Salut,
Je fais suite à cette histoire que j’ai lue le mois dernier sur le blog, de ce gars dont la copine est handicapée et qui reste quand même chaude. Je vis exactement la même situation et je me suis dit que je devrais peut-être vous raconter moi aussi ce que je vis au quotidien.
J’ai 42 ans et je suis divorcé. Il y a 3 ans, lors d’une soirée organisée par des amis, j’ai fait la rencontre improbable de Corinne 45 ans en fauteuil roulant. On a tout de suite accroché tous les deux et on s’est mis à se revoir. J’ai été surpris d’être attiré physiquement par cette femme. Attention, je parle du fait qu’elle soit handicapée. Son visage et son corps sont vraiment très agréables. Mais dans ma tête, je me suis dit que si elle est en fauteuil, c’est qu’elle ne doit plus rien ressentir en dessous de la ceinture. Et que de toute façon, le sexe devait être le dernier de ses soucis. Deux a priori balayés d’un coup d’un seul la première fois que l’on a eu une relation sexuelle.
Nous étions tous les deux dans la voiture et nous revenions d’un week-end sympa. Mais comme tous les retours de week-end qu’ils soient sympas ou non, on se retrouve dans les bouchons. Corinne avait sa main sur ma jambe et l’a laissée glisser vers mon sexe. J’ai tout d’abord été surpris et j’ai trouvé ça très agréable. Elle m’a caressé le gland jusqu’à ce que j’aie une belle érection. Tout en me regardant dans les yeux, elle défait ma braguette sur mon sexe qui commence à me faire mal. Sans défaire sa ceinture, elle m’a branlé puis elle est venue me sucer. J’ai halluciné ! Mais elle ne m’a pas fait jouir. Elle m’a sucé un petit peu puis a tout emballé avant de se remettre de son côté comme si de rien n’était.
Lorsque l’on arrive à la maison, je lui dis que ce n’était pas possible qu’elle me laisse dans cet état-là. Je l’ai installée sur le lit vu qu’elle n’a plus de mobilité de jambe. On s’est longuement embrassés et je l’ai caressée. Elle avait les tétons en feu. Machinalement et par habitude, j’ai descendu ma main vers son entrecuisse pour la caresser. J’ai bien compris que cela ne servait à rien. Tout passe par la bouche, les mains et les seins avec Corinne. On a beaucoup joué tous les deux et on a quand même réussi à prendre du plaisir ensemble.
C’était la première fois il y a trois ans. Aujourd’hui, elle a réussi à développer une façon d’atteindre l’orgasme et de prendre du plaisir de manière cérébrale. J’ai appris à savoir quoi faire et comment le faire pour qu’elle « ressente » du désir et du plaisir. Elle aime se sentir salope et que j’utilise son corps. Elle me demande régulièrement de la pénétrer par tous les trous. Vu qu’elle ne sent rien, elle adore que je la prenne par le cul. Elle aime se voir prise lorsqu’elle se regarde dans le miroir. Elle m’a fait installer partout dans la chambre des miroirs pour qu’elle puisse se voir pendant qu’on baise. Je n’étais pas fan de cette pratique, mais je me suis mis à l’apprécier. Parce que je vois dans ses yeux le plaisir qu’elle prend.
Mon regard sur les personnes handicapées et plus particulièrement en fauteuil a changé. Maintenant lorsque je croise une femme dans cette situation, je me dis peut-être que c’est peut-être une grosse cochonne comme ma Corinne. J’ai hâte de rentrer ce soir pour l’enculer et lui jouir dans la bouche. Je suis au bureau pour faire cette confession intime et ce qui me motive à le faire, c’est qu’elle m’envoyait un texto ce matin en me disant qu’elle aimerait tenter une expérience de pluralité. Je bande comme un porc en y pensant même si ça me fait peur pour elle. Je vous raconterai si d’aventure on passe à l’acte.
Richard 42 ans Bordeaux.