NicolasMa femme Brigitte et moi avions beaucoup de copains et quelques amis, Martine et Jean-Marc faisaient partie de ce petit groupe. Ils vivaient déjà en couple, nous pas encore, ma chérie venait de dépasser ses dix-neuf ans et moi cinq de plus, elle était étudiante et je venais juste de finir mes études.Avec Brigitte, on s’était fréquenté onze mois avant de nous séparer deux ans puis de nous retrouver, ne voulant pas renouveler notre première expérience, je lui avais dit que je l’aimais, qu’elle était la femme de ma vie, mais qu’elle était libre de son corps du moment que je ne passais pas pour un cocu ou un con.Tous les samedis, on allait dans un petit resto puis on finissait dans notre boîte de nuit habituelle tous les quatre, à cette époque, il ne fallait pas attendre une heure de matin pour qu’il y ait du monde.En été, Brigitte portait une minijupe très courte, une petite culotte qu’on pouvait voir lorsqu’elle était assise et pour le haut, un corsage qui laissait deviner le soutien-gorge assorti à la culotte. Ses magnifiques jambes étaient mises en valeur par des chaussures à talons hauts, Martine avait des tenues équivalentes. On dansait le jerk ensemble et lors des séries de slows, on dansait avec l’une ou l’autre des deux femmes, il m’était arrivé alors d’embrasser mon amie d’un baiser qui n’avait rien d’amical, mes mains avaient plusieurs fois vérifié la fermeté de sa poitrine.BrigitteUn soir d’été en boîte, je dansais un slow avec notre ami Jean-Marc. Comme à notre habitude, nous étions très serrés, mes bras autour de son cou et les siens autour de ma taille, la lumière était tamisée, j’ai remarqué qu’il se décalait dans le coin opposé à nos conjoints, j’ai senti alors sa bouche sur la mienne puis sa langue passer entre mes lèvres. En général, il se contentait de petits bisous bouche fermée, le temps que je réagisse, sa langue avait conquis ma bouche et jouait avec la mienne, je répondis à son baiser, une de ses mains caressa ma poitrine puis passa sur mes jambes pour remonter au niveau de ma culotte. Lorsqu’un doigt arriva dessous et toucha mon clito, j’ai eu une décharge électrique dans tout le corps. La fin de la série a mis fin à ses caresses. Je n’ai pas osé le dire à mon chéri, malgré son accord, parce que c’était avec son ami.L’hiver suivant, pour mes vingt ans, nous étions tous les quatre dans un restaurant un peu plus chic que d’habitude, nous étions à quarante ou cinquante minutes de notre boîte, Jean-Marc a proposé de nous suivre en voiture et d’inverser les femmes, je n’ai pas trouvé d’excuse pour refuser. Nico et Martine étaient devant, nous roulions à vitesse modérée. Après quelques kilomètres, Jean-Marc posa sa main sur mon genou après avoir écarté mon manteau. Lorsqu’elle remonta, je l’ai bloquée et repoussée, il revint à l’assaut, je l’ai repoussé, à la quatrième tentative je me suis lassée, sa main est arrivée très vite au niveau de mes bas Dim puis passa sous ma culotte. Vaincue, j’écartai les cuisses et avançai mes fesses au bord du siège. Son doigt caressa mon clito passa sur mes petites lèvres sur leur longueur puis s’incrusta dans mon vagin ; il retira sa main pour attraper la mienne et la poser sur la bosse de son pantalon, il me demanda de dégager sa bite qui jaillit d’un seul jet, c’était la première fois que je la voyais et même la caressais. J’en avais vu quelques-unes, dont une énorme ; celle de Jean-Marc avait le gland presque cylindrique, lorsqu’il me rapprocha la tête, j’ai ouvert la bouche pour le sucer, j’ai léché ce gland étrange puis j’ai sucé la tige sur toute la longueur avant de me redresser et de me mettre en tenue présentable, il fit de même, toujours le silence devant Nico.Nicolas Je roulais pianissimo et pourtant Jean-Marc avait du mal à suivre, je pensais qu’il devait chauffer ma chérir, aussi, j’ai commencé à mon tour à caresser les genoux de ma voisine. Martine n’a rien fait pour empêcher ma progression. D’elle-même elle a remonté sa robe au niveau de sa culotte et a laissé mon doigt arriver dans sa chatte. Elle mouillait déjà abondamment, j’ai joué avec son clito, une de ses mains appuyait sur la mienne pour la guider. Lorsque mon doigt est rentré dans son vagin, elle a écarté ses cuisses et a pressé nos deux mains sur sa chatte. Après avoir joui, elle rabaissa sa jupe, se penchant vers moi et m’a fait une bise sur la joue et m’a dit doucement « c’est notre secret, merci ».BrigitteQuelques jours après, me sachant seule chez ma mère, Jean-Marc est passé l’après-midi, il m’a dit ne penser qu’à la première soirée en boîte où il m’avait embrassée et doigtée et celle de samedi dans sa voiture, j’étais attirée physiquement par lui, mais n’aimais pas le reste, ses idées politiques, ses manières de macho et son comportement en général. Lorsqu’il s’est approché, je n’ai pas reculé, nos lèvres se sont jointes et nos langues ont repris leur ballet, je pense que c’est moi qui l’ai amené dans ma chambre, par contre c’est lui qui m’a déshabillée, jetée sur le lit écarté mes jambes, qui s’est mis à genoux devant moi avant de poser sa bouche sur mon sexe ruisselant.Sa langue a commencé par parcourir ma fente, du clito à la rondelle, elle est remontée pour s’occuper de mon clito ; lorsqu’elle l’enroula, j’ai décollé au septième ciel. Pendant que je reprenais mes esprits, il s’est déshabillé, je me suis penchée, j’ai aspiré son gland, titillé son méat, avalé sa bite le plus loin possible, j’ai gobé ses couilles une à une puis je l’ai attiré sur moi. Je lui ai dit « viens, baise-moi ». Il est rentré en un coup, ça y était, Jean-Marc me baisait et je savais que je n’oserais pas le dire Nico. J’aimais la manière un peu brusque qu’il avait de me pilonner, chaque fois qu’il s’enfonçait en moi, je montais mes fesses pour augmenter sa pénétration. Lorsqu’on a joui, j’avais mes jambes qui le bloquaient, mes bras qui l’entouraient et mes lèvres soudées aux siennes. Avant de partir, il m’a dit un mot « dommage ».L’été suivant, il m’a téléphoné nous invitant à son mariage avec Martine à l’automne, il rajouta juste « à toi de décider si je me marie ou pas », trois mois plus tard, il épousait Martine.NicolasPeu après le mariage de nos amis, j’ai amené Brigitte devant une maison, elle m’a demandé ce que c’était, je lui ai dit « c’est notre maison, je l’ai achetée hier, on peut y habiter dans trois mois, le temps de faire les finitions, choisir les peintures et la couleur des moquettes. Si on avions eu les clés, je pense qu’elle m’aurait violé immédiatement.On a fêté ses vingt et un ans dans notre maison. Quelques mois après, elle était enceinte. On s’est mariés et peu après son vingt-deuxième anniversaire, notre fils naissait, Martine, elle, accoucha de sa fille trois mois après.Nos amis venaient d’acheter une maison. Pendant les deux mois d’été, ils sont venus habiter chez nous le temps des travaux.Un jour, je suis rentré de bonne heure, Jean-Marc était au travail, Brigitte était chez sa grand-mère avec notre fils, Martine était en sous-vêtements avec un T-shirt par-dessus, sa fille dormait à l’étage. Au lieu de lui faire un bisou d’ami, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, sa bouche s’est ouverte, notre baiser ne fut interrompu que pour passer le T-shirt par-dessus sa tête, son soutif a volé, sa culotte est tombée à ses pieds, je l’ai prise dans mes bras jusqu’au bureau où on s’est couché sur la moquette. En vitesse, j’ai enlevé le costume, la cravate et tout le reste avant de glisser ma tête entre ses cuisses. Elle était aussi brune que Martine était blonde, le goût de sa chatte très différent, elle m’a tiré vers elle et on a entrepris notre premier 69, après des années à se chercher et à se chauffer, on était déjà avec nos bouches qui cajolaient nos sexes et enfin nos deux sexes s’emboîtèrent, on s’est souri, n’en revenant pas d’être ensemble en train de baiser. Elle a joui deux fois ; elle m’a embrassé, mais comme une maîtresse et plus en ami.J’ai été dans ma chambre passer un polo et un bermuda, nos conjoints nous ont trouvés sagement installés sur la terrasse en train de profiter du soleil. Le reste de notre cohabitation s’est déroulée tranquille.BrigittePendant notre cohabitation, un jour, Martine était chez ses parents, Nico au boulot lorsque Jean-Marc est rentré très tôt. Par la suite, j’ai pensé que c’était prémédité, il m’a prise immédiatement dans ses bras, je savais que j’allais le laisser faire. On s’est étendus sur le canapé, j’ai enlevé mon peu de vêtements, je l’ai déshabillé puis sucé, toujours son gland étrange, je commençais à le connaître. Il m’a basculée sous lui pour notre premier 69. Punaise, physiquement il me faisait toujours beaucoup d’effets, il a joui dans ma bouche lorsque j’ai joui sous sa langue, j’ai été me rincer la bouche, il m’a remise à l’horizontale avait de me baiser le con, nouvelle jouissance de nous deux.Au retour de sa femme, il préparait sa journée de travail du lendemain et moi, la cuisine. Ce fut calme par la suite.NicolasOn a acheté un terrain dans le Sud-Est, entre la construction de notre nouvelle maison, la vente de l’actuelle, le déménagement, prendre des nouvelles habitudes, pour Brigitte se refaire des copines, voire des amies.Les premiers à venir nous voir en juillet, ce furent Martine et Jean-Marc avec leur fille. Brigitte, vingt-neuf ans, était plus belle que jamais ; en plus elle avait peaufiné son bronzage intégral depuis deux mois. Le dernier jour de la visite de nos amis, on s’est déguisés, les hommes en robes longues, Brigitte aussi, Martine avait une robe très osée où on apercevait son string minimaliste et où on devinait l’absence de soutien-gorge. Avant de passer à table, les femmes ont gardé leur tenue, les deux hommes avons été mettre une tenue plus masculine, polo et bermuda.Pendant les pousse-café, on a jerké, on a picolé, on a jerké à nouveau puis on est passé aux slows. Jean-Marc a pris ma chérie dans ses bras, j’ai pris la sienne, plus les slows défilaient plus c’était collé pour chacun des couples,Jean-Marc roulait des patins à ma belle, elle était collée à lui, ses mains caressaient la poitrine libre de soutien-gorge, moi, j’embrassai aussi Martine, j’avais la main dans sa culotte, elle s’arrêta un instant, la crocheta et l’envoya sur l’enfilade au moment où Brigitte nous regardait. Étant à côté de notre chambre, elle y entraîna son amant.Je dansais toujours avec Martine, le doigt dans son minou, je suis passé derrière elle, ma bite entre ses cuisses puis d’un coup, je l’ai pénétrée, une main sur la poitrine et l’autre sur le clito. À la fin du morceau, on est parti sur le canapé, je lui ai enlevé le seul vêtement qui lui restait, je me suis penché pour lui goûter son minou, ses deux jambes reposaient sur mes épaules, j’ai sucé, léché jusqu’à plus soif toutes les parties de sa chatte, lorsqu’elle a pris son pied je l’ai pénétrée.Après avoir soufflé un moment, on est partis nus tous les deux vers ma chambre. Brigitte était à quatre pattes, Jean-Marc la prenait en levrette, Martine s’est placée à côté de son amie et moi à côté du mien et je l’ai prise de la même manière. On a terminé presque en même temps, nos amis ont regagné leur chambre, nous on s’est embrassés.BrigitteLa soirée avait été assez arrosée, lorsque Nico a mis des slows et que Jean-Marc m’a fait danser, j’ai compris que ça risquait de déraper si Martine ne freinait pas mon homme ; j’ai passé mes bras autour du cou de mon cavalier, il s’est plaqué contre moi en appuyant sur mes fesses pour me rapprocher au maximum. J’ai vu Nico et Martine lèvres soudées, les mains de mon mari sur la poitrine et sous la robe, lorsqu’elle s’est écartée pour retirer son string, j’ai pris mon amant par la main pour l’amener dans ma chambre.Entre la porte et le lit, ma robe était à mes pieds, c’est en petite culotte et escarpins aux pieds qu’il m’a étendue sur mon lit, face à moi. Il retira mon ultime rempart, mais me laissa mes chaussures. Talons plantés au bord du matelas, jambes ouvertes et un peu pliées, j’attendais son bon vouloir. Il a mis ses mains sous mes fesses, les a soulevées pour coller mon sexe sur sa bouche, sa langue est passée sur tout mon sillon, elle est descendue jusqu’à ma petite étoile, est remontée sur mon clito, sa bouche s’est collée dessus, j’ai décollé en un coup. Il s’est déshabillé, je l’ai attiré pour prendre son sexe et le sucer. Comme il m’avait léché le cul, j’ai mis mes mains sur ses fesses et j’ai mis un doigt sur sa rondelle, il a serré les fesses, j’ai compris que la réciprocité des caresses n’était pas son truc.J’ai repris ma fellation, il s’est couché sur moi pour continuer en 69. Il n’a pas hésité à me mettre un doigt dans le cul, j’ai laissé faire. Enfin, pour la troisième fois, on allait baiser, je l’ai poussé sur le dos je suis monté à califourchon sur lui, j’ai attrapé sa bite, l’ai positionnée face à mon trou puis je me suis embrochée lentement, yeux dans les yeux, j’avais toujours la même sensation avec lui. Dommage qu’en dehors du lit, il me débectait sur beaucoup de sujets. J’ai imposé ma cadence, parfois je me branlais le clito pendant qu’il me malaxait les seins. Deuxième pied en peu de temps.Le temps de se remettre, il a commencé à me dire qu’il n’aurait jamais pensé que Martine le ferait cocu sous ses yeux, je lui ai demandé s’il était sérieux. Un moment plus tard, il a commencé à me caresser un peu les seins puis rapidement le minou, il passa un doigt d’abord sur le clito puis était descendu pour se concentrer sur ma rondelle. Il avait mouillé son doigt pour faciliter ses caresses, régulièrement il rajouta un peu de salive, ce qui fait que je me suis retrouvée avec son majeur enfoncé en entier dans mon cul. Il me demanda de me mettre à quatre pattes, il s’est placé derrière moi et m’a enfilé en levrette, son doigt avait repris l’exploration de mon cul, j’ai senti que son gland avait remplacé son majeur, par petits à -coups, il s’enfonça dans mon cul, j’étais une nouvelle fois une enculée, ce terme me faisait toujours autant mouiller par sa vulgarité.Lorsque Jean-Marc a commencé à me limer le cul, la porte s’est ouverte, Nico et Martine sont entrés. Elle s’est mise à mes côtés dans la même position que moi, mon chéri l’a baisée aussitôt. Je n’ai pas eu l’impression qu’un des deux s’était aperçu que je me faisais sodomiser. Je n’ai pas joui, les trois autres, si.Nos amis ont regagné leur chambre, j’ai raconté comment on avait baisé avec Jean-Marc et que lorsqu’ils étaient venus nous rejoindre, j’étais en train de me faire enculer, ça l’a excité, on a refait l’amour avant de s’endormir.NicolasLe lendemain, ils repartaient. Quelques jours après, Martine nous a téléphoné, en rentrant, Jean-Marc lui a fait une scène parce qu’elle avait fait l’amour avec moi, il la trompait, mais ne tolérait pas que sa femme fasse la même chose. Quelques mois après, ils divorçaient. Quelques mois plus tard, il a appelé Brigitte lui disant qu’il était libre, elle lui a dit qu’il n’avait rien compris, que baiser avec lui avait été très agréable, mais qu’elle n’aimait rien d’autre de lui. On ne l’a plus revu.Avec Martine, on a continué à se voir. Un soir où nous étions en région parisienne, on a dîné tous les trois puis on a bu un pot dans un bar musical. Au retour, Brigitte conduisait, Martine à ses côtés, je me suis penché et j’ai passé une main dans le soutif de notre amie, Brigitte a demandé si elle pouvait faire pareil, j’ai senti sa main rejoindre la mienne. C’était prévu de dormir chez elle. En pyjama, elle s’est blottie dans un coin du lit, nous, à poil, on a commencé à faire l’amour. À un moment, Brigitte s’est tournée vers Martine et l’a embrassée, c’était parti, pendant que ma chérie défaisait le haut du pyjama, l’enlevait puis caressait les seins, je m’occupai du pantalon qui ne résista pas. Les deux femmes s’embrassaient en se caressant, je faisais un cunni à Martine, la main de ma femme me poussa pour venir caresser notre amie, j’ai dû carrément me pousser lorsque Brigitte a mis sa tête entre les cuisses de Martine. Sous mes yeux, j’avais femme et ma maîtresse qui se faisaient un 69 endiablé, j’ai pris ma chérie en levrette avec notre maîtresse qui léchait la chatte de ma belle, mes couilles et ma bite lorsqu’elle ressortait un peu.Je les ai vues ensuite, jambes imbriquées, se frotter leur chatte l’une contre l’autre, j’ai vu leurs bouches me sucer en même temps, quel pied ! J’ai honoré leurs deux chattes ; je me suis un peu endormi. À mon réveil, les deux femmes dormaient enlacées l’une à l’autre, c’était très beau. Ce fut notre seul trio avec elle, par la suite, elle se mit avec son nouveau jules avec qui elle vit toujours.BrigitteDans la voiture, lorsque j’ai vu la main de Nico caresser la poitrine de Martine, j’ai eu envie de faire pareil. C’était la première fois que je touchais une poitrine féminine autre que la mienne, c’était nouveau, étrange, mais agréable.Dans sa chambre, lorsqu’on a commencé à faire l’amour avec Nico, je voyais qu’elle avait les yeux rivés sur nous. Je me suis tournée et lorsque je l’ai embrassée, elle a répondu à mon baiser, elle m’a aidée à enlever la veste de pyjama et à soulever ses fesses lorsque Nico lui a enlevé le bas.Étrange et excitant ce premier baiser entre femmes, tout était nouveau, lécher des seins, caresser une chatte puis la lécher, sentir la bouche puis la langue féminine s’occuper de mon minou. J’ai joui et rien que d’y penser, je mouille encore aujourd’hui. Il a fallu plus de trente ans pour refaire l’amour avec une femme, avec Martine ce fut la seule fois, ensuite elle était accompagnée.Jean-Marc, le cas typique d’une grande attirance physique et d’un très grand plaisir quand on faisait l’amour, pourtant que trois fois, et d’une antipathie intellectuelle lorsqu’il parlait politique, racisme ou égalité hommes-femmes. Il me disait être prêt à tout pour moi, le disait-il aux autres conquêtes ? Il n’avait pas compris que je n’avais aucune intention de quitter Nicolas et encore moins de faire ma vie avec lui.Nico est très rarement en contact avec lui, il vit seul au fond des bois, retiré de tout.