Ce récit remplace et complète les récits 5942, 6248 et 6359 pour ne former plus qu’un seul texte.1. PiégéCatherine et Alain ont invité leur ami François à aller à la plage avec eux. Ce dernier ne sait pas ce qui l’attend. Alors qu’ils viennent d’arriver sur la plage, il est en train de réaliser la situation alors que Catherine commence à se déshabiller. Il regarde aux alentours, la plupart des personnes présentes sur la plage, qu’elles soient allongées, dans l’eau ou en train de marcher sont nues. François ressent soudain comme une gêne.— On a dû se tromper, c’est une plage naturiste.Alain lui répond sans hésiter, sûr de lui. À moins qu’il n’ait déjà préparé sa réponse.— Pas du tout, je te l’avais dit. Tu te souviens?— J’avais compris qu’il y en avait dans le coin, pas qu’on irait dessus.— Tu sais, si on veut se mettre nu, il vaut mieux aller sur une page naturiste.Une boule est en train de se nouer au fond de la gorge de François.— Ah parce que vous aller vous déshabiller?Alain fait celui qui n’a pas compris, il veut faire douter son ami. Pour le déstabiliser ou bien pour le mettre en condition ?— Tout le monde se déshabille sur une page!— Je veux dire: tout nus?— Ben oui, le bronzage intégral, c’est ce qu’il y a de mieux.François n’arrive plus à cacher sa gêne et n’est même pas capable d’articuler plus d’un mot.— Bon…— Mais tu n’es pas obligé d’en faire autant. Si tu es gêné, tu peux rester en maillot de bain. Mais je t’assure qu’il est encore plus gênant de rester habillé parmi des naturistes.— Comment tu peux savoir? Puisque t’es nu?— Tu sais, c’est Catherine qui m’a fait découvrir le naturisme. Elle et une de ses copines m’avaient invitées à les accompagner à la plage. Elles se sont mises nues devant moi. J’étais gêné, mais en plus hyper excité, je sentais mon slip de bain se durcir et faire une bosse. Dès que je l’ai retiré, ça a été mieux.François commence à se déshabiller. Ce faisant, il réfléchit à ce qu’il va bien pouvoir faire. Finalement, il choisit de ne pas y réfléchir plus longtemps et de le faire. Après tout, ce n’est pas en y pensant plus que cela rendre la chose plus facile.— Allez, je m’y mets.Pendant ce temps, Alain s’est mis à se déshabiller aussi. Pour sa part, Catherine est déjà toute nue. François ne peut pas s’empêcher de la mater. Il la voit là, juste devant lui, le sexe et les seins à l’air. Quel spectacle excitant. Il la regarderait bien plus longtemps, mais il ne voudrait pas que ses amis remarquent ce qu’il fait, ni qu’il est de surcroît en train de ressentir une excitation qui pourrait fort bien se transformer en érection en quelques instants.Alain n’a pas remarqué les regards de son ami sur sa femme. Ou bien a t’il fait semblant de ne rien remarquer ?— Tu as raison, c’est le premier pas qui compte. En plus, il n’y a pratiquement personne, c’est plus facile.Catherine s’allonge sur le ventre. Alain qui a fini de se mettre nu, s’installe à côté d’elle et fait signe à François qui ne porte plus que le slip de bain qu’il avait sous ses vêtements de se placer de l’autre côté. Il se retourne le temps de retirer son slip et s’allonge prestement sur le ventre en espérant que ses amis ne l’ont pas vu nu. Ce n’est pas facile la première fois que l’on fait du naturisme, surtout si l’on est accompagné d’amis que l’on connaît de longue date.Dès qu’ils sont tous les trois sur leurs serviettes, Catherine se tourne vers son mari.— Tu veux bien me passer de la crème sur le dos?— Oui, ma chérie.Alain fouille dans le sac de plage et en sort un flacon de crème solaire. Il en fait couler sur le dos de Catherine et commence à l’étaler. Alain fait signe à son ami de l’aider à étaler la crème. François n’en croit pas ses yeux, la gène le gagne encore plus. Mais Alain insiste, il ne sait que faire, c’est tentant. Catherine l’excite il se ferait un plaisir de la toucher, parcourir son corps, caresser ses formes. Il hésite encore un instant, puis se lance.Suivant les gestes de Alain, il parcourt les épaules, le dos, les fesses et les jambes de la femme de son ami. Alain s’arrête un instant pour reprendre le flacon de crème dans le sac. Intriguée, Catherine se tourne vers lui et comprend que ce ne sont pas ses mains qui sont sur son corps, elle se tourne vers François. Alain prend les devants.— Comme j’avais du sable plein les mains, j’ai proposé à François de nous passer de la crème solaire.François est surpris par le « nous » employé par son ami, mais il préfère ne rien dire de peur de compliquer la situation. Catherine se retourne pour se placer sur le dos.— Si ça ne t’ennuie pas François, peux-tu me faire l’autre côté?— Avec plaisir…Il ne se fait pas prier, l’occasion est trop belle de pouvoir mater de plus près la femme de son copain. Alain lui passe le flacon et François commence par enduire les cuisses de Catherine. Son ami l’incite à continuer, il s’occupe alors des bras, puis des épaules. Alain l’incitant toujours à continuer, il passe ensuite au ventre.C’est presque terminé, mais François a gardé le meilleur pour la fin. Osera t’il le faire ? Il regarde son ami. Qu’en dit-il ? Lui donne t’il le feu vert ? Le sourire sur le visage de Alain est éloquent, ce serait dommage de s’arrêter maintenant. Mais Catherine, qu’en pense t’elle ? Elle aussi lui adresse un sourire. Bon, ok, c’est clair, il a le feu vert. Finalement, il se lance, commençant par enduire des seins. Catherine a l’air soulagée qu’il se soit enfin décidé, un peu comme si elle attendait avec impatience ce moment. Cela lui donne encore plus de courage. Il prend visiblement du plaisir à pétrir des deux seins qu’il tient à pleines mains. Son plaisir est réellement visible, car il est une érection commence à redresser son sexe. Il se sent un instant gêné, mais Alain le détend d’un clin d’œil complice.Il ne reste plus que le sexe. Il n’y a pas de raison de ne pas le faire, se dit François. S’armant de courage pour l’ultime but, il fait couler de la crème dans le creux de sa main et vient l’appliquer sur le pubis. C’est la sensation de trop pour lui : son sexe achève de se redresser, bien au garde à vous, sous le regard de Alain. Ses doigts descendent vers le pli formé par les grandes lèvres, mais Catherine n’écartant pas les jambes, il ne lui est pas possible de pousser plus loin sa caresse. Peut-être ne veut-elle pas qu’il aille plus loin cette fois-ci. À moins que François ne se soit fait des idées ? De toute façon, c’est déjà bien plus que ce qu’il n’aurait osé espérer.C’est donc satisfait, qu’il rend le flacon de crème à Alain.— Ça y est, c’est terminé.Mais Catherine ne l’entend pas ainsi.— Non, tu n’as pas fini, tu devais nous passer de la crème à tous les deux.Ça y est, c’est bien ce que je craignais, se dit-il. Je me suis fait piéger. Il ne peut s’empêcher de laisser échapper son étonnement.— Hein?— Alain a bien dit que tu allais nous passer de la crème solaire, non?— Si, si, c’est exact.— Alors sois sympa. Je préfère rester allongée et bronzer. Tu peux bien nous rendre ce service ?— Oui, bien sûr.— On te revaudra cela.Voilà une phrase pleine de promesses, se dit François. Il fait donc le tour des serviettes pour s’agenouiller le long de Alain, et comme ce dernier s’est allongé sur le ventre, c’est moins difficile pour lui de commencer. François commence donc par lui recouvrir tout le dos de crème solaire. Alain se retourne quand il a fini et François doit bien accepter de continuer. Il recommence donc à enduire le corps de son ami, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le sexe à faire. Horreur, il va devoir prendre la bite d’un autre homme dans sa main. Il ne l’a jamais fait. Il va devenir pédé ! Mais non ! Après tout les médecins touchent les sexes d’autres hommes et ils ne sont pas pédés pour autant, enfin pas tous. François se décide donc, et tout en serrant les dents, il prend le membre flasque dans sa main et le tartine de crème. Curieusement, des picotements dans son bas-ventre lui donnent la sensation qu’il n’est pas indifférent à ce qu’il fait. Mais il préfère en terminer au plus vite. Il repose la crème solaire et retourne s’allonger sur la serviette.A peine s’est-il installé, qu’il réalise qu’il est ne seul à ne pas avoir de crème solaire sur le corps et qu’il ne va pas tarder à cramer dans ces conditions. Il se redresse sur les bras, pensant avoir trouvé comment se venger de ce mauvais coup.— Et moi alors ? Qui me met de la crème solaire?— Je te dois bien ça.François est surpris, il s’attendait à ce que Catherine se propose de le faire.— Oh, je t’oblige pas, je peux le faire tout seul.— Si, si, c’est la moindre des choses.— Franchement, ç’est gênant.Catherine vient alors mettre son grain de sel.— Pas plus que quand c’est toi qui nous l’as fait.Alain abonde en ce sens.— Catherine à raison.François est piégé à nouveau, il est obligé de se laisser faire.— Bon, je m’incline.François s’allonge sur le ventre et Alain se place à côté de lui et le recouvre de crème solaire. Une fois le dos terminé, François se retourne à contre-cœur pour que Alain puisse continuer sa besogne. François profite qu’il a son ami en face de lui pour le dire ce qu’il pense de tout cela.— Tu m’as bien eu.— Où est le mal? C’est agréable, non ?— Je suis quand même un peu mal à l’aise.— Pourquoi?— Parce que tu me caresses et que je t’ai caressé auparavant.— Ce n’était pas des caresses…Alain qui est arrivé au niveau du sexe de son ami, le prend carrément en main et commence à le masturber.— Ca, c’est des caresses.— Tu es fou, et si on nous voyait ?— Ne t’inquiète pas, il n’y a personne aux environs.Alain relâche le sexe de François qui, en l’espace d’un instant, s’est redressé et est devenu énorme.— Je ne vais pas passer inaperçu maintenant.— Apparemment, tu aimes !— T’es con !Catherine se tourne vers François tout en avançant la main.— Quel bel engin ! Tu permets ?— Euh… Si tu veux.Catherine prend à son tour le sexe de François dans se main et commence à le masturber. Pendant ce temps, Alain passe derrière sa femme pour lui caresser le sexe et les seins. François finit par entrer dans le jeu de ses amis et se met à caresser lui aussi les seins de Catherine alors qu’elle a écarté les jambes pour que son mari puisse insinuer ses doigts dans son intimité. Voyant que les choses prennent une bonne tournure, Alain vient se placer entre sa femme et son ami. François en profite pour faire aller ses doigts vers le sexe de Catherine, maintenant que celui-ci est accessible. Elle se laisse faire et il peu aller plus avant, introduisant dans le son vagin d’abord un doigt, puis deux. Excitée comme elle est, François n’a aucune difficulté à la pénétrer. Pendant ce temps, Alain caresse la hanche de sa femme d’une main et le sexe de François de l’autre. Ce dernier se laisse faire sans gêne, son sexe est tout raide et il prend visiblement du plaisir à la branlette de son copain.Tous les trois iraient bien plus loin, mais il ne sont quand même pas seuls sur la plage, on se sait jamais quelle peut être la réaction des autres, mieux vaut ne pas les choquer. Ils cessent donc dès que Catherine a joui. Les deux hommes ont la bite encore raide, pour se détendre, ils courent jusqu’à l’eau et plongent dedans. L’effet ne se fait pas attendre et leurs sexes se ramollissent rapidement au contact de l’eau fraîche. Alors qu’ils sont en train de nager, Alain cherche à connaître l’état d’esprit de son ami.— Alors, tu ne nous en veux pas trop ?— Non, ça va…— Tu as aimé ?— Oui, assez. Par contre, tu m’as surpris avec ton attirance pour les hommes, je ne m’y attendais pas de ta part.— Je ne suis quand même pas pédé, je préfère ma femme. Mais la tentation était trop forte. J’aime prendre du plaisir qu’elle qu’en soit l’origine. Et la, j’avais envie de te caresser la bite.— D’autant plus que je te l’avais déjà fait avant.— Oh, tu l’as tout juste effleurée, tu peux mieux faire.— Mouais…Entre temps, Catherine s’est jetée à l’eau à son tour pour venir à leur rencontre. Ils se mettent à jouer tous les trois. Après quelques minutes Alain se place derrière Catherine, se frotte à elle et lui caresse les seins. François est à peine à deux mètres d’eux.— Mais arrêtez, on va vous remarquer.Alain regarde autour de lui.— Il n’y a personne.— Oui… Mais bon… quand même…Alain se sépare de sa femme et nage vers François.— Je vois, ça te gêne qu’on le fasse devant toi alors que tu es seul?François prend un air gêné.Alain est arrivé au niveau de François et lui passe derrière.— Eh bien, ce n’est pas grave, on ne va pas te laisser seul.Alain se place derrière François, son sexe glissant le long des fesses de ce dernier. François est plutôt surpris, mais comme Catherine arrive à son tour et se place devant lui pour le caresser, il se laisse faire. Après quelques minutes, Catherine se retourne. François peut ainsi faire aller son sexe le long des fesses de Catherine tandis que Alain continue de faire de même derrière lui. Par la suite, Alain fait le tour et se place devant Catherine pour la caresser. C’est ensuite Catherine qui se retourne, les rôles de Alain et François se trouvant alors inversés. Pour finir, François s’enhardit, fait à son tour le tour du couple et se place derrière Alain pour lui prodiguer à son tour la caresse de son sexe le long de ses fesses. Ce dernier lui glisse un mot.— Alors, tu y prends goût ?— Je ne sais pas. Disons que j’essaye pour voir…Ils changent encore de positions pendant plusieurs minutes jusqu’à temps d’en avoir assez et de retourner sur la plage.Agenouillés sur leurs serviettes, ils sont en train de se sécher lorsque Catherine fait une proposition à son mari.— On va dans la dune?Alain se tourne vers son ami.— François, tu viens avec nous dans la dune?— Pour quoi faire ?— Tu le sauras si tu viens, prends ta serviette avec toi.— Bon…Curieux, François suit ses amis en direction de la dune. Celle-ci est occupée par de nombreux buissons épineux qui permettent de s’abriter des regards des autres. Certaines personnes ont choisi de s’installer là pour bénéficier de la tranquillité des lieux. Alain et Catherine sont venus y chercher un coin tranquille et abrité des regards.Dès qu’ils ont posé leurs serviettes côte à côte, Alain se met derrière Catherine et lui caresse le corps. François se place devant elle et en fait autant. Les sexes des deux hommes durcissent rapidement, Catherine se place en position de levrette pour recevoir ces deux bites sans plus attendre. Alain la pénètre immédiatement tandis qu’elle entame une fellation sur François. Les deux hommes se partagent les seins de Catherine qui vont et viennent au rythme des allers-retours. Quelquefois, ils frôlent les serviettes, une caresse qui les fait durcir encore plus. Au bout de quelque temps, Alain se retire de sa femme et vient l’embrasser tandis qu’elle continue de sucer François. Le sexe de son ami se retrouve ainsi dans la bouche de Alain à plusieurs reprises, mais celui-ci n’en fait pas de cas. Le désir et le plaisir sont trop forts, il n’hésite pas à sucer son copain, et celui-ci ne s’en plaint pas.Après quelques temps de cette fellation à deux bouches, Alain demande à François de s’allonger sur le dos. Catherine se place dessus lui en lui tournant le dos. C’est Alain qui prend le sexe de François en main et le masturbe un peu avant de le faire pénétrer dans le sexe de sa femme. Alain se place devant elle et l’embrasse goulûment tandis que François la pénètre. Lentement, Alain descend vers les seins, les mordille, les suce, les lèche, puis il continue sa descente avec sa langue, passe le ventre puis arrive sur le pubis. Alain lèche le pubis de sa femme, puis son clitoris, tandis que le sexe de François est si près qu’il lui touche le menton. Il descend alors encore plus bas et sa langue se porte sur le sexe de François qui entre et sort à cadence régulière, il continue sa descente et arrive sur les testicules qu’il lèche, suce et prend dans sa bouche. À plusieurs reprises Alain effectue le va-et-vient entre le pubis de Catherine et les testicules de François. Pour finir, François se retire de Catherine, Alain en profite pour gober toute la bite de son copain.Catherine change de position en se plaçant sur le côté pour sucer le sexe de François. Alain, quand à lui se place en triangle et met ses doigts et sa langue dans le sexe de sa femme. Ainsi placés, François se retrouve avec le sexe de Alain tout près de lui. Il réfléchit quelques instants à ce qu’il va faire. Alain le regarde du coin de l’œil. Va t’il oser ? Finalement, François se dit qu’il serait dommage de ne pas essayer, le tout est de se lancer, après tout. Il prend donc le sexe de son ami dans sa bouche et le lèche sur toute sa longueur, testicules compris. Puis il se met à gober la bite de son copain, l’avalant du plus profond qu’il peut, le pieu de chair lui déformant la bouche.Au bout de quelques minutes, on change de sens, c’est François qui lèche Catherine, tandis qu’elle suce Alain, et que lui suce François. Finalement, après quelques minutes de ce traitement hautement excitant, les deux hommes indiquent qu’ils sont au bord de l’éjaculation. Ils se mettent alors à genoux tous les trois, Alain et François face à face. Catherine est placée entre eux, elle les branle et les suce tandis qu’ils lui pelotent la poitrine et les fesses et lui caressent le reste du corps. Alain éjacule le premier, comme il est face à François, c’est lui qui reçoit tout sur le ventre, le contact du sperme de son copain achève de l’exciter et il jouit à son tour, envoyant bien entendu tout son jus sur Alain. Ils terminent en s’étalant le sperme les uns sur les autres jusqu’à ce qu’ils s’écroulent sur les serviettes, les uns sur les autres, épuisés et en pleine extase.Après cette petite partie à trois, ils retournent sur la plage après avoir récupéré de leurs émotions. Trop épuisés pour se baigner tout de suite, ils s’allongent au soleil, couverts de sperme. Celui-ci ne tarde pas à sécher, de grandes traces blanches apparaissent alors sur leurs corps. L’après-midi est bientôt terminé. Tous trois retournent une dernière fois dans l’eau pour se nettoyer mutuellement, se caresser, se masturber ensemble. Quelle belle après-midi. Vivement la prochaine, se dit François, qui vient de découvrir quelque chose de nouveau et fort agréable.2. SurpriseQuelques jours se sont écoulés. Une jeune fille marche dans la forêt de pins en direction de la plage. L’endroit est calme, et ça tombe bien car elle a envie de satisfaire un petit besoin pressant avant d’arriver en vue de l’océan. Elle quitte donc le chemin, et s’engage entre les buissons épineux qui parsèment la dune, à la recherche d’un coin discret.Elle finit par se placer derrière un buisson, s’accroupit et baisse son short, elle ne porte pas de culotte dessous et elle n’a laissé qu’une légère touffe de poils sur son pubis. Elle peut alors laisser le mince filet d’urine s’écouler entre les lèvres épilées de son sexe et s’en aller mouiller le sable. Soulagée, elle s’essuie le sexe et va pour remonter son short, mais à la faveur du silence un curieux bruit se fait entendre à quelques pas d’elle. Curieuse, elle s’approche avec discrétion, le short toujours au niveau des genoux, et finit par découvrir derrière un buisson, une femme allongée, nue. C’est Catherine qui est là, sur une natte, en train de se caresser les seins et le sexe en toute liberté et sans retenue.La jeune fille reste cachée derrière le buisson. Captivée par ce spectacle, elle n’a pas entendu Alain arriver derrière elle. Il s’est penché derrière elle pour pouvoir murmurer discrètement.— C’est excitant, n’est-ce pas?La jeune fille est surprise et sursaute lorsqu’elle entend cette voix lui parler. Elle se retourne, toujours accroupie et le short baissé, pour faire face à son interlocuteur.— Eh?— Ben oui, elle est comme ça, à se masturber, sans se douter qu’on la regarde.La jeune fille se demande si elle est en train d’avoir affaire à un maniaque sexuel. L’angoisse la gagne, mais le mieux est de ne rien laisser paraître de ce malaise et de continuer cette conversation comme si de rien n’était.— Oui.— Je me demande si elle accepterait que l’on se joigne à elle.— Oh, ça m’étonnerait. Je ne voudrais pas la déranger.— Et si je vous assurais que ce ne la dérange pas?Sophie s’inquiète, mais n’ose contrarier celui qui est face à elle.— Oh… Peut-être?— Alors, permettez-moi de vous présenter ma femme.Alain se relève et va vers Catherine. Il est nu lui aussi, la jeune fille ne s’en était pas rendue compte. Il passe derrière elle et s’agenouille dans le sable.Sophie est surprise et gênée, mais elle décide de faire ce qu’elle a dit. Elle se relève tout en remontant son short et s’avance à son tour vers Catherine. Lorsqu’elle est arrivée près d’eux, Alain reprend la conversation.— Je vous présente ma femme, Catherine. Moi c’est Alain, et vous?— Je m’appelle Sophie.Catherine se tourne vers Sophie et lui tend la main. Cette dernière s’agenouille à son tour pour se rapprocher. Son short s’entrouvre, puisqu’elle n’a fait que le remonter, et les quelques poils de son pubis apparaissent aux yeux de Catherine, ravie de cette vue.Les deux femmes se serrent la main tout naturellement, même si l’une des deux est complètement nue et pas l’autre.Alain semble comprendre que Sophie n’a pas l’air très farouche. Elle pratique probablement elle aussi le naturisme. Peut-être qu’elle serait prête à passer un bon moment avec eux.— On te regardait en train de te masturber de loin. Continue comme si tu étais seule.Catherine reprend donc sa masturbation, tandis qu’Alain et Sophie sont en train de l’observer, chacun d’un côté. Au bout d’un certain temps, Sophie n’en peut plus de se retenir. Elle se penche vers Catherine, et vient avec ses doigts effleurer son pubis intégralement épilé. Catherine frissonne immédiatement sous cette caresse et cesse de se masturber pour laisser le champ libre à Sophie. Celle dernière n’hésite pas, ses doigts descendent plus bas, parcourent la fente et les lèvres. Catherine écarte les cuisses pour aider Sophie et mieux profiter des caresses qu’elle reçoit. Sophie fait remonter ses doigts entre les lèvres et finit par atteindre le clitoris autour duquel elle fait tourner un doigt, le titillant aussi par moments. Alain n’est pas resté insensible à cette scène, il s’est mis à se masturber à son tour sous les yeux de Sophie qui a remarqué avec intérêt qu’il s’épile lui aussi le sexe, mais partiellement contrairement à sa femme. L’excitation est très forte et Catherine ne tarde pas à jouir sans retenue sous l’effet des attouchements de Sophie. D’ailleurs, les doigts de cette dernière sont tous mouillés de la cyprine de l’autre femme. Elle les porte à son nez pour en sentir d’odeur de jouissance, puis les introduit dans sa bouche et les lèches à la façon d’une fellation.Celui qui a assisté à cette scène de gouinage soft tout en se branlant, se laisserait bien aller à éjaculer sur sa femme, mais il préfère se réserver pour plus tard. Il cesse donc de se masturber et reprend la conversation comme si de rien n’était.— Tu allais à la plage ?— Oui— Nous, on y retourne. Tu veux venir avec nous?— D’accord.Ils reprennent donc tous les trois le chemin de la plage. Alain et Catherine sont nus et marchent de part et d’autre de Sophie qui est, quand à elle, habillée. Arrivés sur la plage, ils vont directement là ils sont déjà installés, un endroit plutôt calme, personne à moins de cinquante mètres. Sophie se déshabille à son tour, sans aucune gêne, elle semble habituée au naturisme. Se débarrassant rapidement de son short et du petit haut à bretelles, sous lequel elle n’a pas mis non plus de soutien-gorge, sa poitrine étant suffisamment ferme pour tenir toute seule. Dès qu’elle est nue, elle s’allonge à côté d’Alain, Catherine étant de l’autre côté de celui-ci. Sophie sort de la crème solaire, elle va pour commence à s’en mettre. Mais elle se ravise soudain, une idée en tête, et se tourne vers Alain.— Est-ce que ça te dirait de me passer de la crème solaire ?Celui-ci ne se fait pas prier et répond sans hésiter.Elle s’allonge alors sur le dos, attendant la caresse des mains de son voisin tout en lui présentant de façon presque impudique les parties les plus appétissantes de son anatomie : ses seins et son sexe partiellement glabre. Alain se met à lui étaler de la crème sur le corps. Il est ravi, Sophie semble être tout à fait comme il l’imaginait.C’est en prenant prend tout son temps, qu’il étale la crème sur le corps déjà légèrement bronzé de la jeune femme. L’absence de traces de maillot confirme son habitude du naturisme. C’est plus une caresse qu’une simple onction, mais c’est ce que souhaitait Sophie, qui gémit de plus en plus, sous l’effet du plaisir prodigué par les mains attentionnées d’Alain. Pendant ce temps, Catherine s’est mise à masturber son mari. Quand à lui, il passe et repasse sur les seins, le ventre et le pubis de Sophie. Il n’hésite pas à la masturber également, la jeune femme se cambrant de plus en plus sous l’effet de la jouissance, trahissant par là même le plaisir qu’elle ressent. Après un léger cri, qu’elle s’est efforcée de contenir au détriment de son plaisir, trahissant un orgasme intense, elle se retourne, offrant à Alain un nouveau terrain de jeu. Il s’occupe alors du dos et reprend ses caresses, insistant sur les fesses, le haut des cuisses et les flancs, près des seins. Quand il a fini d’étaler la crème, Alain se rallonge, le sexe complètement en érection tandis que Catherine continue de le masturber. Sophie est attirée par ces testicules et cette verge débarrassés de tous poils, ce qui les rend bien visibles et tellement lisses que c’en est une invitation à venir les goûter avec la langue. Elle se penche alors vers le sexe d’Alain et se met à lui sucer la bite et lui lécher les couilles, tandis que Catherine continue à lui caresser le sexe. N’en pouvant plus, il finit par jouir, laissant gicler deux flots de sperme sur son ventre et son torse. Alain retire le plus gros avec sa serviette, tandis que les deux femmes achèvent de lui nettoyer le sexe avec leurs langues, avalant ainsi le reste de sperme. Calmés, ils s’allongent tous les trois pour profiter un peu des rayons du soleil.Quelques dizaines de minutes se sont écoulées et Sophie décide d’aller piquer une tête dans les flots bleus, rejointe peu de temps après par Catherine. Alain préférant, quand à lui, continuer à somnoler au soleil. Les deux filles sont donc seules à jouer dans l’eau, suffisamment seules pour changer de jeu. Elles se rapprochent l’une de l’autre et se caresser mutuellement les seins. Elles n’ont de l’eau que jusqu’à la taille, on pourrait les voir, mais il y a peu de monde. En plus, le plaisir de s’exhiber devant quelques voyeurs et le désir mutuel de caresses est très fort. Ce faisant, leurs mains se font plus curieuses et elles en arrivent rapidement à se caresser le sexe, y introduisant même un doigt ou deux malgré la sensation piquante de l’eau de mer. Catherine regarde autour d’elle, elle cherche un coin calme, mais pas forcément dans la dune. C’est ainsi qu’elle repère la pointe rocheuse qui marque le bout de la plage vers la droite. Il n’y a quasiment personne par là bas puisque le chemin d’accès est à l’autre bout. Elle propose donc à Sophie d’y aller.— Ça te dit de nager un peu ?— pourquoi pas ?— Jusqu’à à la pointe, là bas, ça va ?— D’accord.— La dernière arrivée a un gage !— Tenu !Après 400 mètres de brasse, la première à prendre pied sur le rocher est Sophie. Elle se redresse pour observer les environs et voir Catherine qui touche terre à son tour. Elle l’aide à se hisser sur le sol.— C’est moi qui ai gagné.— Eh oui. Quel est mon gage ?— Hum… Je voudrais que tu me fasses jouir avec la langue.— Ce n’est pas vraiment un gage, j’avais déjà envie de le faire.— Eh bien comme ça, tu es servie ! Mais je veux te rendre la pareille ensuite.— Avec plaisir. L’endroit est complètement désert, on va pouvoir s’allonger sur la plage.Ce faisant, elles parcourent le chaos rocheux pour regagner la partie sablonneuse de la plage. Sophie s’allonge sur le dos. Catherine lui écarte les jambes pour dévoiler complètement ce sexe qui s’entrouvre alors de désir. Elle s’accroupit alors et amène sa tête entre les cuisses de Sophie. Sans plus attendre, sa langue s’avance et vient lécher le pourtour du sexe de l’autre femme. Puis elle se fait plus pressante et parcourt les lèvres, d’abord à l’extérieur, puis à l’intérieur. Une fois que sa langue a pénétré dedans, elle se fait un plaisir de jouer avec le clitoris : le léchant, le suçotant, tournant autour du bout de la langue. Elle part ensuite à la conquête de sa grotte intime, y insinuant sa langue du plus profond qu’elle peut, puis elle retourne au clitoris, recommençant à l’exciter. Sophie ne résiste pas plus longtemps à ce traitement et jouit, sans se retenir cette fois-ci, poussant un grand cri, tandis que Catherine lui lèche le clito tout en lui introduisant deux doigts à l’intérieur du vagin.Reconnaissante du plaisir qu’elle vient de recevoir, Sophie se redresse tandis que Catherine s’allonge, elle va lui rendre la pareille. Avec un plaisir non dissimulé, elle se laisse aller à ses élans saphiques, léchant, suçant et caressant avec délice ce sexe de femme dont l’épilation intégrale le rend offert à ses désirs. Elle ne tarde pas à faire jouir pour la seconde fois sa nouvelle amie. Après cette jouissance mutuelle, elles restent allongées dans les bras l’une de l’autre, sur la plage, au bord de la mer. De longs instants inoubliables.Ayant fini par reprendre leurs esprits, elles se décident à retourner vers Alain, qui doit quand même commencer à se demander où elles ont bien pu passer, mais il s’en doute probablement. Sophie était partie pour longer le bord de la mer, mais Catherine a une autre idée.— Et si nous rentrions par le haut de la plage, au niveau de la dune ?— Pourquoi donc ? Tu as une idée ?— Peut-être. Je suis assez voyeuse. C’est peut être l’occasion d’une bonne surprise. Après tout, c’est comme cela qu’on s’est rencontrées.— Alors, allons y.Elles vont alors vers le haut de la plage et, grimpant la dune côtière, parviennent au petit chemin qui longe le littoral. Cela ne fait pas deux minutes qu’elles avancent discrètement, que l’œil habitué de Catherine distingue un mouvement dans des buissons. Elle fait signe à Sophie, qui la suit, de stopper et de ne pas faire de bruit. Elles vont alors silencieusement jusqu’au premier buisson et jettent un regard curieux par dessus celui-ci dans l’espoir de distinguer ce qu’il se passe derrière.Sophie avait vu juste. Devant elles, un couple est en train de se donner du plaisir mutuellement, puisqu’ils sont en position de 69. Les deux filles observent, Catherine est immédiatement excitée par la situation et se met à se caresser le sexe, Sophie ressent un curieux trouble, elle en informe son amie à voix basse.— C’est bizarre, il y a quelque chose de pas normal.— Quoi donc ?— Ils ont tous les deux du poil aux jambes.— Ah ?… Tiens c’est vrai. Alors c’est deux mecs.— Des pédés ?— Peut-être. Ce n’est pas grave.— Tu trouves ça excitant toi ?— Ben oui. Ça me plait de voir un mec être à la place de la femme. Ça change.— C’est dégueulasse quand même.— Et nous deux ensemble, c’était pas dégueulasse ? Ils sont peut-être juste bisexuels.— Hum… En effet. Après tout, ce n’est guère différent…— Ben alors ?— Ça doit être que je n’ai pas l’habitude.Pendant qu’elles discutent, des cris de jouissance se font entendre à côté d’elles. Elles tournent la tête pour voir à nouveau le spectacle. Les deux hommes sont en train de se relever. Ils ont encore la bite toute raide. Leurs visages et leurs cous sont parsemés de sperme. C’est à ce moment là qu’ils se rendent compte qu’ils ont été observés par deux femmes. Surpris, ils en restent bouche bée, un détail n’échappe alors pas à Sophie.— Tu as vu, ils en ont même dans la bouche.— Pourquoi pas… Ça ne t’arrive pas d’avaler ?— Si, mais quand même.— Il n’y a pas de raison qu’ils n’aient pas le droit.Les deux homosexuels, un peu gênés, retournent vers la plage, toujours couverts de sperme, car ils n’ont pas pris de serviette avec eux pour s’essuyer.Les deux femmes se remettent alors en marche et finissent par revenir à leur point de départ. Alain n’est plus là, par contre il y a une serviette de plus, mais personne dessus non plus. Catherine regarde vers l’océan, mais elle n’y voit personne.— Ils doivent être dans la dune.— Qui ça « ils » ?— Alain et un ami à nous, François. Viens on va les retrouver.Ce faisant, elles reprennent la direction de la dune à la recherche des deux hommes.Elles ne tardent pas à les retrouver pas bien loin. Ils sont côte à côte, occupés à regarder quelque chose. S’avançant pour savoir de quoi il s’agit, elles se rendent compte, d’une part qu’ils regardent un autre couple en train de faire l’amour, et d’autre part qu’ils sont en train de se masturber mutuellement. Cela ne manque pas de surprendre Sophie, mais après ce que lui a dit précédemment Catherine, le choc est moins fort, elle en touche quand même deux mots à l’oreille de son amie.— Je constate que ton mari aussi fait comme tu dis.— Bien sûr. C’est normal.— Et il suce aussi ?— Oui, tu veux voir ?— Ben…— Pas de souci. Je vais lui demander.Catherine va chuchoter quelques mots à l’oreille de son mari. Celui s’accroupit alors et prend tout naturellement la bite de son ami dans sa boucle. Ce dernier se laissant sucer avec un plaisir évident. Alain lui fait alors signe de s’allonger sur le sable, ce que François fait sans plus attendre. Les deux hommes se retrouvent ainsi côte à côte, Alain s’étant placé tête-bêche, il reprend sa fellation. François regarde la bite de son copain, à même pas vingt centimètres de son visage, et les deux femmes, d’un air interrogatif. Catherine hoche la tête pour le mettre en confiance et l’inciter à le faire. Sophie, à qui la situation commence à plaire, fait de même. Alors François s’approche de son ami et se met à le sucer à son tour. Les deux femmes sont trop excitées par le spectacle de ces deux hommes qui se donnent mutuellement du plaisir en toute liberté et sans ressentir la moindre gêne. Elles s’allongent à côté d’eux, et commencent à leur tour à se lécher mutuellement le sexe.Les deux femmes jouissent rapidement, l’excitation était trop intense. Les deux hommes sont eux aussi au bord de l’éjaculation, mais d’un commun accord, ils décident de ne pas se faire décharger dans la bouche. Ce qui incite Catherine à murmurer à son amie.— Ils ne sont pas assez pédés. J’aurais bien voulu les voir avec du sperme dans la bouche et embrasser mon mari ensuite.— Peut-être que cela viendra.— Attends, j’ai une idée. Je vais sucer François et tu vas sucer mon mari.Les deux femmes reprennent donc les fellations abandonnées par les hommes. Chacune se chargeant de bien astiquer la bite qu’elle a dans la bouche, jusqu’au moment, et il ne se fait guère attendre, où les deux hommes se mettent à jouir à leur tour, éjaculant toute leur semence dans la bouche des femmes.C’est à ce moment là que Sophie comprend l’idée de Catherine. En effet, cette dernière se tourne vers son mari, la bouche pleine du sperme de François, et l’embrasse sans lui laisser le temps de réagir. Ils sont ainsi tous les deux à partager cette semence, Alain se retrouvant avec le sperme de son ami dans sa bouche. Sophie se tourne vers François. Va t’il se laisser faire ? Va t’il bien vouloir en faire autant ? Elle s’approche, il ne recule pas. Plus près encore, il semble consentant. Ils ne se sont pas encore embrassés, drôle de façon de commencer une relation que de partager le sperme d’un autre, pourtant c’est ce qui se fait. Bouche dans bouche, leurs langues tournent l’une autour de l’autre, le sperme se mélangeant et se répartissant entre leurs deux gorges. François finit par avaler sa part, de la même façon que l’a fait son ami, finalement ce n’est qu’une question d’habitude.Alain et Catherine, repus de sexe, sont déjà prêts à repartir sur la plage. François et Sophie, quand à eux, sont toujours en train de s’embrasser, un sentiment réciproque serait-il en train de naître ? Catherine s’adresse à eux.— Apparemment, vous êtes occupés. Nous on retourne sur la plage. Vous nous rejoignez là bas ?Les deux autres acquiescent d’un signe de tête. Leurs amis les ayant quittés, ils se retrouvent maintenant seuls. L’occasion pour eux de se caresser mutuellement le corps de façon un peu plus approfondie. François va tout naturellement explorer le sexe de sa nouvelle amie. Elle lui rend la pareille, mais sa bite est encore toute douloureuse.— Attends, je ne suis pas encore remis. Il vaudrait mieux faire une petite pause.— On retourne aux serviettes ?— Oui, on y sera plus confortables.Ils retournent alors sur le sable et s’allongent à côté de leurs amis. Pas par pour longtemps, car l’envie est trop grande, et quelques minutes plus tard, François se tourne vers Sophie et commence à lui masser le dos. Celle-ci n’attend pas longtemps pour se retourner, s’offrant ainsi toute à ses caresses. Il ne se fait pas prier et commence à lui peloter les seins, puis caresse les cuisses, remontant vers le ventre, avant de se concentrer sur le sexe de sa nouvelle amie. Les gémissements de Sophie finissent par attirer l’attention de Alain et Catherine qui assister au spectacle avec intérêt. François a maintenant introduit trois doigts dans le sexe de Sophie qui apprécie visiblement cette pénétration, à en croire les petits cris qu’elle pousse. Il irait bien plus loin, mais explorer le sexe de son amie avec sa langue risque de ne pas être particulièrement discret sur la plage, de plus Sophie est obligée de contenir ses cris alors qu’elle préfèrerait se laisser jouir à volonté. C’est donc d’un commun accord qu’ils se lèvent et vont vers la dune avec leurs serviettes. François a le sexe à l’équerre, mais l’envie est trop forte, tant pis si des esprits coincés sont choqués de le voir déambuler ainsi.A peine sont ils partis qu’Alain et Catherine se posent la question de les suivre ou pas. Peut-être veulent ils un peu d’intimité ? Après tout, ils peuvent toujours les observer discrètement, ils décident donc de prendre à leur tour la direction de la dune. Suivant les traces de pas dans le sable, ils ne tardent pas à les retrouver. Pas bien loin de la plage, ils étaient tellement excités qu’ils n’ont pas eu la patience de s’éloigner énormément. Cachés derrière un buisson, le couple observe leurs amis en train de faire l’amour. Sophie, qui ne se retient plus, gémit de plaisir sous les assauts de son amant. Pour sa part, François accumule les variations de rythme et de position pour démultiplier son plaisir et celui de sa partenaire. Alors qu’il est debout, en train de se faire sucer par Sophie, il remarque ses amis, à peine dissimulés derrière le feuillage. Il leur fait signe de venir à côté d’eux. Les deux couples continuent alors à faire l’amour côte à côte jusqu’à la jouissance finale des deux hommes. Dès qu’ils se sont retirés de leurs partenaires Catherine se penche vers François pour lui nettoyer le sexe avec sa langue. Sophie fait de même avec Alain et le prend dans sa bouche pour lui rendre la bite bien propre.Quand elle a terminé, Sophie lance aux deux hommes.— Maintenant, c’est à vous, messieurs.François préfère ne pas comprendre, épaulé par son ami.— Quoi donc ?— Oui, quoi ?Catherine enfonce le clou.— Vous savez très bien ce qu’on veut dire.Alain s’offusque, appuyé par François.— Mais c’est dégueulasse.— Tout à fait !Sophie reste sur son idée.— Pas plus que ce qu’on vient de faire. Allez faites le.Et Catherine en rajoute.— Oui, pour nous faire plaisir.Et en disant cela, elle jette un regard à François qui en dit long sur les possibilités qu’il peut avoir avec elle.Après tout, si cela peut lui faire plaisir se dit-il. Et il se penche vers elle pour lui lécher le sexe, mais ce n’est pas exactement ce qu’elle veut.— Non, pas le mien, celui de Catherine.— Vraiment ?— Oui.François s’exécute et va lécher le sexe de Catherine, recevant ainsi le sperme de son ami dans sa bouche. Pour sa part, Alain qui ne veut pas être en reste, va s’occuper du sexe de Sophie et se met à lécher avec sa langue tout le foutre qui est en train d’en dégouliner. Ce léchage inédit ne se limitant pas au vagin mais allant également jusqu’au clitoris, les deux femmes ne résistent pas longtemps à cette caresse et jouissent une dernière fois.Epuisés, ils retournent tous les quatre s’allonger sur leurs serviettes. Un peu de repos ne sera pas de trop, mais François et Sophie s’échangent leurs numéros de téléphone et adresses. Certainement le début d’une nouvelle idylle, même si l’entrée en matière n’a pas été très classique et qu’ils n’oseront certainement pas raconter à tous leurs amis les circonstances réelles de leur rencontre.3. En villeFrançois et Sophie n’auront pas attendu longtemps avant de se contacter. Le soir même, ils se téléphonent et conviennent d’un rendez-vous le lendemain en ville.En ce jour d’été, il fait beau et plutôt chaud dans cette bonne vielle ville de La Rochelle, qui grouille de touristes en ce début de mois de juillet. Et ce n’est pas place Barentin, sur le bord du vieux port, qu’il y a le moins de monde, bien au contraire. Mais l’endroit est toujours pratique pour un rendez-vous, alors c’est là qu’ils ont choisi de se retrouver.François est arrivé le premier, vêtu d’une chemisette et d’un short, look décontracté adapté à la saison. Sophie ne tarde pas à arriver, elle porte un chemisier d’été et une petite jupe légère qui descend au-dessus du genou. Ils commencent par se faire la bise, mais réalisent immédiatement qu’ils sont déjà allés bien plus loin. La bise se transforme alors en embrassade à pleine bouche, leurs langues recommençant à se mélanger comme la veille, le sperme en moins. Déjà quand il l’avait vu arriver, François s’était douté de quelque chose, et c’est pour en être certain que sa main vient lui peloter la poitrine.— J’en étais sûr, petite perverse.Sophie fait son ingénue.— Quoi donc ?— Tu n’as pas mis de soutif, espèce de cochonne.— Je peux m’en passer, et en été le soutien-gorge me tient chaud.— Alors si c’est pour des raisons de confort.— Mais c’est aussi très excitant, le frôlement du tissu sur mes seins nus qui se baladent en liberté. En plus avec ce tissu léger, le vent vient aussi me les caresser.— Arrête, tu me fais déjà bander.— C’est vrai ?Et joignant le geste à la parole, elle place sa main contre les parties génitales de son ami, les recueillant dans le creux de sa paume pour les caresser du plat de la main.— C’est vrai que ça a déjà grossi.— Et encore, je ne suis pas nu dans mon short.— Moi si, je suis nue sous ma jupe.— Tu veux dire que tu n’as pas mis de culotte ?— Ben non. Pour quoi faire ? Il fait très chaud. J’ai pris une jupe assez longue. Comme ça, je gagnerai du temps si l’on veut s’envoyer en l’air.Elle marque une brève pause, pensive, puis elle reprend.— Tiens ? Elle a grossi !— Evidemment, avec ce que tu dis, tu m’excites. Je suis sûr que tu le fais exprès.— Tu crois ?— T’es vraiment une vicieuse, mais ça me plait. On va faire un tour ?— D’accord.Ils prennent alors la direction du quartier piéton en passant sous le porche au-dessus duquel figure une grande horloge. Tout en marchant, Sophie reprend la discussion.— Alors, ça te plait que je sois une vicieuse ?— Oui, bien sûr.— Et aussi une petite perverse et une petite cochonne ?— Oui, aussi.— Toi aussi tu es vicieux, pervers et cochon ?— Assez, oui. Et pourtant, tu sais, il n’y a même pas une semaine, je n’avais encore jamais fait de naturisme.— Je n’aurais pas cru, tu avais l’air si décontracté.— J’apprends vite.— Et avec ton ami Alain aussi ?— Tu veux parler de…François est un peu troublé qu’elle lui parle si tôt des rapports bi qu’il a eu devant elle, pas plus tard qu’hier. Mais bon, il faut bien continuer la conversation.— Ça aussi, c’était nouveau.— Eh bien, tu d’adaptes vite. Ça me fait penser à quelque chose.— Quoi donc ?— Ça me plairait beaucoup que tu fasses comme Alain. Que tu te rases le sexe.— Pour quoi faire ?— Parce que c’est plus agréable pour la fellation et que c’est plus beau à regarder. Tu ne trouves pas ?— Je ne sais pas.— Enfin ? Tu as bien léché le sexe de ton copain. C’était quand même mieux sans les poils ?— Oui.— Tu vois. En plus, si tu es vraiment vicieux, pervers et cochon, ça ne devrait pas te poser de problème.Décidément, Sophie est très forte pour avoir raison quand elle le veut. Il n’y a rien à redire là-dessus. François doit se rendre à l’évidence qu’il va devoir y passer. Question d’habitude, depuis une semaine, il en a vu d’autres.— Après tout, pourquoi pas ?— Bon, on va chercher ce qu’il faut dans un magasin ?— Déjà ?— Ben pourquoi pas ? Comme ça, je pourrai en profiter tout de suite.Ils se rendent alors aux Galeries Lafayette, qui sont à deux pas, et vont directement au rayon des produits d’hygiène pour acheter de la mousse à raser, des rasoirs et un après-rasage pour peaux sensibles. Une fois leurs emplettes faites, ils ne peuvent s’empêcher de s’arrêter dans un rayon désert pour s’embrasser à nouveau. François lui caresse les seins, Sophie lui tripotant la bite à travers le short et le slip. La curiosité est trop forte, il n’y a personne aux environs, il laisse sa main redescendre vers la jupe, remonte le tissu et va au contact du sexe de son amie. Elle a bien dit vrai, elle a le cul à l’air. Cette idée entraîne immédiatement une forte érection qui devient bien vite douloureuse étant donné sa tenue serrée. Sophie s’en est rendu compte.— Tu vois, tu serais à poil dans ton short, tu n’aurais pas ce problème.— Mais à la place, j’aurais une grosse bosse qui se verrait au moins à dix mètres, espèce de cochonne.— On ferait mieux d’aller dans un coin tranquille.— Il y a les cabines d’essayage.— Pas très discret. Mais on n’a pas mieux.Tout en se rendant aux cabines d’essayage, ils traversent le rayon des vêtements d’été. Une robe attire tout particulièrement le regard de François, et pour cause : c’est une robe d’été en tulle, tellement légère qu’elle en est quasiment transparente. Une idée qui tombe à pic lui vient à l’esprit.— Attends, on ne peut pas aller dans les cabines sans avoir au moins un vêtement à essayer, ça va faire louche.— Tu sais, y entrer à deux, c’est déjà un peu louche.— Oui, mais autant ne pas en rajouter. Tiens, prends donc cette robe.— Celle-ci ? Hum… Tu m’as l’air bien pervers, toi.— Ça, tu le sauras bientôt.Une fois rendus dans la cabine, François se jette sur Sophie et commence à lui peloter ses seins en liberté sous le tissu du chemisier. Puis sa main droite descend, passe à nouveau dessous la jupe et commence à lui parcourir les fesses, puis le sexe. Pendant ce temps là, Sophie a ouvert la braguette du short de son ami. La bite de François jaillit comme propulsée par un ressort, se redressant fièrement vers le plafond. Sans plus attendre, elle se met à le masturber. Caresse qu’il lui rend à son tour, en lui introduisant deux, puis trois doigts, dans le vagin, tout en alternant cette pénétration avec des caresses du clitoris. François est très excité et se retrouve rapidement au bord de l’éjaculation, mais il préfère se retenir.— Attends, pas si vite. Si tu essayais cette robe ?— C’est vrai, je n’y pensais plus.Sophie déboutonne son chemisier, de façon suggestive, tout en se caressant les seins. Puis, quand il est ouvert, elle le laisse tomber à ses pieds en le laissant glisser le long de son corps, se laissant ainsi caresser à nouveau par le tissu. Ceci fait, elle déboutonne sa jupe et la fait glisser, à son tour, le long de ses hanches. Elle est maintenant totalement nue, à l’exception de ses escarpins. François s’est assis sur le rebord de la cabine. Sophie lui tourne alors le dos, pour ramasser ses vêtements tombés au sol, se penchant en avant pour le faire. Il se retrouve alors avec les fesses et le sexe de son amie à quelques centimètres de son visage. Sans attendre, il se penche vers elle et parcourt goulûment avec sa langue, les lèvres du sexe de son amie. Celle-ci se laisse faire, écartant les jambes pour lui faciliter le passage, et ne tarde pas à jouir, aussi silencieusement qu’elle le peut, sous l’effet de ces caresses buccales.Une fois remise de ce petit plaisir, Sophie prend la robe à essayer et l’enfile sans plus attendre. Même si elle peut paraître sage au niveau de la coupe, puisqu’elle arrive plus bas que le genou, cette robe ne l’est pas vraiment, surtout de la façon que Sophie la porte. Elle est en effet suffisamment transparente pour que l’on puisse deviner les contours de son corps et la forme de ses seins. Quand aux aréoles, elles sont parfaitement visibles puisqu’elles sont en contact direct avec le tissu. Les tétons pointent bien et, là aussi, il n’est pas difficile de s’en rendre compte. François est surexcité par le spectacle que lui offre son amie, tellement qu’il commence à se branler sans même s’en rendre compte. Sophie ne le laisse pas seul bien longtemps, elle se jette sur ce pieu de chair tout raide et se met à le sucer avec une évidente gourmandise. Ce traitement agit rapidement sur François, d’autant plus que par l’encolure de la robe, il peut voir les seins de son amie se balancer au rythme de ses mouvements et caresser le tissu. En même pas une minute, il est au bord de la jouissance et prévient Sophie. Elle garde, malgré tout, la bite dans sa bouche jusqu’à l’éjaculation, et reçoit le foutre de son ami jusqu’au fond de sa gorge. Heureuse et comblée, mais toujours aussi perverse, elle l’embrasse sans plus attendre, la bouche pleine de sperme. Ils restent ainsi à s’embrasser amoureusement, jusqu’à ce qu’ils aient fini de se partager le jus de François. Ils ont quand même passé pas mal de temps dans la cabine et Sophie se rhabille rapidement, ce qui est facile vu le peu de vêtements qu’elle porte. Pendant ce temps, François va à la caisse pour acheter la robe qu’ils ont essayé pour lui offrir.A peine sont ils sortis du magasin, que François, complètement obsédé par cette nouvelle robe, n’a plus qu’une idée en tête.— Et si tu la mettais tout de suite ?— Ah oui, mais où ça ?— Bonne question… Attends je réfléchis… On peut aller du côté du casino, il y a un parc assez tranquille qui le borde.— D’accord.Ils prennent alors la direction du parc Charrayer, la main dans la main, et y arrivent cinq minutes plus tard. L’endroit est idéal, car il y a des haies assez hautes sur le bord de certaines allées, il suffit d’aller derrière l’une de celles-ci pour être tranquille. Sophie retire rapidement son chemisier et sa jupe et enfile à la place la robe sans attendre. Elle est réellement très sexy dans cette tenue provocante et presque impudique. Elle s’en inquiète quand même un peu.— Ça va ? Ce n’est pas trop déshabillé ?— Un peu, avec le soleil, on arrive à deviner tes seins. Mais tu n’es pas la seule à le faire, en plus ils sont beaux et sont particulièrement mis en valeur par cette tenue.— Et c’est tout, le reste ça va ?— On devine ton corps, mais ce n’est pas trop grave. Le plus visible, c’est tes poils pubiens. Je n’avais pas fait attention dans le magasin, mais là en plein soleil, on arrive quand même à les deviner.— S’il n’y a que ça, je n’ai qu’à les raser.— Excellente idée. À propos, on fait ça quand ?— Et où ? Je n’habite pas tout près.— Et moi non plus… Attends, j’ai une idée. Je connais un club de sport en ville où je vais de temps en temps après le travail. À l’heure qu’il est, on devrait être tranquilles.Ils vont alors à la salle de sport de François, traversant ainsi à nouveau toute une partie de la ville. Sophie étant nue sous sa jupe légèrement transparente, certains passants observateurs s’en rendent facilement compte et ne peuvent s’empêcher de la suivre du regard, ne pouvant résister à ce spectacle excitant. Elle s’en rend bien compte et prend de plus en plus de plaisir à déambuler dans les rues de la ville. Le plaisir de l’exhibition la gagnant de plus en plus, sa démarche se fait plus langoureuse et elle invite François à ralentir le pas pour donner aux autres plus de temps pour la mater. Quand ils arrivent à la salle de gym, elle ne peut s’empêcher de glisser deux mots à son ami.— Je suis tellement excitée de cette exhib en ville que j’en suis toute mouillée.— C’est vrai ça ?Joignant le geste à la parole, François passe sa main sous la robe et va tâter le sexe de son amie. Il n’a aucune difficulté à y introduire trois doigts tellement elle est humide. Ils s’arrêtent au beau milieu de l’escalier qui monte au premier étage, où est située la salle de sport, et en moins de dix allers-retours de ses doigts dans sa chatte brûlante, il la fait jouir.— Merci, qu’est-ce que c’était bon. Cela fait bien cinq bonnes minutes que je suis au bord de la jouissance. Juste à cause des frottements de mes cuisses contre mon sexe en marchant.— Cochonne.Sophie prend une allure de petite fille triste et lui répond tout en souriant. Arrivés dans la salle de sport, ils vont directement jusqu’au casier de François, qui est bien évidemment dans le vestiaire hommes, mais ils n’ont pas le choix. Heureusement, conformément à ses prévisions, il n’y a pas grand monde dans les couloirs à cette heure-ci. Il sort deux serviettes du casier et en passe une à son amie. Etant donné la légèreté de sa tenue, Sophie a le temps de se déshabiller et de nouer la serviette autour de ses seins tandis que François n’a eu que le temps de retirer son short. Quelques instants plus tard, ils sont tous les deux en serviette, lui autour de la taille, et elle autour des seins, mais il y a un petit souci et François l’a remarqué.— La serviette est trop courte, on voit ton sexe.— C’est vrai ?— Oui, tu ferais mieux de la nouer autour de la taille.— Dans ce cas, c’est mes seins qu’on va voir.— Tant pis.— Tu n’as pas d’autre serviette ?— Non, ce sont les deux seules qui me restent dans le casier.— Bon ce n’est pas grave, de toute façon on va directement aux douches.Les douches sont collectives, mais pas mixtes. Ils décident d’aller dans celles des hommes, elles communiquent directement avec le vestiaire. Cela choquera certainement moins les autres clients qu’il y ait une femme dans les douches des hommes plutôt que le contraire. Ils vont tout au fond, histoire d’être le moins possible dérangés par ceux qui iraient aussi prendre leur douche. Sophie se saisit de la bombe de mousse à raser dans une main et d’un rasoir dans l’autre, bien décidée à commencer.— Vas-y, assieds-toi sur le lavabo.— Pourquoi ? Tu ne veux pas commencer ?— Si, mais c’est toi que je vais raser.— Mais je peux le faire.— Oui, bien sûr, mais j’en ai envie.— Et puis, tu risques de me couper, tu n’as pas l’habitude.— Ça m’étonnerait, j’ai utilisé le rasoir pendant pas mal de temps.— Et maintenant ?— Epilation définitive.— Sauf la touffe.— Oui, mais elle va y passer, cette fois-ci.François s’assied donc sur le bord du lavabo, les jambes écartées. Sophie fait couler de la mousse dans le creux de sa main, puis elle l’applique sur l’ensemble des parties poilues de François : le pubis, les testicules et la base du pénis. Une fois que la mousse est bien étalée, elle commence à couper les poils au rasoir. Ce n’est pas facile car ils sont assez longs, mais en repassant plusieurs fois, elle finir par mettre la peau à nu pour de bon. Pendant cela, l’excitation gagne François au fur et à mesure qu’il voit son sexe retrouver un aspect tout lisse. Sophie s’en rend immédiatement compte et commence à le branler en même temps. La bite de François grossit rapidement dans sa main, ce qui est bien plus pratique pour procéder au rasage des bourses et du phallus. Quelques minutes plus tard, l’opération est terminée. Après rinçage et séchage, François peut enfin, pour la première fois, caresser son sexe lisse. La sensation de douceur le parcourt immédiatement, son sexe se redresse encore plus. Cela n’échappe pas à Sophie, qui en profite pour lui sucer la queue et lui lécher les couilles. L’effet de ses caresses et de celles de son amie sur sa peau toute douce est telle que l’excitation monte très vite. Il jouit quelques secondes plus tard, laissant gicler plusieurs flots de sperme, dont quelques uns atterrissent dans la bouche et sur le visage de Sophie.Derrière eux se fait entendre un applaudissement. Quelqu’un les a regardés faire. De qui s’agit il ? C’est tout simplement leur amie Catherine. Elle s’était cachée derrière la douche suivante et les observait à loisir. Elle est vêtue d’un body de sport qui la moule bien. La transpiration achevant de faire coller le tissu à sa peau, on devine sans difficulté la forme de son sexe, le body lui rentrant même quelque peu dans la fente. François ne peut cacher sa surprise.— C’est toi ? Qu’est-ce que tu fais là ?— Eh dis donc, toi-même. C’est là que je viens pour la gym, figure-toi. Et toi, ça t’arrive souvent d’entrer dans les salles de sport et de filer direct dans les douches pour te faire raser la bite ?— Moi aussi, j’ai un abonnement ici, tu ne savais pas ?— Non. En tout cas, merci pour le spectacle.Sophie prend alors la parole.— Attends, ce n’est pas fini. Il faut encore s’occuper de moi.— Tu veux tout enlever ?— Oui, je t’expliquerai pourquoi.— Je peux le faire ?— Ça dépend, peut-être que François veut le faire aussi.François répond.— Oh tu sais, je ne suis pas très habitué, je préfère regarder.— Dans ce cas.Joignant le geste à la parole, Catherine prend à son tour en main la bombe de mousse à raser et un rasoir neuf. Quand à Sophie, elle s’assied sur le rebord du lavabo tout en écartant bien les cuisses, offrant ainsi à l’autre femme une vue parfaite sur son intimité.Evidemment, il n’y a pas grand-chose à raser puisque Sophie n’avait déjà laissé que le mont de vénus, mais Catherine prend quand même bien soin d’étendre de la mousse partout, plus pour le plaisir de la caresser que par nécessité. Catherine débarrasse ensuite Sophie des derniers poils de son sexe, le rendant ainsi intégralement nu, tout comme celui de François. Après rinçage et essuyage, Sophie admire son sexe dorénavant totalement imberbe.— C’est pas mal. Je me sens encore plus nue comme ça, encore plus impudique aussi.— Tu es super excitante.Et joignant le geste à la parole, Catherine se penche sur le sexe de son amie et commence à le lécher tout en le caressant de ses mains. François toujours à côté des deux femmes, est de plus en plus excité par ce spectacle. Catherine est toujours habillée, alors qu’ils sont nus tous les deux, c’est cela qui l’excite le plus. Il a bien vu le dessin de son sexe à travers le tissu moite du body. Sa main se pose sur le dos de Catherine, puis glisse vers la hanche, l’autre main se place sur une fesse. Puis sa première main passe entre les deux fesses et va à la recherche de la fente de son amie. Quand il l’a trouvée, il la caresse à travers le tissu humide. Catherine en gémit de surprise et de plaisir, l’incitant à continuer. François approfondit ses caresses et va jusqu’à pénétrer légèrement le sexe de Catherine à travers le tissu, puis il essaye de trouver le clitoris, mais c’est moins facile. Finalement, il se décide à écarter le body pour accéder directement aux parties intimes de son amie. Ne résistant plus, le sexe en érection pour de bon, il se place derrière elle et la pénètre en levrette sans plus attendre. Excitée comme elle est, sa bite rentre en elle comme dans du beurre. François commence ses allers-retours tandis que Catherine continue de gouiner Sophie.François met à profit sa position pour caresser le corps de Catherine à travers son body, ses tétons pointent et déforment le tissu, ce qui rend les caresses encore plus érotiques. Pendant ce temps, il observe sa copine qui se fait lécher et qui semble en tirer beaucoup de plaisir. Finalement, François ne prend que quelques minutes pour atteindre la jouissance. Il retire son sexe au dernier moment et gicle tout son sperme sur le dos et les fesses de Catherine. Le body, couvert de jus, sera bon pour le lavage. Sophie se lève et va lécher la bite de son copain pour la nettoyer et récupérer ce qu’il reste du sperme et de la cyprine qui sont dessus. Puis ensuite, toujours assez excitée, elle se charge de lécher le sexe de Catherine pour la nettoyer également. Catherine retire son body pour pouvoir prendre une douche bienfaisante après toutes ces émotions. En fait, ils se mettent tous les trois dans la même douche et se savonnent les uns les autres, n’hésitant pas à se masturber et se caresser mutuellement à volonté tant ils sont encore excités tous les trois. D’ailleurs, le sexe de François n’est pas redevenu complètement mou, toujours assez gros bien que n’étant plus en érection, les deux femmes le masturbent à tour de rôle tout en se caressant mutuellement. François, quand à lui, les pénètre de ses doigts tout en leur léchant les seins. La douche a quand même une fin et il est temps de retourner aux vestiaires. Catherine les quitte pour aller dans le vestiaire femmes, où elle a son casier. François et Sophie se rhabillent rapidement, surtout elle, puisqu’elle n’a qu’une robe à enfiler pour être vêtue. François se pose une question.— D’après toi, je remets mon slip ou pas ?— C’est comme tu veux, mais je préfèrerais sans. Comme ça, je pourrai te tripoter la bite à volonté.— Bon, alors je ne le remets pas.C’est à ce moment, alors que François est en train de remettre son short à même la peau, que Catherine fait irruption dans le vestiaire des hommes.— Vous n’êtes pas encore prêts ?François lui répond.— Non.— Dis donc, tu sais que tu es sexy dans ton short ?— Ah bon ?— Oui, le porter sans sous-vêtements et avec le sexe épilé, c’est dommage que je n’aie pas mon appareil photo. Quelle vue excitante.— Ben merci. Et Sophie, tu l’as vue ?— Ah oui, c’est vrai. Je ne voyais que toi. Sympa ta petite robe, et bien transparente en plus. Sophie se lève pour mieux montrer sa tenue.— Mais, dis donc, tu ne portes rien en dessous ? Je me trompe ?— Non, c’est vrai. C’est pour ça que je me suis rasé le sexe.— On voyait ta touffe ?— Un peu, quand même.— Tu sais, avec ou sans poils pubiens, ta tenue est toujours aussi sexy et provocante. Tu me diras où tu l’as achetée, je me prendrais bien la même.— Pas de problème.— Bon à part ça, puisqu’on se voit. Ça vous dirait un barbecue chez nous, samedi prochain à midi ?François répond.— À priori, je n’ai rien de prévu, et toi ?— Moi non plus. Pourquoi pas ?— Alors à samedi.Catherine rentre chez elle, tandis que François et Sophie poursuivent leur promenade dans La Rochelle. La tenue transparente de la jeune femme ne cesse d’attirer le regard des autres hommes, mais aussi des femmes, et tout cela l’excite pas mal. François aussi est tout émoustillé, et son sexe en liberté peut maintenant se gonfler à volonté dans son short. Sophie le sait et elle le prend dans sa main dès qu’ils sont seuls et le branle à travers le tissu, tout comme lui l’a fait à Catherine dans les douches.Alors qu’ils sont face à la mer, en train de s’embrasser à pleine bouche et de se masturber mutuellement, lui sous la jupe, elle à travers le short, François jouit une dernière fois et s’éjacule dessus à l’intérieur du short. Le tissu est imbibé de sperme, François est épuisé. Sophie reprend la masturbation que son ami a abandonné sous le coup de l’émotion et se fait jouir à son tour quelques instants plus tard. Epuisés à force de jouir, repus de sexe, ils regardent le soleil descendre sur l’océan tout en continuant à se bécoter et se caresser sans relâche.4. BarbecueLe week-end suivant, Alain et Catherine ont organisé, comme prévu, un barbecue chez eux à l’intention de leurs amis. Tout est prêt et plutôt que de rester à ne rien faire en les attendant, Alain retire ses vêtements et va plonger dans la piscine, tout nu. Pendant ce temps, Catherine termine les derniers préparatifs, elle préfèrerait que son mari soit prêt à recevoir François et Sophie.— Tu sors de la piscine ? Tu ne vas pas être prêt à temps.— On a tout le temps. Je n’en ai que pour quelques secondes à me préparer.Quelques minutes plus tard, on sonne à la porte d’entrée. Catherine en profite pour sermonner son mari.— Tu vois, ils sont déjà arrivés et tu es toujours dans la piscine.— Pas de problème, je vais m’habiller tout de suite.— Ça m’étonnerait.Et elle prend la serviette et les vêtements d’Alain, posés sur un siège et va ouvrir à ses amis. François et Sophie arrivent dans le jardin, Alain est toujours dans la piscine, sa femme va vers lui.— Alors ? Tu sors de la piscine ?— Mais je suis nu.François et Sophie, qui sont derrière, ont tout entendu. De toute façon ils s’en doutaient un peu, connaissant Alain.— C’est pas grave, on en a vu d’autres ces derniers temps.Alain sort donc de la piscine et s’avance nu vers François et Sophie. Il serre la main de François et embrasse Sophie. Catherine propose et sert l’apéro, ils le prennent au bord de la piscine. Pendant ce temps-là, Alain se laisser sécher au soleil, allongé nu sur un transat, François et Sophie l’observent avec plaisir. Alain s’en doute, ça l’excite et son sexe commence à grossir sous l’effet de ces idées perverses. François et Sophie en parlent entre eux à voix basse. Quand à Catherine, elle ne fait pas attention à Alain, mais finit par se douter qu’il se passe quelque chose à voir le comportement de ses amis, elle se tourne vers son mari et comprend tout en voyant son sexe grossi.— Ne te gêne surtout pas.— Ah, mais je n’y suis pour rien.François vient au secours de son ami.— Je confirme, il n’a rien fait.Catherine est incrédule.— Ben alors, pourquoi ton sexe grossit à vue d’œil ?— Je pense que je suis excité parce que je suis le seul à être nu et de surcroît observé.François et Sophie se sentent visés.— Excuse-nous.— Non, non… Tout le plaisir est pour moi.François renchérit.Catherine n’est toujours pas convaincue.— Vous n’allez tout de même pas me faire croire qu’il ne s’est pas caressé devant vous, ce dégueulasse ?Sophie lui répond.Et François confirme.— En effet, d’ailleurs s’il l’avait fait, Alain serait certainement déjà en érection.Ce dernier acquiesce.Mais Catherine reste campée sur ses positions, à moins qu ’elle n’ait une idée en tête.Sophie finit elle aussi par deviner l’idée de son amie.— Je pense que le meilleur moyen de prouver que Alain ne se caressait pas, ce serait qu’il se caresse maintenant, on verra bien la différence.François et Alain sont d’accord aussi.— C’est exact.— Ça c’est une super idée !Alors Alain se caresse et se masturbe devant Catherine, François et Sophie. Son sexe grossit encore et devient raide. Il continue. Catherine, François et Sophie l’observent toujours. Trop excité par la situation, Alain n’en peut plus et s’éjacule dessus. Sans plus attendre, il plonge dans la piscine couvert de sperme, puis va dans la maison pour se sécher et s’habiller.Pendant qu’Alain est parti, François et Sophie échangent quelques mots à voix basse, puis François s’adresse à Catherine.— Je me demande quand même ce qu’Alain a pu ressentir comme sensation. Est-ce que ça t’ennuierait si… je me déshabille ?— Non… Après tout, Alain ne t’a pas demandé ton avis.François se déshabille et s’allonge sur le transat tandis qu’Alain revient habillé.— Si j’avais su, je serais resté tout nu.Son ami lui répond.— Non, surtout pas. Je veux, moi aussi, ressentir l’effet que ça fait d’être nu et observé par des personnes qui ne le sont pas.Ils continuent de prendre l’apéritif tous les quatre et discutent comme si de rien n’était, mais le sexe de François ne grossit pas. Catherine s’en rend vite compte.— Ça ne marche pas avec toi.Alain fait une suggestion.— Tu n’as qu’à te caresser, ça viendra…François ne comprend pas qu’il n’ait pas une érection spontanée, et ça l’ennuie.— Ce serait de la triche.Sophie fait alors une autre proposition.— Toi oui, mais si c’est une autre personne ?Elle vient à côté de François et lui caresse toute la zone environnant le sexe et celui-ci aussi. Sans succès, car le sexe de François reste mou. Catherine vient à la rescousse.— Tu me permets d’essayer ?— Bien sur. Vas-y.Catherine caresse et prend le sexe de François en main, mais sans plus de succès. Elle se tourne alors vers mon mari.— Alain, viens essayer à ton tour.— Pourquoi faire ?François ne comprend pas non plus.— Quelle idée ! Je ne vois pas ce que ça va changer.Sophie par contre semble avoir compris.— Mais si, c’est une très bonne idée, mon chéri.A contrecœur, Alain s’approche de François et prend son sexe en main. À peine a t’il fait cela que le sexe de François se durcit.Catherine est ravie du résultat.— C’est bien cela, tu fais de l’effet à François.Ce dernier est bien moins ravi.— Pure coïncidence, Alain est passé le troisième alors que vous aviez déjà commencé à m’exciter.Sophie revient vers François.Elle prend la place d’Alain et reprend ses caresses sur son copain, mais celui-ci perd rapidement son érection. Ravie, elle en tire immédiatement une conclusion.— Bon, je crois que c’est clair. Alain, si tu veux bien me remplacer.Alain revient alors caresser le sexe de François et celui-ci se remet immédiatement à grossir. Alain continue, les caresses se muent en masturbation, et ce jusqu’à ce que François éjacule de plaisir. Son sperme se répand sur son ventre, ainsi que sur la main d’Alain, qui n’aime pas vraiment cela.— Beuh ! Tu m’en as mis plein sur main.Catherine s’approche.— Attends, je vais te nettoyer ça.Elle suce les doigts d’Alain couverts de sperme, les avalant dans sa bouche les uns après les autres, comme autant de petites bites. Alain pense que c’en est terminé mais Sophie s’y met aussi.— Et moi alors, je ne peux pas goûter au sperme de mon ami ?— Sers-toi, il y en a partout.— Non, je veux le lécher sur tes doigts.Alors Alain retourne passer sa main sur le corps de François pour y récupérer du sperme, qu’il apporte à Sophie pour qu’elle lui lèche les doigts à son tour.Les deux femmes ayant eu leur part de sperme, Alain prend les devants avant qu’elles n’aient une nouvelle idée perverse, du genre lui faire lécher le sperme de son ami.— Je vais me laver les mains.François se lève à son tour et l’accompagne.— Moi aussi, il faut que j’aille me nettoyer.— Je t’accompagne à la salle de bains, je te donnerai une serviette.Alain et François montent donc au premier étage de la maison, où se trouve la salle de bains. Alain va directement au lavabo pour se laver les mains tout en parlant à son ami.— Va sous la douche, je t’apporte une serviette dès que j’ai les mains propres.François entre dans la cabine, fait couler l’eau et se savonne le torse, le ventre et le sexe avec le gel douche. Pendant ce temps, Alain s’est essuyé les mains et a pris une serviette propre dans un placard. Il la tend à son ami, qui vient de sortir de la douche. Ce dernier la prend et s’essuie à côté d’Alain qui le regarde faire. Pendant qu’il se rhabille, François constate que son ami continue à le regarder.— Ça t’excite de me regarder ?— Pourquoi tu dis ça ?— J’ai l’impression que tu n’arrêtes pas de me mater.— C’est machinal.— Je suis sur que je t’excite.— Peut-être. Mais comme je suis habillé, tu ne peux pas savoir.— Tu crois ?Et François porte la main au sexe de son ami pour en tâter la dureté.— C’est bien ce que je pensais.— T’as pas l’impression de devenir un peu pédé ?— Pas plus que toi, qui n’arrêtes pas de mater ma bite.— Parce qu’elle est belle.— Elle te plait ? Tu voudrais bien la sucer ? Mais pour l’instant, je préfère retourner avec ma copine.— Alors, allons-y.Les deux hommes quittent la salle de bain et vont dans le jardin.C’est une fois arrivés en bas qu’ils se rendent compte que Catherine et Sophie se sont déshabillées toutes les deux et sont en train de se gouiner mutuellement sans retenue. Les deux hommes veulent se mettre nus aussi et participer, mais Sophie pense autrement.— Non, restez plutôt habillés à nous regarder. C’est vrai que c’est bon d’être nue au milieu de personnes habillées. Je dois être exhibitionniste.Propos immédiatement confirmés par Catherine.Elles restent donc allongées, à se lécher mutuellement leurs sexes lisses. Elles aiment cela et y vont de bon cœur, aussi bien avec la langue qu’avec les doigts, jusqu’à ce qu’elles finissent par jouir. Alain et François sont restés habillés mais n’ont pas pu se retenir de se caresser le sexe à travers le tissu de leurs pantalons. Ils ont tous les deux une grosse bosse à la braguette et ils voudraient bien se soulager, comme le suggère Alain.— Et si vous vous occupez de nous maintenant ?Mais sa femme n’est pas intéressée par cette idée— Pas maintenant, j’ai faim.— Oui, plus tard.Renchérit Sophie, son ami n’est pas d’accord.— Mais c’est maintenant que l’on est excités.Elle lui répond du tac au tac.— Vous n’avez qu’a vous soulager ensemble, comme nous l’avons fait. Vous n’étiez pas là, on a bien du se débrouiller toutes seules.Et Catherine en rajoute, sur un ton inquisiteur.— Et qui sait ce que vous avez fait tous les deux dans la salle de bains ?Alain s’insurge.— Ah non ! On n’a rien fait.Elle lui répond avec malice.— Vous-vous être peut être juste un peu sucés en douce. Mais vous n’avez pas voulu avaler, alors vous avez arrêté avant.François corrige.— C’est faux. C’est moi qui ai préféré descendre. Alain était prêt à me sucer.Alain n’est pas tout à fait d’accord.— C’est toi qui a imaginé que ne voulais te sucer. Mais je ne t’ai pas répondu, tu préférais retourner avec Sophie.Catherine reprend la parole.— En tout cas j’ai faim, et Sophie aussi. Alors, allons donc manger. Vous pourrez vous sucer plus tard si vous voulez.Elles se lèvent et vont à table sans se rhabiller. Placés tous les quatre autour d’une table basse pour manger, les deux femmes se laissent observer à volonté, a croire que cela fait encore croître leur niveau d’excitation. Alain, pratiquement en face de Sophie peut admirer à loisir ses seins et son sexe, ses jambes légèrement entrouvertes lui donnant une vue incomparable sur ses lèvres. Catherine, qui est face à François, fait de même et ce dernier ne se gêne pas pour profiter aussi de la vue. Durant tout le repas, elles se cessent de bouger sur leurs chaises, recherchant toujours des postures plus provocantes : allongées, le dos en arrière, et les fesses au bord de la chaise, leurs monts de vénus apparaissent proéminents et terriblement tentants.Alain ramène le dessert, de la crème brûlée. En la mangeant, Catherine en fait tomber sur sa poitrine, son mari réagit tout de suite.— Attends, tu t’es mis de la crème. Je vais te la nettoyer.Il se penche alors vers elle et entreprend alors le nettoyage du sein avec sa langue. Catherine apprécie cette caresse inopinée. François et Sophie sont très excités par ce spectacle offert à leur vue. François réfléchit un instant et fait tomber un peu de son dessert sur le bas ventre de Sophie.— Oh! J’ai fait tomber de la crème sur toi!Sans attendre, il se précipite et lèche consciencieusement le pubis de son amie. Surprise, mais excitée, Sophie en renverse son dessert, qui tombe en plein sur le pantalon de François. Celui-ci se relève en catastrophe.— Ah zut! De la crème sur mon pantalon. Il me faut de l’eau, vite!Alain lui vient en aide.— Attends, j’ai du détachant en haut, suis-moi.François suit Alain dans la maison, jusqu’à la salle de bains.Catherine et Sophie terminent leur dessert. Intentionnellement, Catherine se met à nouveau de la crème sur la poitrine.— Ah, que je suis maladroite. Et Alain n’est pas là pour m’aider.— Attends, je vais t’aider.Sophie se penche sur Catherine et lui suce les seins. Ce faisant, Catherine pelote ceux de Sophie. Après quelques instants, Sophie se relève, prend de la crème et se l’étend sur le corps, des seins au sexe. Ce faisant, elle s’allonge et Catherine vient sur elle et commence à la lécher de partout.Pendant ce temps, dans la salle de bain, Alain est en train d’appliquer du détachant sur le pantalon de François, à hauteur de la cuisse. François jette un regard par la fenêtre à ce moment et voit les deux femmes à nouveau en pleins rapports saphiques, il avertit son ami.— Tiens, regarde Sophie et Catherine.Alain se relève tout en continuant à frotter le pantalon.— Les salooopes !…Sans y prendre garde, la main d’Alain remonte sur la braguette de François. À présent, il lui frotte énergiquement le sexe à travers la toile du pantalon. Son ami s’en rend compte, mais se laisse faire.— Attends, je vais retirer mon pantalon. Ce sera plus pratique pour le détacher.En fait François retire non seulement son pantalon, mais aussi son slip. Son sexe, déjà bien gonflé par l’excitation, se dévoile aux yeux d’Alain qui commence à lui caresser la bite, avant se mettre nu à son tour. Sans raison, mais certainement par désir ou par excitation. Ils retournent se poster à la fenêtre pour regarder leurs femmes se gouiner tout en se masturbant mutuellement. Le plaisir monte et Alain reprend la parole.— Dis, on descend rejoindre nos femmes ou on continue ?— Si c’est pour se faire jeter comme tout à l’heure. Déjà qu’elles nous suspectent de nous être sucés mutuellement.— Je suis bien d’accord avec toi. Autant le faire pour de vrai.— De toute façon, tu voulais goûter à ma bite, non ?— Oui, mais j’espère que c’est réciproque.Ils s’allongent alors tête-bêche sur le tapis de sol au pied de la baignoire et se mettent à se sucer mutuellement avec un plaisir non dissimulé. L’excitation est importante et ils ne tardent par à être au bord de l’éjaculation, François s’exprime le premier.— Attention, je suis sur le point de jouir.Alain s’arrête immédiatement et retire la bite de son copain de sa bouche.— Moi aussi. On descend les rejoindre ?— Oui, je préfère.— Tu ne t’es toujours pas fait décharger dans la bouche ?— Tu en serais le premier informé, tu es le seul homme de j’aie sucé.— J’y pense, Catherine m’a redemandé pour que nous le fassions devant elle.— Raison de plus pour ne pas continuer ici, dans la salle de bains.— Tu veux dire que tu es prêt à le faire ?— Je n’ai pas dit ça non plus.— Je comprends, moi aussi la première fois, je ne savais pas trop si j’avais envie de le faire ou pas.— Tu l’as fait ? Et alors, comment ça s’est passé ?— Je me suis laissé aller, et je me suis tout pris dans la bouche. Je n’aime pas trop le goût, alors je l’ai recraché. C’est avant tout pour faire plaisir à la personne que je suce.— Tu peux me faire plaisir tout de suite, si tu veux.— Bien sûr, mais je veux aussi faire plaisir à Catherine. Descendons.Les deux hommes retournent au jardin, le sexe en l’air, et y retrouvent les deux femmes en position de 69, Catherine dessus et Sophie dessous. Ils se mettent chacun d’un côté, Alain va pénétrer le sexe de sa femme, tandis que de l’autre bout, François lui remplit la bouche avec sa bite. Placée dessous, Sophie ne manque rien de la pénétration et peut à loisir lécher les couilles d’Alain et même son sexe quand il ressort tout mouillé de la chatte de Catherine.Au bout de quelques minutes, Catherine s’écarte du petit groupe, François peut ainsi pénétrer Sophie qui ne demandait que ça. Alain se place sur Sophie en position de 69, il peut ainsi, tout en se faisant sucer par elle, lécher à la fois son sexe et celui de François. Catherine vient derrière ce dernier et lui caresse le corps. Au bout d’un temps, François finit par fatiguer et il se retire de Sophie. C’est ce sexe encore tout dégoulinant de mouille qu’Alain prend entièrement dans la bouche pour le lécher tout en masturbant Sophie. François n’en peut plus, cerné qu’il est par Catherine qui lui caresse le corps et son ami qui le suce. Il est au bord de l’éjaculation et prévient à temps.— Attention, je vais jouir. C’est trop bon ce que vous me faites tous les deux.François retire la bite de sa bouche pour lui répondre.— Pas comme ça, alors. Viens t’allonger avec moi. Je suis sur que ça fera plaisir à nos femmes.— Tu es certain ? Je ne sais pas si je suis prêt.Sophie, qui s’est redressée, vient lui parler à l’oreille.— Oh si, ça me ferait tant plaisir.Les deux hommes se replacent alors tête-bêche, comme ils l’ont déjà fait dans la salle de bains et recommencent à se sucer mutuellement. Les deux femmes se placent derrière chacun d’eux et les encouragent en leur caressant le reste du corps. Le plaisir est partagé et intense. François ne tarde pas à se retrouver à nouveau au bord de la jouissance. Heureusement, il suce très bien Alain, qui a pu arriver rapidement au même état. François est le premier à jouir, Alain reçoit tout dans la gorge. C’est le signal déclencheur et il se met à son tout à remplir la bouche de son ami avec son sperme. Ce dernier est surpris, mais il parvient néanmoins à le conserver dans la bouche durant toute la phase d’éjaculation. Les deux femmes ne leur laissent pas le temps de recracher, chacune va embrasser son partenaire pour récupérer du sperme et leur faire avaler malgré eux une partie de ce qui leur reste dans la bouche.Alain se tourne vers son ami.— Alors, comment t’as trouvé ?— Sympa, mais parce que c’est toi.— Bien sur. C’est une question d’amitié. Et toi Sophie, ça va ?— Oui. La semaine dernière, je ne trouvais pas ça très sain. Mais en fait, c’est assez excitant de voir son petit copain faire le pédé occasionnellement.Catherine approuve.— C’est très bon pour l’équilibre du couple. Ils aiment bien quand nous faisons les gouines, alors pourquoi pas l’inverse ?Et François complète.Après tout, c’est vrai. Vive l’été, vive le sexe. Finalement, on se fait au goût du sperme. Il faudra qu’on se voie plus souvent.Sophie réagit.— Eh oh ! Pas trop. Je vais finir par devenir jalouse et croire que tu préfères Alain à moi.— Mais non, ne t’inquiète pas ma chérie. C’est toi que je préfère. Mais bon, une petite bite de temps en temps, ça change.Le temps a passé bien vite et il est déjà l’heure pour François et Sophie de rentrer chez eux. C’est dommage, mais de toute façon, tous sont épuisés et repus de sexe. Après tout, ce n’est qu’un début. Ils auront encore de nombreuses occasions de se faire des soirées et des sorties pour partager tous les quatre ensemble leur goût des parties carrées, vraiment carrées.