On ne vit qu’une seule fois. Il nous arrive d’avancer et dans une ultime fois de dire oui. C’est à dire de vivre même si ça ne doit être qu’une formidable illusion de jeunesse.C’était une soirée comme tant d’autre, une soirée de fin d’année, celle de terminales a quelque jours du bac. Toute les classe de ES s’étaient réunies chez une élève dont les parents étaient partis en voyages et qui confiant avait laisser la maison. Un buffet avait été installé, avec au milieu l’indétrônable saladier de punch. Une sono avait été installée. La plupart été en train de danser. Je m’étais isolé quelques instants de côté près de la porte qui menait au hall comme d’habitude dans la plupart des soirées. J’aime regarder les silhouettes qui se produisent devant moi, les multitudes couleurs qui les imprègnent , j’essaye de les reconnaître, d’imaginer leur conversation, leur pensées. C’est mon jeu de devinette, ma façon de les aimer. Carine à profité de cet instant de quiétude pour m’aborder. On s’entendait bien tous les deux, nous étions dans la même classe depuis la première, on avait plusieurs fois été placée à côté l’un de l’autre, c’était une des filles avec lequel je parlais le plus. Je sais pas, peut être parce que nous étions différents, elle très ouverte, moi plutôt renfermé. Dés le début, un courant est passé, depuis notre première rencontre, on s’est plu. Mais il ne s’est jamais rien passé entre nous, nous n’avions pas les même groupes d’amis, les même occupations, notre seul point commun était d’être dans la même classe et de partager certains points communs dans notre caractère, une grande curiosité en particulier, qui s’exprimait différemment certes, elle se tournait vers les autres moi j’étais un solitaire mais qui nous réunissait. c’est une explication comme les autres pour comprendre notre attirance commune.Ce soir-là elle tenait dans ses mains, 2 verres de punch, en forme de remerciement j’ai souri. Elle m’a répondu instantanément en me souriant elle aussi, avec ce sourire qui à chaque fois me faisait craquer. Physiquement, on ne pouvait pas se plaindre, elle avait les atouts nécessaires pour séduire facilement, Elle avait des cheveux blonds, plutôt longs. Son visage était rieur, tout chez elle exprimait une certaine bonhomie, une joie de vivre, à travers ses yeux bleus clairs, ses lèvres qui n’arrêtaient pas de bouger, elle parlait pour tout et pour rien, son nez, ses oreilles, ses joues tout respire la gaieté et rarement l’inquiétude. Elle était plutôt grande, rectiligne, trop peut être, on avait du mal à deviner sa poitrine. Enfin il lui manquait peut être une certaine harmonie physique totalement compensée par un enthousiasme communicatif. À ce moment quand je la regarde, je ne pense pas vraiment à ça, mais au désir qui peu à peu s’introduit au plus profond de moi. Ce désir est ravivé par un souvenir qui encore aujourd’hui m’inspire le goût de l’inédit, sa lèvre contre la mienne, il y a plus d’un an déjà , durant la préparation du bac blanc de Français, je l’avais invitée à réviser avec moi à la bibliothèque, à l’époque nous avions une étude en binôme à réaliser pour le mois de mars, c’est en grande partie comme ça que nous nous sommes connus. Prétexte ou pas, j’avais proposé de nous retrouver à la bibliothèque municipale pour avancer dans notre travail. Tout l’après midi, nous avons étudié et surtout parlé. Ce n’est pas que je suis muet, il m’arrive de parler, soyez sans crainte, mais je dois dire que parler avec elle, n’était jamais barbant, je pouvais parler des heures de tout c’est à dire de beaucoup sans rien craindre, elle m’écoutait et la confiance régnait.A la fin de l’après midi je l’ai raccompagnée à pied chez elle, j’avoue avoir mentis en affirmant que sa route était aussi la mienne. Pour se rendre chez elle, le chemin coupe à travers un square. qui ce soir-là était vide, mes lacets était défait nous nous sommes arrêtés. Lorsque je me suis relevé, nos yeux se sont croisé et là . Je n’ai pas encore compris ce qui s’est passé dans ce square. J’ai fait un pas vers elle, je la regardais dans les yeux comme piégé par un hypnotiseur qui voudrait me manipuler, n’est ce pas ce qu’elle voulait ? J’ai posé mes mains à plat sur son cou, elle a posé les siennes sur ma tête caressant mes cheveux. Doucement nos 2 lèvres se sont posées l’une sur l’autre. je ne bougeais plus, c’était uniquement la deuxième fois que j’embrassais une fille, la première ne comptant pas. J’était électrifié, pris de frisson. Elle a discrètement ouvert sa bouche, comme un automatisme j’ai fait de même, j’ai senti nos deux langues s’entrelacer, un pt’it goût sucré sur ma langue. Un sentiment d’éternité m’envahit, je suis tout bonnement bien, satisfait dans sa signification la plus pure. Mais comme toute chose, l’envoûtement a pris fin. Tout deux nous nous sommes reculé. Nous ne disions plus rien. Seule nos mains ont parlé en se joignant. jusqu’à la fin du trajet à pied, le silence a régné même les sons de la ville me semblait lointain, j’étais dans notre songe, main dans la main. Arrivé au pied de sa porte, je me sentais incapable de prononcer la moindre phrase. De sa marche, elle a posé un baiser sur ma bouche. Puis elle a dit « c’est tout n’en parlons plus ». J’avais encore du mal à reprendre conscience. J’ai dit oui de la tête. Elle a souri, ouvert sa porte, refermé derrière elle. Nous n’en avons jamais discuté, niant ce baiser. Ça n’a pour autant pas nui à nos relations qui sont resté chaleureuses et pourquoi pas ambiguës. Sortait-elle déjà avec le garçon que j’ai aperçu plusieurs fois dans des soirées tout particulièrement en fin de première ?Assise à côté de moi, elle ne dit rien, observant la piste de danse. Je suis gêné, en règle général elle entâme la conversation en cinquième vitesse. Là , silence radio. Je me tourne vers elle me rapprochant pour qu’elle m’entende.— À quoi tu penses ? La question est osée de ma part, le punch dans doute, mais je la formule sur un ton rieur à peine ironique.— Hum…A rien…Se tournant vers moi.— Tu ne danses pas, la phrase est banale mais bon.— Non est toi ?— Oh…Je n’aime pas trop ça.— Oui, Je sais. Elle me regarde d’une façon de plus en plus intensément, elle voudrait jauger un objet, elle ne ferait pas mieux. Tu n’a pas faim ?— Si ! d’un air gourmand.Je me lève et l’invite çà se diriger vers le buffet. Elle secoue la tête puis rit. Au buffet, se trouvait déjà 4 à 5 personnes. Avec qui on échange quelques mot, dans notre lycée il y n’y a que 3 classes de ES, on se connaît donc tous plus ou moins. Je tend à Carine un gâteau dont je ne saurais définir la saveur. Bizarrement elle a engagé la conversation avec Julie et 2 autres filles, alors que quelques secondes auparavant c’est elle qui est venue me chercher dans mon coin. Je me retrouve à discuter de je ne sais quoi avec Paul et Simon essayant de m’incruster comme je peux. Carine était à ma gauche. Soudain de la crème tombe sur mon pantalon.— Au je suis désolé ! Aïe tu est bien taché en plus— Pas de problème. ça va— Non, attends, on va nettoyer ça, vient dans la cuisine. Elle m’entraîne d’un coup dans la cuisine, où il n’y a personnes.— Viens, je vais mettre de l’eau.— Je peux le faire.— Oui je veux réparer ma faute— Et qu’elle faute !— Tout à fait.Elle prend un torchon qu’elle imbibe d’eau. Je remarque que je suis seul avec elle dans cette pièce, jusque là ça ne m’avait pas frappé. Tous deux, on est toujours entouré d’amis, en public, mais jamais deux. Alors qu’elle pose le torchon sur mon pantalon pour enlever la crème. J’essaye de ne pas trop bander, repensant au square. Sa main étant posé à quelques centimètre de mon pénis, elle se rendrait compte de mon érection même à travers mon pantalon. Je suis excité comme un puce. Elle doit s’en douter elle n’a pas pu oublier. Je souris toujours elle aussi, nettoyant comme elle peut.— Je peut rien faire d’autre. Mais c’est déjà pas mal, il n’y a moins de trace. Qu’est ce qui te fait rire ?Je me mets à rire d’anxiété plus que de plaisirs.— Rien…Rien…Elle me rejoint dans un rire qui peu à peu se transforme en fou rire.Toujours personne dans la cuisine, pris dans le moment, mes propres inhibitions tombent, je cède à l’envie de renouvelé la satisfaction ressentie il y a plusieurs mois déjà . D’un même geste je vient poser ma main sur son cou, elle relève la tête, peu à peu je rapproche mes lèvres. Mais de ses mains elle vient retirer la mienne de son cou tout en me repoussant. Je ne sais comment réagir devant ce refus, encore plus embarrassant prés à m’enfuir comme un voleur pris en flagrant délit.— Je sais, me dit-elle.— Quoi ?Elle jette un coup d’œil à la porte, qui me fait dos, j’entends des pas, la porte qui s’ouvre. Je me retourne. Elle se tourne vers le lavabo. il ne s’est rien passé est pourtant on fait comme, prenant des poses qui vue de l’extérieur doivent sembler ridicule. Des enfants préparant une bêtise— Ah, vous êtes là , Carole, une amie de Carine, on te cherchait— Un tâche…Quel espèce d’imbécile je forme.— Ah…Oui, Attend je nettoie le torchon et j’arrive, j’avais fait tomber de la crème sur son jean.— Bon…Eh bien je croie…Merci.— De rien. Carole ouvre le frigo, je me dirige vers la sortie.— Attends…Arrivé dans le hall, je m’arrête, écoutant la musique. fermant les yeux. Je les rouvre. Elles m’entourent des 2 coté, à ma gauche Carole, avec une bouteille qui fixe Carine avec des yeux interrogateurs. À ma droite, au rythme de la musique, elle se déhanche. Vous venez on va danser. Mon excitation n’a pas baissé d’intensité, la musique aidant dans un rythme entraînant. Carine se met face à nous, tendant ses mains pour nous amener à la piste de danse. Elle m’irradie, tout chez elle est mouvement. Bougez vous, allez. Carole est toujours aussi interrogateur. refusant l’invitation. Elle rejoint un groupe qui se trouve dans la salle à manger qui est en enfilade du salon, un groupe dont je ne reconnais pas les membres. Peu importe. Carine a déjà pris mes mains, se dirigeant vers le salon en courant elle se détache de moi pour se fondre dans la masse des danseurs qui dessine une masse uniforme de toute les couleurs sous les projecteurs disposés pour l’occasion. Je m’agglutine à cette masse adoptant le rythme approprié. Je bande un peu moins. Je ne la voit toujours pas, scrutant toute la piste. Ou est-elle ? On me tapote sur l’épaule, je me retourne, la musique est très rythmé, latino samba peut être. La piste de danse est petite, tous serré les uns aux autres. Pas à pas elle se rapproche de moi, me collant presque, je sens ses hanches, la pointe de ses seins à travers son débardeur vert. Je me rapproche moi aussi le plus souvent, nos manœuvres sont au cœur de la piste assez naturelle heureusement. sommes nous visibles Dans nos intentions ? Nous répétons ces rapprochements une dizaine de minutes, plus ou moins appuyé d’ailleurs. Au bout d’un moment nous nous éloignons, je suis en nage. Je sort de la piste pour me rendre au buffet et aller chercher un verre. J’en profite pour me rendre dans le hall à l’écart de la foule. Là ou personne ne peut me voir. Ma fébrilité s’atténue, j’ai besoins de réfléchir. À quoi, joue t’elle ? Mes idées sont embrouillés, il va être 1 heures du matin. a un moment je vois un petit groupe se dirigé vers la porte d’entrée. IL s’ont l’air de vouloir partir ? ils prennent leur manteau. me disent salut, la maîtresse de maison les raccompagne dehors. Je suis perdues dans mes pensées. J’essaye de comprendre son comportement et envisagé mon comportement en réponse.— Carine te cherche. Elle veut te parler. C’est l’organisatrice de la soirée qui me parle. Elle t’attend au buffet. Tu viens— Oui, oui, j’arrive.L’organisatrice me désigne, elle parle à Carine, un verre à la main. Je l’attend au seuil du salon, personne ne semble nous regarder. Je suis adossé à la porte . Elle passe devant moi, elle se rend au vestiaire. Je regarde autour de moi puis la suit. Le vestiaire est une petite salle au fond du hall. Elle sourit. Je ne sais quelle stratégie adopté.— Qu’est qu’on fait ?— Je sais pas. mais on devrait parler au calme.— Pour…— Pour parler mais pas ici— Il y a des chambres là haut, Amélie m’a dit qu’on pouvait les prendre, si tu veut ?— Pourquoi pas ?— Ok, on monte, elle tend ses mains vers le bas, je me joins à elle sans vraiment réfléchir.On n’est passé le plus discrètement possible dans le hall pour prendre l’escalier et gagner le deuxième étage. dans le couloir, du 1er étage, on pouvait deviner 2 ombres coller l’une à l’autre. Ombres chinoises. Je suis passé devant elle, j’ai pris sa main. Je n’avais plus de doute sur ce qui allait se passer. J’était heureux, j’avais un peu peur pour la première fois. On est rentré dans la première chambre à droite. Quand on rentrait, le lit était à droite, c’était un 2 places. Je voulais quelque chose de confortable pour elle et moi. Je voulais réussir cette nuit. En face de la porte il y avait un banc avec derrière une penderie et à gauche une fenêtre. La chambres était simple et spartiate, mais de notre regard nous la dédions à notre amour.Elle s’est assise sur le lit. J’ai fermé la porte. Elle s’est allongé sur le dos. puis retourné sur le ventre.— Je suis crevé— À quoi tu joues ?— Je joue moi. Assis à côté d’elle, je ne sais quoi faire de mes mains si je les laissais faire elle se poserait sur son cul.— Tu a peur. Elle se rassoit en tailleur et pose sa tête sur mes épaules.— Pas avec toi, jamais.— Moi j’ai peur.— Pourquoi ?Elle m’enjambe, pose ses mains sur mon cou, ses lèvres sur ma bouche. Je m’allonge sur le dos. Elle s’allonge sur moi. Nous nous embrassons, Mes mains caressent ses hanches. Le mouvement de nos langues est différent que dans le square, on enchaîne des mouvements plus lent et plus rapide, un baisé plus fougueux, plus excité moins doux. Nos 2 corps se désirent et c ’est dans la passion qu’ils veulent s ’unir. Je me mets sur le coté, elle aussi. Nous sommes face à face, tenant son bassin et de mon autre main caressant ses cheveux bouclés que j’étire. Des ses mains elle touche mon visage, promenant ses doigts sur mes joues, mon nez, mon menton, ma bouche, mes lèvres et je me dis qu’elle le fait comme le ferait un aveugle tâtant une sculpture.— Pourquoi ?— Tu comptes plus que les autres.— Ce sera ma première fois.— Viens , me dit ’elle dans un sourire.Elle m’embrasse de nouveau, je porte ma main accompagné par la sienne sur le haut de son pantalon pour le déboutonner, elle porte un jean et un débardeur , moi une chemise et un pantalon de toile. Elle m’enlace en posant ses mains sur mon dos. Je sens le bouton céder d’un coup j’écarte le rebord pour ouvrir tout le haut. je continue à l’embrasser mais je suis plus concentrés sur ma main qui peu à peu s’insère dans son intimité, je sens une petite touffe de poil sur ma paume. Elle porte ses lèvres dans mon cou, je souffle dans son oreille comme pour me donner du courage  » j’attend ça depuis si longtemps ». Elle m’oblige à me mettre sur le dos, pendant qu’elle se met à genoux sur moi. Elle porte sa main sur sa chatte, elle accompagne la mienne dans des caresses circulaires, accélérant de geste en geste. De son autre main elle déboutonne et descend la braguette de mon pantalon. Mon pénis est en érection maximum. D’une main ferme elle le prend, le tient. Je lui sourit, elle fait de même. Elle se lève sur le lit au-dessus de moi. Elle fait descendre son jeans, mon regard en contre plongé, je la vois descendre son string noir, puis la forme triangulaire de sa chatte, découvrant pour la première fois de ma courte vie la porte d’entrée au 7éme ciel, le sexe d ’une fille. je tend mes mains, caressant au maximum, les rebords de cette petite fente, essayant de découvrir cette nouveauté. Elle se met à quatre patte, les jambes écartés, des grandes lèvres qui s ’entrouvrent s’échappe un liquide. Alors que je me relève elle se recule pour s’asseoir au pied du lit. Nous sommes assis l’un en face de l’autre les jambes allongé parallèle, l’une aux autres, on se sourit, ma bite est moins tendu. Il ne lui reste plus que son débardeur qu’elle enlève devant moi, j’aperçois sa poitrine , les petits ronds que formes ses seins sous la pièce de tissus.Elle se lève d ’un bond et m’invite à la suivre, nous sommes debout au milieu de la pièce, son soutien-gorge, noir aussi, très simple sans aucune dentelle. Moi tout habiller, je met mes mains sur son dos caressant ses fesses, je bisouille son cou, elle fait de même sur mon torse déboutonnant ma chemise, bouton par bouton . je remonte mes mains le long de son dos, je tente de dégrafer son soutien-gorge. Avec ses mains elle fait tomber ma chemise , posé sur mes épaules, elle descend ses mains le long de mon poitrail jusqu’à mon bassin , elle m’embrasse sur la bouche, porte ses mains à son dos pour m’aider à dégrafer son sous tifs et laisser apparaître sa poitrine, 2 petits ballons bien formé, les tétons relevé, pas énorme mais très beau, tout dans la forme. Elle continue à porter sa bouche contre la mienne, sa lèvre jouant avec la mienne. Elle prend mes mains pour les diriger vers mon pantalon, je me dégage pour la prendre par les épaules et descendre mes mains vers ses seins, bien durs. Elle m’enlace. Je porte ma bouche contre ses seins et commence à téter, très attiré par cette partie de son corps, ils sont chaud. Elle se cabre. Expirant doucement. Je prend ses mains et d’un coup fait descendre mon pantalon et à sa suite mon caleçon. Ma tête bichonnant ses seins, je ressent le contact de nos 2 sexes comme un choc, mon gland se posant sur son bas ventre Je mets mes mains et les siennes sur son bassin. Je nous fait tourner. Nous sommes nus. Je la pousse sur le lit. Elle se met à rire . debout je la regarde. Son corps nu, allongé sur le lit, ses cuisses relevés, son sexe offert, son bas ventre, sa poitrine, son cou où retombe en cascade ses cheveux bouclés, ses lèvres pulpeuses, son nez et ses yeux verts m’observant fixement . J’aimerais entrer en elle, fusionner, elle tend ses bras. Je prends confiance en moi . ma bite est dure comme du fer. Elle écarte les jambes, m’invitant à venir en elle. Je m’abaisse et tends mes mains vers son antre que je caresse, sachant que cette zone et très érogène, j’avance mes lèvres vers ses lèvres, je lèche sa chatte, lapant du jus, puis remonte le long sur son bas ventre, son entre seins, son échine. Je remonte peu à peu. Mes mains se dirigent vers la fente, j’y insère un doigt à l’aveugle, de peur de lui faire mal, je lui demande— C’est bien ?— Oui, me répond t ’elle dans un racle, continue lève le.— Le doigt ? Je touche un petit monticule— OuiiiJe suis moi aussi très excité mais j ’ai peur de plus lui faire mal que de lui donner du plaisir et me retire, mon doigt plein de mouille. Soudain je pense au préservatif que j’avais mis dans ma poche avant de partir, pensant bien qu’il ne servirait à rien, pour faire plus hommes. À coup sûr il terminerait en bombe à eau.— J’ai une capote, tu préfère.— C’est plus sûr qui sait.Alors je me lève un peu par surprise de nouveau et vais chercher la capote que j’avais prévue dans la poche arrière de mon pantalon. J’enlève le plastique. Mon pénis est en érection moyenne. n’étant plus stimulé. Mais du liquide s’écoule. Entre temps elle s’est mise à genoux sur le lit. elle tapote ses mains sur la couverture pour que je fasse de même. Je me met à genoux face à elle. Elle prend mon pénis avec ses 2 mains et d’un mouvement de va-et-vient le stimule de nouveau. je lui tend le préservatif ensemble nous le déroulons. Je jouis pratiquement ressentant cette main étrangère sur mon sexe comme un délice. Je ressens de multiple sensation, submergé d’émotions. Je ne sais pas quoi penser. Tout nos mouvements, nos corps traduisent notre désir communs, elle porte ses mains à mon cou dans une tendre caresse, je les pose sur son bassin les faisant glisser jusqu’à son puits d’amours. Nous nous embrassons passionnément comme submergé. Elle me sourit comme un encouragement. Descends ses mains le long de ma poitrine pour les poser sur ma taille tout en se cabrant. Le moment est venue , je veux jouir en elle. elle se couche sur le dos je me baisse doucement, je sens sa vulve céder à mon coup de butoir, je la pénètre assez violemment ne sachant pas m’y prendre, elle pousse un cris, son contact sur mon gland et voluptueux puis d’un coup nous nous retournons, elle m’entraîne et ne peut m’empêcher de me retiré totalement, je suis sur le dos, ses seins sont dressé les petits tétons tout droit que je caresse tendrement, elle me dirige pour que son plaisir soit le plus grand possible, je la pénètre de nouveau progressivement elle souffle fort, son sourire posé, elle s’est ouverte, je sens qu’elle cède, avec son bassin elle me fait aller et venir en elle, rythmant son plaisir je ne saurais dire si elle a fermé les yeux, mais tout son corps tressaille moi je n’arrête pas de dire oui au sentiment de mon sexe dans cette antre chaud et accueillant. Après quelques secondes j ’éjacule dans un tremblement. Et me retire rapidement. Elle vient se lover contre moi. passant ces mains sur mon tout dos moi sur ces fesses.Toute sa chaleur de son corps se communique à moi. J’entend son souffle dans mon oreille. J’ai traversé une ultime frontière. À ce moment je ferme les yeux tout en caressant ses fesses. Soudainement elle se relève.— tu dors, elle rie— Non , je rouvre les yeux. elle enlève doucement le préservatif qui heureusement s’est bien maintenue. Elle y fait un nœud et le jette.— tu vois, elle pose sa tête sur ma poitrine, je caresse doucement ses cheveux, Je suis bien, tout son poids sur mon corps. Nous restons quelques minutes dans cette position.Au bout d’un moment nous nous mettons sur le côté puis nous rapprochons nos 2 lèvres, nous nous embrassons, nos langues dansant, nous nous enlaçons. Nos yeux plongent l’un dans l’autre. Si nous pouvions nous resterions pour toujours dans ce lit, nos 2 corps nu. Les minutes passent, nous nous massons mutuellement le dos en amateur.Après ces massages, elle s’est mise sur le dos. Je me suis relevé puis reculé. J’ai posé mes mains sur sa chatte, je l’ai caressé faisant tourné mes mains. J’ai mis une de mes mains dans son entre cuisse que je caressé aussi, avec sa main elle me dirige dans son désir. Ma main devenant ses instruments pour sa masturbation. Je touche ses 2 lèvres. Elle m’invite lécher cette zone. Je m’exécute. Un liquide s’en écoule de nouveau, le débit s ’accélérant, plutôt doucereux. Elle souffle de plus en plus fort. Elle tient ma tête avec sa main, l ’enfonçant. Son excitation m’excite. Ma bite grossit à vu d’œil. je promène ma langue dans le bas ainsi que mes doigts. J’écarte ma tête, elle n’a pas tant que ça de poils pubiens. Avec mes deux mains j’écarte les deux lèvres, ouvrant son intimité. Je la regarde, elle souffle et ferme à moitié les yeux, continue me dit-elle. je caresse doucement le bord des petites lèvres et essaye de manipuler son clitoris, organe érectile chez la femme. Je continue mon exploration en enfonçant mon doigt dans son vagin puis ma langue, lapant, léchant doucement sur le petit bouton. Elle se met à pousser des petits cris comme elle le ferait pour un orgasme. N’y connaissant rien, j’ai peur de la blesser et préfère abréger la drôle de sensation que je ressent, je donne du plaisir mais physiquement je ne ressens rien si ce n’est que son plaisir m’excite en proportion. Elle expire lentement. Je remonte peu à peu. Ma langue se promène, sur son ventre puis sur sa poitrine, sa peau est d’un goût un peu acide. Ses deux seins sont dressé, très ferme. Mes mains viennent les caresser.Mon pénis est en érection mais de nouveau il se calme. Elle semble vouloir s’écarter de moi. Je la laisse s’échapper de mon étreinte. Puis me met sur le dos. Du coup c’est elle que se met sur moi. Je sens mon pénis repartir de plus belle en sentant la chaleur de son corps me prendre. Elle vient lécher mon bas ventre, de ses deux mains prend mon sexe qu’elle vient stimuler. En plaçant judicieusement sa main en dessous de la hampe. Elle est agenouillé et regarde mon sexe prendre forme. J’essaye de me retenir comme je peut, en me concentrant, ce qui n’améliore rien. Je la regarde. Elle ne fait que contempler l’objet de son désir dont elle rapproche l’extrémité de sa bouche qu’elle ouvre. Je sens le mouvement qu’elle imprime à sa bouche, faisant tournoyer le bout de ses lèvres autour du gland. Je suis livré à elle comme prisonnier de sa volonté. Les sensations et le sentiment que je ressens est alors indescriptible, c’est peut être la première fois que je perd tout mes moyens, je me laisse faire volontairement ce qui n’est pas dans mon caractère. Le jus monte en moi, j’aimerais le prévenir mais rien ne sort, je ne fait que souffler. À cet instant elle le gobe tout entier, suçant la sucette dans un fort mouvement de sussions et d ’un coup s’arrête et sort à temps. Je me rétracte puis dilate dans un dernier spasme d’éjaculation alors qu’elle le tenait encore de ses mains qui sont pleine de sperme blanchâtre et visqueux.Nous rions en cœur. Je me relève pour poser ma tête sur ses épaules.— Tu est une experte dis moi.— Non mais j’ai eu de la chance.— Tu n’étais pas obligé !— Non mais j’en avais envie.Nous nous lovons l’un à l’autre puis je ferme les yeux, combien de tant je ne saurais le dire, toute le chaleur de son corps se communique à mon cœur, de ses jambes qui s’enroulent le long des miennes à ses mains qui pendant un temps se caressent mes cheveux. Au bout d’un moment. Je rouvre les yeux et la voie. Elle se met sur le dos et m’invite à la caresser, je me met à califourchon sur ses fesses et pose mes mains sur le bas de son dos remontant lentement imprimant un geste tournoyant appuyant régulièrement sur une peau douce, un tissu de soie léger et voluptueux qui à l’odeur de l’amour, j’apprend comme un amateur à sa façon de réagir.Soudainement elle se lève, entièrement nue. Ces formes dont j’ai tant rêvé se révèle à moi en pleine lumière et je ressens un sentiment de bonheur presque d’extase en repensant aux minutes qui viennent d’avoir lieu. Ses formes sont rondes, les hanches sont courbé, les cuisses sont agréable à regarder comme son fessier bien rond mais ferme. Ses seins à nu ressortait mieux, ils étaient vraiment rond et je crois bien que c’était la forme que je préférais, j’était agenouillé sur le lit, contemplant le corps de cette femme qui se dirigeait vers la porte.— Tu ne vas pas sortir.— Si, d’un air ingénue— Non, Tu est nu, je me lève. Elle me regarde je suis aussi nu et je ne sais pas pourquoi alors que je venait de faire l’amour avec elle, je me sens gêner d’être ainsi dénuder comme un vers devant une fille. Je me sentais très moche et accablé d’un corps difforme. Cette honte de moi devait se voir.— Tu est beau.— Hum…Je baisse la tête. Mon pénis a bien rapetissé, fatigué par tant de stimulation.Elle se rapproche de moi, se love, nos deux corps enlacé, nos lèvres se rejoignant, je retrouve la douce sensation du square, en moins électrique, plus serein après ce qui vient de se passer.— Il n’y a personne sur le palier.— Comment tu sais ?— On est au deuxième étage.— Et alors.— Personne ne viendra .Mais au moins ça, je ramasse son string et son soutien-gorge.— Jaloux… Elle me porte un baisé sur le front.— Non, mais ton corps m’appartient maintenantJe porte ma tête dans son cou, je souffle sur sa peau et à l’oreille « je t’aime ! »Nous sommes sortis dans le couloir, en cachette, sur les doigt de pieds. Il y avait bien une salle d’eau à la deuxième porte. Elle ferme la porte. Je bois au lavabo. Je sens sa présence derrière moi, elle me regarde et me souris, je la vois dans la glace, son sourire malicieux sur moi. Elle vient se lover à moi posant sa tête sur mon épaule. Elle passe ses bras autour de ma taille. Nous nous regardons dans la glace elle c’est cheveux blond retombant sur mes épaules , son air bonhomme, je ne saurais pas la décrire autrement.— Moi aussi— Quoi ?— Moi aussi, idem.— Tu m’aimes ?— Oui !Nous avons tourné sur nous même, passe mes mains dans son cou l’embrasse de nouveau, je n’avais jamais embrassé autant dans une même soirée. Mon désir reprenait, Nous nous somme regarder droit dans les yeux, elle a fait glisser son string, j’ai fait de même avec mon caleçon, elle a enlevé son soutien-gorge. Je sent ses seins se dresser , sa chaleur irradie ma peau, ce désir s’est rapidement exprimé dans une manifestation, logique de mon corps. Je me surprend à être capable de renouveler mon effort . Elle s’est retourné et s’est appuyé contre le lavabo de face . tendus ses mains. J’ai posé ma tête sur ces épaules. Et mes mains sur sa poitrine Elle a expiré de nouveau longuement, elle fait toujours ça, dés que l’on touche ses seins.J ’ai tout de même répondue à l ’appel, encouragé par tant de désirs. J’ai mis mes mains sur son bassin. J’aurais du mal du coup à me retenir, je la désire furieusement. Peu importe la protection. Elle devait prendre la pilule non. Elle a mis un doigt sur ma bouche. Me regardant avec des yeux coquins à travers la glace. J’ai bien compris la question, j’ai secoué la tête. Elle m’a enlacé, écarté les cuisses, je me suis rapproché d’elle fléchissant les genoux, ma bîte comme un lance flamme. J’ai tenue fermement son bassin d’une main, tenue l’obus de l’autre pour le diriger. Elle plie d’un coup. Je l’ai pénétré ,d’un coup de rein elle a poussé un petit cri, j’ai sentit ton son corps se contracté, j’ai recommencé 2 autres fois, sentant mon pénis rentrer puis ressortit traverser ses lèvres d’un coup presque violemment avant que je me contracte totalement. puis nos deux corps se sont délaissé, complètement décontracté. Je me tient à elle, elle se tient à moi dans ce même acte d’union. nous sommes allé nous recoucher. Je me suis rapidement endormis ; pleins de beaux rêves.Le lendemain, elle m’a réveillé. Au réveil elle a pris mon pénis entre ses mains. Agissant directement sur son activité, prenant peu à peu forme, elle pose sa tête sur ma poitrine, je sens l’odeur de ses cheveux blonds, je venais de passer la plus belle de mes nuits, au mille et un songes. Son souffle sur ma peau augmente d’intensité, j’aimais intensément cette sensation d’attraction corporelle. J’aime cette montée de l’excitation entre nous deux. Je suis sur le dos, les yeux ouverts, je souris repensant aux merveilleux moments vécus. J’apprécie ses 2 mains sur mon sexe sa façon d’agir sur lui, son geste souple sachant parfaitement gérer le désir en éveil. au bout d’un moment elle vient se lover contre moi électrifié. Nous nous mettons sur le coté. Elle dirige mon pénis, se cabrant, elle prend mes 2 mains les posant sur sa poitrine, Les 2 petits obus en pointe. Je les caresse dans un sentiment d’ultime douceur de cette peau faite de soie. J’atteint d’un geste son intimité, elle pousse un petit cris, nous accédons au bonheur d’être ensemble seul au monde. Unis dans le même orgasme, le même plaisir donné l’un à l’autre. J’apprécie son corps de déesse, ses yeux rassurants, ses seins rondelets, ses hanches accueillantes, son sexe prometteurs. Encore aujourd’hui je me rappelle du moindre des détails, du moindre des caresses, de ces heures infime don de soi.