Quand Je rentre du boulot Ă 19h, StĂ©phanie est dans le canapĂ©. Je m’assoie Ă cĂ´tĂ© d’elle assez brusquement.- Salut ma chĂ©rie.- AĂŻe !!!- Tu es blessĂ©e?- Oui, au cul.- Tu es tombĂ©e?- Non, j’ai Ă©tĂ© sodomisĂ©e.- Quoi !!!!!!!!!!- Le maire qu’on a escroquĂ©, pour Mr AndrĂ©. Il est passĂ© me voir…- Tu l’as laissĂ© te sodomiser, alors que moi je n’ai jamais eu le droit !- Oui !!! Je me suis mise en mode soumise ! Comme tu l’aimes !! Et… Oui !!! Il m’a sodomisĂ©.- Trop dĂ©goutĂ© !!!- Tu es triste mon petit cochon.- Fous-toi de ma gueule.- Pour me faire pardonner, je vais te laisser me passer de la crème sur les parties douloureuses.Le soir dans notre lit, elle s’est mise nue sur le ventre.- Bonsoir docteur, je viens vous voir car j’ai mal au cul !- Et bien nous allons voir cela madame cochonne.Je lui ai caressĂ© les fesses avec douceur et mon doigt a glissĂ© de son dos vers sa vulve.- AĂŻe, aĂŻe,aĂŻe… !!!!- Je crois que j’ai trouvĂ© l’origine de la douleur.- Vous pouvez faire quelque chose docteur?- Je vais vous passer une crème apaisante.J’ai mit de la crème sur le bout de mon doigt et je suis venu le posĂ© sur la rondelle enflammĂ©.- Ouuuuu !!! Ca fait du bien !!!!- Tu aimes sentir mon doigt passer sur ton anus?- Oui mon chĂ©ri, c’est bon !J’ai baissĂ© mon caleçon pour me frotter la queue en la regardant se trĂ©mousser sous mon doigt faisant le tour de son anus.- J’ai envie de te sodomiser.- Non, pas ce soir. La queue du maire Ă©tait toute petite et elle m’a fais mal, alors toi, oublie pour l’instant.Je veux bien que tu rentres ton doigt pour me passer de la crème.- D’accord. Tu me laisseras te prendre quand sa ira mieux?- Promis !J’ai continuĂ© Ă faire le tour avant de positionner le bout de mon doigt Ă l’entrĂ© et pousser doucement.- Hooooo !! C’est bon mon chĂ©ri.- Tu n’as pas mal?- Si, mais c’est bon quand mĂŞme.J’ai tournĂ© mon doigt pour lui passer de la crème sur tout le pourtour et la voyant se relâcher, j’ai poussĂ© doucement, l’enfonçant phalange par phalange.J’ai ressorti mon doigt, pour lui enfoncer Ă nouveau.- Haaaaaa… Doucement.- Pardon ma petite cochonne, mais tu m’excites. Je vais Ă©jaculer sur tes fesses.J’ai retirĂ© mon doigt et voyant le trou lĂ©gèrement ouvert j’ai Ă©jaculĂ© dessus, regardant mon sperme entrer dans son corps.Nous n’avons rien dit Ă AndrĂ© concernant l’Ă©pisode avec le maire. Nous sommes tout de mĂŞme restĂ© tranquille le temps que les fesses de StĂ©phanie soient moins douloureuses.Après deux semaines d’une vie socialement normale, nous avons rendu visite Ă notre cher Papy AndrĂ©. Il a demandĂ© Ă StĂ©phanie de trouver des vĂŞtements très sobres et sombres. Et aussi de se faire des couettes.AndrĂ© la regarde entrer dans la cuisine.- Parfait, j’espère que je ne t’ai pas ennuyĂ© Ă trouver ces vĂŞtements.- Non, ce n’est pas grave.- Tiens voici un gilet qui appartenait Ă ma femme.Je regarde StĂ©phanie de bas en haut avec ses sandales en cuire noir, des socquettes blanches, une jupe grise lui tombant sous les genoux, une chemise blanche et pour finir le gilet gris en laine que vient de nous donner AndrĂ© ;Avec ses couettes elle ressemble Ă une Ă©colière des annĂ©es 50.- StĂ©phanie, ma petite, tu veux bien m’accompagner chez mon ami?- Oui, d’accord.Je suis restĂ© avec Henry, il m’a montrĂ© comment il monte les vidĂ©os et les nouveaux projets.StĂ©phanie et AndrĂ© ont pris la direction d’une commune avoisinante. ArrivĂ© sur place ils se sont garĂ©s sur un parking.- Mon ami travail pour la paroisse.- C’est un homme d’Ă©glise?- Oui, c’est le prĂŞtre du canton.IntriguĂ©e, elle n’a pas posĂ© plus de questions.AndrĂ© a frappĂ© Ă la porte d’une petite maison d’Ă©poque. Un homme grand et fin a ouvert la porte, le visage allongĂ© et dĂ©garni, la cinquantaine. Il est entièrement vĂŞtu de noire avec une chemise Ă col romain.- Haaaa… Mon ami AndrĂ©, comment vas-tu?- Très bien. StĂ©phanie, je te prĂ©sente le père Louis, un ami de longue date.- Bonjour mon père.- EnchantĂ© ma petite. Entrez, vous allez chopper la mort.Une fois entrĂ©, AndrĂ© s’est assis sur une chaise en osier et le prĂŞtre a fait de mĂŞme de l’autre cĂ´tĂ© de la table. Quand StĂ©phanie a voulu s’assoir, elle a eut une remarque du prĂŞtre.- Tu peux rester debout tu es jeune.Ils ont tous les deux rigolĂ©s.- Viens Ă mes cĂ´tĂ©s ma petite, AndrĂ© m’a dit que tu n’obĂ©is pas?StĂ©phanie s’est dĂ©placĂ©e Ă cĂ´tĂ© du prĂŞtre.- Je t’ai posĂ© une question StĂ©phanie, des fois tu n’obĂ©is pas?- Mais… Et bien… Je….Elle regarde AndrĂ©, souhaitant de l’aide.- Il faut lui rĂ©pondre StĂ©phanie.- Elle a beaucoup de problème d’obĂ©issance?- Au dĂ©but non, mais tu vois Louis je trouve que ça s’accentue.- Alors StĂ©phanie ce n’est pas bien, tu es mĂ©chante aussi avec ton papa et ta maman?- C’n’est pas sa ! J’ai peur avec le chien !!- Ne cherche pas de prĂ©texte, il faut obĂ©ir. Pose tes mains sur la table StĂ©phanie.AndrĂ© tu peux nous servir un verre de vin?Le père Louis s’est levĂ© remontant ses manches, il a posĂ© sa main sur le dos de ma chĂ©rie, la penchant un peu plus.- Bon ! Je vais devoir faire quelque chose que je n’aime pas, mais AndrĂ© m’a demandĂ© de l’aide.Le père Louis a saisi la jupe de StĂ©phanie, la remontant doucement le long des ses jambes, jusqu’Ă dĂ©couvrir la culotte blanche Ă fleurs bleues cachant les fesses de ma chĂ©rie.Il a posĂ© sa main et caressĂ© le tissu fin de la culotte, son entre jambe s’est tendu immĂ©diatement.Il a levĂ© la main et il a donnĂ© une petite fessĂ©e, puis une deuxième, une troisième un peu plus forte. StĂ©phanie a laissĂ© entendre un petit son de douleur.- Alors StĂ©phanie !!! Vas-tu obĂ©ir Ă AndrĂ©?!- Dis lui et on rentre.- Mais Mr AndrĂ© je… je… je… le chien.- Bon, bon, bon, on va continuer ! La demoiselle est tĂŞtue.Le père Louis a pris une gorgĂ© de vin, il a saisi la jupe de StĂ©phanie et lui a retirĂ©.Il a levĂ© le bras et lui claquĂ© la fesse.- Haaaaaa !!Il a de nouveau levĂ© le bras pour lui assĂ©ner trois claques sèches sur la mĂŞme fesse.- Toujours pas de oui !!!Le père Louis a saisi l’Ă©lastique de la culotte et la descendu Ă ses chevilles.- De si belles fesses, je ne voudrais pas les abimer, mais on dirait que la demoiselle ne veut rien savoir.Il lui donnĂ© plusieurs fessĂ©s de plus en plus fermes et appuyĂ©es, StĂ©phanie regarde AndrĂ© en plissant les yeux Ă chaque coups.- Cette petite Ă les fesses toutes rouges et elle ne veut rien savoir.Le père Louis a posĂ© sa main sur la hanche de ma chĂ©rie pour glisser sur son ventre et remonter jusqu’Ă son soutien-gorge, il l’a enlevĂ©, laissant tomber sa poitrine.Il prend un sein dans sa main.- Ce sont de grosses mamelles que tu as, elles sont sensibles?Il a prit le tĂ©ton entre les ongles et l’a pincĂ© fort.- Aie !!! Aie !!! Aie… !!! Vous me faites mal.- Cela tient qu’Ă toi que l’on arrĂŞte.Il fait exprès de ne pas trop la martyriser, il veut profiter de ce corps le plus longtemps possible. Il se dirige vers le buffet et ouvre un tiroir et en sort un Plug martinet en cuir marron avec un manche composĂ© de plusieurs boules de la plus petite Ă la plus grande.Il s’est de nouveau positionnĂ© derrière StĂ©phanie et s’est baissĂ©, positionnant le manche du martinet entre ses jambes, il a poussĂ© sur le martinet lui intimant d’Ă©carter les cuisses.- AndrĂ©?! A-t-elle d’autres comportements que tu veux me signaler? A-t-elle besoin de se confesser?- Oui malheureusement, elle a des rapports sexuels rĂ©gulièrement avec beaucoup d’hommes et elle y prend du plaisir.Le prĂŞtre passe le manche de son martinet entre les lèvres de sa vulve et le regarde luisant.- Je vois qu’elle y prend du plaisir, je vais passer au stade supĂ©rieur, calmer cette adepte de la luxure. Saisis-lui les poignets AndrĂ©.Le père Louis a caressĂ© les fesses de StĂ©phanie avec les liens en cuir du martinet et sans prĂ©venir l’a fouettĂ© durement.- Haaaaaaaaa !!!!!!- 1- Haaaaaaaaa !!!!!- 2- Haaaaaaaaa !!!!- 3- Haaaaaaaa !!!!- 4- Haaaaaaaaa !!!!- 5StĂ©phanie regarde AndrĂ© les yeux pleins de larmes.- Il te suffit juste de dire oui.- Nous allons devoir faire une nouvelle sĂ©rie, qu’en penses-tu StĂ©phanie? Ton silence est un oui, je prĂ©sume.- 1- Haaaaaaaaa !!!!!Pour ne pas laisser de traces permanentes il frappe maintenant le haut de ses cuisses, mais certains liens en cuir frappent ses lèvres.- 2- Haaaaaaaaa !!!!AndrĂ© regarde avec un petit sourire le visage de StĂ©phanie quand il entend claquer le fouet.- 3- Haaaaaaaa !!!!- 4- Haaaaaaaaa !!!!- 5- S’il vous plait ! ArrĂŞtez ! S’il vous plait.- Je n’entends pas le mot magique, tu entends quelques choses AndrĂ©?- Que des jĂ©rĂ©miades.- On est bien d’accord.Le père Louis a saisi son verre de vin et l’a vidĂ© cul sec.- Tu veux bien me faire le plein AndrĂ©.Le verre rempli, il a trempĂ© le manche du martinet dans celui-ci, rĂ©pandant du vin sur la table.Il a passĂ© le bout du manche entre les lèvres de sa vulve et la poussĂ© dans son vagin, trois boules l’ont pĂ©nĂ©trĂ© et il l’a pilonnĂ© fortement.Il a de nouveau passĂ© une main dans son chemisier pour lui caresser les seins et lui tirer sur les tĂ©tons.- Tu aimes sa, catin !! Cette mĂ©gère elle dĂ©gouline, elle me dĂ©goute !!!! Fini le plaisir, je vais te faire plier !!!!!Il a sortit le manche du vagin de StĂ©phanie, il a positionnĂ© sa jambe pour que les cuisses de ma chĂ©rie restent bien ouverte.- Tiens la bien AndrĂ©. Son trou de plaisir a aimĂ© le manche, on va voir ce qui en est de l’autre.Il a positionnĂ© la première boule luisante sur l’anus de StĂ©phanie et il a poussĂ© doucement. AndrĂ© a regardĂ© le visage se plisser et elle a ouvert la bouche en soufflant fortement quand la première boule est passĂ©e et de nouveau quand il a poussĂ© sur le manche pour y entrer la deuxième AndrĂ© a regardĂ© le visage se tendre.Elle a pensĂ© :- La bite du maire vient de passer !! Qu’il aille se faire foutre le curton, je ne dirai pas oui.- Encore quatre !! StĂ©phanie ! Je ne suis pas un salaud, je vais aider un peu.Il a crachĂ© sur le manche du martinet, la salive est descendue le long du manche. Il a de nouveau poussĂ©.- Tu es sur? Pas de rĂ©ponse?Il a poussĂ© doucement, regardant les fesses de ma femme se contracter. Il a tournĂ© tout en poussant, en poussant, en poussant. Quand la troisième boule est passĂ©e les yeux de StĂ©phanie se sont Ă©carquillĂ©s, la bouche grande ouverte.- Et bien dis donc AndrĂ©, c’est une dure Ă cuire celle lĂ . Ce n’est quand mĂŞme pas dur de dire oui, je vais obĂ©ir Ă ce qu’on me demande !!! Ce n’est pas grave on a le temps.Le père Louis s’est reculĂ©, il a saisi son tĂ©lĂ©phone sur le buffet et il a prit une photo de StĂ©phanie avec le martinet dans le cul.- Une belle petite jument ! Continuons.Rien que de saisir le manche du martinet a provoquĂ© une forte douleur. Il a de nouveau tournĂ© et poussĂ©, regardant l’anus s’ouvrir.- Sa rondelle va se dĂ©chirer, pas grave.StĂ©phanie sert les dents sous la douleur, les larmes coulent sur ses joues.Le père Louis regarde l’anus s’Ă©carter.- Stop !!! Stop ! Stop !- Stop quoi !!!Il continue Ă pousser.- Je vais obĂ©ir ! Oui !! Je vais obĂ©ir !!- Et bien voila !!!!Content le prĂŞtre a doucement tirĂ© sur le manche, cela a Ă©tĂ© aussi douloureux qu’Ă l’introduction pour StĂ©phanie. Il a posĂ© le martinet sur la table et de nouveau bu son verre cul sec en regardant l’anus bĂ©ant.- Ne bouge pas je reviens.Il est rĂ©apparu avec un tube de gel.- C’est du gel, tu vas sentir le froid qui va t’apaiser.En effet elle a Ă©tĂ© soulagĂ©, il n’a eut aucun mal Ă entrer son doigt pour badigeonner le pourtour.- Tu as Ă©tĂ© une fille courageuse et je vais te rĂ©compenser parce que tu aimes.Le père Louis a laissĂ© tomber son pantalon Ă ses chevilles.StĂ©phanie a senti un membre glissĂ© entre les lèvres et s’introduire dans son vagin.- Elle te plait?- Oui, elle est longue mon père.- Tu vas obĂ©ir Ă AndrĂ© maintenant? Si on doit se revoir, c’est pour la quatrième boule, d’accord?!!- Oui, je vais obĂ©irLe père Louis la pilonnĂ© pendant plus de cinq minutes.- Tu jouis petite catin ! Tu aimes ma queue diablesse.- Ho oui !!!! Mon père !!! Votre queue est si longue !AndrĂ© regarde son ami prendre sa soumise en sirotant son vin.Le père Louis a accĂ©lĂ©rĂ© et c’est brusquement retirĂ© se vidant les bourses sur les fesses de StĂ©phanie. Il l’a regardĂ© extenuĂ©e sur la table et s’est baissĂ© pour lui remonter sa culotte.- Tu vas garder ma crème dans ta culotte, cela va te faire du bien.StĂ©phanie s’est dĂ©saltĂ©rĂ©e et ils ont pris la direction de la voiture accompagnĂ©s du père Louis. Une fois dans la voiture, AndrĂ© a remerciĂ© StĂ©phanie.- C’est bien ma petite, tu ne m’en veux pas?- Non.- On ne va pas attendre que l’on soit rentrĂ© pour ta rĂ©compense.AndrĂ© a ouvert son pantalon et StĂ©phanie c’est penchĂ© sur son entre jambes. Le prĂŞtre regarde la tĂŞte de StĂ©phanie monter et descendre sur la petite queue raide de son ami.- DĂ©solĂ©, je me retiens depuis tout Ă l’heure. Haa… Ha… Haaaaaaa !!!!- Quelle gourmande ! Fais attention Ă ton cĹ“ur AndrĂ©. En tout cas, celle lĂ aura Ă©tĂ© plus coriace.Ils ont quittĂ© le prĂŞtre direction la ferme. StĂ©phanie a eut du mal Ă conduire le cul en feu et la culotte pleine de sperme.ArrivĂ© Ă la ferme, elle m’a pris dans les bras.- Je suis crevĂ©e et j’ai encore mal au cul !- OK ! Henry voudrait que l’on fasse l’amour que tout les deux pour le site et il a reçu une photo titrĂ© « La petite jument « , je sais pour ton cul.- D’accord pour faire l’amour mais je suis naze, tu te dĂ©brouilles.Henry nous a conduit dans une chambre et positionnĂ© les cameras. StĂ©phanie s’est allongĂ©e sur le lit.- Tu vas devoir me dĂ©shabiller, je n’ai plus la force mon chĂ©ri.J’ai dĂ©boutonnĂ© sa chemise et comme Ă chaque fois, je me suis tendu en voyant son soutien gorge rempli. Je lui ai retirĂ© et saisi ses seins pour les embrasser.- Ca fait deux fois que tu te fais sodomiser et moi que dalle !!Elle a rigolĂ©.- Tu vas devoir prendre rendez-vous mon chĂ©ri pour sodomiser ta cochonne.- Oui, je crois.J’ai retirĂ© sa jupe puis sa culotte gluante.- Surprise !!!- Merde c’est dĂ©goutant. Tu veux que je te nettoie.- Non, prends-moi comme ça.Pour la vidĂ©o je l’ai embrassĂ© partout, sauf la zone contaminĂ©e.J’ai prĂ©sentĂ© mon gland a l’entrĂ© de son vagin et poussĂ© doucement, elle est tellement crevĂ©e que je la pilonne avec douceur, je le vois sur son visage apaisĂ©. Dès que j’accĂ©lère elle a mal et c’est pour cela que je me retire et me masturbe entre ses lèvres, j’Ă©jacule en regardant ma belle Ă©toile de mer.- Henry ! Tu ne coupes pas l’enregistrement?- Non, regarde.Je vois AndrĂ© arriver avec black. Il approche de StĂ©phanie qui a les cuisses Ă©cartĂ©es oĂą l’odeur de sperme y est forte.- Gouttes cette chatte Black.AndrĂ© a approchĂ© le chien qui a immĂ©diatement lĂ©chĂ© l’entre cuisse de StĂ©phanie. Surprise, elle a levĂ© la tĂŞte, le regard triste puis elle est retombĂ©e sur le lit. Elle a laissĂ© le chien se rĂ©galer du sperme sur son vagin et son anus.A ma surprise, je l’ai entendu Ă©mettre de petits gĂ©missements de plaisir. Je suis moi-mĂŞme excitĂ© en voyant le chien entre ses jambesHenry a approchĂ© de son visage pour capturer le moment et faire un gros plan de black, plutĂ´t de sa langue frĂ©nĂ©tique sur les lèvres de sa chatte.Quand il s’est retirĂ©, StĂ©phanie s’est totalement relâchĂ©e avec un petit sourire.- Quelle beau film, la communautĂ© va adorer.Henry a accompagnĂ© StĂ©phanie dans la salle d’eau, pour la filmer sous la douche.AndrĂ© a sortit une enveloppe du buffet.- Tient FrĂ©deric, c’est votre part pour la vidĂ©o avec le jeune handicapĂ© et comme convenu nous avons versĂ© la mĂŞme somme Ă ses parents.D’ailleurs dans la semaine StĂ©phanie a reçu un appel de Mathilde, la maman de Valentin. Elle est heureuse de lui apprendre que le lit mĂ©dicalisĂ© est commandĂ© et ma chĂ©rie a pu parler Ă Valentin en Visio.Nous sommes maintenant dĂ©but dĂ©cembre et comme pour la première sodomie nous avons fait une pause, un peu plus longue car le père Louis a Ă©tĂ© violent avec son anus et ses fesses.Henry nous a envoyĂ© un mail avec l’objet « Baby Tony », « StĂ©phanie va devoir prendre soin d’un bĂ©bé ».Un membre de la communautĂ© a proposĂ© cette rencontre, il souhaite que l’on s’occupe de bĂ©bĂ© Tony, on n’a pas plus d’informations. AndrĂ© et Henry nous ont demandĂ© de leur faire confiance.Le jour J, on se rend Ă la ferme pour prendre le matĂ©riel vidĂ©o. Henry m’explique qu’il a reçu du nouveau matĂ©riel.- Tu vois Fredo, j’ai reliĂ© mon vivarium au net. Il y a des petites portes en plexiglas. Je positionne le rat et ce sont les internautes de mon site qui commande l’ouverture.- Tu es un gĂ©nie Henry. Ce sont eux qui donnent Ă manger Ă ton serpent?- Oui, mais il ne s’alimente pas souvent. Ce sont de gros rats.- Il y a une camĂ©ra sur ton vivarium?- Oui, en direct. D’ailleurs j’ai une surprise, grâce Ă toi et madame StĂ©phanie, j’ai commandĂ© une camĂ©ra que tu va positionner sur ton torse, Ă l’hĂ´tel tu devras la connecter au wifi et nouveautĂ©, vous serez en direct sur le site.- En direct?- Oui et par sms je pourrais t’envoyer des commentaires. Il y aura quand mĂŞme les autres camĂ©ras.- OK.Pendant la route j’ai expliquĂ© Ă StĂ©phanie les nouveautĂ©s mise en place par Henry. Nous avons rendez-vous dans un hĂ´tel Ă une petite heure de route, nous Ă©vitons les rencontres abonnĂ©s trop prĂŞt de chez nous, de toute façon, on ne paye rien.ArrivĂ© sur place, on dĂ©couvre la porte de la chambre d’hĂ´tel entrouverte. Nous entrons dans la pĂ©nombre, StĂ©phanie ouvre les rideaux qui laisse entrer la lumière.Nous voyons tous les deux un lit parapluie et une feuille posĂ©e sur le lit de la chambre.On se penche tout les deux dessus : »Chut !!! BĂ©bĂ© Tony dort. A son rĂ©veil il va falloir le changer, lui donner Ă manger et le recoucher. Prenez bien soin de lui. « Nous nous sommes approchĂ©s du lit parapluie. Et a voix basse :- Je crois qu’on a trouvĂ© bĂ©bĂ© Tony.StĂ©phanie a posĂ© sa main sur sa bouche pour cacher ses rires.- ArrĂŞte on est en direct.On a dĂ©couvert un nain semble-t-il de notre âge, habillĂ© d’un body et d’une couche. Ce jeune homme est vraiment de petite taille.- Je mets les camĂ©ras en place, surveilles bien Baby Tony.J’ai gloussĂ© Ă mon tour.- Fredo, il y a de quoi lui faire sa toilette dans la salle de bain.Le temps de brancher les derniers fils. De petits gĂ©missements ce sont fait entendre du lit du petit Tony.-Il est rĂ©veillĂ© ! Je vais mettre une serviette sur le lit, sort le du sien.- Ok. Il est lourd !!J’ai posĂ© Baby Tony sur le lit et me suis rapprochĂ© pour montrer Ă nos internautes le beau bĂ©bĂ©.- Il faut changer sa couche?- Oui, ce sont les consignes.- Tu le fais Fredo !!- Pourquoi moi !!????- Et bien c’est moi qui suce, me fait prendre par des hommes et femmes pour que Monsieur Fredo rĂ©alise ses fantasmes. Si tu ne le fais pas tu ne toucheras pas Ă mon cul.- Chantage !!! Bon OK.J’ai dĂ©grafĂ© le body, laissant apparaitre la couche du petit bonhomme. Quand j’ai ouvert la couche nous avons Ă©tĂ© saisis.- Ho non !!! Il n’a pas fait çà !!!!- On dirait que si !!!!J’ai regardĂ© le gros bĂ©bĂ© allongĂ© sur le lit, il m’a fixĂ© Ă©galement avec ses beaux yeux bleus.- BĂ©bĂ© Tony tu abuses.- Ha, ha, ha !!!! Je sors prendre l’air, bon courage mon chĂ©ri.- Rigole, rigole. Tu vas voir ton cul ce soir.Mon tĂ©lĂ©phone a vibrĂ©, c’est Henry : « la communautĂ© te souhaite bon courage » avec plusieurs smileys MDR.