Je pense que je ne suis pas le seul Ă avoir ce fantasme. Mais depuis que j’ai rencontrĂ© ma belle sĹ“ur CĂ©cile, je n’ai qu’une envie :  » la baiser.  » Ma femme et CĂ©cile sont deux très belles femmes qui ont des points communs comme le fait qu’elles ne sont pas très grandes, qu’elles sont toute menues mais une poitrine très imposante. Ma femme fait du 85C, je peux vous dire qu’elle ne laisse pas un seul homme indiffĂ©rent. Mais elles ont par contre deux caractères complètement diffĂ©rents. Ma belle sĹ“ur est toujours Ă la dernière mode, maquillĂ©e et sur son 31 avec bagues, boucles d’oreilles et collier. Je ne l’ai jamais vu autrement qu’avec des talons hauts voir mĂŞme des talons aiguilles. Elle porte toujours des vĂŞtements ajustĂ©s Ă son corps, soit jupe d’Ă©tĂ© ou pantalon moulant taille basse. Enfin, dans ma rĂ©gion l’on dit que c’est une bombe. Elle a toujours Ă©tĂ© avec moi très souriante, agrĂ©able mais elle a depuis peu un compagnon qui lui, est vraiment insupportable. Personne ne l’apprĂ©cie. Il n’a que lui qui puisse la rendre heureuse, car elle a eu beaucoup de dĂ©ception amoureuse et elle est tout le temps tombĂ©e sur des gros imbĂ©cile (enfin je vous dirais que c’est encore le cas). Ce qui me renforce encore plus dans l’envie de coucher avec elle, de lui faire porter des cornes Ă l’autre. Mais j’ai trop de respect pour ma femme pour la tromper. Je n’ai donc jamais franchis le pas, jusqu’aux jours oĂą…Ce dimanche, nous Ă©tions tous en famille chez mes beaux-parents, nous venions de finir le repas qui avait Ă©tĂ© moins chaleureux que d’habitude. Chacun a aidĂ© Ă ranger sauf bien sur mon beau frère qui lui s’Ă©tait installĂ© dans le sofa avec une des nombreuse BD de la maison. Une fois tout propre, je vis ma femme et sa sĹ“ur montĂ© Ă l’Ă©tage, pour ne pas rester avec l’autre, je les ai suivit, mais juste avant de rentrer dans l’ancienne chambre de CĂ©cile, j’entendais l’une des deux pleurer. Puis reconnu la voie de ma femme dire Ă CĂ©cile : « Tu sais, ce n’est pas l’essentiel, le tout c’est qu’il y ait de l’amour.  » Je me suis donc immĂ©diatement arrĂŞtĂ© pour les laisser entre sĹ“urs. Puis CĂ©cile lui rĂ©pondit :  » Tu ne peux pas comprendre toi, mais c’est terrible de toujours ĂŞtre sur sa faim et en manque de sexe.  » A ce moment, c’est la curiositĂ© qui a prit le pas. Discrètement, j’ai Ă©coutĂ© leur conversation. J’Ă©tais ravi, j’entendais CĂ©cile se plaindre des pauvres performances de son compagnon au lit, elle disait :  » avec lui, il n’y a jamais de prĂ©liminaires.  » ou encore  » il tire son coup en moins de 10′ comment veux tu que je jouisse moi. Et en plus, il ne s’en rend mĂŞme pas compte, il s’endort directement après.  » ou  » c’est toujours pareil, dans le lit, dans le noir et en missionnaire, j’ai envie d’autre chose moi.  » ou enfin un coup bas  » la taille ça ne compte pas mais lĂ tout de mĂŞme c’est le plus petit que j’ai vu. » D’un autre cĂ´tĂ©, ma femme essayait par tout les moyens de lui remonter le moral et de contrer ses argument avec des :  » Mais il t’aime tu sais, c’est l’essentiel  » ou des  » tu lui en as parlĂ©e, tu lui as fait savoir ce que tu attendais?  » ou encore  » et toi tu lui fais des choses pour l’exciter comme des pipes par exemple?  » mais Ă chaque fois sa sĹ“ur en rajoutait une couche. Jusqu’au moment ou c’est CĂ©cile qui lui a posĂ© des questions et lĂ , la conversation Ă pris un autre visage :- Tu vas comprendre, rĂ©pond moi honnĂŞtement, Thomas (moi), il t’a dĂ©jĂ lĂ©chĂ©e?- Oui- Et bien moi jamais. Ta t’il dĂ©jĂ fait l’amour ailleurs que dans ton lit?- Oui- Moi non. Ta t’il dĂ©jĂ fait l’amour debout, assis ou de dos?- Oui mais…- Moi non. As-tu dĂ©jĂ pratiquĂ© la sodomie?- oh oui…- Il ne me l’a jamais demandĂ©. Jouies tu as chaque fois que vous faites l’amour?- Presque- Moi jamais. Alors tu vois, il me manque vraiment un homme Ă la maison. J’ai besoins d’une bite et d’une grosse.- Tu sais Thomas en a une vraiment très grosse et cela me pose des problèmes des fois, ce n’est pas la solution. Alors essaies vraiment d’en discuter avec ton homme je suis sur que ce sera la meilleure solution.Sentant que la conversation allait prendre fin, je me suis doucement retirĂ©. Je ne pouvais pas rejoindre de suite mes beaux-parents car la conversation m’avait fait bander dur. Je n’avais qu’une envie d’aller baiser ma belle sĹ“ur, pas lui faire l’amour non, lĂ c’Ă©tait vraiment la baiser, l’entendre crier, la voir jouir. Une fois calmĂ©, je rejoins toute la famille, puis nous sommes retournĂ©s chacun chez nous comme si de rien n’Ă©tait. Sur le trajet de retour, je demandĂ© Ă ma femme s’il n’y avait pas de problèmes avec sa sĹ“ur car elle ne m’avait pas semblĂ©e bien. Elle me rĂ©pondit qu’elle manquait un peu d’attention de son copain. Le soir, j’ai honorĂ© ma femme avec une fougue d’une rare intensitĂ©. A la fin de nos Ă©bats, elle se blottie contre moi et me susurra Ă l’oreille :  » J’ai une chance Ă©norme de t’avoir, tu es un mari parfait et un amant idĂ©al, je t’aime. « 28par7La suite pour un prochain Ă©pisode. Si cette partie vous a plu, vous pouvez m’envoyer des commentaires Ă l’adresse suivante et peut-ĂŞtre que je vous raconterai la suite.Un grand merci Ă Georges G. qui a effectuĂ© un très gros travail de correction.