Depuis quelques mois nous utilisons les services d’une aide-mĂ©nagère lusitanienne.Elle a Ă peine trente ans et, comme ses compatriotes, elle est gorgĂ©e de soleil et confite en religion. Inutile de dire que je fantasme sur sa supposĂ©e pilositĂ© que j’espère abondante.Elle est sacrĂ©ment jolie avec ses yeux noirs, ses sourcils bien tracĂ©s et sa bouche Ă la lèvre un peu relevĂ©e. Elle est solidement charpentĂ©e sans ĂŞtre grosse. Le travail a fortifiĂ© sa musculature. Elle s’habille toujours assez chastement. Pas de dĂ©colletĂ© plongeant, pas de pantalon collant, pas de jupe courte, des manches courtes mais tout cela ne dissimule que peu une poitrine qui semble attrayante et des fesses bien charnues.Bon, elle est engagĂ©e pour nettoyer et pas pour que je la saute….Quoiqu’elle me fasse bien envie !Elle est naĂŻve ou rouĂ©e, je ne sais pas encore, mais penche plutĂ´t vers la première hypothèse.A plusieurs reprises dĂ©jĂ j’ai pu, sous un prĂ©texte quelconque, lui prendre les hanches, les fesses et, comme par mĂ©garde, lui effleurer un sein. Chaque fois qu’elle me dit avoir mal lĂ oĂą lĂ , je m’empresse de palper doucement la zone douloureuse, bien plus qu’il ne faudrait le faire. Toujours sans rĂ©action de sa part, d’oĂą sa supposĂ©e naĂŻvetĂ©Â !Lorsqu’elle va Ă la toilette, je reste près de la porte pour capter le bruit de son pipi dans la cuvette et je m’imagine un minou poilu bien mouillĂ©.Comme c’est, en plus, une excellente aide-mĂ©nagère, j’ai garde de la heurter et de la perdre. Faut choisir dans la vie !Ne voilĂ -t-il pas qu’un beau matin, elle arrive en boitant lĂ©gèrement. Elle me dit avoir eu un important nĹ“ud dans le mollet pendant la nuit et avoir toujours mal. VoilĂ me chance me dis-je aussitĂ´t.Je lui explique qu’aucune contracture musculaire ne rĂ©siste Ă un massage relaxant. Elle hĂ©site, ne voulant pas me gĂŞner (c’est dĂ©licieux…) et accepte finalement mon aide.Je l’installe sur une chaise en face de la mienne, lui demande d’enlever ses souliers et place le talon de son pied gauche en appui sur ma chaise. Son autre jambe reste au sol.La plante de son pied se trouve ainsi placĂ©e Ă quelques centimètres seulement de mon entrejambes.Ce jour la, elle Ă©tait en jupe. Pour ne rien brusquer, j’ai introduit doucement mes mains en dessous de sa jupe qu’elle avait d’ailleurs pudiquement refermĂ©e sur ses jambes.Au contact de son mollet Ă la chair chaude et douce, j’ai une violente Ă©rection, heureusement dissimulĂ©e par mon pantalon.Je masse doucement son mollet, malaxant bien les muscles que je sens encore durcis par la crampe. Elle me dit :— Oui, c’est lĂ que j’ai mal. On dirait que cela va dĂ©jĂ mieux.Je m’attarde très longuement Ă ce contact dĂ©licieux et je remonte vers son genou oĂą je fais des lĂ©gères pressions dans le creux. C’est un point très Ă©rogène pour certaines femmes. Mes deux mains, en conques, enveloppent maintenant le genou complet et lui font Ă©galement un doux massage d’effleurement.Comme mes mains sont maintenant loin sous sa jupe, j’en profite pour, de mes avant-bras, remonter celle-ci, dans un geste naturel. Elle est maintenant bloquĂ©e juste au-delĂ du genou. Comme elle a une jambe au sol et l’autre tendue sur ma chaise, elle a les cuisses entrouvertes.Je me suis avancĂ© un peu sur l’assise de ma chaise et cette fois, Ă peine une feuille de papier sĂ©parerait mon sexe en Ă©rection de la plante de son pied. Je ne dois rien hâter, rien brusquer.Je reviens longuement vers le mollet endolori et dit Ă ma  » patiente « — Vous savez, Manuella, qu’une douleur au mollet peut provenir d’un tendon qui se prolonge dans le muscle de la cuisse. Nous allons voir cela. (hypocrite !!)Mes mains remontent vers sa cuisse et, au passage, entraĂ®nent la jupe qui, maintenant est roulĂ©e très haut. Je vois ses cuisses naturellement bronzĂ©es, entrouvertes et je ne peux rĂ©sister Ă m’avancer encore sur mon siège pour toucher sa plante de pied. Elle ne peut ignorer cette prĂ©sence inhabituellement dure en contact avec son pied mais ne dit rien.Sa cuisse fait l’objet de toute l’attention de mes mains qui partant de l’extĂ©rieur, rejoignent très vite la face interne très douce et la pĂ©trit comme du bon pain.La position devenant inconfortable pour mon dos, j’avance fortement ma chaise et plie donc son genou, faisant reposer cette fois son pied sur mon entrejambes. Je dois me retenir pour ne pas dĂ©jĂ jouir tant ces contacts, encore innocents peut-ĂŞtre, sont d’un fol Ă©rotisme.Ma Manuella ne rĂ©agit pas.Ce mouvement a fait encore bouger la jupe qui, maintenant, ne cache plus rien …Une culotte très simple, blanche, m’apparaĂ®t. Des frisottis de poils noirs abondants en sortent Ă l’aine et, par transparence, je devine une toison bien telle que je la rĂŞvais, luxuriante et noire, sur un pubis bien gonflĂ©.Je continue mon massage de la cuisse en m’enhardissant maintenant Ă caresser de mes pouces le petit muscle assez tendre situĂ© Ă la face intĂ©rieure de la cuisse, pratiquement Ă la limite de l’entrejambe… Manuella, aussi naĂŻve, soit-elle doit maintenant bien savoir que le massage dĂ©contractant de son mollet endolori est loin et que la connotation sexuelle de notre progression est Ă©vidente.Lorsque je m’attarde sur ces petits  » oreillers d’amour  » ( j’aime cette image car dans une certaine position, nos oreilles touchent cette partie !!!) je constate que ses yeux se ferment et qu’elle mord sa lèvre infĂ©rieure. Elle accepte donc mes attouchements ….Risquant plus, je saisis son autre jambe et la pose sur ma cuisse. Elle est maintenant bien ouverte et forcĂ©e un peu par moi elle a Ă©cartĂ© fort ses genoux, tout cela dans un silence que je veux croire complice.J’hĂ©site Ă sortir mon sexe de mon pantalon. Il est peut-ĂŞtre trop tĂ´t encore. Mais maintenant, mes mains s’occupent chacune de l’intĂ©rieur d’une cuisse et effleurent, masse, caresse toute la surface avec une prĂ©dilection toute particulière pour les petits  » oreillers  » que j’ai dĂ©jĂ citĂ©Â !Mes yeux sont rivĂ©s sur son entrejambes cachĂ© par sa culotte blanche. Ne voilĂ -t-il pas que je vois cette culotte se tacher d’humiditĂ©. Une belle raie humide verticale se constitue. Manuella mouille !! C’est plus que dans mes rĂŞves ? Elle s’est d’ailleurs avancĂ©e d’elle-mĂŞme sur sa chaise, ouvrant ainsi ses cuisses encore plus et m’offrant ainsi encore plus facilement accès Ă son intimitĂ©.Mes pouces se rejoignent maintenant sur son entrejambes et j’ose effleurer dĂ©licatement la trace humide de son slip, cherchant le contact avec son bouton d’amour.Je la regarde. Elle a toujours les yeux fermĂ©s mais sa respiration est maintenant devenue plus rapide et une de ses mains s’est mise en coupe sous son sein.Sous ma caresse prĂ©cise, son bassin s’anime d’un imperceptible mouvement comme pour venir au-devant de mes pouces. Tout son pubis est maintenant parcouru par mes doigts et je varie les pressions et les endroits, alternant les caresses et les effleurements ou mĂŞme une bonne poignĂ©e sur sa chatte tout entière.Tout l’entrejambes de sa culotte est maintenant Ă tordre.Je n’y tiens plus et, d’une main, je libère mon sexe qui ne demandait que cela. Il est bien dressĂ© et n’attend, lui aussi, qu’une caresse pour exploser.Manuella ne semble pas avoir remarquĂ© mon mouvement ou ne veut pas le remarquer. Je lui saisis une main et la pose sur ma queue qui vibre. Elle la retire comme si elle avait touchĂ© une barre de fer en fusion, rejette sa main en arrière et s’écrie :Bon, n’insistons pas pour le moment, elle y viendra bien d’elle-mĂŞme !!!!Mes deux pouces se sont introduits hardiment sous la culotte et sont maintenant en contact direct avec sa chair, largement poilue et noyĂ©e dĂ©jĂ de son plaisir. SerrĂ© par le tissu, je n’ai pas grande possibilitĂ© de mouvement et roule un peu le bord, dĂ©couvrant ses lèvres ourlĂ©es comme d’une soie noire.Cette fois, elle s’est elle-mĂŞme Ă©cartelĂ©e pour me faciliter totalement l’accès. Je veux lui enlever le slip mais cette fois encore se sont des Non, non, non catĂ©goriques qui sortent de sa bouche. Sa main maintient d’ailleurs la ceinture du slip.Moi j’ai l’air malin avec ma queue en l’air et personne pour s’en occuper. Elle n’aurait d’ailleurs besoin que d’une petite main gentille pour exploser. Nous verrons cela plus tard !Je m’affaire dans sa fente et n’ai aucune peine Ă atteindre son bouton d’amour. Bien dĂ©capuchonnĂ©, il se montre dressĂ© dans les poils, comme un petit soldat. Il rĂ©agit pleinement Ă mes caresses prĂ©cises.Ma Manuella gesticule maintenant doucement sur son siège, mordant violemment ses lèvres, Ă mon avis pour ne pas crier sa jouissance.Elle ne me refuse aucun contact et j’introduis deux doigts très lentement, dans sa chatte qui est indescriptiblement douce. Je commence un lĂ©ger mouvement de va – vient, tournant bien mes doigts en elle pour encore mieux la sentir. Son plaisir me coule le long de la main et bientĂ´t un troisième doigt rejoint les deux autres et j’active mon mouvement.Mon autre main remonte vers sa poitrine mais, rien Ă faire, elle me la repousse avec une certaine violence. J’ai une envie folle d’approcher ma bouche de son minou pour la boire, la lĂ©cher, la manger goulĂ»ment mais je n’ose pas, ne connaissant pas encore ses limites.Je suis maintenant avec mes trois doigts en elle, mon pouce titillant en plus son clitoris, Ă l’amener Ă plusieurs orgasmes consĂ©cutifs.Mon autre main s’est enroulĂ©e autour de mon sexe, dur Ă faire mal et je commence Ă me faire jouir.Tentant cependant, je lui dis :— Manuella, ouvre tes yeux… regarde mon sexe… ne le veux-tu pas en toi ? Touche-le…Elle a les yeux ouverts, pĂ©trifiĂ©e par la vision de ma verge dressĂ©e, prĂŞte Ă jouir. Je continue mes mouvements en elle et sur moi et, soudain, je ne peux plus me retenir.A jets abondants je me laisse aller, lançant mon sperme sur l’intĂ©rieur de ses cuisses.Manuelle a refermĂ© ses yeux et les tiens serrĂ©s fortement tandis qu’elle s’est mise Ă serrer aussi convulsivement ses cuisses, bloquant ainsi mes doigts profondĂ©ment en elle.Je la sens jouir, jouir sans fin.. le tout dans un râle Ă peine cachĂ©.Elle-mĂŞme, voulant encore aller plus vite Ă son plaisir, bouge son bassin et conduit le mouvement de mes doigts au rythme qu’elle souhaite.C’est fabuleux….Puis, soudainement…. Rideau. Manuella me retire la main, se lève, fait retomber sa jupe sur ses cuisses et s’en va !!!! Le tout sans un mot.Je suis toujours lĂ assis, un peu penaud, le sexe encore un peu bandĂ©. Ce ne doit pas ĂŞtre joli comme tableau. Je me rajuste aussi et m’en vais faire un petit pipi et me laver les mains qui en avaient bien besoin !!! De vous a moi, j’ai lĂ©chĂ© mes doigts pour connaĂ®tre le goĂ»t du minou de ma Manuella. Un nectar vous dirons les connaisseurs !!Un peu après, j’ai croisĂ© Manuella dans le couloir et elle m’a dit :— Monsieur, c’est pas bien ce que vous avez fait. Vous ĂŞtes plus intelligent que moi et vous saviez bien comment m’entraĂ®ner vers ce que je ne voulais pas faire.Nous n’en avons plus parlĂ© de la journĂ©e !! Aura-t-elle encore une crampe Ă soigner ? C’est Ă elle de le dire.Mon petit doigt (vous savez, celui qui fait si bien vibrer le bouton d’amour !) me dit qu’elle viendra en redemander….Ommegang.