J’ai fini par accepter mais je ne sais pas si j’ai bien fait.Mon fils de 20 ans me demande depuis des mois avec insistance que nous prenions notre douche ensemble.Il est Ă©tudiant et nous vivons Ă deux depuis que son père nous a quittĂ©s, il y a 15 ans Ă prĂ©sent.Il faut dire que cette demande survient dans un contexte particulier.
J’ai 42 ans et depuis notre sĂ©paration j’ai eu des aventures mais jamais je n’ai envisagĂ© quelque chose de suivi avec un autre homme.
J’ai toujours privilĂ©giĂ© la relation avec mon fils pour qu’il grandisse au mieux.
Je n’ai jamais voulu qu’un autre homme fasse irruption dans notre vie, pour ne pas le perturber.Une profonde et tendre complicitĂ© nous unit.Je la vivais avec bonheur comme la relation d’une mère Ă son fils, sans rien de plus.Jusqu’il y a peu je pensais qu’il en allait de mĂŞme pour lui.
Mais voilĂ dĂ©jĂ plusieurs mois que j’ai remarquĂ© des faits qui me font m’interroger sur la nature de ses sentiments.Cela a commencĂ© par des taches que j’ai remarquĂ© sur mes culottes au linge sale.Je les ai vite identifiĂ©es comme des taches de sperme.Cela ne pouvait venir que de mon fils, le seul homme qui vive avec moi.Au dĂ©but j’ai Ă©tĂ© très choquĂ©e, car je le voyais toujours comme mon bĂ©bĂ©.Mais j’ai du me faire Ă cette idĂ©e qu’Ă cĂ´tĂ© de moi il y a un homme dans tous les sens du terme.Cela me trouble aussi, cette idĂ©e que le fruit ma chair est devenue un adulte Ă la sexualitĂ© dĂ©veloppĂ©e : le fait que ce soit mon fils me rend plus sensible Ă cette virilitĂ©, bien plus que celle de tout autre homme.Bien sĂ»r je garde ce trouble pour moi et jamais je n’aurais l’idĂ©e d’aller vers lui comme une femme, la sexualitĂ© ne peut pas faire partie de notre relation de mère et fils.RĂ©gulièrement maintenant je trouve mes culottes sales encore humides et odorantes.
D’autres faits se sont ajoutĂ©s.J’ai surpris ses regards insistants sur mon corps lorsque je suis habillĂ©e lĂ©gèrement dans l’intimitĂ© de notre appartement : chemise de nuit au lever ou tenues d’Ă©tĂ©.Je crois qu’il m’espionne lorsque je suis dans la salle de bains.Il m’est aussi arrivĂ© plusieurs fois de trouver la porte de ma chambre entrouverte le matin en me rĂ©veillant alors que j’Ă©tais certaine de l’avoir fermĂ©e le soir en allant dormir.Personne d’autre que lui ne pouvait l’avoir ouverte durant la nuit.Il m’arrive aussi de retrouver le matin dans la poubelle de la salle de bains des mouchoirs en papier souillĂ©s de sperme.Je suspecte donc mon fils de venir me regarder la nuit pendant mon sommeil et de se masturber.Je dors habillĂ©e lĂ©gèrement, sans sous-vĂŞtements dans des chemises de nuit fines, comme cela a toujours Ă©tĂ© mon habitude.Pour mes 42 ans je suis plutĂ´t pas mal et beaucoup me donnent bien moins que mon âge.J’ai la chance d’avoir gardĂ© une silhouette fine malgrĂ© une grossesse. Mon ventre est restĂ© ferme et je n’ai pas de graisse accumulĂ©e sur le corps.
Ma poitrine est plutĂ´t petite mais pas inexistante, et cette petite taille lui a Ă©pargnĂ© de tomber jusqu’Ă prĂ©sent.
J’ai donc Ă©galement petit Ă petit du me rendre Ă l’Ă©vidence que mon corps puisse faire de l’effet Ă mon fils et que sa sexualitĂ© s’exprime Ă mon Ă©gard par ces moyens indirects.Je suis une femme outre sa mère, et lui un homme outre mon fils et je dois accepter que cette dimension imprègne notre relation.Mais il y a un frein bien Ă©tabli dans mon esprit Ă ne pas aller au delĂ de ces faits.Par ailleurs il sort rĂ©gulièrement, dort ailleurs et je sais qu’il a une sexualitĂ© active normale Ă son âge malgrĂ© ses comportements.Je ne lui ai jamais parlĂ© de tout cela, trop gĂŞnĂ©e pour aborder ce sujet avec lui et lui faire part de mes soupçons et certitudes.
C’est dans ce contexte qu’il m’a un jour demandĂ© pourquoi nous ne prendrions pas notre douche ensemble.Je suis tombĂ©e des nues et lui demandĂ© pourquoi nous ferions ça.Il m’a alors avancĂ© un tas d’arguments : pourquoi pas, il n’y a pas de gĂŞne entre nous, c’est naturel et innocent, nous n’avons rien Ă nous cacher, pour Ă©conomiser l’eau, parfois le temps manque quand il faut se prĂ©parer vite tous les deux, pour me laver le dos, pour un moment de tendresse et de complicitĂ©Â etc…Au dĂ©but j’ai refusĂ© mais il insistait tellement que je lui ai promis de rĂ©flĂ©chir.Il est revenu de nopmbreuses fois Ă la charge, toujours plus pressant.J’ai essayĂ© d’Ă©luder le plus longtemps possible.Etant donnĂ© ses comportements je craignais avant tout qu’il ne tente de profiter de la situation.En mĂŞme temps son cĂ´tĂ© masculin que j’avais acceptĂ© me troublait, malgrĂ© mes barrières.Bien sĂ»r je ne pouvais pas lui dire que je ne voulais pas prendre le risque particulier que nous soyons nus l’un en face de l’autre connaissant ses penchants et mon trouble.A force de discussions, d’arguments et de contre arguments, je me suis rĂ©signĂ©e Ă accepter cette demande si particulière.Le soir, nous allions prendre notre douche ensemble.Je lui ai fait prometre de ne pas avoir de geste dĂ©placĂ© et de rester respectueux.Il faisait quasiment des bonds de joie et m’a enlacĂ©e pour m’embrasser sur la joue avec fougue.La journĂ©e s’est passĂ©e dans une atmosphère spĂ©ciale.MalgrĂ© mes nombreuses occupations un tas de questions m’envahissaient l’esprit : n’avais je pas tort d’accepter mĂŞme s’il le voulait tant, comment allait il se comporter, et si rĂ©ellement il voulait tenter quelque chose …Je sentais aussi un trouble grandir Ă l’idĂ©e de me mettre nue devant un homme viril, mon fils, sachant qu’il s’intĂ©ressait Ă mon corps, et de le voir nu devant moi.
Le soir venu, je suis remplie de contradiction, prĂŞte Ă lui dire que je renonçae, mais il m’a devancĂ© en arrivant dans la cuisine et en me disant : « tu es prĂŞte ? Je fais couler l’eau ? » »Ecoute, je prĂ©fère y aller d’abord et que tu me rejoignes ensuite ». »D’accord, comme tu veux maman ».Je vais Ă la salle de bains, le feu aux joues, tremblant presque, incertaine.J’ai encore hĂ©sitĂ© en fermant la porte puis soudainement quelque chose s’est enclenchĂ© en moi, comme une dĂ©termination.Je me dĂ©shabille en rangeant mes vĂŞtements.J’ouvre l’eau de la douche et lorsqu’elle est Ă bonne tempĂ©rature, je me glisse sous le jet en refermant la porte derrière moi.
Je ne l’ai pas attendu longtemps : je vois la porte s’ouvrir, sa silhouette entrer et il se dĂ©shabille.La vitre dĂ©polie de la douche m’empĂŞche de voir les dĂ©tails de son corps.Il ouvre la porte de la douche,puis reste immobile, me regardant.J’ai le temps moi aussi de le dĂ©tailler. Je le vois comme je le connaissais dĂ©jĂ , mince, bien proportionnĂ©.Au bas de son ventre une toison brune entoure la base de son sexe.Il n’est pas en Ă©rection mais me semble long, se terminant par un gland en partie dĂ©couvert.je rĂ©alise alors qu’il peut se rendre compte de ce que je regarde et dĂ©tourne le regard en me reculant.J’ai la tentation de cacher mes seins et mon pubis avec les mains, mais je me rend compte de l’inutilitĂ© de cette manoeuvre.Et puis par bravade je ne veux pas lui paraĂ®tre gĂŞnĂ©e par la situation.
Enfin il entre sous la douche avec un sourire Ă©panoui d’enfant, me faisant face, presque contre moi. »Tu es pas mal du tout je dois dire » me dit il. »Merci, mais n’oublie pas que je suis ta mère et que tu m’as promis … » »Ne t’inquiète pas maman, je peux juste remarquer que tu es bien foutue, non? Tu veux que je te lave le dos? »J’accepte, soulagĂ©e de pouvoir lui tourner le dos et de me soustraire Ă ses regards oĂą je dĂ©celais un apĂ©tit sexuel grandissant.En regardant les carreaux devant moi je revois son sexe allongĂ©, de taille impressionnante au repos, emplie d’un trouble que je m’efforce de rĂ©primer en pensant que c’est mon fils qui me trouble comme ça.Il a arrĂŞtĂ© le jet de la douche et après quelques instants je sens un contact froid contre mon dos, qui me fait frissonner.Il a posĂ© ses mains enduite de gel douche sur ma peau.Il se met Ă les bouger, les pouces joints Ă hauteur de ma colonne vertĂ©brale, Ă parcourir mon dos et remonter vers mon cou.Rapidement la douceur de ce contact, renforcĂ©e par le savon, a remplacĂ© la sensation de froid initiale.Sur tout le trajet de ses mains, ma peau est parcourue de frissons qui irradient vers les cĂ´tĂ©s.Je me dĂ©tends, laissant ces ondes bienfaisantes me parcourir.Ses mains montent le long de mon dos, gagnent mon cou, puis repartent vers les Ă©paules, sur le cĂ´tĂ© du dos, vers le bas en s’arrĂŞtant juste au dessus des fesses pour repartir vers le haut.Il sait comment me masser et me dĂ©tendre, appuyant fermement et tendrement Ă la fois.Je n’ai pu m’empĂŞcher de soupirer. »Ca va? tu apprĂ©cies? » me demande t il.Je lui rĂ©ponds en murmurant « Oui, tu es très douĂ©. Continue ».Ses mais poursuivent leur ballet, dĂ©viant progressivement leur route pour entourer les cĂ´tĂ©s de mes Ă©paules et plus bas dans mon dos.Parfois elles semblent vouloir venir vers l’avant, mais je me soustrais Ă leur progression en avançant un peu, pour Ă©viter qu’elles ne viennent franchement vers mes seins.La manoeuvre est cependant assez discrète pour que je ne sache pas si elle est volontaire.Après quelques minutes je suis alanguie, dĂ©tendue et d’avantage troublĂ©e par le contact mouvant sur mon dos et ma nuque, et la sensualitĂ© qui s’en dĂ©gage.Si c’Ă©tait un autre homme que mon fils je me laisserais aller Ă un dĂ©sir que je sens commencer Ă monter en moi.Je me demande s’il est conscient de l’effet particullier que son massage produit, si c’est intentionnel.Je suis consciente que je joue avec le feu et que le trouble va s’accentuer si je ne fais rien pour l’arrĂŞter.Je suis dans un Ă©tat second de bien-ĂŞtre et de dĂ©tente, oĂą mes repères fondent petit Ă petit.Je suis seulement consciente de ces mains agiles qui dĂ©tendent et rĂ©veillent mon corps Ă la fois.Ma volontĂ© vacille, j’oublie presque que c’est mon fils qui me fait cet effet lĂ .Je sens ses mains se poser sur mes Ă©paules et m’attirer en arrière.Je ne peux que me laisser aller et mon dos touche son torse.Ses mains sont passĂ©es sur mes hanches et m’attirent encore, je sens alors sur le haut de mes fesses un contact plus chaud, plus long et rigide, pointant vers le haut, rĂ©alisant que c’est son sexe cette fois en Ă©rection qui s’appuie sur moi.Ce contatc me brĂ»le et m’effraie Ă la fois.Je me doute alors que son massage est dirigĂ© vers un but bien prĂ©cis, vers ce que je voulais Ă©viter.Je cherche mollement Ă me dĂ©gager en avant mais ses mains me serrent contre lui, appuyant plus fort son sexe contre mon dos.Je proteste « Mais chĂ©ri, ce n’est pas bien, tu ne peux pas… » »Maman, tu es une femme, ma petite femme chĂ©rie de mère, et tu me fais un effet terrible ».Ses mains toujours enduites de savon ont glissĂ© sur mon ventre et le caressent comme elles le faisaient pour mon dos.Je ramène mes mains sur mes seins pour lui en interdire l’accès mais ce mouvement de dĂ©fense est bien inutile car ses mains continuent sur mon ventre leur ballet brĂ»lant, faisant naĂ®tre sur leur parcours des frissons intenses qui s’amplifient et se concentrent vers mon bas ventre.Je sens une chaleur naĂ®tre entre mes cuisses, mon sexe se gorge petit Ă petit et je le sens s’ouvrir malgrĂ© moi.Contre mon dos, je sens son sexe bouger en lents va et viens, comme s’il voulait me masser le bas du dos par cette colonne de chair tendue.
Je trouve encore la volontĂ© de protester « Qu’est ce que tu fais, s’il te plaĂ®t… »Mais il ne me rĂ©pond pas.Je suis prise au piège du dĂ©sir impĂ©rieux de mon fils et de l’Ă©cho qu’il provoque dans mon corps.Ma volontĂ© de rĂ©sister s’attĂ©nue de plus en plus, face Ă un besoin, une urgence qui grandit en brĂ»lant mon corps.Il plie lĂ©gèrement les jambes, s’abaisse et je sens la pointe de son sexe descendre du bas de mon dos entre mes fesses puis il se pousse en avant en l’insĂ©rant entre elles.La longue progression de sa hampe dure et tendre Ă la fois, d’abord entre mes fesses puis contre mon sexe provoque des dĂ©charges qui m’envahissent toute entière.Je n’ai plus la force de lui rĂ©sister mais j’essaie une dernière fois de le ramener Ă la raison.Mes mains quittent mes seins et se posent sur les siennes, cherchant vainement Ă les immobiliser. »ChĂ©ri, ne continue pas, je ne peux plus … » »Maman, tu as envie comme moi, dis le moi, avoue… »Je veux protester, mentir et lui dire que non mais il dĂ©gage ses mains et rapidement s’empare de mes seins dont il trouve vite les pointes pour les taquiner.Je frissonne fortement Ă ce contact intempestif, le souffle coupĂ©.Mes sens me submergent et ma raison m’abandonne, je me sens glisser sans plus pouvoir me retenir, me raccrocher Ă la raison.Il le sent et complète encore le feu qu’il a allumĂ© en promenant sa bouche dans mon cou, faisant lĂ aussi naĂ®tre des frissons qui parcourent tout mon corps.Son sexe remue contre le mien en longs va et viens d’avant en arrière, ses mains continuent leur ballet sur mes seins.Je sombre complètement tandis qu’il me dit « tu veux que je te prenne, maman ? Que je vienne en toi ? »L’aveu brĂ»lant sort enfin de ma bouche « Oui… oui…viens. Ta maman est prĂŞte pour toi »Mon corps achève de s’embraser, j’ai des vertiges, je tremble sur mes jambes Ă l’idĂ©e de ce que nous allons faire.Ses mains se posent dans mon dos et me guident Ă me cambrer, il plie encore un peu les jambes puis guide son sexe Ă l’entrĂ©e du mien.Un violent frisson me secoue lorsque je sens mes lèvres s’Ă©carter sous la poussĂ©e de son gland et tandis que sa hampe m’investit totalement, je hoquète sous la violence du plaisir que le sexe de mon fils provoque dans le mien.Je parviens Ă respirer alors qu’il bute au fond de moi, gĂ©mmissant en haletant.Un feu brĂ»lant me dĂ©vore alors que je rĂ©alise pleinement que mon fils est en moi, se retire en partie pour mieux revenir, commence de longs va et viens souples qui attisent mon plaisir.
Je ne vois plus, je ne pense plus, je ne suis plus que le plaisir qui m’envahit en vagues montant de mon sexe dans tout mon corps, de plus en plus intenses Ă chacune de ses poussĂ©es.Elles s’amplifient encore et je sens se creuser entre mes reins la vague de l’orgasme qui va m’engloutir.
Totalement ouverte sur son sexe qui me parcourt d’un long frisson continu, je m’alanguis, m’alourdis entre ses bras, mon souffle s’accĂ©lère et je me mets Ă gĂ©mir sans arrĂŞt.Il sent mon plaisir approcher et me dit »oh oui maman, jouis, jouis sur ma queue, je vais venir aussi »Les mots sortent de ma bouche en dĂ©sordre « oui…oui…viens aussi…donne moi…ta semence… »Tout tourne soudain autour de moi, je me crispe tandis que les dĂ©charges de l’ograsme me secouent et me coupent la respiration.Mon fils se tend lui aussi, au plus profond de moi, gĂ©mit longuement tandis que je le sens se dĂ©verser Ă longues saccades.Nous restons immobiles longtemps, encore pacrourus de spasmes qui agitent nos deux sexes imbriquĂ©s.Petit Ă petit je reprends mes esprits et je rĂ©alise ce que nous venons de faire, l’Ă©normitĂ© de l’acte.Une sensation intense et brĂ»lante m’envahit, de honte de plaisir et de remord, mais je n’ai pas la force de me dĂ©gager de mon fils que je sens toujours en moi.Je ne sais que faire en ce moment prĂ©cis.C’est lui qui finit par se dĂ©gager lentement et je me demande comment il va rĂ©agir. »Maman, tu es une femme extraordinaire. Je n’ai jamais eu un plaisir aussi intense. Et toi ? » »Moi aussi chĂ©ri.C’est très mal mais moi aussi. »Il m’enlace tendrement, me soutient car je chancèle, encore engourdie de plaisir, me redresse et se presse encore contre moi tandis qu’il ouvre le robinet de la douche pour nous rincer.
