Alice a 63 ans : petite, forte poitrine, un regard coquin, des fesses cambrées, toujours bien mise, et un sourire ! Je l’ai connue il y a plus de dix ans. Comptez : aujourd’hui j’en ai 48.Lorsque je l’ai serrée dans mes bras pour la première fois, j’ai ressenti un désir puissant que je ne maîtrisais ni n’analysais pas. Notre première étreinte fût passionnelle et, je dois l’avouer, le plaisir n’a pas tardé à venir remplacer le désir si bien qu’elle n’y trouva pas son compte. Une fois notre coït fini, je ressentais un grand vide, doublé d’une honte de m’exciter ainsi pour ce que l’on considère vulgairement comme « une vieille ».De plus, nous nous fréquentions en « amis » dans le civil. J’étais désolé pour cette foucade. Je ne tardai pas à prendre congé, et, au moment de la quitter nos lèvres se sont rejointes à nouveau et une immense érection m’a immédiatement gagné. Elle était restée en peignoir, moi déjà rhabillé et en quelques secondes je l’emmenai dans sa cuisine, baissai mon pantalon, m’assis sur une chaise et elle vint s’empaler sur mon dard. Cette fois, elle eut un orgasme ravageur et je sentis des litres de son liquide se déverser sur mes cuisses : j’avais affaire à une femme fontaine.Écœuré et excité à la fois, je la quittai, ne comprenant pas ce qui m’arrivait.Nous ne nous revîmes pas d’un mois, jusqu’à ce qu’elle me téléphone dans le cadre de nos activités communes, pour que je vienne l’aider à rédiger des courriers.J’écrivais, tant bien que mal, sur la table de sa cuisine. Et elle était assise en face de moi, un décolleté magnifique sans être vulgaire. Elle me souriait souvent, me parlait de notre courrier comme si rien ne s’était passé. Souvent elle se levait, pour aller chercher un document, pour me préparer un café et, l’air de rien, me frôlait en souriant jusqu’à ce que je pose mon stylo et lui dise :— Alice, je n’en peux plus !Elle eut un petit rire :— Ne me dis pas que je te fais tant d’effet, à mon âge !Et je l’embrassai goulûment. Elle m’emmena dans sa chambre et se déshabilla. Elle portait des sous-vêtements magnifiques, et sans plus attendre je la pris en levrette, elle accrochée à sa coiffeuse et je l’entendis gémir :— Oh Michel, tu me fais jouir !Puis très naturellement elle alla se doucher, se changer, et nous sommes retournés à nos occupations.J’étais pris au piège de ma belle sorcière.Souvent, elle joua encore à ce petit jeu et trop souvent je fus victime d’éjaculations précoces tant elle m’excitait. C’est pourquoi, étant marié à l’époque, et elle veuve, je luis dis que nous ne devions plus nous revoir. Mais la vie en décida autrement.Elle m’invita à nouveau « en copains » pour que je l’aide dans des démarches administratives. Comme un collégien, encore je bandais. J’étais de plus pressé et j’allais me masturber dans ses toilettes pour me calmer. Je résistais encore à ce désir que je ne maîtrisais pas.Un jour où je passais chez elle, une nouvelle fois j’étais très, très excité et elle pressée car elle attendait le facteur. J’étais dans son salon et, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai sorti mon sexe et lui ai dit « caresse-moi ». Là où j’attendais une empoignade franche et quelques allers-retours qui calment mes ardeurs, je sentis une main douce, très douce, même trop, me frôler le sexe… Une douceur qui ravivait l’intensité de mon désir sans le perdre… Ses doigts de fée tels une plume agaçaient mon sexe, j’avais envie qu’elle me fasse jouir mais elle prenait son temps… Une caresse sur le gland, une sur la hampe, sans appuyer… Je me tordais de désir sur son canapé et elle me souriait, m’agaçait de petits baisers sur le coin de ma bouche puis, au bout de longues minutes, se décidait enfin à frotter mon sexe plus fort. J’eus à peine le temps d’ouvrir les pans de ma chemise que mon sperme se déversait à grandes giclées sur mon ventre. Elle s’essuya la main sur les poils de mon pubis, m’apporta un essuie-tout pour que je me nettoie. Il était temps, on sonnait à sa porte et tandis que je me rajustai je l’entendis qui discutait très naturellement avec le facteur.Jamais je n’avais ressenti de plaisir si intense et si doux. Je ne savais pas que j’avais découvert là un jeu dont je ne me lasserais pas.Lorsque je divorçais, je revis souvent Alice. Nous nous appelions aussi et un jour, je lui annonçais ma venue le lendemain matin et lui dit en plaisantant :— Je ne viendrais pas trop tôt, il faut que tu aies le temps de te préparer, de prendre ta douche car je te ferais jouir de ma bouche.Elle eut un rire très coquin puis m’avoua que jamais un homme ne lui avait fait cela.Le lendemain, c’était le début de l’été, et elle avait un petit corsaire blanc et un t-shirt rouge, moulant. Bien sûr, elle me prépara un café, minauda, me raconta ses petites histoires, ses petits malheurs, se laissant voler un baiser de-ci, de-là , attendant que je sois cramoisi de désir. Avec indulgence, elle me lança :— Allez va, on va monter dans ma chambre, sinon il va arriver une catastrophe.Elle quitta lentement ses boucles d’oreilles, sa montre puis me dit avec un grand sourire :— C’est l’homme qui doit déshabiller la femme, normalement.J’enlevai son t-shirt, elle avait un magnifique soutien-gorge rouge et noir. Je l’allongeai sur le lit et commençai à l’embrasser. Puis je dégrafai son corsaire, me levai pour enlever ses chaussures et lui ôter son bas. Elle avait une culotte assortie. Je la contemplais.— Mais que fais tu ?— Je t’admire !— Vraiment, il n’y a pas de quoi, une vieille comme moi !— Tu rigoles ! et en plus ta lingerie ! Tu fais tout pour que je sois fou de toi !— Oh tu sais, j’ai toujours aimé porter de belles choses.À nouveau, je m’allongeai auprès d’elle, encore habillé, en chaussettes, et je caressai chaque millimètre de sa peau, ses seins volumineux, son ventre un peu rond, ses fesses, puis mes doigts vinrent dans son sexe— Dis donc, il n’y a pas que moi qui suis excité, lui dis-je en souriant.Je me résolus à enlever son soutien-gorge pour téter ses seins. Puis sa culotte. Son sexe était couvert d’une courte toison châtain, j’y plongeai ma tête.Quel goût délicieux, encore savonneux et empreint de son odeur intime ! J’étais à quatre pattes, tête bêche et je me délectais de son jus. Je suçais son clitoris gonflé et je la sentais bouger. Puis je revins l’embrasser sur la bouche, et tout en lui caressant le clitoris de mon doigt, je lui glissai à l’oreille :— Tu aimes, chérie ?— Oh oui, j’aime bien, mais toi, tu ne te déshabilles pas ?— Tu as raison, cela évitera les problèmes.Et je quittai mon jean et mon t-shirt en quelques instants.Je retournai boire à sa source nacrée et elle commença à me caresser le sexe en même temps de sa façon si douce, mais je sentais le plaisir monter.— Attends, laisse-moi te faire jouir, tu t’occuperas de moi après.Et à nouveau je plongeai entre ses cuisses pour la titiller de ma langue et de mes doigts. À nouveau je suçai son clitoris et je sentis son bassin bouger, je m’accrochai à ses hanches pour ne pas bouger et j’avalai son bouton d’amour… Comme une éruption volcanique, ses mouvements se firent plus amples et plus puissants. Je suçais et suçais encore, et je l’entendis grogner « Oh, tu me fais du bien ! » . Quel plaisir de la sentir jouir ainsi ! Je continuai à la lécher, à caresser ses seins jusqu’à ce que la marée descende, et quand il n’y eut plus rien, je revins m’allonger à côté d’elle. Sa figure était calme et apaisée et je la couvris de baisers doux.Je sentis sa main s’aventurer sur mon ventre, puis, comme par erreur effleurer mon sexe. Ce fut comme une décharge électrique. Elle sourit mais continua à me caresser le pubis, le torse de ses mains si douces.De temps en temps, elle frôlait mon sexe puis reprenait ses caresses. Je me tortillais pour essayer de l’amener vers sa main, mais elle, imperturbable, continuait ses caresses sur mon corps.Elle vint caresser mes couilles et son avant-bras frôla mon sexe en même temps. Elle sentit que j’aimais et vint me caresser autour de l’anus, me frôlant toujours de son bras. Elle avait la peau si douce que le désir montait, montait. Elle dut le sentir car à nouveau, elle caressa mon ventre.— Alice, je n’en peux plus.Alors, avec son sourire si charmeur, elle vint enfin poser sa main sur mon sexe, sans l’empoigner, et caresser la hampe puis le frein avec une légèreté qui porta mon désir au firmament.À chaque fois qu’elle sentait que le point de non-retour n’était pas loin, elle s’éloignait à nouveau de mon sexe pour d’autres caresses, je la suppliais mais rien n’y faisait.À nouveau, elle caressait mon sexe pour me faire monter, ça y est, si elle continue je jouis !Mais non, sa main se plaça dans mes cheveux et elle me donna un baiser. Elle se tourna sur le côté et je sentis sa cuisse monter sur la mienne puis sur mon sexe. Que la peau de sa cuisse était douce à l’intérieur ! Et elle fit monter et descendre sa cuisse sur mon sexe jusqu’à ce que j’éjacule, par petits jets. Quel orgasme !— Alors, c’était bon ? me dit-elle quand j’eus repris mes esprits, tout en riant.Et comment que c’était bon !Pendant dix ans je me suis laissé faire par cette douce ensorceleuse, qui avait encore d’autres tours, ou d’autres « branlettes » dans son sac ! Quel dommage que tout cela soit terminé !