Un peu éméché, je quitte la salle
pour aller me reposer à ma voiture. En partant, je vois mon épouse danser un
slow langoureux, avec un mec d’une trentaine d’années. Je vois leurs lèvres qui
se frôlent, mais ne m’inquiète pas plus que ça, faisant une confiance aveugle
en ma ravissante épouse.
Après une petite heure de repos, je
m’apprête à regagne la salle, quand j’entends des gémissements, provenant d’une
ruelle attenante. Je jette un œil et aperçoit un couple en train de flirter.
Malgré la faible lumière, je distingue nettement ce qu’ils sont en train de
faire.
Je vois une femme, appuyée contre le
mur, la jupe remontée sur les fesses, la culotte enroulée à une cheville. Elle
embrasse un homme, en le tenant par le cou. Celui-ci un a glissé une main entre
les cuisses de la femme.
-Hum, c’est bon ce que vous faites à
ma petite chatte, souffle-t-elle.
-C’est vrai, vous aimez, vôtre mari
doit vous le faire aussi.
-Hou…hou…pas comme ça…oh mon dieu, ça
y est…je jouis…oui…oui…
Une fois l’orgasme passé, l’homme
retourne la femme, et la force à s’appuyer contre le mur, puis baisse son
pantalon. Furtivement, j’aperçois le membre tendu de l’inconnu. Putain, comme
il est monté, et quelle paire de couilles.
La femme cambre sa croupe pour mieux s’offrir. J’entends un râle de
plaisir quand l’homme la pénètre.
-Oh oui…que c’est bon de sentir une
autre queue que celle de son mari dans la chatte. Surtout quand cette queue est
plus grosse. Allez-y…baisez moi…faites moi jouir encore…
L’inconnu glisse ses mains sous le
chemisier, caresse les seins. La femme gémit de plus en plus. Son cri déchire
la nuit quand elle atteint l’orgasme.
L’homme se retire brusquement. La
femme a compris. Elle se retourne, se met à genoux, et prend la bite en bouche,
juste au moment ou l’homme éjacule. Après un bon nettoyage du gland, la femme
range sa tenue, et s’en va. L’homme la suit à quelques mètres de distance. Ils
se dirigent tout les deux vers la salle de danse.
Tout excité par le spectacle, j’ai
hâte de rejoindre mon épouse.
Quand j’arrive, elle sort juste des
toilettes. Je la prends dans mes bras.
-Tu ne veux pas qu’on rentre ma
chérie. J’ai une folle envie de te faire l’amour.
-Oh non, pas encore mon amour. Ca
fait si longtemps que je n’ai pas dansé. Mais vas-y si tu es fatigué. J’ai
rencontré un excellent danseur, il me ramènera.
-Bon, d’accord. Mais sois prudente ma
chérie, et ne rentre pas trop tard.
Il est six heures du matin quand
j’entends des pneus crisser sur le gravier de la cour. J’entre baille le store
vénitien. Je vois un homme sortir de la voiture, faire le tour pour ouvrir la
portière à ma femme. Bizarrement, ma femme est vêtue d’un manteau blanc.
Aussitôt, l’homme la prend par les hanches, et la serre contre lui. Tendrement,
il lui prend les lèvres. Elle se pend littéralement à son cou. L’inconnu fait
glisser le manteau au sol. Mon épouse apparait, entièrement nue. Elle n’a même plus
de culotte. L’homme enfonce deux doigts dans sa chatte, bien profond. Ma femme
se tend en avant, pour aller à l’encontre des doigts qui la fouillent. Elle
commence à gémir de plaisir. J’imagine les doigts pervers recroquevillés,
gratter l’intérieur de son ventre. Soudain, il s’arrête. Il retourne ma femme
sur le capot de la voiture, et la pénètre de son énorme calibre.
Il se vautre sur elle, lui prend les
seins. Mon épouse ne se retient plus, comme si je n’étais pas là. Pourtant,
elle doit se douter que je suis derrière le rideau, que je la vois se faire
baiser par cet inconnu. Comme pour m’humilier d’avantage, elle en rajoute.
-Oh mon dieu, elle est bonne vôtre
queue. Vous m’avez baisée toute la nuit, je vous ai sucé, et elle est toujours aussi
vivace. S’il vous plait, prenez-moi au petit…enculez-moi…
-Ah…vous aimez la sodomie depuis que je vous ai enculée, ça vous a plus, hein ? En fait, vous aimez la queue. Dans la
chatte, le cul, la bouche. Ca vous est indifférent. Combien de fois vous avez
jouis. Sept, huit fois. Beaucoup plus qu’avec vôtre mari je suis sur.
-C’est certain…avec lui, une fois…et
encore, quand c’est trop long. Déja, il faut qu’il arrive à bander. Il m’arrive de simuler. Mais là…oh mon dieu, je
ne peux pas simuler…salaud, je jouis…oui…allez-y, niquez moi, bourrez moi le
cul…s’il vous plait, crachez dans ma bouche…je vous en prie…dites oui.
-Retournez vous, mettez vous à
genoux…et de tout avaler, et de bien nettoyer, ok ?
Je vois les joues de ma femme se
déformer sous les va et vient de l’énorme queue dans sa bouche, son cou se
gonfler quand elle avale le sperme. Puis elle sort sa langue pour un méticuleux
nettoyage de la bite.
Elle vient de me porter l’estocade, surtout
quand j’apprends qu’elle a fait avec un inconnu, ce qu’elle m’a toujours
refusé. La sodomie.
Une fois leurs ébats terminés, il l’embrasse,
lui donne une tape sur les fesses. Puis il quitte la villa. Ma femme suit la
voiture des yeux, ramasse le manteau, le met directement sur ses épaules. Je
baisse le store vénitien, et attend qu’elle rentre. J’attends une explication.
-Alors ma chérie, tu as bien dansé
avec ton cavalier. C’est lui qui t’a ramené.
-Oui, si tu savais, quel danseur. Il
m’a demandé si j’y retourné samedi prochain.
-A bon, et qu’as-tu répondu.
-Que je ne savais pas. Qu’il fallait
que mon mari soit d’accord pour que je sorte seule.
Je prends un coup sur la tête. J’en
prends une autre quand je lui demande si elle voulait qu’on fasse l’amour.
-Oh non mon chéri, je suis épuisée.
Je vais prendre une douche, et je vais me coucher. A la sieste peut être.
Réfléchis à la proposition qu’il m’a faites pour samedi prochain.
Soudain, une image traverse mon
esprit. Je me remémore la relation torride du couple dans la ruelle. Et si
c’était eux.
Voila. Maintenant, mon épouse sort
tout les samedis, seule, pour rejoindre son danseur. Sauf qu’elle ne rentre
plus à six heures du matin, mais à deux heures. Elle et son amant passe le
reste de la nuit à faire l’amour, dans la chambre d’amis. De ma chambre, j’entends
les hurlements de plaisir quand elle atteint l’orgasme.
Jamais je n’est réussi à la faire
crier comme ça.