Deuxième partieNous avons fait l’amour encore deux autres fois, ce soir-là, avant de se quitter. En retournant chez moi, je me demandais si j’avais rêvé ou si tout cela s’était vraiment passé tellement cette soirée avait été merveilleuse pour moi. J’en eus la confirmation lorsqu’environ une demi-heure après être arrivé chez moi, le téléphone sonna et j’eus la surprise d’entendre la voix mielleuse de Gina :— Salut, je t’appelle pour te remercier de cette magnifique soirée que tu m’as fait connaître… et aussi pour te dire que tu as oublié ton paquet de cigarettes ici. Merci Robert… J’ai déjà hâte à la prochaine fois… Bye !— OK ! Je les cherchais justement. Bye !Lorsque je raccrochai, ma femme me demanda :— Qui c’était ?— C’était Gina, pour me dire que j’avais oublié mes cigarettes chez eux.— Ah ! OK !Comme il était assez tard, je suis allé prendre ma douche et nous sommes allés au lit tous les deux. Je me suis couché très collé contre Diane et j’ai empoigné son sein droit, comme je le fais très souvent. Je n’ai pu m’empêcher de le comparer avec celui de sa sœur que je tenais encore dans ma main à peine une heure auparavant. Ils étaient sensiblement de la même grosseur, mais Gina était encore plus réceptive et c’était pour elle une région beaucoup plus électrisante pour l’allumer que Diane.J’ai pensé à Gina toute la semaine qui suivit et j’avais de plus en plus hâte de la revoir. Même lorsque je faisais l’amour à Diane, je ne pouvais m’empêcher de penser à sa sœur et cela doublait mes performances. Diane me le fit même remarquer en me disant un soir que j’avais une fougue plus vigoureuse, ce qui n’était pas pour lui déplaire.* * *Le vendredi suivant, Réjean, le mari de Gina, m’appelle pour qu’on aille prendre une bière ensemble à la brasserie. Je suis allé le rejoindre chez eux avec ma femme. Comme cela ne tentait pas nos femmes, on est partis seuls, Réjean et moi.Comme on le fait souvent, on s’est mis à se confier l’un à l’autre dans la soirée. Réjean m’avoue qu’il avait un béguin pour la serveuse Danny. De confidence en confidence, il m’avoue aussi qu’il ne détesterait pas se payer ma femme, après que je lui aie avoué moi aussi que j’aimerais bien faire l’amour avec Gina, lui taisant évidemment que je l’avais déjà fait la semaine d’avant.Je lui ai demandé si cela le tentait qu’on essaie de s’échanger nos femmes ce soir : on leur propose d’aller faire une balade en auto et on essaie de les convaincre de faire du parking tous les quatre. Réjean accepte l’idée. Je lui dis comment je compte agir avec Diane et je lui demande de m’imiter avec Gina.Il est environ 22 heures lorsqu’on rejoint nos femmes restées chez Réjean. Comme la soirée est chaude et la température vraiment idéale, on leur demande si cela les tente d’aller faire une balade en voiture et elles acceptent avec joie. La première partie de notre plan fonctionne.Cela faisait environ trois quarts d’heure que nous nous promenions dans les campagnes environnantes lorsque je demande :— Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?Gina me répond :— Je ne sais pas. As-tu une idée?— Oui, que diriez-vous si on allait faire du parking ?— OK ! Mais chaque couple reste ensemble, mentionne Diane, mon épouse.— D’accord, dis-je pour la rassurer, tout heureux de son accord.Je trouve un endroit isolé et tranquille pour me garer et je dis à Diane :— On va aller s’installer sur le siège arrière, on sera plus à l’aise qu’à l’avant.Diane accepte et rapidement on s’est retrouvé tous les quatre sur le même siège. Diane se colle contre moi. Je me tourne vers elle et nos lèvres se soudent. Je sens Diane très réceptive à mon baiser et je la sens prête à se donner complètement à moi. Nos langues humides s’entremêlent un bon moment et ma main droite empoigne un sein par-dessus sa blouse. Diane apprécie cette caresse et je la sens s’abandonner à moi malgré le stress de faire cela avec sa sœur et son beau-frère à nos côtés. J’avais demandé à Réjean de faire asseoir Gina sur ses genoux sous prétexte que cela nous donnerait plus de place pour agir.Je détache les boutons de la blouse de Diane un à un, prenant bien mon temps, joignant la caresse d’un de ses seins au détachement de chacun des boutons. Diane se laisse complètement faire, sachant que j’adore la déshabiller et la mettre toute nue. À chaque partie de son corps que je dévoile, des frissons nous traversent tous les deux et en plus je vois Réjean dénuder Gina en même temps, ce qui m’excite au plus haut point.J’enlève la blouse de Diane puis sa brassière. Ses merveilleux petits seins miroitent sous le clair de lune qui perce au travers des fenêtres de l’auto. Ses tétines pointent de plus en plus sous ma langue humide qui glisse sur chaque centimètre de chacun de ses merveilleux petits monts de plaisir. Je mordille la tétine de son sein gauche et Diane laisse échapper un long gémissement :— AAAAAHHHHH!!!!!!!! OOOOUUUUIIIII… C’EST BON, ROBERT… CONTINUE…Réjean lève les yeux et me voit tirer sur la tétine de Diane avec mes dents. Ses yeux brillent de désir. Pendant que Diane gémit de plaisir, je détache son pantalon et ma main plonge dans sa petite culotte. Diane écarte ses cuisses pour faciliter mes caresses sur sa chatte réceptive. J’ai maintenant accès à son point le plus sensible et à son élément déclencheur. J’écarte ses babines avec mes doigts et je commence à frotter son clitoris. Cette caresse est pour elle le point de non-retour. Comme ma main est malgré tout assez à l’étroit, je relâche son bouton de jouissance et je lui enlève complètement son pantalon et sa petite culotte. Diane est maintenant toute nue à côté de sa sœur et de son beau-frère.Réjean avait de ce temps lui aussi enlevé la blouse et la brassière de Gina, mais elle a encore son pantalon. Gina est face à moi sur les genoux de son mari. Je voulais en voir plus et je dis à Réjean :— Déshabille-la complètement, elle aussi.Je savais qu’une fois nue, j’aurais une vue magnifique sur toutes les parties intimes de ma belle-sœur puisqu’elle était face à moi. Pendant que Réjean finit de déshabiller Gina, je fais changer Diane de position pour qu’elle s’asseye sur mes genoux et qu’elle se retrouve face à Réjean, afin qu’il puisse bénéficier lui aussi de la vue sur chaque partie intime de sa belle-sœur.Lorsqu’elle est face à Réjean, j’écarte ses jambes et j’ouvre à nouveau les babines de sa plotte (1) qui devient de plus en plus humide sous mes attouchements. Lorsque je me mets à frotter intensément son bouton de plaisir, Diane écarte d’elle-même encore plus ses cuisses, permettant ainsi à Réjean de mieux se régaler de la vue de la plotte de sa belle-sœur.— Écarte bien les jambes pour montrer ta belle plotte juteuse à Réjean et Gina, dis-je à ma femme.Cette remarque fait frissonner Diane qui m’embrasse très fort dans le cou. Elle est maintenant dans tous ses états. Je sais qu’elle ne me refusera plus rien maintenant. Je regarde Gina et je vois que Réjean lui a rentré deux doigts dans la plotte et qu’il la fouille avec vigueur.— Prends ton temps, Réjean. Diminue la cadence. Montre-moi si elle mouille autant que sa sœur.Réjean comprend que je veux faire durer notre plaisir à tous les deux et ralentit le rythme. Nous sommes assez collés, les deux couples, espace limité oblige.J’arrête de frotter le clito de Diane, sachant que maintenant elle me laissera lui faire tout ce que je désire. J’empoigne son sein gauche et je commence à le pétrir puis je dis à mon beau-frère :— Regarde, Réjean, comme elle aime ça…Il me regarde masser le sein de Diane et ses yeux lui sortent presque de la tête tellement l’envie de lui faire la même chose le ronge. Gina me regarde tripoter sa sœur et ses yeux brillent d’envie elle aussi. Je la regarde et lui dis :— Déshabille ton mari.Pendant que Gina obéit à ma demande, je retire en vitesse tous mes vêtements moi aussi avec l’aide de Diane et je reprends mes caresses à ses seins que Réjean convoite tant. Je prends la main de Réjean et la dépose sur le sein gauche de Diane. Comme elle a les yeux fermés, elle ne s’aperçoit pas de qui lui empoigne son sein. J’ai le sein droit de Diane dans ma main droite. J’allonge mon bras gauche et je m’empare du sein droit de Gina. Un courant incroyable me traverse tout le corps. J’ai maintenant un sein de ma femme dans une main et le sein de sa sœur dans l’autre main. C’est un moment euphorique.— Regarde comme elle mouille, dis-je à Réjean, l’invitant ainsi à fouiller la plotte de ma femme.Il lâche son sein et il lui enfonce deux doigts dans la plotte. Diane gémit de plaisir :À ce moment je bouge afin de me mettre en position pour caresser à mon tour la plotte de sa femme. Diane ouvre les yeux et s’aperçoit que ce ne sont pas mes doigts qu’elle a en elle, mais bien ceux de son beau-frère. Elle me regarde et me dit :— Non, je ne veux pas.— Mais oui, chérie, laisse-toi faire. Il a une folle envie de toi. Je veux te voir te faire fourrer par lui. Cela me ferait un grand plaisir.Pour la convaincre, je lui enfonce deux doigts à mon tour dans la plotte, rejoignant ainsi ceux de Réjean. Un court, mais combien révélateur « AHHHH » se fait entendre de Diane. Nous lui labourons la plotte un bon moment et Diane ne peut que s’abandonner à cette caresse exceptionnelle de deux hommes. Je retire mes doigts de sa plotte et je commence à lui caresser son autre petit trou. Après plusieurs petites pressions, celui-ci se dilate et j’enfonce mes deux doigts dans son cul réceptif. Lorsque je sens la dilatation suffisante et son anus plus ouvert, je lui laboure le cul intensément. Diane n’a plus aucun contrôle sur ses émotions et elle se lamente comme une chienne en chaleur.— Regarde comme elle adore se faire jouer dans le cul. Elle est à toi maintenant.Je retire mes doigts de son petit trou et Réjean ne perd pas de temps pour les remplacer par deux des siens. Il a maintenant deux doigts dans la plotte de ma femme et deux autres de la même main dans son beau petit cul si invitant. Je fais glisser Diane sur le siège pour laisser la place à Réjean, je regarde Gina et lui dis :— À toi, maintenant.Réjean est maintenant penché au-dessus de Diane et la laboure âprement. Je m’agenouille devant Gina du mieux que je peux malgré le manque d’espace, je lui prends les deux jambes et les relève bien haut puis les dépose sur mes épaules. Je regarde sa magnifique plotte et je la vois suinter. Je lève les yeux vers Gina et je colle mes lèvres à ses babines humides. Je lui caresse longuement l’entrée de sa grotte de plaisir avec ma langue.— OH OUI ! ROBERT… Comme c’est bonnnnn… se lamentait ma belle-sœur hors d’elle-même.Je lui titille son bouton d’amour gonflé à bloc puis je lui enfonce ma langue le plus profond possible en elle en écartant au maximum ses babines ruisselantes de mouille. Ce ne fut pas long qu’elle ait un orgasme fulgurant. Je bois tout ce que je peux, mais la quantité de cyprine est trop importante et elle m’inonde une partie du visage.— C’est trop bon, Robert… C’est trop bon… Tu me rends folle…Lorsqu’elle finit de jouir, je me relève et m’assieds à ses côtés, l’entourant de mes bras et la collant tout contre moi.— Regarde ton mari déguster ta sœur. Regarde comme c’est beau à voir.Gina fixe maintenant intensément son mari et sa sœur qui se laisse manger. Elle prend mes bras et m’obligea à la serrer très fort. Elle me regarde et me dit à l’oreille :— Il ne m’a jamais fait l’amour avec autant d’appétit.Pour la consoler, je lui donne un long baiser intense et langoureux.Gina voit sa sœur exploser à son tour sous les caresses vigoureuses de son mari. Réjean essaie de positionner Diane pour la fourrer, mais l’espace est trop restreint et il doit abdiquer. J’ai aussi envie de continuer nos ébats et je suggère :— Allons terminer cela chez vous.Personne ne répond, mais je vois bien que tout le monde est d’accord. On se rhabille Diane et moi, on reprend nos places à l’avant du véhicule. Je donne un long baiser langoureux à mon épouse pour la remercier de sa si bonne coopération dans ces ébats sexuels exceptionnels. On repart pour se rendre chez Gina et Réjean. Je connais assez bien mon épouse pour savoir qu’il ne faut pas que je la laisse se refroidir. Aussi tout le long du retour je glisse ma main entre ses cuisses et je lui caresse la plotte avec mes doigts. Je vois que Diane n’a pas détesté ce moment inoubliable puisqu’elle reste bien humide tout le long du chemin de retour.— Avoue que tu as aimé te faire tripoter par Réjean, dis-je à Diane tout en lui jouant dans la plotte.— Oui c’est vrai, mais tu as aussi aimé ça, manger ma sœur, hein mon salaud ?— Oui, tu as raison. J’ai adoré ça et j’ai hâte qu’on vous fourre toutes les deux à tour de rôle.Diane me regarde et me fait un sourire discret, comprenant que la soirée était loin d’être terminée.Aussitôt arrivés chez Réjean et Gina, on s’installe au salon sur le divan pendant que Réjean nous sert à chacun une boisson alcoolisée. On jase quelques minutes timidement, personne n’osant discuter de ce qui venait de se passer, mais on sent une tension entre nous. L’atmosphère devint de plus en plus sensuelle. Je fais les premiers gestes avec Diane en déposant ma main sur sa cuisse et en commençant à la caresser entre les jambes tranquillement. Gina et Réjean regardent ma main baladeuse flatter ma femme. Nous sommes assis tous les quatre sur le divan. Je passe mon bras derrière Diane et je la tourne vers moi puis je lui donne un baiser d’une sensualité enivrante. Au début, nos lèvres s’effleurent à peine puis Diane ouvre la bouche pour enfoncer sa langue en moi. Nos langues commencent une valse effrénée. J’en profite pour détacher sa blouse. J’enfouis ma main dans sa blouse et je caresse un de ses seins par-dessus sa brassière. J’ouvre un œil et je vois que Réjean et Gina me regardent tripoter ma femme attentivement, Gina se collant tout contre son mari. Je retire mes lèvres de Diane et je lui dis :Ma femme sait ce que je désire d’elle, lui faisant souvent faire cela lorsqu’on est seul. Je me lève avec elle et je me place dans son dos, l’entourant de mes bras. Elle appuie sa tête sur mon épaule gauche. J’empoigne les bonnets de sa brassière et je les baisse sous ses seins. Cela les met tout en valeur. Puis je détache son pantalon et je le lui baisse à la hauteur de ses genoux. Puis j’abaisse le haut de sa blouse sur ses avant-bras, sans la lui enlever complètement. Cela lui donne un air de femme fatale. Je caresse ses seins tendrement, roulant ses tétines entre mes pouces et index de chaque main. La tête de ma femme se met à osciller de gauche à droite, me démontrant la satisfaction de mes caresses. Je promène ensuite mes mains sur tout son corps en prenant bien soin d’effleurer seulement chaque partie de son corps. Cela a l’effet désiré, car d’immenses frissons lui traversent tout le corps.— Continue à te caresser pour que l’on puisse t’admirer.Je prends ses mains et les dépose sur ses seins pour qu’elle continue à se caresser seule et je retourne m’asseoir près de Gina et Réjean, Gina étant la plus proche de moi.Les mains de Diane se promènent sur ses beaux petits tétons. Au début, elle les effleure à peine, puis le désir augmentant en elle, ses caresses se transforment rapidement et elle se met à pétrir ses beaux petits monts avec de plus en plus d’ardeur. Le spectacle est très érotique.Réjean déboutonne la blouse de Gina et il lui caresse un sein par-dessus sa brassière, la main dans sa blouse. Je dépose ma main sur la cuisse de Gina et elle se laisse faire. Doucement je me mets à promener ma main entre ses cuisses, remontant lentement vers son puits d’amour. Celle-ci me démontre qu’elle apprécie en écartant ses cuisses un peu plus largement. Même si elle a encore son pantalon, elle savoure chaque glissement de ma main entre ses cuisses. Lorsque j’atteins l’emplacement de sa fente, je promène mon index sur elle, augmentant lentement la pression de mon doigt.— Regarde comme c’est beau une femme qui se masturbe, dis-je à ma belle-sœur tout en lui frottant encore plus fort la fente.— Oui, c’est vrai, avoue-t-elle à ma grande surprise.Je me lève, me place devant elle, je lui tends les bras et lui dis :— Viens la rejoindre et montre-nous à ton tour comme tu sais bien te caresser toi aussi.Gina me regarde et allonge les bras pour que je l’aide à se lever. Je l’attire à moi, je l’embrasse sur les lèvres puis je la place à côté de Diane, tout près d’elle. Je m’installe derrière elle et je la dénude de la même façon que sa sœur : je descends les bonnets de sa brassière sous ses seins, sa blouse sur ses avant-bras et ses pantalons à la hauteur de ses genoux puis je lui prends les mains et les dépose sur ses seins. Je retourne m’asseoir sur le divan. Le spectacle est divin. Les deux sœurs, côte à côte, les seins à l’air, se caressent avec une sensualité et un érotisme torride. Réjean et moi les admirons avec un bonheur indescriptible.Diane attrape ses tétines et tire dessus, puis elle pétrit très fort ses seins. Gina l’imite rapidement et les deux gémissent de bonheur à plusieurs reprises.— Maintenant masturbez-vous toutes les deux, leur dis-je d’un ton autoritaire.Je vois une main de chaque sœur descendre et elles commencent à frotter leur fente par-dessus leur petite culotte. Ce n’est pas long que Gina tasse sa culotte et s’enfonce un doigt dans la fente. Diane s’en prend à son clitoris qui est son point le plus sensible.Soudain, j’ai une idée perverse…(à suivre)(1) Plotte : Vagin, sexe féminin. Terme extrêmement vulgaire, de même que l’allusion aux « babines » qui précède (l’image est assez explicite pour n’avoir pas à être traduite) et qui a déjà été utilisée un peu auparavant.