L’autre jour, alors que je sortais de la douche, ma femme fit, sans que je m’y attende, un geste très inhabituel de sa part et qui, aujourd’hui encore, me laisse pantois. Sans façon, alors que je me frictionnais les cheveux avec la serviette, elle cessa un instant de se maquiller, détourna le regard du miroir de sa coiffeuse, tourna légèrement son siège et empoigna d’une seule et à pleine main… mes deux couilles.Un blanc s’établit dans la salle de bains. Jamais elle ne m’avait fait cela depuis huit ans que nous sommes mariés. Je continuais à me frictionner plus que nécessaire en me cachant le visage avec le linge.— C’est quand même lourd ce que vous portez là, les mecs !— Oh, répondis-je en cherchant une sortie, pas plus lourd que votre poitrine à vous, les femmes.— Ah ça, tu as bien raison, mon chéri, par moments j’ai mal au dos avec la mienne, mais je ne vais pas m’en plaindre non plus.— T’aurais tort, mon amour, tu as des seins superbes, je te l’ai toujours dis, je les adore.— Oui, je sais que tu les aimes…Ce faisant, elle me les tenait toujours, les remuant pour mieux les sentir ou encore en mettant sa main bien à plat et en les soulevant comme pour en évaluer leur poids. Je tenais ma serviette à la main et regardais son bras bouger sous mon ventre moyennement rebondi. Des fourmillements chauds se concentraient sur ma queue et j’imaginais qu’elle s’allongeait. En relevant la tête, je vis le visage de ma femme coloré, les yeux fixés sur son « ouvrage ». À ce moment-là, j’en suis sûr, ma queue s’était dressée et rampait sur les veines de son poignet, lui communiquait sa chaleur. Elle eut alors un sourire énigmatique, me lâcha comme elle m’avait pris, d’un coup, en évaluant aussi au passage le ressort de ma queue par une caresse appuyée de haut en bas, comme pour vouloir me la remettre pendante et molle. Ce qui bien sûr ne se réalisa pas.La façon qu’elle a eue de faire cela m’a stupéfait. Ce n’est pas du tout son genre. Elle est très « discrète » en amour d’habitude. Elle attend que nous soyons au lit…Si je me suis montré nu ce jour-là c’est parce que, sortant de la douche, il m’était difficile de faire autrement et Annie occupait aussi la salle de bains.Annie est blonde, pas très grande mais mince. Un visage d’apparence calme, fait de patience. Elle est bien proportionnée, si ce n’est sa poitrine qui s’est encore développée avec l’arrivée de notre garçon (elle l’a allaité pendant plus de 23 mois et serait prête à refaire un bébé rien que pour ça, le plaisir d’allaiter…).Depuis, je renouvelle mes tentatives de nu devant elle car j’ai beaucoup aimé sa façon de faire. Le fait qu’elle me dise que mes couilles étaient lourdes a renforcé mon orgueil de mâle, car je sais que, pour ma queue, je suis… comment dire… au-dessous de la moyenne.Ainsi, l’autre jour je me suis arrangé pour prendre mon bain en sachant qu’elle devait faire un passage… Effectivement, elle est arrivée pour se coiffer, se maquiller toujours discrètement et sans ostentation. Rien ne s’est passé pendant plusieurs minutes, on discutait de tout et je ne songeais plus qu’à la soirée prévue avec ses collègues de travail : son nouveau directeur invitait à un toast d’entrée avant d’aller dîner avec une équipe restreinte dont ma femme faisait partie.— Tu veux à boire, mon chéri ?— Oui, bonne idée.Elle est revenue quelques instants après dans sa robe d’été toute simple, noire, mouchetée de discrets motifs chinois, boutonnée sur le devant de tous petits boutons. Comme je l’aime.Sans façon, elle s’est assise sur le rebord de la baignoire, me laissant voir ses cuisses nues que découvrait sa robe, et m’a tendu un rafraîchissement. Alors que je buvais, elle me déclara sans ambages que son nouveau directeur semblait être une personnalité ambiguë qui ne la mettait pas très à l’aise, qui la lorgnait, lui semblait-elle…— Je ne lui ai pourtant rien fait mais, crois-moi, il ne laisse pas traîner ses yeux, si tu vois ce que je veux dire…— Bah, écoute, tu es une belle femme, c’est normal.— Oui, mais à ce point-là, ma copine le confirme d’ailleurs, c’est exagéré, dit-elle en regardant ma queue qui sortait à fleur d’eau.— Ah ! Et pourquoi es-tu invitée ?— Justement, je ne le sais pas. Simple secrétaire de direction, je n’en vois pas l’intérêt ; en même temps, si c’est pour parler aussi travail… je suis bien contente que toi aussi tu sois invité.— Tu as peur de lui ?— Non, pas peur, mais je ressens une certaine gêne à ses côtés, il me flatte, me parle d’une façon suave, me regarde tout le temps les seins quand il est certain que personne ne le remarque.Inconsciemment, je commençais à me représenter le personnage : matant, bavant sur les seins de mon épouse, et je me mis à bander doucement. Inéluctablement, Annie s’en aperçut.— Eh bien, dis donc, je te raconte tout ça et voilà ce que cela te fait… dit-elle en voyant ma queue dressée.— Excuse-moi, chérie…— Je t’en prie ! J’aurais pas cru ça… Alors, ta femme se fait mater par un cochon et toi tu bandes !— C’est réactif…— Tu pourrais être plus jaloux que cela quand même, me montrer une certaine colère…— Oui, bien sûr, je le suis aussi.— Hum ! dit-elle en allongeant la main et en empoignant mes couilles comme l’autre fois…Ah ! on y était…— Bah, dis donc, continua-t-elle en rougissant légèrement, elles sont lourdes encore, plus que ta queue, non ?— Oui, sans doute… on n’a pas fait l’amour cette semaine, mon amour…— Oui, c’est vrai, tu as raison…— …— Mais vas-tu me rentrer ça à la fin… dit-elle en me prenant la queue à la base avec deux doigts tout en me tenant les couilles en paquet et en appuyant fortement…— Comme ça ce serait plutôt l’effet inverse, chérie, dis-je en retenant une petite grimace de douleur car elle me décalottait complètement… presque trop fort.— Je sais, mon amour, mais comme tu en as une petite, je veux voir aussi si elle peut s’allonger…. dit-elle en rigolant…À ces mots, je ne sais pas pourquoi, mais je me laissais faire complètement. Annie est la seule femme qui ait accepté la taille de ma queue sans se moquer, en dédramatisant, en m’épousant même. On en rigolait souvent les premiers temps de notre lune de miel, et nos rapports étaient et sont toujours excellents.Je m’en remettais complètement à elle. Ses pommettes étaient rouges, ses yeux luisants. Moi-même, je ne bougeais plus dans l’eau de mon bain. Seule sa main m’appuyait sur le bas-ventre, décalottant complètement mon gland, redressant ma queue à la verticale.— Là ! Je crois que je lui ai fait atteindre sa taille maximum, tu ne crois pas, mon amour ?— Si, chérie, si. Elle est plus grosse là…Me tenant toujours, elle changea de sujet après avoir bu une gorgée de son soda :— Je crois que ma robe est trop peu sage pour un directeur comme celui-là…— Tu crois ?— Oui, on voit mes cuisses dès que je suis assise. Tiens, regarde, et mes seins sont plutôt peu protégés, le tissu est tellement fin…Je m’agitais pendant qu’elle parlait, je remuais du bassin, fantasmais sur le regard de son directeur envers sa poitrine, ses jambes… Elle ne semblait pas s’en apercevoir…— Hum, je ne sais pas… Tu vas mettre des bas, de toute façon.— Oui, bien sûr, avec un porte-jarretelles ou des bas auto-fixants, que préfères-tu ?— Un porte-jarretelles plutôt…— Ça, tu ne m’étonnes pas, tu préfères…— Oui… dis-je, tendu à l’extrême.Elle sourit en me disant cela et je l’en remerciais, j’en oubliais presque sa main toujours à me tirer les couilles, à me décalotter un peu trop fort, ce qui engendrait une légère piqûre.— Et si le directeur s’aperçoit que je ne suis pas en collant, que ma robe ne se boutonne pas jusqu’en bas ?— Tu feras attention…— Oui, mais c’est pas facile…— Tu resteras debout…— Oh, bah, dis donc, merci toi… si ça dure en plus…— Je serai à côté de toi de toute façon…— Oui, et ma poitrine, qu’en fais-tu ? Si je mets un soutien-gorge trop épais avec cette robe ce sera d’un moche…— Oh écoute, il va pas te manger quand même…Annie était rouge au visage. Nous faisions mine de l’oublier mais elle me tenait toujours la pine et les couilles. Je sentais bien qu’elle adorait me tenir tout entier dans sa main comme cela. De temps en temps elle relâchait la pression, de temps en temps elle resserrait, mais jamais elle ne me lâchait.— De toute façon, tu ferais pas un scandale au risque que je perde mon travail s’il me draguait.— C’est vrai, avec les traites de la voiture et de la maison, si tu n’avais plus ton salaire…— Alors, parce qu’on a des prêts en cours, tu vas laisser ce mufle regarder dans mon corsage, lorgner mes cuisses, essayer de voir ma culotte même aussi ?— Si ce n’est que ça, après tout…— Cela ne te ferait rien ?— Bof… beaucoup d’hommes te regardent aussi…— C’est vrai, mais lui je suis certaine qu’il attend une occasion pour obtenir plus… Je sens son regard couler sur moi, même ses mains j’ai l’impression qu’elles me touchent des fois…— Où ? demandais-je, saisi par l’imagination, m’agitant, la queue arquée…À suivre