, n’avez pas l’habitude des asiatiques et vous nous prenez souvent pour des gamines.Elle penche son buste en avant pour reposer sa tasse sur la table et j’aperçois par l’entrebâillement du peignoir le haut de ses seins enveloppés dans un petit dessus de maillot de bain blanc. Sont-ils petits ou gros ? Quelle forme ont-ils ? Il faut que je réagisse et que je détourne mon regard car mon imagination commence à me jouer des tours et je sens mon sexe grossir. Si elle s’en aperçoit, je vais passer pour un vieux cochon et je n’aimerai pas la décevoir à notre première rencontre. Je tente de reprendre notre conversation.— Linda doit-elle rentrer bientôt ?— Tu t’ennuies avec moi ?A sa réponse je me rends compte que je viens de faire une énorme bêtise.— Pas du tout, ta compagnie est même agréable mais je ne voudrais pas te faire perdre de temps.— Tu ne me déranges pas. Avant ton arrivée, je faisais le lézard en maillot de bain sur la terrasse. Il est impossible de bronzer dénudé ici. Nous sommes entourés de maisons habitées par des personnes d’un âge avancé et ils sont sans cesse à regarder par les fenêtres.— Ta couleur de peau permet le bronzage avec maillot, les marques ne se voient pas.— C’est vrai, mais nous sommes une famille très libre et nous partons d’habitude chaque année pratiquer le naturisme dans le sud de la France.— Le naturisme ?— Oui, j’aime beaucoup vivre nue. Nous sommes tous égaux devant la nudité. Je te choque ?— Pas du tout, je n’ai jamais essayé, peut-être aimerai-je ?— Nous vivons également nus ici, à la maison et il est vrai que parfois cela a entraîné des situations assez cocasses. Depuis que mon père est avec Linda, la liberté du corps a fait son entrée chez nous. Il nous arrive souvent de vivre ainsi, et Maria s’affairant à son service dévêtue et une image excessivement excitante pour nous trois et il est arrivé que certains plats reste dans les assiettes et que nous nous régalions de bien d’autres bonnes choses.Je sens le fard me monter aux joues. Je ne m’attendais pas à une telle discussion avec ce petit brin. Je ne sais plus comment me tenir. Les mots me manquent. Kim doit s’en apercevoir et elle reprend la conversation.— J’espère que je ne te gêne pas avec mes propos. Linda m’a raconté votre rencontre et j’ai eu dans le détail le récit de vos ébats avec Maria. Elles sont belles quand elles font l’amour ensemble. N’est ce pas ?— Tu as raison, elles sont très belles mais ton père ne trouve rien à redire à cela ?— Quand mon père est ici, il arrive souvent qu’il participe avec Linda et Maria et j’ai moi-même participé plusieurs fois avec l’une ou l’autre des deux voire avec les deux mais je ne fais l’amour avec elle que lorsque mon père est absent. Nous sommes très libres sexuellement. J’aime beaucoup les femmes, leur douceur est un atout pour une relation. Les hommes sont souvent plus brutaux, bien que Linda m’ait dit que tu n’es pas vraiment comme ça, peut-être que ton côté bi te rend un peu féminin.— Merci, je prends ça comme un compliment.— Tu peux, mais ce ne sont que les dires de Linda.— Evidement puisque nous n’avons jamais eu de relations ensemble et tu préfères certainement avoir des rapports avec des garçons de ton âge.— Pas du tout, l’expérience d’un homme mûr est bien meilleure. J’ai souvent été déçue avec les jeunes de mon âge. Ils ne pensent qu’à la pénétration et ils finissent presque avant d’avoir commencer. J’ai rarement été au bout et je suis plus d’une fois resté sur ma faim. C’est décevant et c’est aussi pour cela que j’aime faire l’amour avec une femme.Je ne savais plus très bien où j’en étais. Le franc parler de cette jeune femme au sujet des relations sexuelles et la justesse de ses propos, qui attestait d’une certaine expérience me désemparaient. Elle se redressait soudain et me dit :— Veux-tu boire quelques choses, je papote et j’ai soif ?— Non merci, ou alors un verre d’eau.Elle s’absente juste un instant à la cuisine et revient avec deux verres d’eau. Elle me donne le mien et prend place dans le petit canapé à côté de moi. Je sens un doux parfum exotique se dégager. En s’asseyant, elle ne prit pas garde de mettre son peignoir sur ses jambes et les pans sont tombés de part et d’autre de ses cuisses. Des cuisses fines et parfaitement dessinées. La ceinture du peignoir est attachée lâchement et j’aperçois maintenant son slip de bain. Il est du même blanc que le dessus et le contraste avec sa peau hâlée et du plus bel effet. J’ai envie de la prendre dans mes bras, de lui enlever ce peignoir qui doit lui tenir si chaud, de la serrer contre moi mais une force intérieure me tétanise complètement. J’ai pourtant déjà eu des aventures avec femmes bien plus jeunes que moi mais la situation n’est ici pas la même. Que dirait Linda si elle nous surprenait ? Perdrait-elle ma confiance, je désire rester ami avec elle et poursuivre nos relations. D’un autre côté, je n’ai jamais fait l’amour avec une femme de type asiatique et il est vrai que j’aime bien aller sur certains sites Internet pour consulter les photos de ces femmes enfants. Ce n’est plus une enfant, elle a vingt et un ans, elle est assez grande pour savoir ce qu’elle a à faire. Je tourne et retourne ces idées et ces questions dans ma tête, je ne suis plus vraiment sur la même planète. J’ai l’impression de vivre un songe. Tout à coup, un délicat baiser posé sur ma joue me fait revenir sur terre. Kim s’est encore approchée de moi et me dépose des petits baisers sur le visage. J’ai d’abord un mouvement de recul, mais je ne peux aller très loin, je suis coincé dans le fond de ce canapé que je trouve vraiment trop petit. J’ai soudain très chaud, il faut que je me ressaisisse, je ne vais pas fuir devant cette petite princesse. Je tourne la tête vers Kim et nos lèvres se rencontrent. Je réponds à ses sollicitations en couvrant sa bouche de la mienne. Elle l’ouvre et nous jouons avec nos langues. Sa bouche à un parfum formidable, très sensuelle. Je suis au comble de mon excitation et mon pantalon et mon slip sont trop petits. J’ai une forte érection. Je ne contrôle plus rien. Nos mains commencent à chercher le contact de l’autre corps. Je descends doucement derrière sa nuque et dégage ses épaules du peignoir. Je caresse sa peau, elle est d’une douceur extraordinaire, une vraie peau de bébé. Son parfum est enivrant. Je détache sa ceinture et écarte les pans du peignoir. Elle m’aide et la voici maintenant uniquement vêtue de son petit bikini. Je détache les boucles du soutien-gorge et l’envoi rejoindre le sol. J’ai enfin sa poitrine devant mes yeux. Elle a des seins splendides. Je n’aurai jamais cru qu’une si petite femme pouvait avoir une poitrine aussi grosse. Il est vrai que ce n’est pas les seins ronds et provoquants de Maria mais vue le gabarit de Kim, je trouve qu’elle est plutôt bien fournie.— Les trouves-tu beaux ? Me demande-t-elle.— Très beaux. Je ne pensais pas…— Tu ne pensais pas que je puisse avoir de tels seins n’est ce pas ?— Oui— Ce sont des vrais, garantie cent pour cent naturels. J’aime les prêter mais il faut savoir être doux pour les faire pointer et après j’adore qu’on me les mordille et qu’on me les pince.Je vais alors aussitôt te faire plaisir car j’adore jouer avec des seins.Tout à coup, nous entendons la porte d’entrée claquer. Nous sursautons l’un et l’autre. Kim remet rapidement son peignoir et reprend place dans le fauteuil face à moi.Je reconnais l’accent anglo-saxon de Linda.— Dans le salon, répond Kim, je tiens compagnie à Kevyn.Linda apparaît dans l’huisserie de la porte, elle se dirige vers Kim, lui pose un baiser sur les lèvres, la remercie et vient m’embrasser. Je n’ai même pas le temps de dire un mot qu’elle a déjà pris possession de ma bouche et que sa langue me fouille jusqu’à la glotte. Elle s’assied à côté de moi et me dit :— Je m’excuse mais j’ai eu un impondérable, Kim a-t-elle été un hôte à la hauteur ?— Elle a été parfaite, Kim est très intéressante, nous avons bien discuté.Soudain je vois le regard de Linda se diriger vers le sol. Le dessus du maillot de Kim gît par terre à proximité du canapé.— Discuté, en êtes-vous certain ? Uniquement discuté ?Elle éclate de rire et renchérit :— Kim te plaît ?— Euh… Oui… C’est un joli petit brin de femme. Intelligente et très sensuelle. Il est vrai qu’elle ne me laisse pas indifférent.— Une autre fois tu pourras être câlin avec elle mais aujourd’hui je te veux pour moi seule et nous avons déjà perdu assez de temps, viens.Elle se relève rapidement en me tenant la main. Je regarde Kim. Elle a l’air déçu. Il est vrai que nous étions bien chauds tous les deux. Pour ma part je vais pouvoir assouvir mes envies mais elle, elle reste sur sa faim. J’ai quelques remords mais je ne désire pas décevoir Linda et je la suis. Nous entrons ensemble dans une grande chambre. Un lit immense est positionné au centre de la pièce. Les murs sont recouverts de tentures rouges. Un climat particulier règne dans cette pièce. Je ne sais pas si je veux entrer ou fuir. J’appréhende la suite mais Linda me tire à l’intérieur et repousse la porte derrière moi. Elle me pousse vers le lit et m’enlace de nouveau. Son baiser me fait oublier l’endroit ou nous sommes et je sens mon sexe reprendre vigueur et se retrouver encore une fois à l’étroit dans mon slip. Linda étant appuyée contre moi, elle détecte immédiatement mon état. Une de ses mains quitte mon cou et vient se poser sur ma braguette. Rapidement sa deuxième main rejoint la première et elle entreprend de détacher mon pantalon. J’ai à peine le temps de réagir que je me retrouve déjà les fesse et la verge à l’air avec mon pantalon et mon slip au niveau des chevilles.— J’en ai trop envie me dit Linda, je n’ai pas fait l’amour avec un homme depuis notre dernière rencontre et Maria est partie depuis plus d’une semaine. Il faut que je rassasie mon appétit de sexe.— Et Kim ?— Quoi Kim ?— Vous deux ? Elle m’a dit que…— Ah ! Je vois qu’elle t’a mise au courant. Oui bien sur, nous faisons parfois l’amour avec Kim mais ce n’est pas pareils, c’est ma belle-fille et j’ai toujours l’impression de pratiquer un inceste, tu comprends ?— Oui, très bien, mais il n’y a aucun lien de sang entre vous et ce n’est pas pécher d’avoir envie d’une fille aussi belle.— Je crois que je suis vraiment arriver à temps, elle t’a tapé dans l’œil n’est ce pas ?— Disons que je la trouve très attirante et je dois t’avouer que si tu étais rentrée un peu plus tard tu nous aurais sans doute surpris dans d’autres positions.— Nous verrons plus tard avec Kim, pour le moment je te veux uniquement pour moi.Joignant le geste à la parole, elle courbe son échine et englobe goulûment mon sexe dans sa bouche sans aucune retenue. Elle commence aussitôt un mouvement de haut en bas avec sa tête. Des bruits de salive et de succion montent de plus en plus fortement dans la pièce. Elle quitte ma verge un court instant et un filet de bave relie sa bouche à mon gland. Elle l’aspire, lève les yeux pour me regarder, m’adresse un sourire et me dit :— Tu aimes n’est-ce pas ?— Oui, beaucoup, mais toi aussi ?— J’adore, je veux te boire, laisses toi aller et jouis dans ma bouche, le goût de ton sperme m’a laissé un excellent souvenir, mes papilles ont été aussi excitées que par un grand Bourgogne.Je trouvais sa comparaison flatteuse Je sais que nous vivons dans une région extraordinaire pour ses paysages, sa gastronomie et ses bons vins mais delà à faire la comparaison entre ma laitance et un grand cru. J’étais très fier et les caresses que Linda prodiguait avec sa main pendant notre petite discussion sur mes testicules faisaient monter ma pression. De la pointe de sa langue elle s’amusait avec mon gland. Elle enserrait ma verge dans ses doigts et tirait la peau vers mon ventre. Le méat s’ouvrait, il était bâillant et un liquide légèrement visqueux pointait. Elle récupérait chaque goutte avec sa langue. Sa main commençait à s’agiter sur ma verge de haut en bas. Elle me branlait de plus en plus vite. Avec ce que j’avais vécu avec Kim juste auparavant je n’allais pas tenir longtemps et je lui dis. Elle me décrochait un petit sourire en coin et continuait sa besogne. Sa langue glissait maintenant le long de ma grosse veine, elle me léchait tout en déposant de sa salive sur tout le membre. J’allais exploser, je sentais mon jus monter. Linda devait sans doute en être consciente car elle me remit dans sa bouche et elle m’avalait jusqu’au fond de son palais. J’étais bandé à l’extrême et après quelques dernières succions et pressions de mes testicules, je me déversais à grands flots dans sa bouche. Mon envie était telle que je n’arrêtais plus de venir. L’excitation provoquée par Kim et les bons soins prodigués par Linda avaient eu raison de moi. Je me déversais si abondamment et rapidement au fond de gorge qu’elle du ouvrir la bouche pour laisser échapper mon nectar et ne pas renvoyer. Mon liquide coulait à la commissure de ses lèvres alors qu’elle finissait de me nettoyer. Sa tâche accomplie, elle se dressait face à moi, passait sa langue sur ses lèvres et entrepris de se dévêtir. Je décidais d’en faire de même car je ne voulais pas que nous nous arrêtions là . Nous avions tellement envie l’un de l’autre, surtout elle d’ailleurs, et elle m’avait déjà fait atteindre l’orgasme alors que nous étions encore pratiquement totalement habillés. Je n’en revenais pas.— Linda, te rends-tu comptes, nous sommes deux quadras et nous sommes comme de jeunes chiens fous.— Tu as raison Kevyn, me dit-elle en venant se lover dans mes bras sur le lit, mais je suis en manque en ce moment, il me faut ma dose d’amour régulière et j’aime ta jute.— N’as-tu pas essayé de rencontrer quelqu’un comme tu l’avais fait avec moi ?— Oh que si ! Mais je n’ai trouvé personne qui me provoque l’envie de faire ce pas. Il faut qu’il y ait un certain felling dès le départ.— Ce n’est pas le coup de foudre ? Dis-je étonné !— Non, pas vraiment, mais il est vrai que tu ne me laisses pas indifférent et que l’après-midi que nous avons passé ensemble avec Maria a été un grand moment pour moi. J’en garde de très bons souvenirs.— Je ne me connaissais pas tous ces atouts, tu prends des risques à me dire ça, je pourrai avoir envie de tenter l’aventure avec d’autres.— Tant que tu trouveras tout ici, je suis tranquille et je dois faire en sorte que tu sois satisfait de tes venues mais je ne dois pas trop te fatiguer car ta femme pourrait avoir des soupçons.Nous continuons ainsi notre discussion un long moment. Elle me racontait ses instants avec Kim, leurs relations, et comment elles en étaient venues à être amantes. Je lui faisais part de ma rencontre avec un travesti dans un lieu de drague gays et mes correspondances avec un jeune couple libertin. Notre discussion avançait et je reprenais vigueur. Linda était blottie contre moi, sa tête sur mon épaule et nos propos y étaient bien sûr pour quelques choses. Tout à coup elle se dressa sur ses coudes et me dit :— Regarde, je vais te faire découvrir une chose excitante.Elle tendit la main vers un interrupteur placé à la tête du lit, l’actionna et les tentures devant les murs se plièrent pour laisser apparaître de grandes glaces. J’étais ébahi.— Sont-elles sans tain, lui demandais-je ?— Il n’y a que le miroir là -bas mais il n’est jamais caché.— Tu veux dire que par exemple, en ce moment et même tout à l’heure quand tu me faisais la fellation Kim aurait pu nous regarder.— Exactement et je suis même certaine qu’elle nous a regardé et qu’elle est toujours derrière. Pour tout te dire, je suis même certaine qu’elle s’est fait du bien en jouant la voyeuse, n’est-ce pas Kim, dit-elle sur le même ton.— Tu as raison fit la voix venant du miroir.— Parce qu’en plus elle entend tout dis-je interloqué !— Bien sûr mon chéri, c’est beaucoup plus bandant, tu ne trouves pas ?— Si, Si…Mais…— Ne dis plus rien.Elle déposa sa bouche sur la mienne et me donna un long et langoureux baiser. Je prenais sa tête entre mes mains pour mieux la retenir et plaquer mes lèvres aux siennes. Nos langues virevoltaient dans nos bouches, se rencontraient, exploraient chaque recoin, nous nous imbibions de la salive de l’autre, ce baiser était comme un délice. Je n’avais jamais rencontré une personne qui embrassait si bien. Elle était gourmande. Gourmande de tendresse, gourmande de passion, gourmande de sexe. Je me posais des questions. N’étions-nous pas en train de devenir amoureux l’un de l’autre. Je ne le désirais pas. J’avais une autre vie, une femme, une famille et je les aimais beaucoup. J’aime l’amour et le sexe, je suis libertin et j’ai besoin de tout cela car après toutes ces années je ne l’obtiens plus et même si ma femme a toujours été sans tabous et que nous avons connu ensemble des moments fantastiques, même si elle aussi elle accepte la sodomie, la fellation, même si elle aime les endroits insolites ou de petits jeux, la monotonie est entrée dans les relations de notre couple. Elle n’a jamais accepté des échanges avec d’autres, couples, hommes ou femmes et elle ferme les yeux mes aventures extra conjugales car elle sait qu’après je lui reviens gonflé à bloc.Je déplaçais une main sur l’épaule de Linda et je la caressais jusqu’à son sein. Les seins de Linda, si petits, elle est presque plate. Une poitrine d’adolescente. Je commençais mes caresses, doucement du contour à la pointe pour repartir à la base presque imperceptible. Je sentais son mamelon gonflé, la pointe s’érigeait et comme la première, je fus surpris qu’à de si petits seins puissent pointer une aussi importante éminence. Il fallait que je la goûte, que je la suce, je voulais jouer avec ces mamelles, j’en étais fou. Ma langue se promenait sur l’aréole pigmentée qui encerclait son mamelon. Linda devait apprécier car elle commençait à gémir. Elle était parcourue de frissons, son corps commençait à trembler, elle était prise de soubresauts et je voyais la chair de poule sur ses bras qui faisait dresser ses quelques poils blonds. Je tentais un regard vers son visage. Ses yeux étaient clos, un léger rictus pointait à sa bouche, comme elle était belle. Elle prit ma tête entre ses mains comme pour me guider, elle caressa mes cheveux et lâcha :— Tu vas me faire jouir des seins en me léchant comme ça, continue mon amour, encore, lèche-moi les seins, je viens.Je ne me fis pas prier et je promenais le bout de ma langue à la rencontre de la pointe de ses seins, j’humectais de ma salive, je la tétais comme un bébé. Je mordillais ses seins. Je prenais ses pointes entre mes doigts pour les faire rouler. Ils étaient très durs et tendus, offerts à mes sollicitations. Elle continuait à lâcher quelques petits râles, puis ce fut des sons de plus en plus forts, des paroles inaudibles. Elle se raidit complètement me serrant la tête contre elle. Je ne pouvais plus bouger, j’étais prisonnier de son emprise et elle hurla. J’avais la tête contre sa poitrine et je la humais. Elle sentait si bon, un mélange de parfum et de musc, c’était envoûtant. Elle desserra ses liens et me libéra. Je me hissais à sa hauteur et nos langues se mélangèrent de nouveau. Je glissais ma main droite vers son ventre, je m’amusais avec la petite bande de poils qui ornait son pubis. Je descendais encore un peu et vint au contact de ses lèvres. Elle dégoulinait de cyprine. L’extase qu’elle venait d’atteindre et son excitation avait eu pour effet d’inonder son vagin. J’avais follement envie de mettre ma langue entre ses lèvres. J’arrêtais de l’embrasser et tout en déposant de petits baisers et de petites léchouilles sur son corps, je glissais jusque entre ses jambes que j’écartais délicatement. Elle n’opposait aucune résistance et repliait légèrement les jambes en appuyant ses pieds de chaque côté de moi. Cela eu pour effet de décoller ses fesses et de laisser apparaître sa petite rosace brune et plissée. Je vins immédiatement appliquer ma langue dans sa raie et je remontais jusqu’à son anus. Je n’avais jamais connu une femme qui sente aussi bon de partout. Je désirais la déguster, la boire, le laper. Je commençais de m’occuper de son petit trou par petits coups de langues, j’apportais de la salive à l’entrée et je pointais ma langue pour la pénétrer. Elle recommençait ses petits râles de bonheur. Je m’aidais de temps en temps de mon pouce pour ouvrir cette si mignonne caverne et de mes autres doigts je caressais ses lèvres gonflées. Elle était trempée et je sentais son nectar mélangé à ma salive dégouliner sur mon menton. J’avais maintenant pénétré mon pouce dans son rectum et mes autres doigts étaient dans sa vulve grande ouverte, je repensais à la douche que nous avions prise ensemble à notre première rencontre et au fistage que je lui avais fait. Elle avait vraiment un sexe très gros, très ouvert. Je ne l’avais encore jamais pénétrée et je me demandais, si cela arrivait, si nous aurions du plaisir tellement elle était large. Je la triturais avec mes doigts tout en humidifiant abondamment son petit trou. Je voulais la préparer pour la pendre ensuite en douceur. Ses râles s’étaient transformés en petits gémissements, je la sentais prête à m’accueillir. Je retirais ma main, ses deux orifices restaient entrebâillés, offerts. Je me levais pour aller prendre un préservatif dans la poche de mon pantalon quand elle me dit :— Où vas-tu ?— Je vais chercher un préservatif.— Non, tu n’en as pas besoin, je fais régulièrement des analyses et je suis clean, et toi ?— J’en ai fait il y a peu et il n’y a aucun problème.— Alors viens vite, je te veux en moi et je veux que tu te lâches en mon fond.Je me replaçais entre ses jambes que je mis sur mes épaules, elle me tendit sa bouche pour un petit baiser. Je présentais ma verge à l’entrée de son anus. J’étais bandé à l’extrême et je me demandais si j’allais pouvoir tenir longtemps tellement j’avais envie d’elle. Je commençais à la pénétrer tout doucement, elle était vraiment serrée par ici et le contraste avec son vagin était étonnant. Mon gland entra enfin et elle lâcha un grand soupir, comme si elle était soulagée. Je m’arrêtais un instant pour reprendre mon souffle et parce que j’avais également ressenti une petite douleur, un échauffement. Nous avons rejoint nos lèvres pour nous embrasser. Pendant que je fouillais sa bouche je poussais un peu plus mes reins et mon pénis l’a pénétra. J’étais entièrement en elle. Mes boules touchaient ses fesses. J’arrêtais à nouveau mes mouvements un court instant puis quittant ses lèvres je commençais à la limer. C’était divin, je prenais un pied fantastique. Je regardais son visage, elle avait les yeux clos et l’air parfaitement détendu, juste un petit rictus à chaque fin de pénétration à peine perceptible. Cette femme était belle mais elle était encore plus en faisant l’amour. Je repensais soudain au glace qui nous entouraient et je jetais de temps en temps un œil. Nous étions acteurs et voyeurs. La sensation était formidable.— Penses-tu que Kim est encore là  ? Lui demandais-je.— Certainement, Kim es-tu là  ?— Oui, fit la voix derrière le miroir.— Alors viens, lui dis-jeDans les secondes qui suivirent Kim apparut entièrement nue. Je ne pus m’empêcher de la contempler. Cette petite asiatique était comme sortie d’un rêve. Sa beauté me subjuguait. Elle n’avait aucun poil. Chaques millimètres carrés de son corps étaient épilés. Ses jambes avaient un galbe parfait. Ses hanches étaient parfaitement dessinées et ses petites fesses appelaient le vice. Elle était la tentation personnifiée. Elle s’approchait du lit, montait dessus et embrassait Linda goulûment puis se tournait vers moi et nos lèvres se joignirent dans un fougueux baiser.— Doucement lui dit Linda, il est à moi aujourd’hui. Je veux qu’il termine avec moi et je vois bien que tu lui fais envie alors garde tes distances.— Mais tu me le prêteras ?— Bien sûr, si il veut, mais après.— Pas de problème dis-je, s’il me reste des forces ou si vous savez me réanimer…— Nous saurons, dirent-elles en cœur et en riant.Je repris mes mouvements de va-et-vient dans le cul de Linda, pendant que Kim nous caressait d’une main et s’amusait avec son clitoris de l’autre. Je me sentais prêt à exploser et Linda devait s’en rendre compte. Elle ondulait légèrement de la croupe pour venir à ma rencontre tout en criant des sons de plus en plus fort. Kim remuait comme une folle sur le lit, ses caresses l’emmenaient vers l’extase en même temps que nous. Nous allions atteindre le nirvana ensemble. Je n’en pouvais plus. J’étais pris de spasmes violents. Je me bloquais au fond de Linda et je crachais mon foutre en elle. Les deux femmes jouissaient en même temps que moi, elles hurlent leur bonheur. Notre jouissance me sembla durer une éternité. J’étais effondré sur Linda qui m’avait enserré entre ses jambes et ses bras comme dans un étau, mais quel agréable étau. Kim était allongée contre nous, inerte. Elle suffoquait et avait beaucoup de mal à retrouver son souffle. Je sentais mon sexe reprendre sa taille habituelle. J’en profitais pour me retirer de Linda. Elle desserra son étreinte et je m’allongeais entre les deux femmes les bras en croix. Elles vinrent poser leurs têtes sur moi. Je passais mes bras autour de leurs épaules et je posais mes mains sur leurs seins. Nous étions bien ainsi tous les trois. J’aurais pu rester ainsi l’éternité, j’aurais aimé rester ainsi mais elles ne l’entendaient pas de cette oreille.— Il est à moi maintenant ? Demanda Kim.— Oui, et nous allons jouer à mes règles.Je savais Linda un peu dominatrice, elle l’avait prouvée la première fois mais qu’allait-elle inventer aujourd’hui. Elle se leva, quitta la pièce et revint quelques instants après avec le gode ceinture et un tube de gel. Je pensais qu’elle allait vouloir me posséder encore cette fois.— Tu n’as jamais été prise par deux pénis en même temps, dit-elle à Kim, alors ce sera ton baptême.Elle entreprit de s’attacher la ceinture autour de la taille en serrant fortement les boucles. Quel trou allait-elle me laisser ? Elle s’approchait de Kim et dit :— Viens me lécher la queue, petite salope, tu aimes ça une queue, celle là tu l’auras dans le cul, tu la connais, tu l’as déjà eu et tu auras celle de Kevyn entre tes lèvres.Je soupirais de ne pas être sodomisé cette fois mais j’étais quand même un frustré car j’aime bien qu’on me travaille l’anus. En contrepartie, la besogne que l’on m’accordait me plaisait plutôt. J’allais avoir Kim face à moi, sa poitrine, son visage, j’allais suivre sa montée vers l’orgasme et cela m’excitait à tel point que je commençais à sentir ma verge se raffermir. Je m’approchais de Kim pour la caresser quand Linda dit :— Toi Kevyn, tu va mettre ceci.Elle me tendit un slip en latex avec un pénis sur le devant. L’idée me plaisait plutôt et m’amusait. Elle m’excitait également et j’étais maintenant parfaitement bandé. Je me demandais comment enfiler ce jouet et Linda me donna le gel. Je pris le slip pour le mettre et je découvris qu’il y avait une petite verge à l’intérieur qui m’était destinée. Décidément Linda ne manquait pas de ressources. Je mis un peu de gel sur mon anus et sur l’entrée du faux pénis, et j’enfilais le tout. La sensation était originale je n’avais jamais connu ça et je savais déjà que j’allais aimer cet instrument. Linda repris le gel, en appliqua sur le gode et sur la rosace de Kim. Elle s’allongea sur le lit et dit à Kim :— Viens ma petite cochonne, empale-toi sur ma queue.Kim allait prendre position face à elle.— Non petite sotte, comment veux-tu que Kevyn te prenne si tu te mets ainsi ?Elle tourna le dos à Linda et présenta son petit trou à la verge dressée. Je pensais qu’elle n’arriverait pas à se mettre ce pénis entre ses fesses. Comment ce si joli petit cul, ces petits globes de chair pouvaient-ils accueillir ce membre ? Je me posais des questions et je vis que la tête était déjà entrée. Cette fille devait sûrement pratiquer la sodomie et avec de belles pièces sans doute, vu la faciliter à laquelle elle s’empalait. Elle se laissa descendre et se retrouva assise sur le ventre de Linda. Elle ne s’arrêta pratiquement pas et commença à monter et descendre sur cette vierge qui la défonçait. Je vins placer ma verge en latex qui enserrait mon pénis face à sa vulve. Elle stoppa ses mouvements le temps que je l’enfile ce qui fut fait rapidement. Nous nous mîmes à bouger les trois en même temps et Kim se mit à pousser des cris de plaisir. Baiser Kim de la sorte et sentir ce petit sexe dans mon cul en même temps me procurait une joie et un plaisir incommensurable. Linda avait un large sourire. Kim grimaçait et en redemandait et moi je me sentais déjà venir. Je me retenais car je ne voulais avoir été dominé par ces femmes. Nous alternions mouvements lents et amples et petits mouvements rapides. Malgré ma carapace, je sentais le gode de Linda à travers la fine parois qui séparait le sexe de l’anus de Kim. Elle hurlait maintenant et ne cessait de dire qu’elle jouissait. Elle avait déjà joui une fois mais elle était prête à recommencer. Elle enfonça ses ongles dans mon dos, me tira à elle, m’embrassa. C’était trop. J’éjaculais ma semence au fond de cette capote et Kim hurlait de plaisir. Nous avions joui ensemble. Je jetais un regard à Linda et je m’aperçut qu’elle était encore secouée de soubresauts. Elle aussi avait joui mais dans le plus parfait silence. Nous nous sommes désaccoupler et nous sommes laisser tomber sur le lit. Nous n’étions plus que des pantins, inertes et comblés. Nous avions atteint l’apocalypse. Nous avons enlevé nos artifices et somme restés un long moment ainsi.Je devais malheureusement prendre congé de mes hôtesses. Je me glissais hors du lit et me dirigeais vers la douche. Je revint dire au revoir à Linda et Kim. Elles dormaient comme deux anges dans les bras l’une de l’autre. Je n’ai pas voulu les réveiller. Je quittais discrètement la maison non sans avoir laissé un mot sur la table du salon qui disait : « Ma femme et mes enfants partent en vacances dans quinze jours pour une semaine, je te consacrerai ce temps libre. Il y a un sauna sympa au centre ville, nous irons ensemble un soir. Je vous embrasse, Kevyn. »