C’est le rĂ©cit d’une aventure totalement imaginaire mais basĂ©e sur des souvenirs rĂ©els.Bien que les faits remontent Ă plusieurs annĂ©es, tous les dĂ©tails de cette histoire sont restĂ©s gravĂ©s dans ma mĂ©moire ; il en est probablement ainsi pour la plupart d’entre nous lorsque nous subissons un choc Ă©motionnel très intense et c’est sans doute encore plus vrai chez un jeune homme pour qui les choses de la vie et de l’amour constituent un ocĂ©an de mystère vers lequel on se sent attirĂ© par une force vitale qui nous dĂ©passe, le dĂ©sir de vivre et de devenir un homme ! La première relation sexuelle est souvent un acte inoubliable et parfois extraordinaire, c’est un peu le cas dans le rĂ©cit qui va suivre.J’avais dix-huit ans et Ă cette Ă©poque-lĂ , les relations avec les filles Ă©taient infiniment plus difficiles qu’à prĂ©sent, mais leur difficultĂ© mĂŞme leur donnait un charme et un mystère qui a disparu de nos jours!J’étais encore vierge et je n’avais eu que quelques flirts avec des filles de mon âge, quelques baisers volĂ©s sur la plage, quelques caresses Ă la sauvette avec mes copines d’école, un soir de 14 juillet, en Ă©chappant avec mille ruses Ă la surveillance des parents, mais tout cela ne me semblait qu’enfantillages ! J’étais attirĂ© par de vraies femmes plus âgĂ©es que moi, j’épiais leurs formes pleines sous les robes lĂ©gères, je rĂŞvais de contacts intimes avec ces femmes aux rondeurs sensuelles. J’étais littĂ©ralement fascinĂ© par ces femmes au physique Ă©panoui et je rĂŞvais de mettre en Ĺ“uvre la vitalitĂ© de mon corps tout nouvellement pubère et dont j’étais très fier. Caresser et faire jouir une femme pour lui montrer que j’étais devenu un homme Ă©taient devenu mes obsessions ! La question Ă©tait de savoir quand et avec qui !Une personne de mon entourage focalisait alors tous mes dĂ©sirs, c’était Marie-Claire, ma jolie voisine qui occupait, avec son mari et ses deux jeunes enfants, un bel appartement au-dessous de celui de mes parents, dans une grande villa dix-neuvième d’une petite ville de province.Marie-Claire Ă©tait la gaietĂ© mĂŞme, Ă©panouie, souriante ; elle m’avait connu petit garçon et elle continuait Ă m’embrasser sur les joues avec une affection toute maternelle dès qu’elle me rencontrait, j’en Ă©tais ravi ! Je me souviens encore, Ă l’occasion de ces baisers, de son parfum, de ses mains douces et de ses lèvres pulpeuses. Ce serait peu dire que je la trouvais belle, je l’admirais comme une dĂ©esse.Elle Ă©tait de taille moyenne très bien faite, souvent vĂŞtue avec recherche de tailleurs chics ou de robes dĂ©colletĂ©es agrĂ©mentĂ©es d’écharpes vaporeuses, toujours chaussĂ©e d’escarpins Ă talons aiguille. Elle avait une taille fine qui soulignait Ă la fois le volume de sa forte poitrine et le galbe admirable de ses fesses. J’admirais beaucoup ses jolies jambes, et sa façon de marcher : elle avait fait beaucoup de danse classique et elle se tenait très droite et marchait avec grâce, ses hauts talons donnaient Ă sa dĂ©marche une allure lĂ©gèrement chaloupĂ©e qui faisait ressortir ses formes gĂ©nĂ©reuses et me rendait fou de dĂ©sir…Marie-Claire avait la peau très blanche avec quelques taches de rousseur, ses cheveux Ă©taient châtain clair avec des reflets roux et elle se faisait faire des mèches blondes, ce qui lui donnait une allure plus respectable que ne l’aurait suggĂ©rĂ© son physique et son âge, mais la vitalitĂ© de ses trente-cinq ans et la sensualitĂ© qui se dĂ©gageait de tous ses gestes ne lui donnaient pas vraiment l’allure des bourgeoises compassĂ©es de l’époque. Elle avait aussi de très beaux yeux verts qui lui donnaient un regard intense qui me faisait chavirer. Je me demandais quel pouvait ĂŞtre son caractère, car elle apparaissait par certains cĂ´tĂ©s plutĂ´t bon-chic-bon-genre, mais la douceur de son regard et de sa voix avaient un charme Ă la fois paisible et envoĂ»tant…Une indiscrĂ©tion de mes parents me permit d’en savoir un peu plus sur sa vie privĂ©e. Ils lui faisaient bonne figure, mais en rĂ©alitĂ©, ils la dĂ©testaient et la considĂ©raient comme une femme lĂ©gère. Voici comment je l’appris : la porte de ma chambre Ă©tant restĂ©e entre ouverte, je surpris une fois une conversation entre eux oĂą il Ă©tait question d’une femme qui trompait son mari sans retenue. Ils ne se doutaient pas que je tendais l’oreille, je n’entendais pas clairement toutes les phrases mais certains mots Ă©vocateurs me parvenaient : « une vraie gourgandine ! Et en plus elle ne se gĂŞne pas, on l’entend crier, c’est une honte ! Et toujours avec ce boucher ! Elle l’a vraiment dans la peau ! Et dire qu’AndrĂ© ne se doute de rien ! etc. »…LĂ , mon cĹ“ur bondit ! AndrĂ© Ă©tait notre voisin, il gĂ©rait plusieurs commerces dans la rĂ©gion ce qui l’entraĂ®nait Ă ĂŞtre souvent absent pour de petites pĂ©riodes de un Ă deux jours et par consĂ©quent, la femme volage c’était Ă©videmment Marie-Claire ! Je tombais des nues, mon idole venait de dĂ©gringoler tout Ă coup de son piĂ©destal ! J’étais terriblement déçu et je voulus en avoir le cĹ“ur net.Je dĂ©cidai d’espionner discrètement ma voisine, je redoutais un peu de dĂ©truire le modèle de femme exemplaire que j’avais bâti dans mes rĂŞves, mais d’autre part, ma curiositĂ© me poussait Ă en savoir plus, plutĂ´t par jeu, et sans arrière pensĂ©e prĂ©cise. C’était l’étĂ© et je n’avais pas grand chose Ă faire, je partageais mon temps entre la piscine et l’appartement familial.Comme il faisait très chaud, je dĂ©cidai de m’installer dans une petite pièce en sous-sol dont la fraĂ®cheur Ă©tait plus agrĂ©able. Mon père l’avait amĂ©nagĂ©e en chambre d’amis, l’hiver elle Ă©tait trop humide et inhabitable, mais l’étĂ© il y rĂ©gnait une fraĂ®cheur agrĂ©able ; je m’y installai et j’y passai beaucoup de temps, soit Ă faire confortablement la sieste, soit Ă lire et Ă rĂ©viser mes cours pour l’annĂ©e Ă venir. C’était de plus un poste d’observation idĂ©al : la pièce avait une petite fenĂŞtre qui donnait sur la partie du jardin rĂ©servĂ©e Ă Marie-Claire et Ă sa famille.Je dĂ©couvris avec dĂ©lices que souvent, dans l’après-midi, ma voisine venait s’allonger sur un transatlantique Ă peine vĂŞtue d’un petit bikini rouge Ă pois blancs qui cachait assez mal ses rondeurs et les faisait mĂŞme plutĂ´t ressortir ! Elle se croyait seule et s’exposait sans retenue au soleil et Ă mes regards, et je ne me privais pas l’observer avidement. Au dĂ©but j’admirai sagement son corps magnifique sans penser Ă rien d’autre mais ce spectacle provoqua chez moi une vive Ă©rection qui ne tarda pas Ă devenir douloureuse. Pour me soulager, je me masturbai lentement en regardant ses gros seins moulĂ©s dans le petit soutien-gorge, c’était divinement bon !Elle abaissa les bonnets jusqu’à la pointe de ses seins pour Ă©viter les marques et lĂ je devins presque fou, je voyais, bien marquĂ©es sur sa peau blanche, les larges arĂ©oles sombres et j’entrevoyais de gros tĂ©tons que le frottement du tissu et la chaleur faisaient pointer. Le plaisir monta très vite, je me branlais Ă pleine main, la vue de ces trĂ©sors me rendait ivre de dĂ©sir, j’accĂ©lĂ©rai ma cadence, brutalement le plaisir me submergea et j’eus un orgasme fulgurant, envoyant une giclĂ©e de sperme jusque sur le plafond de la petite pièce !Je m’étais dĂ©jĂ masturbĂ© en lisant des revues Ă©rotiques – c’était alors l’époque des cĂ©lèbres « Folies de Paris et Hollywood » qui Ă©talait des photos en noir et blanc de belles aux charmes Ă©panouis. Mais le plaisir que je venais de ressentir en observant une femme rĂ©elle Ă©tait sans aucune mesure avec ce que j’avais dĂ©jĂ pu Ă©prouver ! Cette sĂ©ance de branlette me soulagea momentanĂ©ment, mais l’idĂ©e que je pourrais faire l’amour avec cette femme ne me quitta plus et malgrĂ© cette jouissance et cette Ă©jaculation violente, je gardais mon dĂ©sir inassouvi !Par mes observations, je constatai aussi qu’il existait une corrĂ©lation Ă©vidente entre les absences d’AndrĂ© et les livraisons de Max-le-boucher ! Dès qu’AndrĂ© partait pour quelque temps, je voyais arriver le fourgon de Max qui rentrait toujours chez ma voisine avec un paquet sous le bras, je remarquai aussi que la « livraison » prenait pas mal de temps, entre une et deux heures en gĂ©nĂ©ral ! D’après ce que j’avais entendu dire par mes parents, je compris que Max devait aussi faire une cuisine assez spĂ©ciale Ă ma charmante voisine.Un après-midi oĂą mes parents Ă©taient sortis, je surpris une conversation intime entre eux : l’oreille tendue près d’une cheminĂ©e qui communiquait avec celle de la pièce du dessous, vestige indiscret d’un système de rĂ©cupĂ©ration de chaleur du siècle dernier, J’entendis des voix feutrĂ©es, celle de Max, impatiente, qui disait :— Allez, dĂ©shabille-toi, j’ai envie de toi, ça fait trois jours que je t’attends, je n’en peux plus ! Ton imbĂ©cile de mari Ă l’air de s’incruster, dis-moi ? Est-ce que tu n’es pas en train de revenir avec lui ?Et Marie-Claire qui rĂ©pondait :— Mais non, tu sais bien que je n’ai envie que de toi… Moi aussi ça me manque de faire l’amour, mais ne fais pas trop de bruit, les enfants font la sieste, et tu sais bien qu’il ne faut pas les rĂ©veiller !— Les rĂ©veiller, rĂ©pondit Max, mais c’est toi qui fais du bruit ma salope, quand tu jouis, tu cries comme une truie, tu ne sais pas t’arrĂŞter et je suis presque obligĂ© de t’étouffer sinon tu ameuterais tout le quartier !La suite fut du mĂŞme tonneau, sans Ă©quivoque. Max complimenta Marie-Claire pour un nouveau bustier qui laissait ses seins nus et la conversation devint de plus en plus grivoise ! Ă€ vrai dire, j’étais très dĂ©sorientĂ© par cet Ă©change de propos entre les deux amants, je n’arrivais pas Ă imaginer les mots que j’entendais dans la bouche de ma voisine que je considĂ©rais, bien que j’apprĂ©ciais ses formes voluptueuses, comme une jeune femme vertueuse et une mère de famille exemplaire.J’aimais Marie-Claire encore comme un adolescent pour qui l’amour et le sexe Ă©taient deux choses complètement sĂ©parĂ©es, en fait, j’éprouvais une immense dĂ©ception ! Mais ma sensualitĂ© de jeune homme reprit vite le dessus et par curiositĂ© je continuai Ă Ă©couter les chuchotements des deux amants. Je sentis ma queue se dresser et je me mis Ă me caresser doucement. Après une longue sĂ©ance de caresses soulignĂ©es par les gĂ©missements de plaisir de ma voisine, j’entendis Marie-Claire dire Ă Max :— Vas y maintenant, j’ai trop envie, prends-moi en levrette j’ai envie de te sentir venir en moi par derrière, caresse-moi la moule chĂ©ri, fais moi monter.Je n’en pouvais plus, j’avais ma queue Ă la main et je me branlais comme un fou. J’entendis ensuite le couple s’activer et Marie-Claire commença Ă Ă©mettre des gĂ©missements puis des cris Ă©touffĂ©s qui annonçaient ouvertement son plaisir :— Ah oui, ah oui Max ! Encore, encore, plus fort ! Ne t’arrĂŞte pas ! Oh, donne-moi ta grosse queue, vas-y rentre la bien Ă fond, oh ouii !Puis une longue sĂ©rie de cris rauques Ă©mis par Marie-Claire accompagnèrent les grognements de Max, indiquant que les deux amants Ă©taient parvenus Ă une jouissance commune, mon orgasme dĂ©ferla alors Ă l’improviste et j’envoyai une longue giclĂ©e de sperme sur le tapis, ce qui me demanda pas mal de travail pour effacer les dĂ©gâts.Bien entendu, l’écoute de ces Ă©bats avait Ă©tĂ© particulièrement excitante et dès lors, je me mis Ă l’affĂ»t des nouvelles aventures de Marie-Claire. Le lendemain, je lui dis bonjour comme d’habitude, mais quand elle s’approcha pour me faire la bise, je sentis une chaleur m’envahir et malgrĂ© moi, le rouge me monter aux joues, elle s’en aperçut et me demanda ce que j’avais, je bredouillai et je rĂ©ussis simplement Ă lui dire :— Marie-Claire, vous ĂŞtes tellement euh… aimable…— Tu es gentil, merci du compliment ! Oh! C’est vrai que tu as bien grandi, tu es en train de devenir un homme, mais tu es mignon, si tu t’ennuies, passe me voir Ă la maison ! il y a certainement des livres qui t’intĂ©resseront dans ma bibliothèque.Je fus ravi de cette rĂ©ponse, j’espĂ©rai bien aller la voir pour lui avouer le dĂ©sir que j’avais de faire l’amour avec elle mais, comme on le verra, les choses ne se dĂ©roulèrent pas aussi simplement que prĂ©vu ! Ce jour-lĂ , AndrĂ© Ă©tait parti pour la journĂ©e, il faisait très chaud et au dĂ©but de l’après-midi, Marie-Claire Ă©tait venue s’allonger en face de ma chambre sur un canapĂ© de jardin, recouvert d’un matelas, Ă l’ombre d’un grand parasol. Elle lisait, allongĂ©e et Ă demi-nue avec son merveilleux petit maillot de bain deux pièces, rouge Ă pois blancs.Je m’étais confortablement installĂ© dans un fauteuil derrière la fenĂŞtre pour mieux l’observer ; une nouvelle fois, ses formes gĂ©nĂ©reuses provoquèrent mon Ă©rection et je commençai Ă me caresser. Comme prĂ©vu, je vis arriver le fourgon de Max. Cette fois-ci, il n’avait mĂŞme pas de paquet sous le bras, la maison Ă©tait dĂ©serte, mes parents ainsi que tous les autres voisins Ă©tant partis en vacances, et il ne songeait plus Ă se cacher : il jeta son tablier, se mit Ă genoux près du canapĂ© et embrassa fougueusement Marie-Claire sur la bouche en un long baiser sensuel ; celle-ci se mit aussitĂ´t Ă caresser Max de ses mains fĂ©briles.Elle entreprit de dĂ©faire sa chemise pour lui caresser le torse, Max Ă©tait vĂŞtu d’un short et je voyais dĂ©jĂ son sexe y faire une bosse significative. Marie-Claire, tout en embrassant son amant entreprit de dĂ©faire les premiers boutons du short pour libĂ©rer son engin, ses mains adroites ont extrait facilement de sa prison de tissu une queue qui me sembla monstrueuse par rapport Ă mon sexe. Le haut de la hampe dĂ©passait du slip et laissait voir une tige Ă©paisse et rouge surmontĂ©e d’un gland violacĂ© dont le frein dĂ©passait la tige tel un jeune champignon, Marie-Claire caressait le gland du bout des doigts puis commença Ă branler son amant en empoignant le membre Ă pleine main. Max se mit Ă grogner sourdement, sa bouche soudĂ©e aux lèvres pulpeuses de Marie-Claire.AppuyĂ© d’une main sur le canapĂ©, Max entreprit de son autre main de dĂ©gager les pointes des seins de sa partenaire hors du soutien-gorge et commença Ă les titiller ; Marie-Claire ondulait sous la caresse, ses tĂ©tons avaient doublĂ© de volume et pointaient Ă prĂ©sent en l’air de manière totalement impudique. Elle gĂ©missait de plus en plus fort avec cette voix de gorge que je lui avais dĂ©jĂ entendue pendant qu’elle jouissait sous les assauts de Max la fois prĂ©cĂ©dente. Elle protestait mollement :— Oh, Max, non pas ici, on pourrait nous voir ! ArrĂŞte, viens Ă l’intĂ©rieur, je n’en peux plus ! J’ai trop envie de toi !Mais Max n’écoutait plus rien, il sentait la fille dĂ©jĂ trop avancĂ©e dans le plaisir pour qu’elle lui rĂ©siste, aussi, quand il lui rĂ©pondit :— Mais il n’y a personne, et puis lĂ , tu as tellement envie de baiser que je suis sĂ»r que tu ne veux pas que je m’arrĂŞte !Marie-Claire ne rĂ©pondit pas, elle se redressa et descendit complètement le short.Max, Ă©tait assez petit, massif, le torse très velu, son sexe Ă©tait court et très Ă©pais. Elle le prit dĂ©licatement en bouche tandis qu’il lui caressait les cheveux. Je suivais les opĂ©rations en me caressant avec un plaisir inouï ; je n’avais encore jamais vu un couple faire l’amour et lĂ , pour une première fois, j’étais ravi de voir ces deux ĂŞtres s’abandonner aussi totalement Ă leur plaisir charnel !Marie-Claire commença Ă sucer le gland de son partenaire, lĂ©chant la pointe puis les bords, s’arrĂŞtant tantĂ´t pour branler la grosse queue Ă pleine main, tantĂ´t pour remettre sur sa tĂŞte une mèche de cheveux qui s’échappait de son chignon. La caresse semblait infiniment agrĂ©able pour Max qui grognait de manière sourde Ă genoux sur le lit les yeux clos, haletant la bouche ouverte ; il caressait les cheveux de la femme en la plaquant contre lui pour qu’elle engloutisse son sexe jusqu’à la racine.Sentant le plaisir monter chez son amant, Marie-Claire engloutit alors la bite en entier et la suça longuement. Max ressentait visiblement un plaisir intolĂ©rable, au bout de quelques minutes, il se dĂ©gagea et allongea Marie-Claire Ă plat dos sur le lit, il lui enleva son bikini puis il lui Ă©carta les jambes en remontant ses genoux. Il s’accroupit au bord du lit et enfouit sa tĂŞte entre les cuisses de la jeune femme. Il se mit alors Ă lui lĂ©cher la fente. De temps Ă autre, il se relevait et je m’aperçus alors du changement survenu sur le sexe de Marie-Claire : les lèvres avaient presque triplĂ© de volume, formant Ă prĂ©sent un Ă©tui qui saillait de plus d’un centimètre et la langue de Max s’affairait sur ce merveilleux fourreau,Marie-Claire gĂ©missait et commença Ă remuer ses hanches, elle suppliait son amant de la prendre :— Viens en moi, baise-moi, viens, je suis prĂŞte, je te veux, je veux ta bite !Mais Max Ă©tait tout Ă son affaire et il ne l’écoutait plus, remuant la tĂŞte comme un fou, Marie-Claire ondulait des hanches et poussait Ă prĂ©sent de petits cris rauques, soulignant sa jouissance. Un instant après elle cria un peu plus fort et se mit Ă trembler en disant de manière presque inarticulĂ©e :— oh oui, oh je jouis, oh c’est bon, oh viens Max, viens baise-moi maintenant !Max se releva et se plaça face Ă sa partenaire, Marie-Claire Ă©tait Ă prĂ©sent allongĂ©e, une jambe relevĂ©e et l’autre appuyĂ©e par terre Ă cĂ´tĂ© du lit, je pouvais voir sa fente largement ouverte, son partenaire prit son membre en Ă©rection Ă pleine main et dirigea le gland vers la fente, mais il n’avait apparemment pas l’intention de la pĂ©nĂ©trer tout de suite ; il promena le gland sur la fente humide arrachant Ă Marie-Claire des gĂ©missements de plaisir et des protestations. Il passa ainsi de longues minutes Ă frotter sa pine contre le sexe trempĂ© de sa partenaire, elle n’en pouvait plus, criant, gĂ©missant, implorant son amant de la pĂ©nĂ©trer enfin, avide de recevoir le chibre au plus profond de son sexe en feu.Le spectacle Ă©tait inouĂŻ, je n’avais jamais vu jouir une femme et j’étais subjuguĂ© par cette vision! La taille du membre de Max m’impressionnait et surtout l’énorme gland qu’il frottait dans la fente humide ; je me dis qu’avec un engin pareil, il devait ressentir une jouissance formidable ! Ce spectacle me paraissait mille fois plus excitant que tout ce dont j’avais pu rĂŞver. Mais l’homme devait lui aussi avoir envie d’aller plus avant, il se releva et de son bras il aida Marie-Claire Ă se lever et Ă se retourner suivant un scĂ©nario qui devait ĂŞtre dĂ©jĂ bien rĂ´dé !Elle se trouvait Ă prĂ©sent Ă genoux, appuyĂ©e sur le canapĂ©, face Ă moi, Max Ă©tait derrière elle et s’apprĂŞtait Ă la pĂ©nĂ©trer, elle se tourna et de sa main guida la queue de son amant dans sa chatte, Max poussa un soupir de satisfaction et s’enfonça profondĂ©ment en elle ; en ressentant le contrecoup de la pĂ©nĂ©tration, Marie-Claire ouvrit la bouche avec un rictus, les yeux mi-clos et poussa un soupir de satisfaction. Ses gros seins pendaient Ă prĂ©sent et se balançaient en suivant la cadence imprimĂ©e par les coups de bite de Max. C’était aussi la première fois que je voyais un homme et une femme faire l’amour et la position en levrette me parut extrĂŞmement excitante.Pris par leur plaisir, les amants cessèrent de parler, n’émettant plus que des grognements sourds et des soupirs… Max avait les yeux clos et poussait son sexe en avant, limant consciencieusement le con de Marie-Claire ; celle-ci avait un peu repris ses esprits et Ă prĂ©sent elle avait rouvert ses yeux, elle Ă©tait appuyĂ©e d’une main sur le lit et son autre main Ă©tait occupĂ©e Ă exciter son bouton d’amour. Cette dernière caresse porta mon excitation Ă son comble, j’étais debout Ă l’intĂ©rieur, derrière la fenĂŞtre Ă un mètre Ă peine de Marie-Claire et je me branlais de plus en plus fort ; j’étais dans l’ombre et je pensais qu’elle ne pouvait pas me voir.J’essayais de ne pas trop bouger pour ne pas me faire remarquer, mais le plaisir montait aussi en moi de manière irrĂ©pressible devant le spectacle des deux amants dĂ©chaĂ®nĂ©s et bientĂ´t je me mis Ă me masturber Ă fond sans aucune retenue. Tout Ă coup Marie-Claire tressaillit, mes mouvements avaient rĂ©vĂ©lĂ© ma prĂ©sence, elle parut surprise et m’adressa un regard courroucé ! L’espace d’un instant j’eus honte, mais le plaisir Ă©tait trop grand, je restai et je la regardai, mon sexe bandĂ© bien en Ă©vidence ; elle fit la grimace, furieuse de me voir l’observer mais n’osant rien dire, elle non plus. De mon cĂ´tĂ© je me trouvai fier de lui montrer ma bite bien dressĂ©e et je recommençai Ă me branler en la regardant droit dans les yeux !Peu Ă peu son attitude changea, elle se mit Ă me sourire Ă©trangement puis me fit le simulacre de petits baisers, ouvrant et fermant sa bouche dans ma direction, j’étais fou de plaisir, elle m’encourageait ! Je me branlai Ă nouveau ostensiblement cette fois-ci et lĂ , elle me fit oui de la tĂŞte, je me sentis si près d’elle j’avais l’impression que c’était moi qui la baisais !Tout Ă coup l’action s’accĂ©lĂ©ra, Max la limait de plus en plus fort et elle recommençait Ă monter vers un nouvel orgasme, ses seins ballottaient, leurs pointes dardĂ©es montraient combien elle Ă©tait excitĂ©e, un rictus lui dĂ©forma la figure, elle se redressa et prit ses seins dans ses mains pour se les caresser. Elle se montrait Ă moi en pleine jouissance, fière du plaisir qu’elle se donnait mais aussi de celui qu’elle me procurait ! Max eut un spasme et se raidit, il Ă©tait en train de lui juter dans la chatte, cette jouissance dĂ©clencha aussitĂ´t l’orgasme de Marie-Claire, son ventre fut agitĂ© de contractions et elle cria comme une bĂŞte qu’on Ă©gorge, malgrĂ© moi je me sentis partir et je jouis intensĂ©ment, de longs jets de sperme jaillirent de ma queue et vinrent maculer la vitre, sous les yeux de Marie-Claire qui m’encourageait Ă prĂ©sent en hochant la tĂŞte, aussitĂ´t après je me retirai pour ne pas me faire voir et je restai longtemps excitĂ©.Je dormis peu cette nuit-lĂ rĂŞvant sans cesse de Marie-Claire, et Ă©chafaudant mille et un plans pour la rejoindre et faire l’amour avec elle ! Je me rĂ©veillai très tard le lendemain, j’étais toujours seul, mes parents Ă©tant partis pour quelques jours. Vers une heure de l’après-midi, la maison semblait dĂ©serte, j’entendais seulement la radio de Marie-Claire qui dĂ©bitait en sourdine des musiques de jazz, elle Ă©tait seule, les enfants dormaient et Max ne semblait pas se manifester.L’occasion Ă©tait trop belle, je descendis et puis je rentrai chez ma voisine par la terrasse sans faire de bruit, avec l’intention de l’observer. Elle n’avait pas dĂ» se lever très tĂ´t elle non plus ! Elle Ă©tait dans sa salle de bains, la porte grande ouverte, assise en peignoir de soie bleue devant un grand miroir, elle coiffait sa longue chevelure qui oscillait entre le châtain et le roux, j’étais en admiration devant sa beautĂ© elle avait de grands yeux en amande une belle bouche aux lèvres pulpeuses que j’avais vue Ă l’œuvre avec quel entrain sur les lèvres et la bite de Max ! Elle releva ses cheveux pour en faire un chignon, puis se croyant seule elle Ă©carta les pans de son peignoir et s’admira dans la glace, ses gros seins en poire bien moulĂ©s par un joli soutien-gorge en satin noir.Elle se tourna de profil pour mieux les admirer, puis se remit de face, et abaissa lĂ©gèrement le satin pour dĂ©gager les pointes des seins. Je remarquai que ses tĂ©tons commençaient Ă s’ériger ; elle mit ses mains dessus et commença Ă se caresser de la manière la plus impudique qui soit, et je sentis ma queue se dresser raide et dure comme un barreau de chaise ! J’étais dans un rĂŞve ! Marie-Claire continuait sa caresse et bientĂ´t une de ses mains Ă©carta le bas du peignoir et elle se mit Ă passer un doigt dans sa moule, puis deux. Enfin elle se mit Ă se masturber pour de bon, Ă©mettant les petits gĂ©missements rauques qui m’excitaient tant ! Je n’en pouvais plus, je descendis mon short et je me mis moi aussi Ă me branler sans retenue.Mais le destin Ă©tait Ă©crit, et tout Ă coup, sentant une prĂ©sence elle se retourna et me vit ! Je devins rouge de confusion et je m’apprĂŞtais Ă m’enfuir, elle m’interpella d’une voix ferme mais avec une certaine intonation de douceur :— Etienne, mais que fais-tu-lĂ coquin ! Tu Ă©pies ta voisine en cachette Ă prĂ©sent ! Oh ! Oh ! Mais je vois que tu es aussi vraiment un homme Ă prĂ©sent. Remarque bien que je le savais depuis hier ! Allez laisse-moi maintenant, tu ne devrais pas ĂŞtre lĂ , tu es trop jeune pour ces choses-lĂ ! J’ai besoin d’être seule.Mais j’étais trop fou de cette femme et malgrĂ© moi je m’entendis rĂ©pondre :— Oh Marie-Claire, j’ai tellement envie de vous voir, vous ĂŞtes si belle. Je vous aime, laissez moi rester un peu avec vous !Elle rĂ©pondit, un peu indĂ©cise :— Non, tu es trop jeune. Attends, un peu, plus tard ton tour viendra !Du coup, je sentis une vague de dĂ©ception m’envahir. J’étais dĂ©semparé… la quitter, là … si près du but, je ne pouvais y renoncer. Je n’avais pas envie de la forcer physiquement car, d’une part cela n’était pas dans mon tempĂ©rament et, d’autre part j’étais plein de tendresse pour elle, mais aussi plein de rage Ă cause de mon dĂ©sir frustrĂ©, alors j’osai lui dire :— Mais Marie-Claire, pourquoi me refuseriez-vous ce que vous accordez Ă Max ? Moi, je vous admire et je vous aime depuis des mois, lui, il est votre amant mais il ne vous aime pas. Il vient quand il en a envie de profiter de vous, il n’est jamais tendre avec vous ! Et puis, que dirait AndrĂ© s’il savait ?LĂ , j’avais Ă©tĂ© trop loin, elle se fâcha et son visage s’empourpra :— Ah mais tu es une sale petite vermine, non seulement tu m’espionnes mais en plus tu veux me faire chanter, mais tu es odieux ! Et tu prĂ©tends m’aimer ! Eh bien c’est du joli ! Je suis peut ĂŞtre une femme volage, mais au moins je n’ai pas ces bassesses ! Et puis, tu sais, AndrĂ© me laisse complètement tomber, il n’est pas très chic avec moi c’est uniquement pour ça que je vois Max, mais de toute manière cela ne te regarde pas.J’étais effondrĂ©, mes espoirs de bonne fortune s’éloignaient et ses paroles justes me touchaient profondĂ©ment. Je me laissai glisser par terre Ă ses pieds et je me mis Ă pleurer Ă chaudes larmes ! Cette rĂ©action inattendue la toucha, elle eut un rĂ©flexe très maternel et elle me prit dans ses bras en m’entraĂ®nant dans sa chambre, nous nous assĂ®mes sur le lit oĂą elle entreprit de me consoler.— Allez Etienne, puisque tu as dĂ©cidĂ© d’être un grand garçon, montre-le, sèche tes larmes, après tout, la vie est longue ! Oh, je sais, tu es souvent seul et tes parents sont durs avec toi, c’est normal que tu cherches des compensations, Mais ça me gène un peu, tu comprends, je te considère un peu comme un enfant, et puis ce sont des jeux d’adultes que tu me demandes !Je repris en sanglotant encore un peu :— Mais Marie-Claire, je suis fou de vous ; j’ai envie de vous, je n’ai encore jamais fait l’amour avec une femme. Je voudrais que vous soyez la première, je vous en supplie !Pendant cette discussion, son peignoir, qu’elle avait Ă peine fermĂ©, baillait largement sur sa poitrine. Elle voyait que j’admirais ses seins dont les bouts Ă©taient encore dressĂ©s sous l’effet de ses caresses. J’étais Ă demi-nu et je me mis de nouveau Ă bander, elle ne pouvait pas ne pas le voir et, tout naturellement, elle me dit :— Oh, mon pauvre petit, c’est vrai, c’est un peu de ma faute. Tu sais, je pensais Ă Max, j’avais envie de lui, et toi c’est normal que ça t’excite. Mais viens, tu ne peux pas rester comme ça, je vais te dĂ©tendre un peu, allonge-toi lĂ sur mon lit.Elle me regarda alors en souriant, les yeux brillants avec un sourire Ă©trange et je sentis que son attitude changeait. Ă€ ma grande surprise, elle me fit allonger sur le dos et sans rien dire, sa main très douce et un peu potelĂ©e enserra doucement ma verge. Elle commença Ă me branler doucement et se mit Ă faire de longs va-et-vient, avec application, comme si elle rĂ©alisait un travail d’une grande importance !Elle Ă©tait Ă prĂ©sent accroupie près de moi sur le lit et ses gros seins tremblaient doucement Ă quelques centimètres de mes lèvres ; je sentais son parfum, mĂ©lange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Je tendis mes lèvres, elle m’embrassa sur la bouche d’abord du bout des lèvres puis de plus en plus avidement, je bandais comme un taureau sous sa caresse. D’une main, je l’enlaçai et de l’autre, je caressai doucement la pointe de son sein ; je la trouvai Ă©tonnamment dure. Elle gĂ©mit sous la caresse, en continuant Ă m’embrasser et se pencha au-dessus de mon torse pour me caresser avec la pointe de ses seins aux tĂ©tons, Ă prĂ©sent gonflĂ©s au maximum, puis lâchant ma bite elle se coucha sur moi et m’enlaça Ă©troitement en m’embrassant goulĂ»ment sur la bouche, ma bite frottait contre son ventre, que c’était bon !Au bout d’un moment, elle se releva et me dit :— Ça va, tu as gagnĂ©, tu m’excites trop toi ! Maintenant j’ai envie de faire l’amour… Viens, je vais te montrer comment tu dois t’y prendre pour bien me faire jouir. Tu es tellement excitĂ©, je sens que si je continue Ă te caresser, tu vas juter tout de suite et moi je n’aurai plus rien. Alors voilĂ , obĂ©is-moi : tu vas me caresser, lĂ , avec ta bouche, lèche-moi la moule, vas-y Etienne, tu vas me faire du bien !Et en disant cela, elle se mit Ă genoux au-dessus de moi et me prĂ©senta sa fente. Je fis comme je l’avais vu faire Ă Max ; je pointai ma langue vers les lèvres humides et je lui lĂ©chai la fente avec dĂ©lices, elle Ă©tait Ă la fois parfumĂ©e et très lĂ©gèrement salĂ©e et c’était tellement doux. Elle gĂ©missait au-dessus de moi et ondulait de la croupe pour bien se frotter sur ma langue. Le jeu dura plusieurs minutes, je lui lĂ©chai ensuite les seins, elle Ă©tait Ă prĂ©sent consentante, abandonnĂ©e :— Oh, tu es gentil, je vais te faire du bien, tu vas voir.Et lĂ , elle s’accroupit Ă nouveau sur moi et prit ma pine dans sa bouche, la caresse Ă©tait Ă©tonnamment douce, je me dĂ©tendis. Je caressais ses cheveux Ă prĂ©sent dĂ©faits ; de temps Ă autre, elle se relevait pour me sourire :— C’est bon, hein, tu aimes ? Je vais bien te faire durcir la queue et ensuite tu vas me baiser, tu verras comme c’est bon !Sa caresse Ă©tait divine, elle me pompait Ă fond. Je sentais le frottement de sa langue sur mon gland, je sentais ma verge rentrer Ă fond dans sa bouche chaude, je dĂ©couvrais le paradis ! Elle sentit que mon excitation n’allait pas tarder Ă me faire gicler aussi, et elle s’interrompit et me dit :— Maintenant, tu vas me branler. Vas-y, mets tes doigts dans ma fente, doucement ; monte de bas en haut. Oui, comme ça ! Oh oui, c’est bon, oh oui, encore ! Vas plus vite, je vais jouir, oh oui, vas-y, fais moi jouir, j’en ai envie !J’étais fou de joie de donner du plaisir Ă cette femme superbe, mon Ă©rection Ă©tait Ă son maximum, je lui dis doucement :— LĂ , Marie-Claire, j’ai envie de toi. Je veux te baiser, j’ai trop envie moi aussi, laisse-toi faire, je t’en prie !Elle vint aussitĂ´t sur moi et, de sa main, elle guida ma queue vers son sexe. Les grandes lèvres Ă©taient distendues, je sentis mon membre coulisser facilement dans l’étui tiède ; elle se pencha en avant et frotta ses seins sur mon visage. Je lui lĂ©chai les bouts au passage. Elle montait et descendait sur ma queue, rythmant les mouvements au grĂ© de son plaisir ; c’était trop bon, j’étais trop excitĂ©. Je dĂ©couvrais cette sensation dĂ©licieuse de sentir coulisser mon membre dans sa chatte palpitante pour la première fois.J’avais envie que le jeu n’ait pas de fin, j’étais trop bien, elle me souriait fière de me donner du plaisir pour la première fois ! Je voulus me retenir mais, malgrĂ© moi, je sentis ma verge se contracter, ma jouissance monta brutalement ; je poussai mon bassin en avant pour juter bien Ă fond dans son con, je jouissais Ă n’en plus finir, elle le ressentit et sourit :— Oh, c’est bien mon chĂ©ri, tu jouis, vas-y, laisse-toi aller ! Mets-moi toute ta crème, je te sens bien. Tu en avais tellement envie ! Moi je ne suis pas encore partie mais ça ne fait rien, reste comme ça, tu me fais du bien tu saisEn fait ma queue restait enfouie dans son sexe, elle diminua un peu de volume mais resta quand mĂŞme bien dressĂ©e.Ma belle maĂ®tresse en profitait pour se limer elle-mĂŞme. Le spectacle de ses gros seins ballottant au-dessus de moi ne tarda pas Ă me redonner de la vigueur. Ça n’était pas une performance, mais le bĂ©nĂ©fice de la jeunesse et c’était aussi Ă cause du caractère merveilleusement Ă©rotique et tendre de ma jolie partenaire ! Moins de cinq minutes plus tard, je bandais de nouveau Ă fond, et cette fois-ci Marie-Claire Ă©tait bien plus excitĂ©e ; elle sentit mon membre grossir Ă nouveau en elle :— Ah oui, Etienne ! Oh oui, remplis-moi encore, lĂ je vais me faire jouir, viens !Je la tenais par les hanches et elle soulevait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de ma queue. Je voyais ma bite tantĂ´t presque sortie de sa chatte, tantĂ´t enfoncĂ©e au maximum, nos ventres se touchant. EmpalĂ©e Ă fond, elle remuait pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante qui reflĂ©tait Ă la fois sa fiertĂ© de me donner du plaisir et l’intensitĂ© de celui qu’elle ressentait elle-mĂŞme !Ă€ partir de lĂ , elle se laissa aller, elle Ă©tait transformĂ©e et fière de son corps, elle m’encourageait Ă lui en donner encore plus !— Ah Etienne, oui, vas-y, regarde bien mes seins, ils te font bander dur, je le sais… je t’ai vu te branler l’autre jour pendant que je baisais avec Max… tu m’as excitĂ©e tu sais. J’ai eu envie de ta queue quand je t’ai vu te branler, mais lĂ c’est bon, tu es bien profond en moi, vas-y, baise-moi fort !Elle se dĂ©chaĂ®na, ses seins ballottaient de droite Ă gauche, elle se mit Ă crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se mit Ă vibrer en une sĂ©rie de contractions ininterrompues. Elle jouissait au-delĂ de l’imaginable, tous ses sens tournĂ©s vers le plaisir, enfilĂ©e sur mon sexe jusqu’aux bourses, rouge suffocante splendide ! Je jouis une deuxième fois mais, cette fois-ci, en ressentant au maximum tout mon plaisir avec la satisfaction d’une issue attendue. Je sentis un flot de sperme gicler par saccades dans le sexe de ma partenaire et un immense sentiment de bien-ĂŞtre m’envahit !Pour une première fois j’étais comblĂ© et cela me donna une folle envie de recommencer ! Elle se coucha sur moi, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous Ă©tions haletants, apaisĂ©s, heureux. Que dire, après cette formidable aventure : la vie me parut merveilleuse et je n’eus qu’une envie, celle de renouveler l’expĂ©rience ! Ce ne fut pas très facile car je ne pouvais retrouver Marie-Claire – qui m’accueillait toujours avec autant de tendresse et de fougue amoureuse – que les rares fois ou Max –l’amant – et AndrĂ© – le mari – Ă©taient absents.Mais cet heureux temps ne dura que jusqu’à la fin de l’étĂ© et je ne refis l’amour avec Marie-Claire que trois fois. Peu de temps après, le manège de Max Ă©tant devenu par trop Ă©vident, de « bonnes âmes » dĂ©noncèrent Ă AndrĂ© son infortune et il demanda aussitĂ´t le divorce !Marie-Claire dĂ©mĂ©nagea dans une autre ville, je ne l’ai plus jamais revue. J’en rĂŞve encore des annĂ©es après et j’ai toujours gardĂ© d’elle un merveilleux souvenir.