Résumé des épisodes précédents :Au cours d’une balade à vélo, Yves rencontre deux jeunes femmes. Une amitié se noue… puis beaucoup plus au bord de la mer.La fin juillet et le début d’août sont un peu tristes. Certes, Ophélie m’appelle tous les jours et Sidonie de temps à autre, mais rien ne remplace une présence. Paul, avec sa gentillesse, m’appelle :— Nous allons passer une dizaine de jours à la mer avec Isabelle, tu veux nous rejoindre ?— Merci, Paul, ce sera avec plaisir.— Tu en profiteras pour nous faire quelques-uns de tes bons petits plats, moi je ne pourrai pas t’aider, car je serai en télétravail.— J’apporterai quelques bonnes bouteilles de Touraine pour les accompagner.— Ah oui, merci, bonne idée.Le séjour se passe sympathiquement, j’accompagne Isabelle un jour sur deux à la plage, l’autre jour je me rends sur ma plage « natu ».Sur un week-end, un jeune homme m’aborde :— Bonjour, vous me reconnaissez ?— Heu, oui…Je fouille rapidement dans ma mémoire et me souviens qu’il s’agit d’un des deux jeunes avec lequel les filles avaient joué au « ballon ».— Comment allez-vous ?— Bien, merci, vous auriez le numéro de téléphone de votre fille SVP ?— Elle ne vous l’a pas donné ?— Heu, non, mais je n’ai pas pensé à le lui demander.— Veuillez m’excuser, mais en ce cas je ne me crois pas autorisé à vous le donner.J’ai eu le temps de le détailler, et de me rendre compte qu’un beau jeune homme comme lui serait beaucoup mieux accordé avec Ophélie que moi-même. Mais comme elle ne semblait pas en avoir fait plus de cas que cela, il en restera pour ses frais…Ophélie continue à m’appeler tous les jours, et m’envie de me savoir en bord de mer. Pour la consoler, je lui envoie quelques photos.Toutes les bonnes choses ont une fin, je finis par rentrer chez moi et la routine reprend. Les appels d’Ophélie s’espacent un peu, mais elle m’indique qu’elle a beaucoup de travail et qu’elle rentre souvent tard. Et puis nous finissons par ne plus avoir grand-chose à nous dire.Jusqu’à ce jour de début octobre où, un matin, elle m’envoie ce SMS :Bonjour, Monsieur, accepteriez-vous d’héberger une jeune femme pendant une dizaine de jours ? Celle-ci doit venir à Tours pour une formation professionnelle. Prenez le temps de réfléchir, et rappelez-moi vers 19 h pour me donner votre réponse.Que la journée fut longue ! Dès 19 h, je l’appelle sans attendre.— Allo, Ophélie !— Bonsoir, Yves ! Je m’attendais à ton appel.— C’est quoi cette formation à Tours ? Bien entendu que tu es toujours la bienvenue à la maison.— Il s’agit d’une formation en management qui peut m’ouvrir de belles perspectives de carrière. La formation a lieu du lundi 17 au vendredi 21 octobre. Elle est précédée d’une préparation, à laquelle je pourrai participer, le jeudi et vendredi précédent.— Où est le problème ?— L’hébergement est à mes frais sur ces deux journées-là. Par contre, pendant la formation, il est pris en charge par mon employeur. Celui-ci a accepté de me dédommager si je ne vais pas à l’hôtel. Je te rétrocéderai ce dédommagement.— Tu vas surtout le garder pour toi, je n’accepte pas les hôtes payants.— Ah toi, t’es pas facile à convaincre, bon, enfin, on s’arrangera.— Je vais t’attendre avec impatience, tu prendras la même chambre qu’en juillet ?— Pas d’importance, mais oui, elle me convient bien.— Je vais compter les jours.— Bisous.— Bisous à partager avec Sidonie, à laquelle tu transmettras le bonjour.— Elle est là et a tout entendu.— Bonne soirée, Sidonie !— Bonne soirée, Yves !Que les dix jours qui me séparaient de l’arrivée d’Ophélie me parurent longs, malgré de nombreux échanges téléphoniques !Le jour « J », à mon réveil, je constate que j’ai reçu dès 8 h un SMS : Changement de programme, peux-tu venir me chercher à la gare de Saint-Pierre-des-Corps à 10 h STP ?Je regarde l’heure, il est déjà 9 h !— Oui, bien sûr je serai là, excuse pour le retard dans la réponse, je viens juste de me réveiller… — Merci !Pas trop de temps à perdre, un café, une douche et en route. Je ne l’attendais que le soir, après sa journée de préparation.J’arrive malgré tout à la gare avec un peu d’avance, SMS :— Tu es dans quel train ?— Le train de Paris, mais sept minutes de retardAh, la SNCF et ses horaires ! Sept minutes de plus à attendre… Je regarde le tableau des arrivées et me rends sur le bon quai. Une minute avant l’arrivée du train, annonce :« Nous informons notre aimable clientèle que le train en provenance de Paris et à destination de Bordeaux va entrer en gare, quai 4 et non quai 2 ».Affolement général, tout le monde se précipite vers la sortie. N’ayant pas de train à prendre, je laisse passer les autres personnes. Une pauvre mère de famille avec une poussette et une grosse valise semble un peu paniquée. N’écoutant que mon bon cœur :— Vous voulez un coup de main ?— Oh oui, c’est trop gentil— Venez, nous allons prendre l’ascenseur, personne n’y pense. Et j’empoigne la valise.Nous arrivons tout juste à temps sur le quai 4 et je hisse sa valise après qu’un contrôleur (eh oui…) l’ait aidée à monter la poussette. Le quai est quasiment vide. J’aperçois alors une magnifique jeune femme vêtue d’un tailleur écossais blanc et gris. Mais, mais… c’est Ophélie !— Bonjour, Ophélie, j’ai failli ne pas te reconnaître.— Comme quoi l’habit peut faire le moine.Elle met ses bras autour de mon cou et nous échangeons un long baiser.— C’est une de mes tenues de travail, pas fréquente, celle-là, mais pour ce genre de circonstances je mets le « paquet ». Et puis cela a permis de donner le change à Sidonie… Viens, on y va, nous avons quatre jours rien que pour nous, je vais t’expliquer dans la voiture.Elle met alors son bras autour de ma taille, et moi je fais rouler la valise. Elle a mis tous les atouts de son côté, collants extrafins, maquillage léger et soigné, coupe de cheveux mi-longue qui encadre son visage, chemisier blanc, chaussures à talons, petit sac à main en cuir rouge foncé. Qu’elle est loin l’Ophélie des vacances et sa tenue de cycliste !— Tu m’as dit quatre jours rien que pour nous ?— Chut… Je t’ai dit, dans la voiture.Nous y arrivons enfin et elle me dit :— En fait, aujourd’hui et demain, je n’ai rien à faire, la préparation, c’est une invention pour Sidonie afin de pouvoir passer quatre jours de plus avec toi.— Eh bé, là, tu m’épates !— J’ai en plus une bonne nouvelle, dit-elle en sortant une boîte de médicaments de son sac à main.— C’est quoi ?À un feu rouge, elle me la passe : « pilules contraceptives ».— Tu sais ce que tu veux.— Comme cela, nous serons tranquilles…— En effet.Et je ne peux m’empêcher de lui caresser la cuisse par-dessus sa jupe.Nous arrivons enfin à la maison. Dans l’entrée, elle ôte sa veste et l’accroche au perroquet. Elle apparaît alors dans son chemiser blanc, très sage, qui ne laisse qu’entr’apercevoir son soutien-gorge.— Tu peux monter ma valise dans la chambre, s’il te plaît ?Et elle me précède dans l’escalier. Je la suis. Dès que j’ai posé la valise, elle me prend la main et m’entraîne sur le lit. Nous nous embrassons et entamons une voluptueuse étreinte. Alors qu’elle commence à ouvrir mon short, je passe ma main sous sa jupe.— Attends, je ne voudrais pas la froisser.Et elle l’enlève. Elle apparaît alors en bas et porte-jarretelles, ce qui explique la finesse des « collants » qui sont en fait des bas, mais sans culotte.— La tenue te plaît ? Je voulais t’apporter cette surprise…Je ne peux me retenir et finis de l’allonger sur le lit. Notre étreinte ne dure pas plus de cinq minutes, mais aboutit sur un orgasme simultané (et intense pour ma part).— Merci, Yves, depuis le temps que j’attendais ce moment.— C’est moi qui te remercie, que c’était bon !Toujours enlacés, nous plongeons dans un demi-sommeil réparateur.Au réveil, direction la douche (ensemble) et Ophélie se change, petite robe d’été, le temps est encore doux en ce mois d’octobre.— Quel est le programme pour aujourd’hui ?— C’est que je n’ai rien prévu, je ne devais aller te chercher que ce soir…— Alors, un tour à vélo, cela te dirait ? J’ai pris aussi ma tenue de cycliste ! Et tu as bien un vélo en rab ?— Oui, bonne idée ! Un trajet en particulier ?— Au moins jusqu’au carrefour où nous nous sommes rencontrés la première fois…Repas rapide constitué de pâtes et quelques « trucs » qui traînaient au réfrigérateur. Après le café, départ pour la Loire à vélo. Le début du trajet se passe sans encombre, nous roulons côte à côte à un « train de sénateur », ce qui nous permet de deviser en même temps. Puis, les corps s’étant échauffés, nous accélérons le rythme pour finir par rouler à un bon tempo. En arrivant au carrefour de notre première rencontre, un autre cycliste arrive en sens inverse à vive allure. Ophélie fait une embardée pour l’éviter et chute lourdement. Si le vélo n’a rien, ce n’est pas son cas, elle a un genou écorché et une belle estafilade à la cuisse, elle saigne abondamment. L’autre cycliste est confus et commence à se lancer dans des explications et des excuses. Je l’interromps.— Vous n’auriez pas par hasard de quoi faire les premiers soins ? Nous, nous n’avons rien pris.— Non, désolé, mais je peux appeler les pompiers, dit-il en sortant son téléphone.— Nous allons essayer de ne pas les déranger pour un bobo.— Comme vous voulez.Je vois alors pas loin des acacias. Je prends mon canif, dont je ne me sépare jamais, et vais prendre de l’écorce dont j’applique la face interne sur les plaies. Au bout de dix minutes, les saignements ont cessé.— Je ne connaissais pas ce truc, nous dit le cycliste.— Moi non plus, et me voilà soignée, merci Yves.— Écoute, maintenant que tout va bien, je vais retourner à la maison chercher la voiture pour te ramener, je devrais être de retour d’ici une heure, ne bouge pas en attendant afin de ne pas rouvrir les plaies.— Je vais tenir compagnie à madame en attendant, nous dit Pierre (c’est le prénom de l’autre cycliste).— Merci beaucoup, et à tout à l’heure.— Fais vite, mais soit prudent.— Ne t’inquiète pas.Moins d’une heure après, je suis de retour. Ophélie et Pierre sont en grande discussion. J’ai pris une bouteille de jus d’orange et des gobelets.— Le temps n’a pas été trop long ?— Non, Pierre a été gentil d’attendre ton retour et nous avons passé le temps à bavarder, sur la région, la Loire à vélo, etc.— Madame est très agréable, et je suis encore confus de l’avoir connu dans de telles circonstances.Nous rentrons à la maison en voiture. En arrivant, direction la douche, puis je regarde les plaies d’Ophélie. Elles ont déjà commencé à cicatriser, mais par précaution, et aussi pour « m’occuper » de ses jambes, je les nettoie avec un produit désinfectant puis les recouvre d’un pansement.— Pour le vélo, je pense que c’est terminé pour le reste du séjour, la cuisse passe encore, mais la plaie du genou pourrait se rouvrir. Qu’aimerais-tu faire demain ?— Nous devions aller à Amboise, l’été dernier… cela pourrait être pour cette fois, qu’en dis-tu ? me répond Ophélie.— OK pour Amboise, d’autant que cela fait longtemps que j’y suis allé.La soirée se passe comme un « vrai petit couple ». Nous préparons ensemble un bon dîner, puis devisons jusqu’à tard dans la soirée. Nous nous couchons vers minuit et nous endormons collés l’un à l’autre sans relation sexuelle. La journée a été bien chargée !Le lendemain, je me lève le premier et prépare le petit-déjeuner, sans oublier qu’Ophélie prend du thé. Une bonne heure plus tard, je la vois apparaître dans la cuisine. Heureusement que ma théière tient longtemps la chaleur !— Bonjour ma chérie !— Oh, tu ne m’as encore jamais appelé comme ça ! Bonjour, Yves. Et elle me fait un gros bisou sur la joue.— Tu es choquée ?— Non, ravie au contraire, mais je ne m’y attendais pas du tout, j’ai l’âge d’être ta fille.Et cette fois-ci, elle m’embrasse sur les lèvres.— Comment va ta jambe ?— Du mieux possible, tes écorces, c’est magique.— Oh un truc appris lorsque je faisais de la rando avec des copains.— En tout cas bien efficace.Départ en début d’après-midi pour Amboise. Nous commençons par la visite du château royal et de son parc. Nous nous rendons ensuite au Clos Lucé en traversant la ville. À un moment, Ophélie m’entraîne dans une petite rue sombre et m’enlace le cou. Nous échangeons un long baiser. Puis je sens ses mains descendre jusqu’à ma braguette qu’elle commence à ouvrir. Le message est clair. Je passe mes mains sous sa robe et fais glisser sa culotte le long de ses jambes. Elle s’adosse à un mur et m’attire à elle. Je dois la soutenir sous ses cuisses pour « passer à l’acte ». L’étreinte est puissante et même un peu bestiale.— Fais vite, il pourrait venir du monde, me chuchote-t-elle.Je ne me le fais pas dire deux fois, d’autant que je ne suis pas sûr de pouvoir la soutenir très longtemps, et pars dans de puissants aller-retour. En quelques minutes, l’affaire est faite. Je mets sa culotte dans ma poche après l’avoir ramassée par terre.— Oh non, je ne vais pas rester comme ça !— Ça nous rappellera des souvenirs…Je la prends par la main et nous arrivons peu après au Clos Lucé. Ophélie est émerveillée par les maquettes reproduisant les inventions de Léonard de Vinci.— Et tout ça à la Renaissance !— Eh oui, et sans oublier ses peintures, sculptures et ses recherches anatomiques.— Quel homme ! Enfin toi aussi, je sens ton sperme couler le long de mes cuisses. Il va falloir que j’aille aux toilettes, et rends-moi ma culotte, s’il te plaît.— Comme tu veux, lui dis-je, en la sortant de ma poche pour lui tendre ostensiblement alors qu’un couple de personnes âgées passe à proximité.— Grr ! me répond-elle d’un air mi-courroucé, mi-amusé.— Au moins, ils auront quelque chose à se raconter ce soir au fond du lit.— Ah toi, t’en rates jamais une !Sur le chemin du retour, je lui raconte la légende qui voudrait qu’un sous-terrain reliât le Clos Lucé au château, ce qui permettait à Léonard de rejoindre le roi pour passer la nuit.— Alors ils étaient… ?— C’est ce que dit la « petite histoire »— Comme quoi nous n’avons rien inventé de nos jours.— C’est le cas de le dire répondis-je en riant.Elle partit elle aussi dans un grand rire.Arrivés à la maison, douche pour Ophélie. Cela semblait s’imposer. En redescendant, elle m’annonce :— Ce soir, pas de cuisine, je t’invite au resto, et pas de discussion, j’ai déjà réservé.— Sans me demander mon avis ?— Surtout pas, sinon tu aurais encore trouvé un prétexte pour ne pas y aller ou pour me l’offrir. Mais là, c’est MOI qui invite.— Du calme, ce que femme désire, Dieu le veut, et nous allons où ?— À la « Maison Tourangelle », Pierre m’en a dit le plus grand bien pendant que j’attendais mon sauveur, dit-elle en ajoutant un clin d’œil.— Excellent choix en effet, merci beaucoup. C’est pour quelle heure ?— 20 heures.— Bon, je fais un brin de toilette et je suis à toi, nous avons du temps devant nous.Dans l’attente du départ, nous nous câlinons sur le canapé.Excellent repas et soirée très agréable. Au cours du repas, j’offre à Ophélie un pendentif en or avec deux cœurs croisés que j’avais réservé pour la fin du séjour.— Merci beaucoup, Yves, avec une lueur de bonheur dans les yeux.— Tu penseras à moi…— Je n’ai pas besoin de ça.Au moment de rentrer, je me rends compte que j’ai un peu trop bu. Je le dis à Ophélie et nous rentrons en taxi.— Je viendrai récupérer la voiture demain à vélo.Nous nous couchons et Ophélie m’enlace tendrement. Rien ne se passe. Elle accentue ses caresses, sans effets, et va jusqu’à s’allonger sur moi.— L’alcool ne te réussit pas, on dirait.— Oui, probablement, mais n’oublie pas non plus cet après-midi.D’un ton narquois :— Bonne nuit, Papy.— Bonne nuit, ma petite fille.— Tu montes dans ta chambre ?— Tu le veux vraiment ?— Oui, j’espère que le manque va te redonner des forces.Le lendemain matin, revêtue d’un simple T-shirt, elle vient me réveiller à coups de bisous et caresses.— Allez, debout, le petit-déjeuner est prêt, il est déjà plus de neuf heures et tu dois aller récupérer la voiture.— Oui, ma princesse.L’après-midi est consacré à du shopping, ce n’est pas ce que je préfère, mais que ne ferais-je pas pour les beaux yeux d’Ophélie ?Pour me rattraper, je prépare un émincé de bœuf, je sais qu’elle apprécie beaucoup, pour le dîner.La soirée se passe agréablement, et je me rends compte qu’Ophélie retarde le plus possible le moment de se coucher.Nous montons à presque minuit.— Ce soir, chacun dans sa chambre ! décrète-t-elle.— Tu es sûre ? C’est à cause d’hiers soir ?— Chacun dans sa chambre pour mieux dormir.— Bon, comme tu veux. Bonne nuit.— Bonne nuit.Une bonne demi-heure plus tard, ma porte s’ouvre, et Ophélie vient s’allonger à côté de moi, sans allumer la lumière.Elle s’allonge sur moi et me caresse, l’érection ne tarde pas à venir. Elle m’enduit de lubrifiant et s’allonge à nouveau, dos contre mon torse cette fois-ci. Elle présente alors sa rosette devant mon gland et commence à s’empaler doucement. J’amplifie alors le mouvement.— Non, je t’ai dit, laisse-moi faire.Elle poursuit son mouvement, jusqu’à « m’avaler » entièrement et continue très lentement. Elle s’appuie sur les avant-bras et accélère à peine. Notre étreinte dure très longtemps et je l’entends jouir plusieurs fois, d’autant qu’elle se caresse le clitoris. Elle se retire sans que je sois arrivé « au bout », mais elle me masturbe énergiquement et j’éjacule rapidement.— Bonne nuit, Papy.— Bonne nuit, ma petite fille.Dimanche consacré à du farniente, une grande balade en forêt. La nuit se passe dans le même lit, mais juste avec des câlins pour s’endormir. Ophélie doit être en forme pour demain ! Nous nous levons tôt bien que cette première journée de formation ne débute qu’à 9 h 30 par un « accueil, café ». Cela n’empêche pas Ophélie d’en prendre un avant de partir. Puis préparation, douche, etc.— Pour cette première journée, je vais mettre mon tailleur.— Celui de jeudi ?— Oui, je n’en ai qu’un. Je t’ai dit, c’est une tenue de travail que pour l’exceptionnel.Elle enfile soutien-gorge et chemisier sage qui ne laisse voir que quelques dentelles du premier, puis les bas avec le porte-jarretelles. Elle s’allonge sur le dos.— Fais-moi un cunnilingus dont tu as le secret, tu as dix minutes pour me faire jouir. Après je dois partir.Je ne me le fais pas dire deux fois et me mets à l’œuvre. Rapidement elle m’arrête.— Merci, c’était très bien, elle regarde son téléphone, et en huit minutes trente !Elle enfile alors sa jupe.— Tu ne mets pas de culotte ?— Non, tenue spéciale travail ! J’ai repéré sur la liste des participants quelques personnes qui pourraient être intéressantes. Ce sont des hommes. J’espère me faciliter les choses pour les aborder, avec mes effluves féminins. Pas de déodorant non plus, si mes aisselles sentent trop je pourrai toujours en mettre. Et puis ça, dit-elle en mettant une goutte de parfum derrière chaque oreille. Tu m’emmènes maintenant ?En remontant dans la voiture, je me rendis compte qu’elle était envahie par l’odeur d’Ophélie. Cela me fit bander. Elle sait ce qu’elle veut, pensais-je en moi-même. Je passais la journée à vaquer à mes occupations et l’imaginais de temps à autre dans ses œuvres.Le soir pendant le dîner, elle me raconte sa journée :— Pendant l’accueil café j’ai pu aborder le directeur des ressources humaines d’une grosse société de l’agglomération tourangelle, puis le directeur financier d’une autre située hors département, et un peu par hasard un ingénieur informatique. Après les ateliers de la matinée, nous nous sommes tout naturellement retrouvés à la même table avec deux autres participantes. Je me suis retrouvée assise à côté du directeur des ressources humaines, celui qui m’intéresse le plus. Nous avons parlé boulot, c’est aussi le mien, mais à un échelon en dessous. Je dois avouer que j’ai aussi un peu usé de mes charmes. Un moment, j’ai même remonté ma jupe juste ce qu’il faut pour qu’il puisse apercevoir les attaches du porte-jarretelles. Il ne s’est pas gêné pour se rincer l’œil, le cochon, mais je ne peux pas lui en vouloir. J’ai également eu des échanges professionnels intéressants avec le directeur financier. — Hé bé, quand tu veux quelque chose…— Oui, j’aspire à un poste plus élevé.— Tu t’en donnes les moyens…— Disons que j’essaye de saisir les occasions.Nous en restons là pour sa journée, passons quelques moments au salon à parler de tout et de rien et vers dix heures, elle décide d’aller se coucher.— Tu me rejoins dans dix minutes ?— Entendu, ma chérie.J’attends qu’elle en ait fini dans la salle de bain pour monter à mon tour faire ma toilette. Quand j’entre dans la chambre, je la vois allongée sur le dos, en pleine lumière, avec les quatre membres en croix.— Baise-moi, baise-moi sauvagement et brutalement comme la salope que j’ai été aujourd’hui.— Tu es sûre ?— Oui, baise-moi, je te dis.Je reste debout, je l’attire sur le bord du lit, je la saisis sous les cuisses et la pénètre d’un coup. Elle pousse un petit cri. Tout de suite, je pars dans un rythme un peu effréné.— Plus fort, et fais-moi mal !J’accentue encore mes mouvements puis la retourne à quatre pattes et poursuis en levrette. Au bout de cinq minutes, elle se retire.— Encule-moi à sec comme une chienne et fais-moi encore plus mal.Sans réfléchir, je rentre d’un coup jusqu’au fond, elle pousse un grand cri, mais tout de suite ajoute :— Je t’ai dit de me faire mal, fais-moi mal sur tout le corps, lacère-moi le dos.Tout en continuant à la sodomiser sans ménagement, je lui griffe le dos. Puis je prends ses mamelons entre mes ongles et lui tire violemment sur les seins.Je passe alors mes mains entre ses cuisses et lui griffe l’intérieur des cuisses, puis le sexe, et pour finir, son clitoris.— Aaaah, tu me fais trop mal !Juste à ce moment, je me vide en elle et m’écroule sur son dos. Nous restons ainsi de longues minutes, moi toujours en elle.— Merci, mon amour, je n’étais pas très fière de moi, mais maintenant cela va mieux. Demain, je serai plus sage…Et nous nous endormons.Le lendemain, je suis réveillé par un réveil, je regarde l’heure, six heures !— Lève-toi vite, aujourd’hui nous commençons à huit heures.— J’arrive !Petit-déjeuner rapide, sans un mot, je suis un peu dans le brouillard.— Tu viens prendre la douche avec moi ?— Si tu veux.Je me rends compte alors que je n’y suis pas allé de « main morte », son corps est parcouru de griffures, certaines un peu sanguinolentes, même au ventre, et pourtant je ne me souvenais pas de l’avoir griffée là. Je la savonne doucement.— Excuse-moi de t’avoir mise dans cet état.— Non, c’est moi qui te l’ai demandé et je le méritais bien. J’ai surtout mal au cul, et pour m’asseoir cela va être délicat…— Excuse-moi encore.Elle s’habille ensuite, avec la même tenue que la veille, mais cette fois-ci elle met une culotte. Je la conduis sur son lieu de formation.— Bonne journée, ma chérie.— Bonne journée à toi aussi, aujourd’hui je vais être sage.En rentrant, je me recouche, six heures ce n’est vraiment plus dans mes habitudes. Je passe le reste de la journée en jardinage. Ophélie rentre vers 18 h 30, elle a l’air un peu fatiguée.— Grosse journée, quatre ateliers dans la même journée. Lors de l’un d’eux j’étais avec le directeur ressources humaines, échanges intéressants sur le métier, nos façons de faire et les solutions pour gérer les crises. Tout naturellement, nous avons déjeuné ensemble, il s’est montré très prévenant, et m’a même pris la main un moment, comme si de rien n’était.— Tu avances dans tes projets à ce que je vois.— On peut dire ça comme ça.Au moment d’aller se coucher.— Chacun dans sa chambre cette nuit, j’ai vraiment besoin de bien dormir, et demain c’est encore à huit heures.— Je comprends, viens me réveiller.— Entendu, bonne nuit, Papy.— Bonne nuit, ma fille.Réveil à nouveau difficile. Ophélie s’habille d’une longue robe cintrée à la taille qui s’arrête à mi-mollet, complété par un petit gilet. Elle est toujours maquillée légèrement et avec soin.— J’en ai une plus décolletée, mais je ne peux pas la mettre avec mes marques… Celle-là a l’avantage que je peux ouvrir ou fermer les boutons en fonction des circonstances.— Tu penses vraiment à tout.— Il faut bien dans mon travail, dit-elle avec un petit rire.Vers 17 h, elle m’appelle.— Ne m’attend pas pour dîner ce soir, je suis invitée chez lui par Paul, le directeur ressources humaines.— Ah d’accord, bonne soirée.— Excuse-moi, mon chéri.— Pas de problème, tu es libre.En moi-même, je me demande jusqu’où elle va aller, mais je ne suis pas jaloux.À plus de 23 heures, je reçois un SMS : Ne m’attend pas, je reste dormir chez Paul. Bonne nuit à toi.Je réponds :OK, passe aussi une bonne nuit.Toute la journée du jeudi, je me sens bien seul. Vers 18 h je reçois un nouveau SMS. — Je reste dîner avec les gens de la formation, cette soirée en fait partie. Tu pourras venir me chercher vers 22 h 30 ?— Pas de problème, bonne soirée à toi.— Merci, Yves, je t’aime.— Moi aussi.Je vais la chercher à l’heure convenue. Ophélie porte une robe que je ne lui connais pas.— Pouh, soirée « jeux de rôle », ce n’est pas trop mon truc, mais je crois m’en être tirée pas trop mal.— Et hier soir chez ton directeur des ressources humaines ?— Je te raconte à la maison.En effet en rentrant elle me raconte :En fait, j’ai dîné avec lui, ses enfants et sa femme Aurélia. A priori, il voulait mieux me connaître. Une fois les enfants couchés, il m’a fait savoir qu’il espère pouvoir bientôt changer de poste pour un plus élevé, sans en dire plus. J’ai dormi seule, rassure-toi, dans la chambre d’ami. Le plus drôle, ç’a été ce matin, ils n’ont qu’une salle de bain et Aurélia m’a proposé de la partager avec elle, car ils étaient « à la bourre ». Sous la douche, je l’ai savonnée et elle a semblé apprécier, mais avec Sidonie je sais comment faire… Elle a bien vu mes griffures, mais n’en a rien dit. Au moment de m’habiller, je me suis aperçue que je ne pouvais pas remettre les mêmes vêtements qui sentaient fortement la sueur. Aurélia m’a proposé de m’en prêter. Pour ses sous-vêtements, impossible de rentrer dedans : trop petits. Elle est très fine et doit faire du « A ». La seule robe qui convenait était celle-là… trop grande pour elle. Mais du mi-cuisse sans slip, il a fallu que je fasse attention toute la journée. Paul a demandé :— Alors les filles, vous vous en sortez ?— Oui, sauf pour les sous-vêtements qui sont trop petits a répondu Aurélia, en essayant de se reprendre tout de suite, mais c’était dit… Oh, excuse-moi. Je lui ai répondu :Enfin un peu si, car Paul savait que j’allais me balader nue sous ma robe toute la journée et même du coup tard en soirée. Il est resté très correct. Bon maintenant, il est tard, et c’est ma dernière nuit ici, tu dors avec moi ?— Je n’attendais que ça.— Petit cochon.— Et c’est toi qui dis ça ?Notre étreinte fut très douce et langoureuse. Chacun explorait de ses caresses les moindres parties du corps de l’autre. Cela se termina par « un missionnaire » tout en douceur.Triste réveil le vendredi matin, nous ne sommes pas loquaces et échangeons tout juste un baiser. Notre longue semaine commune se termine…Lorsque je la dépose, elle a les larmes aux yeux et je ne suis guère mieux.— À bientôt, Papy, je t’aime.— À bientôt, ma petite fille…