L’eau chaude ruisselant sur nous entretien mon engourdissement.Outre le nuage de plaisir qui se dissipe lentement, les Ă©motions sont encore intenses. Mon coeur bat toujours rapidement, je sens de fins tremblements dans mes jambes qui me font craindre qu’elles me lâchent. »ChĂ©ri, tiens moi, j’ai peur de tomber ». »Ca ne va pas M’man ? » »Si si, c’est juste que je suis un peu engourdie ».Il se plaque plus fort contre moi, toujours dans mon dos et ses mains appuyent d’avantage sur mon ventre.De cette manière, je sens le contact doux et tendre de son sexe revenu au repos s’insinuer dans le sillon entre mes fesses.Je ne songe pas Ă repousser ce contact, après ce qui vient de se passer.
Je reprends mes esprits progressivement, dans un tourbillon de sentiments.Il y a d’abord le plaisir sexuel.Mon fils sera, est dĂ©jĂ un merveilleux amant. En mĂ©langeant douceur et force il m’a fait jouir intensĂ©ment. Mon corps frustrĂ© le rĂ©clamait, le rĂ©clame encore.Ce plaisir a Ă©tĂ© amplifiĂ© par un autre, brĂ»lant, sulfureux : la transgression du tabou ultime qu’est l’inceste. Mon viages, mes joues brĂ»lent encore de cette sensation si forte.Une relation de chair avec la chair de ma chair !C’Ă©tait la manière la plus absolue, une fois transgressĂ© le tabou, d’ĂŞtre totalement intime avec lui, au delĂ de la tendresse normale qui nous lie et qui s’est trouvĂ©e amplifiĂ©e Ă l’infini.Je me sens coupable aussi. Des remords me tourmentent. Bien sĂ»r mon fils Ă tout fait pour provoquer la situation. Par son insistance des mois passĂ©s, ce massage dans la douche. Mais si je n’avais pas Ă©tĂ© vulnĂ©rable, s’il ne l’avait pas perçu, il n’aurait sans doute pas insistĂ©.Il me connaĂ®t, nous avons une relation intense, il m’a devinĂ©, a su trouver la faille.J’ai aussi une bouffĂ©e de tendresse immense pour cet homme qui m’a fait jouir si fort. Ces pensĂ©es dansent dans ma tĂŞte et m’Ă©tourdissent alors qu’il me murmure presque Ă voix basse « Je t’aime Maman ». Comme lorsqu’il Ă©tait enfant, que cette dĂ©claration prenait un sens infini.Il a encore trouvĂ© ce qu’il fallait dire au bon moment.Ces mots, pourtant presque anodins, me bouleversent, effacent mes remords et m’innondent encore plus de tendresse pour lui.FĂ©brilement, je me retrourne et l’attire contre moi.Je le serre fort, mes mains se perdent dans son dos, puis descendent sur ses fesses.Mes seins se plaquent contre son torse. Par automatisme je me mets Ă remuer pour les caresser contre lui. Une fièvre intense enflamme mon corps assoiffĂ© qui rĂ©clame son dĂ». Je ne veux plus qu’une chose, retrouver en mon fils mon amant, m’unir Ă nouveau Ă lui en l’accueillant au plus pforond de moi. Je plaque mon ventre contre le sien, sentant son sexe contre ma toison. Convulsivement, ma bouche se pose sur son torse, ses Ă©paules, son cou, approche son visage.Le souffle dĂ©jĂ court, je pose mes lèvres sur les siennes et ma langue part Ă la recherche de la sienne. Un temps surpris, il rĂ©pond Ă mon baiser.Ses mains se plaquent sur mes fesses et me serrent Ă©galement contre lui.Je me recule un peu et pose mes mains sur son ventre pour rapidement descendre Ă sa base, froler sa toison et recontrer son sexe encore mou.Je le prends en main, le dĂ©callotte et effleure longuement son gland.Je le sens prendre du volume et se dĂ©velopper. Je poursuis mes caresses, il retrouve toute sa fermetĂ© et palpite mĂŞme lorsque je touche son gland.Lui a profitĂ© de mon recul pour empaumer mes seins et les caresser puis joue avec les pointes qui s’Ă©rigent rapidement. Il dĂ©clenche des vagues de frissons qui me coupent le souffle, me font haleter et gĂ©mir.Je sens la chaleur naĂ®tre dans mon bas-ventre, irradier dans mon sexe. Mes lèvres gonflent, deviennent plus sensibles, encore humectĂ©es d’un mĂ©lange de ma liqueur et de sa semence.Je me sens ouverte, prĂŞte Ă l’accueillir Ă nouveau au fond de moi.Mes mains ont commencĂ© un intense va et vien sur sa hampe, qui le fait se crisper et gĂ©mir. »Assied toi sur le sol » lui dis-je.Il s’exĂ©cute, appuyant son dos sur le mur du fond de la douche.Je m’accroupis face Ă lui et lui Ă©carte les cuisses, les ouvrant sur son sexe tendu presque Ă la verticale.Mes yeux plongent dans les siens oĂą je peux lire la mĂŞme impatience que la mienne.Je me retourne alors, toujours accroupie, et recule vers lui.Mes fesse touchent son ventre.Je m’abaisse encore un peu en Ă©cartant les cuisses, puis passant une main entre elles, saisis son sexe pour le guider Ă effleurer le mien.Son gland chaud, dur et tendre Ă la fois, s’insinue entre elles et se lubrifie. Je le fais parcourir la longueur de mon sexe, d’arrière en avant jusque sur mon bouton de plaisir lui aussi gorgĂ© et tendu.J’entends mon fils gĂ©mir derrière moi et ne peux plus attendre, je le place Ă l’entrĂ©e de ma conque et lentement, je m’abaisse en le faisant m’envahir, jusqu’Ă le sentir butter en moi.La violence du plaisir que provoque cette irruption puissante nous fait haleter et gĂ©mir.Lentement je commence Ă bouger de bas en haut, massant son sexe du mouvement du mien. Des ondes de plaisir naissent entre mes cuisses et irradient dans tout mon corps, elles s’amplifient au fur et Ă mesure que j’accĂ©lère mes mouvements.Mon fils a repris mes seins et joue avec leurs pointes. Je respire de plus en plus bruyamment, des spasmes contractent mon sexe par intermittence et je sens sa hampe coulisser de plus en plus souplement, de plus en plus huilĂ©e par ma liqueur.Mon bouton de plaisir est tendu et hypersensible.
J’y amène mes doigts pour le masser lĂ©gèrement en mouvements circulaires rapides ou plus lentement en va et viens plus marquĂ©s sur son capuchon.Les frissons naissant de mon bas ventre se renforcent.Ma respiration s’amplifie encore.Je sens le plaisir monter rapidement. »Oh c’est bon. ChĂ©ri. Encore. » »Maman, tu es si douce. Je te remplis complètement. »Les ondes de plaisir se renforcent, se concentrent et se ramassent en une vague.Je me sens glisser, irrĂ©sisiblement entraĂ®nĂ©e vers le creux de cette vague puissante qui se prĂ©pare. »Oh ChĂ©ri, chĂ©ri, je vais jouir… »Mon fils empoigne mes hanches et acentue encore mes mouvements de va et viens en se poussant en rythme.Je le sens au plus profond de moi Ă chaque poussĂ©e.Mon souffle se coupe, je suffoque et ma respiration se bloque.La vague me submerge et m’emporte.Ma conque s’ouvre au maximum sur le sexe de mon fils puis je la sens palpiter sur lui.Je respire Ă nouveau, rapidement en articulant difficilement « chĂ©ri… je pars…je pars… ».Je gĂ©mis en me crispant complĂ©tement, bloquant le sexe de mon fils au fond du mien.Des spasmes secouent mon corps tandis que je crie mon palsir.Mon fils se remet rapidement Ă bouger comme il le peut, prolongeant les frissons intenses qui me traversent toute entière.Je continue Ă crier chaque fois qu’il butte au fond de moi.Puis il s’immobilise et se tend lui aussi.Je sens son gland au fond de moi, gorgĂ© et gonflĂ©, se mettre Ă palpiter de plus en plus fort puis il dĂ©verse sa semence en nous faisant longuement gĂ©mir tous les deux. »Maman, je jouis aussi…oh je me vide en toi… » »Oui chĂ©ri…oui…vide toi ».Je reste ampalĂ©e sur lui tandis que les pulsations de son sexe s’estompent.Un nuage de plaisir m’entoure longuement avant de retomber lentement.Je reprends mes esprits et ma respiration.Mon fils se dĂ©tend lui aussi. Il respire lentement et profndĂ©ment, comme après un effort surhumain.CourbaturĂ©e, je me redresse, dĂ©gageant le sexe de mon fils du mien.Un flot de liquide chaud, ma liqueur et sa semence mĂ©langĂ©es, s’Ă©coule entre mes lèvres et glisse lentement sur ma cuisse.Je tends la main Ă mon fils qui se redresse et se place contre moi.La honte ou le remords ne m’assaillent pas encore.Je me sens juste dĂ©tendue, encore flottante.Je m’embrasse en murmurant « mon fils chĂ©ri, comme je t’aime ». »Moi aussi Maman.Je t’adore ».
