S’accepter en tant que bi,Je vais vous conter une aventure, mon aventure sexuelle, qui en fait se résume à une histoire, mais 10 ans se passent du début a la fin.Je suis officiellement hétéro, tous le monde me connaît pour être un charmant garçon, un peu dragueur, qui n’étonne personne d’avoir différentes filles dans mon lit, ou d’être accompagnée à chaque fête, ou presque, par une autre charmante jeune femme.En fait, c’est vrai, mais ma double vie, secrète pour tous mes amis, n’en est pas moindre.Comme tout mec qui se respecte, en fait presque tous, l’attirance pour les personnes du même sexe, est quelque chose de difficile à avouer, mais tellement attirant. Disons que c’est l’interdit, voire l’inconnu qui nous mène dans des situations voulues ou provoquées comme des salles de cinéma obscur, où officiellement on vient voir des corps de belles suceuses s’envoyer en l’air, mais en fait le spectacle n’est pas sur la toile mais dans la salle.J’avais 18 ans, quand je pénètre pour la première fois, dans un cinéma porno. La peur, l’intrigue et l’aventure m’ont donné des forces pour accéder au regard blasé de la guichetière. Je devais paraître plus de 18, donc pas de problème pour recevoir mon laisser-passer. Je pénètre donc dans la salle, complètement aveuglé par la pénombre. Je me tiens debout, ne voyant pas à un mètre, nerveux, et attendant que mes yeux s’habituent. Je me cherche une place, mais je me heurte à la rangée de sièges, et bien sûr, un mec était assis sur le premier fauteuil. Je m’excuse, il me caresse les fesses pour réponse. Bouffée de chaleur, j’ignore l’acte, passe devant lui et vais m’asseoir plus loin.Je mate l’écran, et déboutonne mon pantalon pour me toucher discrètement. Maintenant mes yeux sont complètement habitués, et en regardant autour de moi, tous ces hommes font de même. Un mec vient s’asseoir à côté de moi, est-ce le même gars que j’ai bousculé ? Je ne sais pas, mais je me sens timide et farouche et le remets mon sexe à sa place et fait semblant de rien. L’homme attend quelques minutes et commence à me caresser la jambe, je le repousse, il insiste gentiment. Il prend ma main et la place sur sa bite dressée, je ne bouge pas, mais ne la retire pas non plus, je respire et commence à le branler doucement. Je me sens gêné et excité, il fait de même, et me voilà la queue à l’air, en train de me faire toucher par un mec, et le pire c’est que ça me plait. Je jouis rapidement sur ses doigts, je continue de le branler pour en finir, mais rien ne vient.L’excitation terminée, je me sens très gêné, et me lève sans dire un mot et sors du cinéma, des questions plein la tête.J’ai recommencé les mois suivants, et je me sentais de plus en plus attiré par cette activité. J’ai commencé à me balader dans le cinéma, dans les toilettes, dans les couloirs qui séparent les différentes salles, et c’est pas triste ce qui s’y passe. J’ai vu des mecs se sucer, et même s’enculer, avec des voyeurs qui se branlait dans la pénombre en matant les spectacles.Je n’y ai participé que très vaguement, quelques attouchement et me suis fait sucer une fois aussi, mais pour le reste, ça me paraissait quand même dégueulasse. Cette atmosphère de vieux ciné porno, ces mecs qu’on ne distingue pas bien, la cinquantaine en général, ça me paraissait sale, et j’ai décide de ne plus rentrer dans ce genre d’endroit. Heureux d’avoir essayé, mais un peu dégoûter quand même.J’avais donc 18 ou 19 ans, ayant une vie sexuelle de mon âge avec des filles, mais tout de même quelque chose me manquait. J’étais très attiré par la sodomie. Mes partenaires féminines de l’époque n’étaient pas spécialement pour, une ou deux maximum acceptèrent, mais dans l’ensemble, les filles de 20 ans ne se font pas aussi facilement sodomiser.Je vivais seul dans un flat d’étudiant et avais donc toute ma liberté de faire ce que je voulais. Je me suis acheté un gode dans un sex-shop, et j’ai décidé de me pénétrer pour connaître le sentiment. Je pris grand plaisir à me pénétrer chaque fois que je rentrais des cours. Je m’achetais de plus en plus de godes, de plus en plus gros, des plugs fins, larges, gonflables, enfin soit, je me retrouvais avec une panoplie de plus de 12 ou 15 engins.Le plus gros devait faire dans les 25 cm de long pour 5 ou 6 cm de diamètre, un bel engin qui demande de la préparation avant de se l’enfiler. Je m’étais construit un petit socle où le gode tenait bien à la verticale, placé sur un miroir sur le sol, et je me pénétrais en chandelle, sans manquer le spectacle visuel de mon fondement bien écartelé par cette belle queue, vibrante de surcroît. Je m’en suis pris des orgasmes comme ça, une fois bien ouvert, je me plaçais en levrette et me l’enfonçais profond et rapidement comme si je me faisais mettre par une brute. Je ne pouvais m’empêcher de gémir haut et fort, de le sortir entièrement et de le rentrer en une fois jusqu’au bout. Même mes doigts se sont mis de la partie, je dis bien mes doigts, car en fait j’essayais de m’enfoncer le poing en entier, mais n’y suis jamais arrivé.Il était temps que je rencontre un homme, un vrai, je voulais sentir une vraie queue en moi, et non pas du latex, mais le problème était que je n’avais aucun contact, et ne me faisais pas draguer non plus dans la rue. J’étais étudiant dans une petite ville de province, et ça ne courrait pas les rues.Je me rendis à la capitale, et rentrai dans un sauna pour gay. Ce jour là je me suis lâché, et ai tenté toutes les expériences possibles.J’en ai sucé des queues dans le hammam, je me faisais toucher, branler, et sucer par pas mal de gens, je me suis ensuite retrouvé dans une cabine à l’étage avec un homme… Enfin un homme que je pouvais toucher, lécher, et surtout me faire sodomiser pour la première fois en réel.Quand nous sommes rentrés dans la cabine, je me suis jeté voracement sur lui, et lui ai fait une pipe pendant au moins 15mn, il était aux anges le garçon. Je bandais dur et nous nous sommes placés en 69. Il me léchait l’anus et pénétrait sa langue au plus profond tout en m’écartelant l’anus de ses doigts. Le moment enfin allait venir, je lui ai placé un préservatif, et me suis place sur lui, afin qu’il me pénètre doucement. Une fois bien au fond, il a commencé à bouger en moi, doucement au début, et ensuite il me soulevait presque tant il était puissant. Je me suis place en levrette, et il m’a pénétré jusqu’à l’orgasme. Mon dieu que c’était bon, je criais fort, sans le vouloir, et lui avait dû déjà éjaculer avant notre rencontre car il tenait longtemps. Il m’a retourné sur le dos, m’a écarté les jambes, les plaçant sur ses épaules, et m’a sodomisé comme ça. Ma queue était tendue au maximum, mon anus ouvert, et j’étais complètement soumis à ce mec actif à souhait.Il me traitait de petite salope, qu’il me bourrait le cul de sa grosse pine, tous ces mots vulgaires étonnamment m’excitaient. J’en redemandais encore. Il sortit de moi, retira sa capote et éjacula sur mon ventre et ma poitrine.Quand je lui ai dit que c’était ma première fois, il ne m’a pas cru, un cul si accueillant, une bouche si expérimentée ne pouvait pas être débutant dans le domaine, m’a t’il dit. Je l’ai pris pour un compliment.Je suis retourné souvent dans les saunas, m’envoyant en l’air avec des mecs entreprenants en général. Je me suis souvent soumis à ces mecs, moi qui suis plutôt dominant avec les femmes.Je continuais sur le côté, ou plutôt dans ma vie officielle une relation de longue durée avec une femme un peu plus âgée que moi. Nous recherchions toute sortes d’expériences dans le sexe. Elle n’avait pas eu de chance avec son mari, et moi comme amant, j’avais relativement une bonne côte en matière de sexe.Je ne lui ai jamais parlé de ma vie parallèle, était-ce de la gêne, garder mon jardin secret, je ne sais pas. Jusqu’au jour où on va dans un club échangiste. C’était un mardi soir, pas trop de monde, et nous nous retrouvons avec un autre couple sur les matelas à l’étage. Ce n’était pas notre première expérience dans le domaine, mais cette soirée fut plus spéciale que les autres. Nous étions occupés à nous caresser à quatre, ma copine se faisant lécher le minou par la femme, suçant l’autre mec en même temps, et moi regardant la scène, me caressant la queue, et attendant mon tour pour être sucé.Quand vint mon tour, je me place à genou devant ma compagne, me faisant sucer merveilleusement bien comme toujours, l’homme était debout, la queue bien raide, et nous regardait, jusqu’au moment où il s’approcha de moi, et sans rien me demander, vint poser sa queue devant mes lèvres. Je fus d’abord surpris, et surtout, je savais que j’allais accepter de le sucer, mais de dévoiler mon côté caché à ma copine me faisait peur. Soit, ni une ni deux, je prends ce sexe en bouche et lui fais une fellation en douceur. Ma copine, me suçant toujours, ouvrit de grands yeux étonnés, mais quelque part coquins. Me voir sucer un homme, moi, l’homme à femmes comme elle m’appelait, l’étonna, et l’excita au plus haut point, car il lui fallut pas plus de 10 secondes pour avoir une énorme jouissance dans la bouche de son amante.Le pas était franchis, et mon cote homo prit le dessus.J’étais en train de pénétrer ma copine en levrette, pendant qu’elle léchait voluptueusement le vagin de notre nouvelle compagne, quand je sentis l’homme derrière moi, me léchant l’anus, et me doigtant, profitant de mon mouvement de bassin, pour y pénétrer son doigt. Je me retournai lui souriant, ce fut une invitation qu’il a bien compris, et il vint se placer derrière moi, me pénétrant rapidement. Me voilà prit en sandwich, chose très intéressante à gérer nos mouvements pour ne pas se déboîter si j’ose dire.Ma copine me sentant venir, désirant avaler toute ma substance se retourna, et surprise vit la scène, me faisant enculer par ce mec. Sourire coquin et complice, elle ne dit rien et me suça jusqu’à une éjaculation puissante. Mon sperme se répandit sur son visage, dans sa bouche, et ses seins. L’autre femme vint à la rescousse pour me nettoyer la queue de mon sperme, et mon amant s’échappa de mon fondement pour éjaculer sur les deux visages de ces dames qui n’attendaient que ça.La soirée prit fin, et sur le retour, elle me dit qu’elle avait adoré me voir avec un homme, et me proposa de recommencer, plus tranquillement à la maison.Je lui avouai tout mon jardin secret dans les moindres détails, ma collection de godes inclus, et nous nous sommes amusés bien souvent à nous goder mutuellement, ou à me mettre un plug, pendant que je sodomisais ma copine.Nous avons recommencé l’expérience à trois, tranquilles à la maison, avec un gars rencontré la semaine d’avant, et qui m’avait allumé dans un bar. Je l’ai invité à la maison, lui expliquant notre désir. Ce fut une soirée bien chaude, ma copine s’est fait prendre en sandwich, je me suis fait enculer par un homme très bien monte, pendant que ma copine me prenait en bouche.J’ai joui et lui ai craché de grandes quantités de sperme qu’elle avala avec plaisir. Mon amant, toujours dans mon cul, fut prêt à venir, et s’approcha d’elle, et lui cracha de même. Elle avait du sperme plein le visage, le cou et les cheveux. C’était un beau spectacle.Voilà, depuis ma première branlette dans le ciné, jusqu’à mon acceptation d’être sincèrement bi, l’accepter et le partager avec des femmes, il s’est passé 10 ans, de plaisir, de sexe, et pour certains de débauche.