FATALISME IXoooOOOoooKemb a tenu parole. Il a dit Ă Margot qu’il devait m’ausculter pour mon suivi. Après une visite mĂ©dicale complète et une prise de sang, il a laissĂ© tomber dans ma main un cachet bleu en forme de losange.- Tiens mec, miracle de la pharmacopĂ©e. Avec ce truc tu vas bander comme un ouf… Tu le prends une heure avant de baiser. Mais Ă toi de convaincre ta femme de coucher avec toi! Tu risques d’ĂŞtre surpris de sa rĂ©ponse.J’ai attendu quarante-huit heures et mardi soir après avoir couchĂ© les enfants, j’ai posĂ© le fameux comprimĂ© bleu devant mon assiette. Margot a regardĂ© le comprimĂ©.- C’est quoi?- Kemb me l’a donnĂ©.- C’est un nouveau traitement?- Non.- Alors c’est pourquoi ça. T’es malade?Il y avait une vraie inquiĂ©tude sur son visage. Puis une pointe de colère.- Pourquoi Kemb ne m’a rien dit? C’est grave?- C’est pour bander.- Pour bander?!- Oui pour bander. Pour pouvoir baiser. Pour…- Et c’est Kemb qui t’as donnĂ© ce comprimĂ©? Le ton Ă©tait sceptique… Très sceptique. Et il t’a donnĂ© ce mĂ©dicament comme çà ? Pour te faire plaisir?- Non…- Non quoi Didou?- A… A condition que… Parce que j’ai acceptĂ© ce qui s’est passĂ© samedi soir…. J’ai acceptĂ© que ma femme me baise… Il voulait que je sois obĂ©issant. Que je sois demandeur…J’osais pas la regarder dans les yeux. Comment avais-je pu accepter ce deal? J’avais honte de moi.- Et tu veux me baiser avec ce truc c’est ça?…. RĂ©ponds Didou! T’as besoin de ce truc? Parce que tu as des difficultĂ©s passagères, tu as acceptĂ© ce qu’il t’a demandĂ©? Tu crois me prouver quoi avec ce truc?Elle attendait une rĂ©ponse. Il y avait une lueur de colère dans ses yeux. Je pensais qu’elle ne ferait pas de difficultĂ© et je ne comprenais pas ce qu’elle voulait me dire.- Margot, si tu savais Ă quel point j’ai envie de toi…J’ai vu son trouble, sa peine dans ses yeux brillants. Comme un voile de larme qui allait se dĂ©chirer. J’ai fait glisser le comprimĂ© sur la nappe, vers sa main gauche. C’est une des rares fois oĂą je l’ai regardĂ© longuement dans les yeux.- Je crève de toi Margot… J’en crève… J’en peux plus…. De tout ça. Je suis fatiguĂ©…- Didou… Ne- Fais ce que tu veux de ce comprimĂ© Margot… A toi de dĂ©cider… Je sors.- Attends Didou… Attends!- Non Margot je n’attends plus rien… Bonne nuit.Et je suis parti en ville. DĂ©ambuler la tĂŞte pleine de pensĂ©es lugubres. Mais en mĂŞme temps sans regret. J’Ă©tais malheureux mais je me sentais libĂ©rĂ©.Quand je suis rentrĂ©, elle dormait. Aucune trace du cachet bleu.Je m’en foutais. Je n’avais plus envie.oooOOOoooUn soir de semaine. Seuls dans notre lit. Les enfants dorment depuis longtemps.- Didou, je t’aime. Je t’aimerais toujours…Elle Ă©tait nue contre moi. Elle m’a Ă´tĂ© mon polo et mon caleçon. Sa bouche parcourait mon torse, se dirigeait vers ma bite. Elle s’est positionnĂ©e sur moi pour un soixante-neuf. Elle a pris mon sexe en bouche pour une lente fellation. Elle ne m’a rien demandĂ© en retour. J’ai commencĂ© un cunnilingus de ma propre initiative. Cela ne nous Ă©tait plus arrivĂ© depuis une Ă©ternitĂ©.Nous avions un rapport de couple mĂŞme si je ne bandais pas. Elle faisait de son mieux, dĂ©ployant toute une science sur mon sexe et mes couilles. Elle mouillait aussi preuve qu’elle Ă©tait rĂ©ellement excitĂ©e, et je buvais son miel enfin pur de toute trace de sperme de son amant. Je retrouvĂ© son odeur, sa moiteur, son goĂ»t.J’Ă©tais excitĂ©, Ă deux doigts de jouir, oubliant toute ma rancĹ“ur et ma colère.Margot a accĂ©lĂ©rĂ© son rythme. Sa bouche englobait mon sexe dans sa totalitĂ©. Je sentais ma jouissance montĂ©e.- Stop Margot… Stop je vais jouir…Elle ne m’a pas lâchĂ© et je me suis dĂ©versĂ© dans sa bouche en poussant de longs soupirs de satisfaction. Je n’ai pas cessĂ© non plus de la boire jusqu’Ă reconnaĂ®tre ce petit cri si caractĂ©ristique qui me signalait sa jouissance.Sa bouche s’est collĂ©e Ă la mienne dans un vrai baiser. Un baiser d’une Ă©poque que je croyais rĂ©volue. Nos salives et sĂ©crĂ©tions intimes se sont mĂ©langĂ©es comme avant.Nous Ă©tions cĂ´te Ă cĂ´te, nus, sa peau si douce contre mon flanc. Je flottais dans une bulle hors du temps.- Didou…- Oui…- Je t’aime….Je n’ai pas rĂ©pondu. Je me suis collĂ© un peu plus Ă elle. Ses muscles Ă©taient tendus. Elle respirait vite, trop vite. Et j’ai pressenti comme un tremblement de terre.- Mon ange…. Il faut qu’on parle… Il faut que je te dise… Kemb ne veut plus qu’on soit ensemble… Il ne veut plus me partager avec toi quand il est lĂ …Un Ă©clair m’a explosĂ© le cĹ“ur. Je n’arrivais pas Ă parler. Sa main s’est posĂ©e sur mon torse. Elle a repris d’une voix douce.- Je lui ai dit qu’il n’Ă©tait pas question qu’on se sĂ©pare… C’est ça les discussions que tu entendais…. Je veux pas le perdre… Jamais. Ecoute, il est ok pour que ce soit que les week-ends….Il ya eu un long silence.- Tu as compris Didou? RĂ©ponds-moi ChĂ©ri…. Je lui ai dit que tu serais d’accord… Qu’on se rattraperait en semaine… C’est pas long. Deux jours.J’Ă©tais saisi de tremblements incontrĂ´lables. J’ai eu du mal Ă me lever.- Salope…Nous n’avons pas parlĂ© de tout cela le reste de la semaine. Je me plongeais dans mon travail et la prĂ©paration du sĂ©minaire que j’avais en commande. La première commande de mon nouveau mĂ©tier. Mon client Ă©tait bien plus sĂ»r que moi de mes capacitĂ©s.Vendredi soir Kemb est arrivĂ©.- Alors le cocu tu l’as sautĂ©e ta femelle?…- Connard!- QUOI…Il m’a sautĂ© dessus comme un fauve en cage. PrĂŞt Ă me tabasser. Tellement plus fort que moi.- T’as dit quoi lĂ ? RĂ©pète un peu le cocu…- T’es qu’un connard qui vire pd…Ma rĂ©sistance l’a dĂ©stabilisĂ©. Pas longtemps. Il a levĂ© le bras dans un geste menaçant. Margot est arrivĂ©e en courant. Je me sentais bien. J’attendais qu’il me frappe.- Je me casse retrouver les enfants… Baisez bien…Et je les ai laissĂ©s.Ma mère a tout de suite compris les risques d’explosion et m’a accueilli en douceur. J’ai passĂ© un super week-end avec les enfants sans jamais penser Ă eux qui devaient baiser sans complexe dans toute la maison. Margot n’a pas appelĂ©. Moi non plus. J’ai trouvĂ© de vagues excuses bidons pour les enfants.Avez-vous dĂ©jĂ eu mal et vous sentir en mĂŞme temps libĂ©rĂ©?Comme une dent douloureuse que l’on vient de faire arracher.Douleur et soulagement.Je savais que mon couple Ă©tait Ă la limite de l’explosion…Etait-ce un couple d’ailleurs?oooOOOoooLe sĂ©minaire fut un succès. Bien au-delĂ de mes espĂ©rances. Cinq jours en immersion totale avec une douzaine de jeunes gens avides de tout. Tous les soirs après le travail, l’amusement jusqu’Ă des heures impossibles.Dur Ă tenir pour un vieux comme moi. Mais tellement bon.Ils m’admiraient, m’Ă©coutaient, participaient. S’engueulaient comme des mĂ´mes sur des Ă©tudes de cas. Aucun d’eux n’Ă©tait mariĂ©. GĂ©nĂ©ration libertĂ©. Dès le deuxième jour certains binĂ´mes se sont formĂ©s, mĂŞme le soir en boite, mĂŞme au lit. Ils ne le montraient pas mais ne se cachaient pas non plus.Samira m’a invitĂ© Ă danser le deuxième soir. Une magnifique brune de 25 ans au caractère bien trempĂ©. Une beurette de la deuxième gĂ©nĂ©ration. On a rigolĂ©, bu et beaucoup dansĂ©. Elle sentait bon dans un mĂ©lange Ă©picĂ© de parfum et d’odeur de peau. Je la sentais extrĂŞmement rĂ©ceptive, collĂ©e contre moi.C’Ă©tait nouveau pour moi. CollĂ© contre une autre femme que la mienne. Cela n’Ă©tait plus arrivĂ© depuis la facultĂ©.Et brusquement comme un voile qui se dĂ©chirait. Il y avait une autre vie que celle que je vivais chez moi. Des gens heureux de se voir, sans soumission ni abdication. Juste du plaisir. Profiter de la vie.Je sentais son corps lourd et musclĂ© collait contre le mien, se serrait de plus en plus. Ses seins plaquĂ©s contre mon torse. Respiration lourde, profonde. Moiteur dans la chaleur. L’odeur de ses cheveux dans mes narines. Les autres se sont Ă©clipsaient. Nous Ă©tions seuls dans le noir de la piste. Musique de slow. DĂ©hanchements fĂ©minins langoureux. J’Ă©tais bien.Sa bouche s’est collĂ©e Ă mon oreille. Cela m’a fait frissonner.- C’est chouette d’avoir un formateur de votre âge. D’habitude c’est des vieux gonflants. Avec vous on apprend vite et bien… On vous trouve tous super.- Merci c’est gentil.Ses lèvres se sont posĂ©es sur mon cou pour l’effleurer dans un baiser aĂ©rien avant de revenir se plaquer contre mon oreille.- Je vous trouve mignon… J’aime votre genre… J’ai vu votre alliance… Vous devez ĂŞtre doux avec elle… Elle a de la chance…Sa bouche s’est plaquĂ©e sur ma joue. J’ai eu un mouvement de recul quand elle a embrassĂ© la commissure de mes lèvres. Elle m’a souri gentiment.- Vous ĂŞtes un homme fidèle… C’est bien… Elle en a de la chance… Dommage pour moi…Elle s’est libĂ©rĂ©e de mes bras a regardĂ© ma braguette. M’a donnĂ© un tendre bisou sur les lèvres avant de me dire.- Attention tu t’es tachĂ©. Je suis heureuse de savoir que je te fais cet effet.Elle est partie rejoindre les autres me laissant complètement sonnĂ©.Je ne savais plus ce qui se passait. J’avais jouis dans mon pantalon.Je bandais!J’ai rapidement rejoint ma chambre pour me nettoyer et me branler deux fois. Mon sexe Ă©tait dur comme du bois. Je ne comprenais rien. Une lumière sur le tĂ©lĂ©phone de la chambre indiquait que j’avais un message. C’Ă©tait ma femme :- Bonsoir Didou appelle moi s’il te plaĂ®t chĂ©ri…Je me suis couchĂ© crevĂ©.Je n’avais pas envie de lui tĂ©lĂ©phonerLe sĂ©minaire s’est poursuivi dans une humeur ludique et studieuse. Samira s’en sortait haut la main. C’Ă©tait une fabuleuse nĂ©gociatrice. En se quittant elle m’a donnĂ© un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone.- C’est mon portable n’hĂ©sitez pas Ă m’appeler… On pourra prendre un verre ensemble un jour.Elle avait un portable! Chose plutĂ´t rare. En tout cas pour moi.Elle a ajoutĂ© dans un sourire mutin- On ne sait jamais…On s’est saluĂ© et je bandais.Je n’avais pas envie de rentrer. Certes les enfants me manquaient. Ma femme aussi. Mais j’avais l’impression de quitter la vraie vie pour rentrer dans une cage.oooOOoooIl Ă©tait lĂ . Pas de garde ce week-end. Il prenait sa douche. Corps magnifique.- Salut mec… Je te prĂ©viens tu vas t’en prendre une.Devant mon incomprĂ©hension il a ajoutĂ©.- Elle est folle de rage…. Tu lui a pas tĂ©lĂ©phonĂ© ni rĂ©pondu Ă ses appels.Il est sorti de la douche et j’y allais quand il m’a claquĂ© les fesses.- Je te conseille d’ĂŞtre très sage ce soir et faire un bon lavement… Je lui ai conseillĂ© de te montrer qui Ă©tait l’homme chez toi…. Tu sais mec, j’en ai connu des personnes affolĂ©es qui se prĂ©cipitent aux urgences parce que justement la personne qu’elles attendaient n’a pas donnĂ© de ses nouvelles… C’est pas bien ce que tu as fait.Elle Ă©tait sur le seuil.- Laisse-nous Kemb s’il te plaĂ®t.Il est parti. Elle s’est dĂ©shabillĂ©e devant moi. Corps magnifique est inaccessible. Elle ne m’a pas embrassĂ© pour mon retour. Nous sommes entrĂ©s ensembles sous la douche. Elle m’a regardĂ© et m’a donnĂ© une gifle de toutes ses forces.Sous la violence ma tempe a heurtĂ© le carrelage et le paumeau de douche.- Ne me fais plus jamais aussi peur Didou. Jamais.Elle m’a embrassĂ© Ă pleine bouche.- Si tu veux pas me tĂ©lĂ©phoner c’est pas grave. Tu me prĂ©viens c’est tout… Mais s’il te plaĂ®t dis- moi toujours ou tu es.Elle a saisi mon sexe qu’elle a masturbĂ© lentement. Nous Ă©tions seuls, sous l’eau chaude. Seul avec ma femme qui me branlait. Nous sous sommes savonnĂ©, rincĂ©. J’ai jouis dans sa main. Mais sans bander.- Tu saignes chĂ©ri. Excuse-moi. J’aurais pas dĂ».- Pas grave Margot….Il va me soigner… Tu as raison excuse-moi.Il m’a soignĂ©.J’ai bien fait d’Ă©couter Kemb car mĂŞme si Margot n’a pas voulu, il m’a enculĂ© devant elle sans mĂ©nagement. Comme s’il voulait me faire payer les moments de douceur passĂ©s avec ma femme sous la douche.ProsternĂ© sur le lit, joue droite contre le matelas, cul relevĂ©, jambes bien Ă©cartĂ©es, je l’ai subis, devant elle qui se caressait, le regard vitreux posĂ© sur ma bitte qui ballotait au rythme des coups de reins de son amant.Il me donnait des coups de plus en plus violents. J’avais du mal Ă garder la pose.- Je vais te faire un cul de pute mec. Devant ta femme.Il a ouvert mes fesses.- Regarde le cul de ton mec… Un garage Ă bitte…. Regarde ta femme comme elle mouille de te voir Ă ma botte… Attends il faut qu’elle voit bien son mec se faire dĂ©monter le fondement. Allonge-toi ma Gazelle. Vous allez faire un beau soixante-neuf avec ton mari au-dessus. Tu vas ĂŞtre aux premières loges pour voir ton mec donner son cul.Il a libĂ©rĂ© mon cul. M’a claquĂ© les fesses- Au taf salope. Vas lĂ©cher ta femme.Nous avons pris la position qu’il souhaitait. Moi sur elle, en levrette. Ma bitte pendait au-dessus du visage de ma femme. Mon visage plaquĂ© contre sa chatte humide, coulante d’un mĂ©lange de mouille et de sperme. Elle Ă©tait très excitĂ©e.Kemb est venu a genoux derrière moi. Dans la glace de l’armoire, je voyais ses couilles au-dessus du visage de ma femme. Je voyais mon cul cambrĂ©, offert, sous les yeux de ma femme.Il a ouvert mes fesses pour dĂ©voiler mon anus.- Regarde son anus Margot. DĂ©jĂ bien rodĂ©. On peut dire que son muscle anal est dĂ©jĂ bien souple pour un homme. Attrape ma queue ma douce et pose la contre son trou…Elle mouillait de plus en plus. Je buvais son intimitĂ©. Elle a obĂ©it et le gland a pointĂ© contre mon anus. Mes fesses se sont refermĂ©es sur le mandrin. Il a appuyĂ© sur mes reins pour que je me cambre plus. Mon sexe effleurait le visage de ma femme. Elle n’a rien fait pour le prendre en bouche. Les mains m’ont saisi Ă la taille.- C’est toi qui dĂ©cide ma belle. Dis-moi si tu veux que j’encule ton mari. Que je dĂ©fonce le cul du père de tes enfants. Regarde comme il est offert juste sous tes yeux.Je sentais le sexe butait rĂ©gulièrement contre mon anus mais sans forcer.- Alors ma douce. Dis-le. Je sais que tu aimes ce qu’il est devenu. Pour toi.Elle a serrĂ© ses cuisses contre ma tĂŞte. J’Ă©tais immobilisĂ©, ma bouche ouverte plaquĂ©e contre son vagin ruisselant.- Plus fort j’ai pas entendu Margot…Il m’a enserrĂ© la taille d’un de ses bras puissants me bloquant contre lui.- A tes ordres ma douce…. Tiens le cocu… Prends celle-lĂ dans le cul.Il l’a plantĂ©e d’un coup au maximum. Un seul coup de reins qui m’a Ă©clatĂ© le cul. Tout de suite comme du feu dans mon ventre. Ses couilles contre les miennes. J’au gĂ©mis dans la chatte de ma femme.- Regarde ton Didou la prise jusqu’Ă l’os. Son cul a des capacitĂ©s de vieille pute.Il m’a libĂ©rĂ© la taille pour ouvrir mes fesses. J’Ă©tais Ă moitiĂ© effondrĂ© sur ma femme.- Regarde le cul de ton mari… Bien dilatĂ©. Limite rupture. Tu sais que j’ai dĂ©jĂ recousu des culs comme le sien. DĂ©chirĂ© Ă force d’ĂŞtre niquĂ©.Il a commencĂ© a me tringler lentement pour que Margot profite du spectacle. Il a accĂ©lĂ©rĂ©. Je suçais le clitoris de ma femme. Une vraie petite bitte sous l’excitation. Margot gĂ©missais Ă deux doigts de l’explosion. Il a raffermi sa prise sur ma taille pour me dĂ©foncer de plus en plus vite.Mes cris se perdaient dans la chatte de ma femme.Ils ont jouis ensemble.Quand il m’a libĂ©rĂ© je me suis effondrĂ© sur le matelas. MalgrĂ© l’habitude, j’avais super mal au cul.- Laisse nous….J’ai regardĂ© ma femme avant de quitter la pièce. Elle embrassait son amant Ă pleine bouche en branlant la bitte Ă©bène et il lui doigtait la chatte luisante de mouille Ă pleine main.Lui, il bandait encore.oooOOoooLa fin a Ă©tĂ© brutale. ImprĂ©visible. Comme un mauvais film. Personne ne s’y attendait. Surtout pas moi.Les vacances de Pâques. Les enfants chez mes parents. Margot chez le coiffeur. Je rentrais d’une semaine de sĂ©minaire. Je regardais avec ravissement mon nouveau joujou : un tĂ©lĂ©phone portable. Technologie extraordinaire que ce clapet qu’on ouvre pour parler Ă un correspondant.Moi en train de prĂ©parer le repas. Quand Kemb arrive, il n’est pas seul!Devant mon Ă©tonnement, il m’informe d’un air goguenard que Margot est au courant et qu’elle a acceptĂ© que ces deux potes de la facultĂ© viennent passer la soirĂ©e avec nous. Les sourires des deux autres ne laissent aucun doute sur ce qu’ils savent. Ils savent tout et cela me fout une honte indescriptible. Kemb comprend vite que j’ai compris qu’il leur a tout racontĂ©.- T’inquiètes pas mec, mes potes sont discrets, on est entre gentlemen.Il Ă©clate d’un rire sonore très vite rejoint par ses deux acolytes.Nous sommes dans le salon. La radio fonctionne en sourdine sur une chaĂ®ne d’info en continue. Ils boivent et discutent entre eux. M’ignorent. Comme si tout Ă©tait normal. Comme si tout leur Ă©tait dĂ».Je suis Ă la cuisine. Cela les libère. J’entends des bribes de phrases, des exclamations et des rires. Deux mâles qui s’excitent en Ă©coutant le mâle alpha.- Oui elle est super chaude…- Tu les encule les deux?- Ouais.- MĂŞme lui…- Surtout lui…- Elle aime les jeunes?- Elle aime baiser oui… Elle a beau dire, c’est une chaude ma Gazelle.- Mais et lui, il dit rien?- Non plus rien et il a des problèmes de santĂ©.- Ah?- Ouais, remarquez les mecs ça m’arrange, plutĂ´t. Il bande plus.- Pas normal çà ! Pourquoi?- Sais pas….S’en suit une discussion mĂ©dicale Ă laquelle je ne comprends rien. La seule chose que je retiens c’est la phrase de dĂ©pit de Kemb.- Ça me fait chier de pas rĂ©ussir Ă le soigner…La discussion n’est plus comprĂ©hensible.Je n’ose pas les rejoindre. Trop honte. Faudra pourtant y aller. A mon entrĂ©e, ils se taisent. Puis tout s’enchaĂ®ne.Un des mecs prend une cacahuète et me regarde ironique.- C’est vrai que ta femme t’encule mec???L’autre enchaĂ®ne hilare :- T’en fait pas y en aura pour les deux ta salope et toi.Je laisse tomber le plat que j’avais entre les mains.- Kemb!Le prĂ©nom claque dans le salon et nous fait tous sursauter.Personne n’a vu Margot entrer.Kemb se lève. C’est la première fois que je le vois aussi embĂŞtĂ© et dĂ©contenancĂ© Ă ce point. Il se dirige penaud vers elle pour l’embrasser. Elle recule.- Suis-moi s’il te plaĂ®t.La porte de la cuisine se referme sur le couple.On entend un Ă©change de voix vĂ©hĂ©ment mais incomprĂ©hensible, puis le silence. L’absence dure. Des gĂ©missements. Bruits de chaise. Les gĂ©missements montent en intensitĂ©. Impossible d’ignorer ce qui se passe. Je rougis. On entend parfaitement les raclements de la chaise sur le sol et les jappements de ma femme. Puis un long feulement.- Putain! Il est en train de la dĂ©monter.- La vache…- Elle a l’air d’aimer la queue ta pute mec…- Et tu laisses faire?- C’est vrai que le Kemb, il vous Ă©clate aussi la rondelle?- Putain! Il en du pot! J’aimerais moi aussi un couple comme vous. Une fiotte comme toi mariĂ© Ă une mĂ©ga salope.- Pourquoi tu dis rien mec?C’est vrai, il a raison le jeune black. Pourquoi je ne dis rien? Comment je peux accepter tout cela? Une semaine loin de chez moi m’a dĂ©cillĂ© les yeux.La porte de la cuisine s’ouvre.Un Kemb conquĂ©rant suit ma femme.Et elle!Sublime dans une robe noire au dĂ©colletĂ© provocant, les cheveux lĂ©gèrement dĂ©coiffĂ©s, les yeux brillants. Ses mains Ă plat sur ses hanches font un geste vers le bas comme pour redescendre sa robe. Elle marchait devant son amant, sĂ»re d’elle et sans aucune gĂŞne vis-Ă -vis de moi.Margot s’est approchĂ©e de moi.Peut-on une seul imaginer cette scène?Imaginer mon Ă©tat-d ‘esprit?Ce que je ressens?A voir ma femme devant son amant dĂ©vorĂ©e des yeux par les deux invitĂ©s. Dans notre salon et devant son mari. Nous savons tous qu’elle est nue sous sa robe. Pas besoin d’ĂŞtre devin pour comprendre que son amant vient de la baiser.