Il y a bien longtemps, pour ne pas dire dix ans j’ai connu une fille superbe. Notre jeune âge a été, je pense ce qui nous a séparés…J’ai été son premier amant, mon manque d’expérience ne m’a pas permis de la satisfaire tel que je l’aurais souhaité. J’ai du mieux que j’ai pu essayer de la satisfaire, de lui faire découvrir les délices de la luxure.J’ai souvent imaginé la revoir, ne fusse qu’un court instant, la revoir pour lui dire à quel point elle compte pour moi. Cette sensation est étrange, celle de perdre l’être aimé et de le sentir tout de même vivre au fond de son cœur, de son âme des années durant…elle a guidé mon imaginaire, c’est invité dans mes rêves, ces lieux hors du temps ou sa présence me rend le plus heureux des hommes. C’est en ces places qu’elle est mienne, qu’elle est ma femme, ma maîtresse, mère de mes enfants…Ce qui me manque le plus ce sont ses sourires, plein de malice, de joie de vivre, ses regards si pétillants, si intenses qu’ils vous transpercent et vous touchent en plein cœur. Le son de sa voix est une douce mélodie, qu’il me plait d’entendre inlassablement, la chaleur de son rire vous enveloppe de son doux linceul et vous emplit d’une joie indescriptible…elle me manque, je l’aimeJe rêve, et je la vois, elle m’appartient toute entière, j’ai envie de la rendre heureuse, la plus heureuse…J’ai envie d’elle, elle me sourit, c’est une invitation.Laisse moi te caresser ma douce, ma belle, laisse moi te combler comme jamais auparavant.Elle porte une petite robe blanche, légère comme le vent, elle s’en vient sur une petite plage déserte baignée de soleil. La brise se lève, animant ses longs cheveux. Elle s’approche, sans mot dire s’arrête devant moi, je la regarde longuement.Son visage est calme, tant de sérénité, un sourire se dessine sur ses lèvres…Sensation étrange, je me sens fondre devant tant de beauté et malgré tout une force me gagne et m’emplit, celle que vous donne l’amour, celle qui vous mène et vous vous permet d’accomplir des exploits…je l’aime, je la désireMes mains se posent sur ses épaules, et l’attirent contre moi, son visage disparaît et repose contre mon épaule. L’instant est magique, mes bras finissent de l’enlacer, scellant mon étreinte. Tant de sensations me chavirent. Son souffle meurt dans mon cou, sa poitrine si généreuse s’écrase contre la mienne.Mon dieu ses seins, j’en sens les pointes s’ériger et me caresser à travers le tissu de sa robe.Son ventre se love contre moi, et ondule lentement, invitation à une danse langoureuse. Je lui réponds la serrant plus fort encore. Mes hanches s’animent, balançant lentement, j’appuie plus fort mon sexe contre le sien, je veux lui montrer à quel point je suis sensible a cette étreinte.Mon désir grandit, je cherche ses lèvres, ma bouche la couvre de baisers, sur son front, je glisse l’embrasse encore et encore, ses yeux, ses joues que le plaisir empourpre, enfin je trouve ses lèvres…Douces comme de la soie, j’y goûte avec gourmandise, ose y faire glisser ma langue.Un soupir, elle entrouvre sa bouche, m’invite à y pénétrer.Nos langues s’envolent, s’enlacent, nos souffles s’accélèrent, mon cœur s’emporte…mes mains glissent dans son dos cherchant à la rapprocher toujours plus de moi, a la faire pénétrer en moi…je fais glisser les bretelles de cette barrière qui nous sépare. La robe tombe a terre dévoilant son corps nu, à mes yeux devenus ceux d’un petit garçon….Elle est belle, je l’aime, la désire, plus que tout au monde….Ma déesse, je tombe à genoux, je suis à tes pieds.Elle se tient debout devant moi, son regard plongé dans le mien, il m’ensorcelle, je pose ma joue contre son ventre, tel un enfant a la recherche de la chaleur maternelle.J’ai faim, faim de son parfum, du goût de sa peau, de sa chaleur.Mes lèvres, s’invite sur son ventre, je le dévore, m’attarde sur la marque de sa naissance. C’est le départ d’un long voyage, celui de son plaisir, d’une jouissance que je souhaite ineffable.Mais que ressent elle, je ne peux que capter ses frissons qui la parcourent toute entière.Ses mains se glissent dans mes cheveux, sa tête bascule et les cieux sont son seul horizon, son regard y meurt attendant patiemment la délivrance de la jouissance qui croit au fond de son ventre, qui irradie ses reins, engorge sa poitrine.Laisse moi être ton prince charmant, laisse moi te secourir ma belle …je t’aime, et te possède.Ma bouche avide de ton plaisir, prend le chemin de ton jardin secret, mes lèvres papillonnent, et délicatement se déposent sur ton bouton d’or… que ta peau est douce, rien ne la recouvre, elle est lisse, dégagée de toute pilosité, le goût en est exquis.Un gémissement, un murmure, une invitation à te combler plus encore s’échappe de ton être.Mes baisers se font plus pressant, je veux te boire, étancher ma soif à la source de ton plaisir, celle qui né du creux de tes reins, s’écoule entre tes jambes. J’aime le goût, l’odeur de ton nectar.Jamais repu je bois, et bois, elle me presse contre elle plus fort encore.Je m’enivre, elle vacille.Ma langue explore l’intérieur de son corps. Me fondre en elle, ne faire qu’un. Je n’y parviens pas comme je le souhaite, Je me fais violence, je la dévore plus encore…je t’aime, jouie ma belle, emplit ma bouche, coule dans ma bouche j’ai soif de toi.Elle s’effondre, tombe à terre, terrassée. Elle s’enroule comme un petit animal, désirant le repos.Lentement je la glisse sur le ventre, j’ai tellement envie d’elle…, la goûter encore et toujours, je ne suis la que pour son plaisir.Au loin, le soleil lasse, s’en va dans sa tanière. Le ciel s’enflamme, mon regard se pose sur le corps de ma belle qui se pare de mille attraits. Elle est belle ses cheveux s’étalent sur ses épaules. D’une main fébrile je les écarte dévoilant son cou. Délicatement j’y pose un baiser…dort-elle.Je parcours son dos, mes mains précédant mes lèvres, ouvrant le chemin vers de nouvelles contrées. Ses fesses, s’élèvent devant moi, deux collines dans le soleil couchent. Quoi de plus romantique ?!Le sillon y est parfait, laisse moi y goûter. J’y glisse ma bouche, mes lèvres, ma langue.Son œillet sauvage palpite, invitation pure a la luxure…. Je l’aime je veux tout lui donner.Je le caresse lentement du bout de mes doigts, puis cesse..Quoi de plus doux qu’ »une feuille de rose », j’y pose ma bouche avide de te combler.Ma langue caresse l’entre du plaisir, plaisir défendu, pure perversion. Je veux la goûter tout entière. La posséder.Je me fais plus pressant, accepte-moi au fond de tes reins ma belle laisse moi te caresser de la manière la plus intime qui soit, accepte-moi au fond de toi, ouvre toi a mes baisers.Je souhaite tant que ma bouche, ma langue soit la source de ton plaisir, de ta jouissance, unique, entière. Laisse les te guider à la béatitude, que ton anneau m’ouvre ses portes et se love autour de d’elle. Laisse moi me fondre en toi, que ce lieu défendu soit aussi pour toi lieu de délivrance de ta jouissance que j’ai voulu faire naître, en toi, dans le creux de tes reins.Abandonne toi a moi. Tu es à moi…Je t’aime CaroleCelui qui n’a jamais cessé de te voir dans tous ses rêves.