Le grand jour est arrivé, le garçon brun de vingt-six ans révolus que mes parents, enfin surtout ma mère, ont baptisé Lucas en référence à la saga Star Wars, sera marié dans quelques minutes à Carine, mon aînée d’un an, une magnifique jeune femme blonde et élancée d’un mètre soixante-dix.Dans la grande salle de la mairie sont réunis nos proches, et bien sûr nos parents respectifs.Côté droit face à l’édile, Monsieur et Madame D., les parents de ma future épouse, bourgeois versaillais bon chic bon genre et catholiques convaincus (ce qui n’est a priori pas incompatible) fréquentant régulièrement l’église qu’ils financent partiellement lorsqu’ils règlent leur cotisation annuelle au denier du culte. Derrière eux, alignés sur deux rangs, les trois frères aînés de Carine accompagnés de leurs épouses et d’une partie de leurs nombreuses progénitures respectives.Côté gauche, assis au second rang, Jacques, mon père et Irène, sa seconde femme, qui se trouve de ce fait être ma belle-mère, statut qu’elle partagera dans quelques minutes avec Jacinthe D., la mère de ma fiancée.Irène, quadragénaire au physique anodin, est une femme discrète qui déteste se mettre en avant. Assise à sa droite se trouve Caroline, ma sœur aînée, célibataire endurcie, maître de recherches beaucoup plus préoccupé par l’avenir des coléoptères que par sa vie amoureuse.Et enfin, au premier rang, last but not least, Rosie, ma mère, quarante-six ans, fausse rousse à la chevelure opulente et flamboyante, juchée sur ses talons aiguilles de quatorze centimètres et vêtue d’une robe en tulle multicolore qui ne cache pas grand-chose de ses formes généreuses. Collé contre elle, Jérémy, trente ans, son dernier toy boy en date, dont le costume moule exagérément une musculature savamment entretenue et laisse deviner un paquet plutôt imposant. Il se trouve que les deux tourtereaux ont investi la veille notre appartement parisien, en provenance directe de Montpellier où ma mère s’est installée après son divorce pour reprendre la boutique de chaussures de sa tante maternelle.@×××××××××@On ne peut pas dire que lorsque j’ai informé mes futurs beaux-parents que le fiancé de leur petite dernière était le fils d’un couple divorcé, ils aient sauté de joie. Et il est évident que la rencontre en ce jour particulier de ma mère, bronzée et un peu trop maquillée, arborant une robe courte et décolletée, au bras d’un trentenaire à la barbe naissante et à la coupe de cheveux militaire, ne les a pas plus enchantés.@×××××××××@Avant que nous partions effectuer notre voyage de noces dans les Caraïbes, Carine a fini par accepter, face à l’insistance de ma mère, de lui laisser profiter de notre appartement parisien pendant notre absence.Ma chère maman avait tellement à cœur de faire découvrir la Ville lumière à son dernier amoureux en date que Carine n’a pas pu se résoudre à la renvoyer vers un hôtel ou une location saisonnière.— Tu comprends, ma chérie, avait expliqué ma mère à sa presque bru, les revenus d’une petite commerçante du Midi n’ont rien de mirobolant. Alors, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ? Nous surveillerons votre appartement en votre absence et nous pourrons ainsi utiliser notre modeste pécule pour les visites, les théâtres et les restaurants…@×××××××××@Notre voyage de noces se déroule dans les meilleures conditions et nous passons le plus clair de notre temps à jouir du soleil et des nombreuses activités aquatiques proposées sans oublier les nombreux passages obligés dans les grands lits de nos suites nuptiales dont nous profitons pour approfondir avec un entrain non feint notre apprentissage du Kamasutra.Avant de l’épouser, j’appréciais beaucoup les qualités humaines de Carine, notamment son dynamisme et son charisme naturels. Mais, lors de notre lune de miel, tout en conservant une retenue héritée de son éducation, elle a su me révéler un tempérament dont je n’avais jusqu’alors guère eu le loisir de profiter lors de nos étreintes amoureuses prémaritales.@×××××××××@Alors que nous venons de réintégrer notre appartement, bronzés, mais évidemment quelque peu dépités de retrouver le béton parisien, des sons sans équivoque nous parviennent de notre chambre.Je n’ai aucun mal à reconnaître la voix de ma mère qui pousse des vocalises enfiévrées dues bien sûr aux efforts de son fougueux amant qui est en train de la besogner tout en accompagnant ses coups de boutoir de mots crus qui font rougir ma tendre épouse.Il est vrai que le discours de Jérémy va droit au but et ne s’embarrasse guère de fioritures.Tu l’aimes ma grosse queue, pas vrai ma belle ! Je me lasse pas de te le dire, mais ton hangar à bites me rend dingue. Putain ! Qu’est-ce que t’es bonne. Magne-toi de prendre ton pied, parce que je sens que je vais bientôt ouvrir les vannes.Les cris que pousse Rosie à cet instant ne me laissent d’ailleurs aucun doute sur l’imminence de son décollage, qui est effectivement confirmé au bout de quelques secondes par un hurlement de jouissance qui nous vrille les tympans.La pauvre Carine se bouche les oreilles pendant que je la conduis dans le salon où nous nous asseyons afin de retrouver un peu de sérénité.Quelques minutes plus tard, nous voyons débarquer Jérémy dans le plus simple appareil, sa bite de poney rebondissant contre ses cuisses musclées.La vision de ce mâle poilu aux attributs surdimensionnés fait rougir de plus belle ma femme et me procure un sentiment palpable de jalousie, car, bien que demi-molle, sa queue m’a l’air plus longue et surtout plus épaisse que la mienne en érection.— Mince ! qu’est-ce que vous foutez là ? lâche le copain de ma mère. Je croyais que vous deviez rentrer demain.— Eh bien, tu t’es trompé ! rétorqué-je d’un ton sec alors que maman se pointe à son tour, dans la même tenue que son amant, exposant sans pudeur sa foufoune à la toison certes parfaitement taillée, mais aussi suintante de foutre.En m’apercevant, Rosie nous gratifie brièvement d’yeux comme des billes de loto, mais sa surprise ne dure pas plus d’une seconde, car elle s’adresse à nous presque aussitôt.— Coucou, mes chéris ! lâche-t-elle, parfaitement à l’aise. Vous êtes superbement bronzés, dites-moi ! Je suis certaine que vous avez bien dû vous éclater, petits coquins.— A priori, on n’est pas les seuls, je lui réponds avec une pointe d’agacement. Si vous pouviez vous rhabiller et libérer notre chambre, ça nous aiderait à nous remettre du décalage horaire.Maman éclate de rire avant de s’excuser.— Oulala Lucas, quel ton ! On dirait ton père. Mais tu as raison. Nous n’allons pas vous importuner plus longtemps. Vous devez avoir besoin de récupérer. Et puis nous savons bien que les jeunes mariés ont toujours de gros besoins de câlins.Une heure et demie plus tard, ma mère et son petit copain ont rangé leurs bagages et quitté l’appartement. Avant de sortir pour profiter une dernière fois des soirées parisiennes, ils nous confirment qu’ils utiliseront le canapé-lit pour leur dernière nuit à la capitale et prendront leur train pour Montpellier le lendemain matin.En attendant qu’ils rentrent de leur escapade du soir, nous mettons un peu d’ordre dans nos affaires et Carine tient à lancer une machine à laver avant de venir me rejoindre dans notre lit dont les draps ont heureusement été changés par ma mère et son amant.Je suis complètement HS à cause du manque de sommeil consécutif au voyage. Mais c’est loin d’être le cas de ma chérie qui semble tout émoustillée et vient se frotter contre moi. Il est évident qu’après moins de trois semaines de mariage, ignorer cette manifestation de rapprochement conjugal pourrait être fort mal interprété.Notre séjour aux Antilles a été très chaud et j’ai pu constater l’effet produit sur la libido de Carine lorsque des hommes noirs très athlétiques examinaient avec gourmandise son corps magnifiquement mis en valeur par ses bikinis minimalistes.Cachée derrière ses lunettes de soleil, mon épouse semblait apprécier particulièrement le regard insistant des plus beaux spécimens, avec un intérêt manifeste pour ceux dont le bermuda laissait présager des colonnes de chair fort encombrantes.— J’espère que le comportement de ma mère et de son copain ne t’ont pas trop choquée, je demande à Carine lorsqu’elle se blottit dans mes bras.— Je m’en remettrai, mon amour. Mais je reste malgré tout étonnée que tes deux parents aient des personnalités si différentes, déclare ma femme. Je suppose qu’avec ton père, Rosie ne se permettait pas les mêmes fantaisies que celles qu’elle partage avec son amant actuel.— Pour être franc avec toi, je n’ai pas beaucoup de souvenirs de l’époque de mon enfance. Mais au début de mon adolescence, j’ai bien remarqué une certaine évolution dans les tenues de ma mère. Ses jupes avaient raccourci de manière inversement proportionnelle à la hauteur de ses talons. Son maquillage était devenu moins discret et elle s’était mise à poser du vernis sur ses ongles. C’est d’ailleurs à cette période qu’elle avait commencé à sortir avec des copines. C’est du moins ce qu’elle disait à son mari et ses enfants lorsqu’elle avait prévu de s’absenter le soir.— Tu crois qu’elle trompait ton père ?— Je ne sais pas… Peut-être. En tout cas, deux années plus tard, mes parents divorçaient. Et depuis, chaque fois que je croise Rosie, elle est au bras d’un inconnu d’une trentaine d’années. Et son goût prononcé pour les primates body-buildés ne semble pas s’apaiser.— C’est vrai que ce Jérémy est poilu comme un singe, ajoute mon épouse en frissonnant.— Mais son engin n’a rien à voir avec celui d’un gorille qui, comme chacun sait, est beaucoup moins bien pourvu qu’un humain ordinaire, me crois-je obligé de préciser.Ma chérie frissonne de plus belle en tournant son beau visage vers moi.— Tu sais bien que ce n’est pas la taille qui compte, mon amour.— Il paraît. Et pourtant, aux Caraïbes, j’ai bien vu comme tu matais les entrejambes de certains autochtones.— Mais jamais de la vie ! C’est n’importe quoi ! proteste Carine avec virulence.— Jure-moi que tu n’étais pas intéressée, petite coquine.— Bien sûr que je m’en fichais.— Vraiment ? Tu ne t’es jamais demandé ce que tu ressentirais si un colosse black avec une queue en rapport s’occupait de ta petite chatte.— Ça ne me fait pas rire !— OK j’arrête, désolé, dis-je en glissant un doigt dans le minou de ma belle. J’évite de lui faire remarquer comme il me semble mouillé après notre échange impromptu.@×××××××××@Tout en limant énergiquement mon épouse, je laisse mon esprit divaguer, imaginant Carine ahanant sous les coups de boutoir de César, le vigile taillé comme un char d’assaut qui surveillait l’entrée de notre hôtel aux Bahamas. N’y tenant plus, je me mets à délirer en fixant ma femme dans les yeux.— Je me demande bien ce que pouvait cacher César dans son caleçon. Tu n’y aurais pas jeté un coup d’œil par hasard.Carine ne répond pas, mais elle a les yeux clos et sa respiration s’accélère un peu plus.— À mon avis, ce gars est membré comme un cheval. J’ose pas imaginer ce qui se passerait si tu devais accueillir son rondin de charbon entre les cuisses.Carine se met à gémir en bougeant son cul de plus en plus vite. Ses doigts étreignent le drap avec force et elle est en nage.Complètement subjugué par le plaisir ressenti par mon épouse, j’accélère la cadence jusqu’à ce qu’elle se fige en atteignant l’orgasme.Aussitôt, je déverse mon jus dans son vagin trempé.— Eh bien dis donc, ma chérie, je ne sais pas ce qui t’a excitée à ce point, mais tu étais plus chaude que la braise, lâché-je hypocritement.Carine se blottit amoureusement contre moi.— C’est vrai, j’ai pris beaucoup de plaisir, mon amour. Peut-être que le long voyage que nous venons de faire a stimulé ma libido.— Ou alors c’est de repenser aux gros engins des mâles des Caraïbes qui te fait mouiller.— Oh ! arrête avec ça ! Ça ne me fait plus rire.— Comme tu voudras, je réponds en glissant deux doigts dans l’intimité de Carine.Elle pousse un petit soupir de satisfaction et attrape ma queue bien décidée à lui redonner de la vigueur.— Suce ma grosse queue, ma belle ! gueulé-je alors en essayant d’imiter l’accent méridional de Jérémy. J’ai trop envie d’explorer ton hangar à bites.— Tu n’as pas honte ? lâche Carine en se tournant vers moi, ne sachant trop si elle doit rire ou m’engueuler.— J’ai l’impression que tu n’es pas convaincue par mon imitation de l’amant de ma mère, rétorqué-je, mi-figue, mi-raisin.— En effet, ça ne te va pas très bien de jouer les machos du midi.— Pour quelle raison d’après toi ? Manque de muscles ?— Je vois où tu veux m’emmener, coquin, mais je te rappelle que le sexe masculin n’est pas un muscle.— Malgré tout, les gars trop bien équipés n’ont pas toujours assez de sang pour alimenter simultanément leur cerveau et leur queue.— Aucun risque avec toi, mon amour, lâche Carine avec un sourire espiègle.— Ça veut dire quoi ça ? je m’offusque.— Que ton cerveau est assez développé pour irriguer convenablement tous tes organes.— Même quand je bande ?— En tout cas, tu as toujours assez de sang dans le cortex pour imaginer ta femme aux prises avec un énorme pénis.— Tu sais ce que c’est. Les fantasmes sont faits pour être évoqués pendant les étreintes amoureuses.— Peut-être. Mais je crois surtout que tu as de la chance d’être tombé sur moi. Car je sais pertinemment que nombre de mes amies ne goûteraient guère le fait que leur mari leur laisse entendre qu’il apprécierait de les voir forniquer avec un étranger.La remarque de Carine est pleine de bon sens et me conforte dans l’idée que je n’aurais pu trouver compagne plus bienveillante pour évoquer mes désirs incongrus.— Je te crois volontiers, ma chérie et j’apprécie que tu sois si compréhensive vis-à-vis de mes fantasmes tortueux.— Je t’aime tel que tu es, mon chéri. Et je n’ai nullement l’intention de faire de toi un adepte exclusif de la position du missionnaire. Nous avons tous droit à notre part d’ombre tant qu’elle ne nuit pas à d’autres et surtout à ceux qu’on aime.— Toi y compris, adorable chérie ? Quelle est donc cette part d’ombre que tu caches au fond de ton âme ?— Devine ! me répond la femme de ma vie avec un sourire radieux avant de se glisser au fond du lit pour m’emboucher.Mon épouse trouve suffisamment d’énergie pour m’amener à jouir dans sa bouche, mais je m’endors aussitôt après, trop exténué pour simplement regretter de ne pas pouvoir lui rendre la pareille.Le lendemain matin, j’émerge vers dix heures. Cette nuit m’a permis de récupérer un peu d’énergie avant mon retour au bureau prévu pour le surlendemain. Carine a déserté le lit conjugal, ce que je regrette vivement, car ma queue toute dressée aurait bien besoin de la douce bouche de mon épouse chérie.Je l’entends discuter avec ma mère et son ami. J’avais oublié qu’ils ne vont pas tarder à partir, ce qui nous laissera, à Carine et moi, un peu de temps pour en prendre encore un peu plus de bon.Tout en me caressant doucement, j’écoute ma mère complimenter mon épouse adorée :— Tu es vraiment magnifique, ma chère bru. Lucas a beaucoup de chance de t’avoir rencontrée. Je devine en outre que sous tes petits airs d’épouse bien sage, tu caches un tempérament volcanique. Même si nous sommes très différentes physiquement, j’ai l’impression que tu me ressembles un peu sur certains points. Mais contrairement à moi, je pense que tu n’attendras pas de passer le cap des trente-cinq ans pour profiter de la vie. Si tu me permets de te donner un conseil, fie-toi à tes désirs et ne laisse pas passer les belles opportunités que tu ne manqueras pas d’avoir.Je trouve le discours de Rosie quelque peu désobligeant pour son fils. Et je m’attends à une réponse cinglante de Carine.— Je vous remercie pour vos compliments, mais je trouve que j’ai moi aussi beaucoup de chance d’avoir rencontré votre fils. Il est plein d’attentions charmantes pour moi et je suis certaine qu’il saura se préoccuper de mon bien-être au-delà des conventions si nécessaire.Ma mère lâche un petit rire.— Je constate effectivement que je n’ai pas de conseils à te donner.Houlala, voilà un échange de propos plein de sous-entendus.Je m’empresse de passer une robe de chambre et je m’en vais rejoindre la petite troupe dans la salle à manger.— Ah ! lâche ma mère. Voilà enfin mon fils chéri ! As-tu un peu récupéré du décalage horaire ?— Un peu. Avec la bienveillance de Carine, j’ai pu m’endormir comme un bébé.— Qu’entends-tu par bienveillance ?— Beaucoup de choses et notamment quelques caresses bien agréables.C’est le moment que choisit Jérémy pour rappeler à l’ordre ma mère.— Allons, ma jolie poupée. Il ne faut pas trop tarder si on veut attraper notre train à temps.— Tu as raison, mon Doudou. Nous devons laisser ces jeunes mariés reprendre de l’énergie avant de retourner au bureau. Il en faut, quand on travaille à la capitale.Une fois ma mère et son ami partis, j’attire Carine dans la chambre et je la pousse sur le lit avant de retirer mon peignoir et de m’allonger sur elle dans le plus simple appareil.— Dis donc toi, petite cochonne. C’est quoi cet échange que tu as eu avec Rosie concernant la satisfaction de ton bien-être au-delà des convenances ?Carine me regarde avec un sourire polisson.— Eh bien, n’est-ce pas ton souhait secret, que je cède aux avances d’un mâle très généreusement doté ?Un frisson délicieux me parcourt le dos et je ne peux m’empêcher de bander.— J’ignore si c’est plus qu’un fantasme, mais en tout cas, l’idée semble plaire à ton petit oiseau, ajoute ma chérie en constatant mon émoi.Je fais la moue et glisse mes doigts sous l’élastique du slip de Carine.— Tu vérifies si cette perspective me fait mouiller, mon amour. En tout cas, tu peux voir que je réagis moins vite que toi à cette évocation.— Bon, ça va ! lâché-je un peu dépité. Je crois qu’il vaut mieux qu’on change de sujet pour le moment.— Voilà qui est plus raisonnable. Mais que ça ne t’empêche surtout pas de t’occuper de mon petit nid d’amour.Désireux de me faire pardonner mon obsession un peu trop envahissante, je descends le long du corps de Carine ne m’arrêtant que lorsque mon visage atteint le niveau de son pubis.J’écarte ensuite le tissu de son slip avec les doigts et je fais quelques exercices avec ma langue avant de me mettre à butiner le petit bouton de ma chérie, sentant bien vite l’organe du plaisir se gonfler de gratitude.