Ma femme, accro de danse…et de sexe. 2
Les deux complices de Valentine lui organisent une surprise. Jamais dans sa vie elle a Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă tant d’hommes…et tant de bites. Mais ça ne lui fait pas peur. Mais bizarement, elle songe Ă une vidĂ©o que lui a montrĂ© son mari. Un homme montĂ© comme un cheval.
Proposée le 2/05/2022 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: GroupesLieu: HôtelType: Fantasme
Accro de danse…et de sexe… 2Durant vingt bonnes minutes je lèche puis suce à nouveau au gré de mes envies l’un ou l’autre de mes partenaires. Pierre a une bite tout ce qu’il a d’ordinaire, Paul est mieux monté. Je ne sais pas pourquoi à ce moment je pense à Martial que je situerai entre les deux. Quelle comparaison absurde… J’arrive à ne plus savoir quelles mains explorent mes fesses jusqu’à ma chatte tellement juteuse. Putain quel pied je prends !Suite.
Je dois offrir un sacrĂ© tableau avec mes chaussures Ă haut talons, mes bas noirs et mon porte-jarretelle. J’aurais aimĂ© que Martial me voie comme ça.
Ils me dessapent complètement. Pierre me fait mettre Ă cheval sur lui et prĂ©sente son engin toujours bien raide Ă l’entrĂ©e de mon vagin. Il exerce des mouvements dans ma moule toute trempĂ©e pendant que je m’empale tout doucement avant de sentir la totalitĂ© de sa verge en moi. Il embrasse mes jolis seins, mes mamelons durs et bien bandĂ©s au centre de petites arĂ©oles assez discrètes. Il les aspire faisant monter mon plaisir avec sa bouche pendant que la mienne est investit par le pieu de Paul. J’ai une queue enfoncĂ©e tout au fond de moi et mon râle de plaisir est Ă©touffĂ© par cette deuxième queue qui essaie de faire la mĂŞme chose au fond de ma gorge. Je n’ai pas de tabous particuliers et aime me sentir dĂ©sirĂ©e. J’ai dĂ©jĂ tout pratiquĂ©, sauf le double anal car ma petite taille ne le permet pas et ce n’est pas non plus ce qui me ferait grimper au rideau. J’ai pratiquĂ© une fois une double vaginale mais ce n’est pas trop mon truc non plus, et il ne faut pas que je tombe sur deux Ă©talons, sinon gare… Ce n’est pas que je recherche le spectaculaire ou l’exploit mais j’aime ĂŞtre baisĂ©e avec passion après de longs prĂ©liminaires oĂą je me fais caresser, doigter, lĂ©cher…par deux ou mĂŞme plus de partenaires. J’adore moi aussi sucer et branler… constater qu’une bite devient dure sous un pantalon ou dans ma main.
Petite gymnastique pour échanger leur place et je suis maintenant à cheval sur Paul. Ce n’est pas que j’ai à reprocher quelque chose à Pierre mais j’aime la bite, la grosse bite… Je me mets à onduler sur son corps sous ses encouragements. Je me tords de plaisir en enfourchant son pal avec de petits cris. Je me lâche enfin, devenant pratiquement incontrôlable, m’empalant sur sa teub à mon rythme, alternant de lentement à hyper rapide. Je suis dans un état second mais les deux compères ont d’autres projets. Ils me font les sucer à nouveau pour que je goûte ma mouille sur leur queue. Ils sont déchaînés et m’encouragent à sucer leur gland et lécher leurs boules.
Je présente mon cul et me fais piner à nouveau, « pieuter » bien au fond de ma chatte. Paul s’enfonce à grands coups de bite en sentant bien la limite de mon con. Pierre m’entends me plaindre sous les coups de boutoir. Ça l’excite tellement qu’il s’approche et me défonce le cul. Je suis prise en sandwiche par mes partenaires. Dommage qu’ils n’aient pas assez de résistance… Pierre éjacule sur mon petit cul avant de se répandre en courtes giclées sur mon dos, son sperme glissant suivant les courbes de mon corps arqué. Je suis aussi à bout de souffle. Paul arrive lui aussi au paroxysme et me demande de présenter ma bouche pour goûter sa semence. Il jouit lui aussi et je dois lui montrer son obole avant de déglutir. Je récolte avec mes doigts quelques traces blanchâtres sur mon visage puis je les nettoie de ma langue lascivement en lui disant que j’aime le goût de son sperme.
Je rentre dans ma chambre au petit matin, salie, souillĂ©e du sperme de mes amants, mais heureuse de cette soirĂ©e que je vais compter avec force dĂ©tails Ă mon mari, il adore ça, mon mari candauliste, anxieux et excitĂ© par ce qu’il pourrait se passer sans qu’il ne le sache, prĂŞt Ă imaginer tout…mais en se raisonnant pour ne dire que rien n’arrivera. Je ne sais pas pourquoi je me dis ça, peut-ĂŞtre comme une excuse, car je sais bien qu’une fois rentrĂ©e, je me tairai, comme d’habitude…Mais avant de nous sĂ©parer, ils m’ont dit qu’ils me prĂ©parent une surprise… Mon sommeil est agitĂ©, quelle surprise me prĂ©parent-ils ?
Le lendemain nouvelle sĂ©ance de danse l’après midi. Je recroise Pierre qui danse tranquillement avec moi. Il n’a de cesse de chercher mon regard lorsque je danse avec un autre homme, il regarde ma chute de reins, mes jambes. Je suis habillĂ©e beaucoup plus sexy, les connaisseurs pourront apercevoir le haut de mes bas noirs lorsque je virevolte, mon haut en dentelle transparente, comme une guĂŞpière.
Soudain il m’entraine dans la chambre de la veille après des attouchements dans l’ascenseur. Il me bande les yeux, m’attache sur une chaise, remonte ma jupe et s’en suivent des jeux Ă quatre mains, Paul doit ĂŞtre la lui aussi… (DoigtĂ©s, orgasmes, suçage de bites, etc.) Puis ils me mettent debout face contre le mur, mais attachĂ©e avec lanières en haut d’une porte et me baisent l’un après l’autre comme la veille. Je deviens une vraie fontaine lorsque le Paul retire son Ă©norme bite de ma chatte… et enfin ils me baisent sur le lit comme il se doit, Ă deux… J’ai toujours mes bas et mes haut-talons.
-Petit Ă©chauffement pour ce soir, lance Pierre.Dernière session de danse de la journĂ©e. Je me sens un peu soulagĂ©e car mes comparses de l’après-midi ne sont pas là … mais un peu frustrĂ©e. Je me suis habillĂ©e comme ils ont demandĂ© ; robe plus moulante cette fois ci très près du corps, ras du cou, sans manche, bas nylon et lingerie noire et mes plus hauts talons. Ça fait très sexy mais classe. Je n’aime pas danser avec ses escarpins de douze centimètres car cela me fait un peu mal mais ça me rend encore plus dĂ©sirable. Ma robe est celle qui met le plus en valeur ma cambrure et ma chute de reins.
Je me fais beaucoup inviter avec cette tenue, et sens le désir des hommes gonfler leur pantalon.
J’adore ĂŞtre le centre des dĂ©sirs des hommes, que mon sex-appeal les Ă©nerve, les excite, d’en voir plus d’un qui bande Ă mon contact C’est la fin de l’après-midi, mes deux « compères » se pointent Ă l’entrĂ©e de la salle et me font signe de les suivre.
On prend l’ascenseur et ils me bandent les yeux et me menottent les poignets derrière le dos.
Ils m’emmènent dans une suite et non dans la chambre habituelle. La cagoule est suffisamment fine pour que je discerne les formes et les lieux. Je me doute qu’il va se passer quelque chose de diffĂ©rent que les deux premières fois. J’ai un mĂ©lange de honte, d’apprĂ©hension et d’excitation. Un peu de remords vis-Ă vis-de mon mari mais que j’oublie vite en mettant une cagoule dessus. Hi-Hi-Hi…
Je suis debout, habillée en plein milieu du salon de la suite.
C’est Ă peine si je discerne pas moins de dix hommes, sĂ»rement de toutes origines autour de moi. Petit Ă petit les hommes se rapprochent et m’entourent. Je me fais peloter sur et sous mes vĂŞtements par d’innombrables mains. Je ne peux rien faire d’autre que d’accepter sinon ma rĂ©putation est foutue. Mon maximum jusqu’à maintenant, c’était trois hommes, plus mon mari…
Avec mes deux complices, j’ai la douzaine…d’ailleurs, l’un deux intervient, Ă©carte tous les autres hommes et me pelote sous ma robe en la remontant. Comme ils me l’ont demandĂ© la veille, il constate bien que je ne porte pas de culotte (j’ai dansĂ© comme cela toute la journĂ©e). Il constate que malgrĂ© mon apprĂ©hension devant le nombre, je suis dĂ©jĂ trempĂ©e.
Ma vue c’est un peu habituĂ©e au peu de vision sous la cagoule et je discerne un peu mieux les hommes qui en profitent pour se dĂ©vĂŞtir. Il y en a pout tous les goĂ»ts, sĂ»rement du gentleman Ă l’homme ordinaire, du black, du blanc, du beur, dans les trente ou quarante ans. SĂ»rement des habituĂ©s de telles parties fines. Du bien bâti et musclĂ©, du gros au ventre bedonnant au petit maigre. Je suis toute menue moi… ça va ĂŞtre chaud !Il me fait m’agenouiller, toujours habillĂ©e, relève un peu la cagoule et me fait sucer et dĂ©couvrir toutes les queues des complices les unes après les autres. Un instant de panique me remue le ventre mais mon atavisme de femme de sexe l’emporte et je suce les queues qui se prĂ©sentent autour de moi, les branle, cherche les beaux chibres qui me plaisent et insiste plus particulièrement dessus, toujours les yeux bandĂ©s.
Deux Ă©jaculateurs prĂ©coces se soulagent dĂ©jĂ sur mes vĂŞtements ou dans ma bouche, amenant mon excitation au paroxysme.Il me soustrait de cette position pour me placer Ă genoux sur un fauteuil de la suite, les fesses offertes, la robe relevĂ©e et m’attache les mains au dossier. Les huit hommes qui restent me pĂ©nètrent Ă tour de rĂ´le dans cette position me donnant quasiment un orgasme Ă chaque fois, me faisant couler comme une fontaine sur le fauteuil. Jamais je n’ai eu autant d’orgasmes aussi rĂ©pĂ©tĂ©s…et rapprochĂ©s. Certaines bites sont Ă©normes mais me font du bien. Je pense Ă mon mari, s’il me voyait… Je me laisse prendre au jeu des puissantes pĂ©nĂ©trations et oublie tout cela. Mon esprit divague, me rappelant la dernière conversation de Martial voulant absolument que je regarde une petite vidĂ©o. On y voyait un homme seul se branler, puis lâchant sa verge qui bougeait toute seule. Je dois avouer que la vue de cette Ă©norme bite m’a remuĂ©e, pas spĂ©cialement par la longueur consĂ©quente mais guère plus que celles de certains des hommes qui m’entourent. Ce qui m’a frappĂ©e, c’est son diamètre si imposant digne d’un cheval. Entre mon cerveau et ma chatte, je suis gâtĂ©e, coulant comme une fontaine. Mais je reviens Ă la rĂ©alitĂ© car on me force Ă sucer en mĂŞme temps une ou mĂŞme plusieurs bites. J’avale force doses de foutre pendant que d’autres hommes se vident les couilles dans ma chatte ou sur mes fesses. A suivre…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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