Ce jour-lĂ , j’avais rendez-vous avec Emmanuel au magasin, Ă l’heure de la fermeture. Je ne savais ce qu’il avait imaginĂ© et j’étais très Ă©moustillĂ©. Je m’étais prĂ©parĂ© comme une jeune mariĂ©e ! et habillĂ© comme il le souhaitait. Rien que de très discret, rien de surprenant si ce n’est que je portais, sous un jean moulant, un slip blanc lacĂ© devant et en dentelle extensible sur les cĂ´tĂ©s. Lorsque j’arrivai je vis de loin que le store Ă©tait Ă demi baissĂ©; il m’attendait.Mais lorsque je passai la porte, je me trouvai face Ă une jolie femme brune aux yeux verts, cheveux mi-longs, taille fine, une beautĂ© en robe lĂ©gère noire, très courte, très stricte aussi. C’était sa femme, ValĂ©rie, que j’avais vue sur quelques photos sans vraiment y prĂŞter attention.— Emmanuel est en retard, il vient de tĂ©lĂ©phoner, il quittait seulement le marchĂ©. Je t’attendais, tu es ponctuel.J’étais un peu intimidĂ© face Ă une si belle fille et flattĂ© aussi par lĂ mĂŞme qu’Emmanuel soit devenu mon amant.— Ne soit pas gĂŞné… j’ai vu les photos de votre dernière soirĂ©e. Je me demande si je ne devrais pas ĂŞtre jalouse… mais non, lui, je l’aime et j’aime d’une autre manière les femmes qui viennent se vĂŞtir et dĂ©vĂŞtir ici, s’encanailler parfois… avec moi.Elle semblait dĂ©contractĂ©e et se dĂ©plaçait avec Ă©lĂ©gance, fĂ©minitĂ©; ce que jamais aucun homme ne pourrait imiter… tant de grâce et de beautĂ© naturelle me surprend toujours. Elle m’invita Ă attendre dans le petit salon amĂ©nagĂ© au fond du magasin. Il y avait lĂ la table sur laquelle Emmanuel et moi avions fait l’amour – le savait-elle ? – et puis des rayonnages avec des cartons bien rangĂ©s et des cartons au sol aussi. Et nous nous retrouvâmes assis, l’un en face de l’autre, un verre Ă la main au milieu du dĂ©sordre et de quelques miroirs encore qui multipliaient notre image. Elle parlait avec des gestes très souples et ne faisait rien pour descendre sa robe qui remontait sur ses cuisses et je pouvais voir la couleur tendre de sa peau et le triangle clair de sa culotte. Je bandais et je crois qu’elle fixait parfois ma braguette gonflĂ©e… Il me semble que cela dura une Ă©ternitĂ©, je me laissais bercer par sa voix, acquiesçais de temps Ă autre sans vraiment suivre.— Manu arrivera tard, je crois qu’il l’a fait volontairement pour que nous puissions faire connaissance, me dit-elle en souriant. Je vais quitter mes vĂŞtements de travail, ne te retourne pas, ajouta-t-elle en se levant et en se plaçant derrière un tas de cartons.J’entendis la fermeture Eclair de sa robe, le glissement doux de ses vĂŞtements sur le sol puis un lĂ©ger bruit d’élastique plus sec. Je n’osai bouger et puis je vis glisser Ă terre sa petite culotte, près de mon fauteuil, une culotte simple, blanche en coton imprimĂ© de minuscules fleurs bleues et mauve pâle.— Tu peux la ramasser et la prendre… Je sais ce que tu portes et que celle-ci te plaira.Je me penchai donc…et pris entre mes doigts ces quelques grammes de douceur chaude et humide Ă l’entrejambe et ne pus m’empĂŞcher de humer subrepticement son parfum.Puis elle revint pieds nus dans une robe tout ample et lĂ©gère, une robe d’étĂ© champĂŞtre. J’étais toujours aussi intimidĂ© et fascinĂ© par sa beautĂ©. Elle le devinait je pense. Mes yeux s’affolaient sur le tendre de sa peau halĂ©e, son profond dĂ©colletĂ©, les attaches si fines de ses bras… Et de nouveau, je vis ses jambes, le haut de ses cuisses, le triangle blanc de sa petite culotte dont je devinais le laçage – nous portions la mĂŞme – J’avais une terrible envie de la prendre dans mes bras et je restais paralysé… stupide, bĂ©at et muet. Elle me sauva de cette lĂ©thargie… « Viens », dit-elle simplement d’une voix peu assurĂ©e.Je me levai, elle se leva. Je sentis ses seins tendus contre ma poitrine, fis glisser les bretelles de sa robe qui tomba au sol sans un bruit. Elle se trouvait ainsi en culotte, face Ă moi. Je me dĂ©gageai un peu, arrachai mes vĂŞtements. Nous Ă©tions l’un et l’autre dans la mĂŞme tenue ! et elle rit gentiment. Alors je l’embrassai goulĂ»ment… avalai sa langue, ses yeux, sa bouche… Je bandai dur et mon gland comprimĂ© me faisait mal… j’arrachai tout, lui Ă´tai sa culotte aussi en saisissant l’entrejambe tout mouillé… elle m’aida… je l’assis sur la table et lui suçai la chatte, aspirai son clito … longuement, la suçais. J’étais comme fou de son parfum, de sa fente… et mes doigts couraient sur son corps, ses seins aux arĂ©oles gonflĂ©es, tendues, ses lèvres agitĂ©es… Mains affolĂ©es, je la pris sous les fesses et l’enfournai violemment. C’était doux et chaud, trempĂ© de douceur, vraiment, d’éternité… Elle gĂ©missait… elle chantait ! et je devinais ses mots plus que je ne les entendais… « Viens, viens… au profond… viens… » et puis des râles plus longs. Elle partait en cascade… en cris… en gĂ©missements saccadĂ©s. Ma queue , toute mouillĂ©e, la labourait ; mes couilles battaient ses fesses que je pouvais presque tenir, chacune, dans une seule main… Puis elle se dĂ©gagea et se plaça brusquement sur le ventre en Ă©cartant les jambes.— Prends-moi par derrière comme tu lui fais, comme il te fait et comme il me fait quand je le lui demande… Encule-moi.Mais je m’insinuai d’abord dans sa chatte gluante, Ă©cartai ses fesses, dĂ©couvris son petit trou plissĂ© que je mouillai de salive et dans lequel je glissai un doigt, puis deux… et enfin mon chibre qu’elle guida et qu’elle reçut comme une folle en tortillant le cul tandis que mes mains retrouvaient sa fente juteuse et son clitoris en Ă©rection… J’étais en elle, je la branlais… j’explosai… tout mon foutre la traversa en jets puissants… elle gĂ©mit… se tut…Il nous avait fallu cette dĂ©raison pour faire connaissance, cette bestialitĂ© pour trouver enfin la tendresse… le repos…Nous nous sommes encore embrassĂ©s avec de petits baisers pointus, doux et coquins puis habillĂ©s sans aucune toilette en Ă©changeant malicieusement nos dessous… ValĂ©rie laissa un message Ă Emmanuel pour lui demander de nous rejoindre chez eux.Son cul Ă©tait plein de mon foutre, ma bite encore engluĂ©e de sa mouille. Je portais sa culotte, elle, la mienne. Elle signa le mot et ajouta  » Je t’aime  » et après un temps d’arrĂŞt :  » On t’aime « , puis mon prĂ©nom. J’étais encore un peu hĂ©bĂ©tĂ©, je ne savais plus que penser.( Ă€ suivre peut-ĂŞtre… )