Après les quelques moments d’abandon obtenus de Manuella, mon excellente aide ménagère, j’étais assez inquiet de son attitude lors de sa toute prochaine journée de travail.Professionnellement, je ne désirais absolument pas la perdre.Le mercredi, elle est arrivée, vêtue comme à son habitude et légèrement maquillée et, dès rentrée chez moi, elle m’a dit : » Monsieur, j’ai bien réfléchi à ce que vous m’avez fait lundi. Je n’en ai pas parlé à mon mari. (Il ne manquerait plus que cela !!). Vous avez été très gentil et doux. Je ne suis pas habitué à cela car mon mari est rustre et ne connais pas les caresses comme vous. Malgré cela, il faudrait pas que l’on recommence. Si ma mère apprenait cela, elle en mourrait.. Laissez-moi tranquille svp « .Dans sa simplicité, ce message était émouvant. Je lui ai pris le menton et j’ai rapidement et brièvement posé mes lèvres sur les siennes en lui disant :  » D’accord Manuella. « Cette journée là il ne s’est plus rien passé.Le vendredi, Manuella se présente chez moi en petit pull mettant bien en valeur sa lourde poitrine et en pantalon de lin, assez large, fermé par des cordons à la ceinture.Très visiblement, elle est crispée et mal à l’aise. Je l’accueille le plus gentiment possible et lui prend la taille en lui faisant un petit baiser sans conséquence. Ma voix est cependant rauque de désir pour lui dire : » Oh! , Manuella, que vous êtes jolie aujourd’hui. Vous resplendissez « Elle me répond :  » Monsieur, vous êtes trop gentil avec moi. Je n’ai jamais trompé mon mari et depuis l’autre jour, je suis toute drôle..Si quelque chose devrait arriver entre nous, je m’en voudrai toute ma vie. « Si elle est  » toute drôle  » c’est que quelque chose la travaille !Une heure après, je la trouve dans la chambre, faisant le lit.Elle est courbée en avant pour tirer les draps et les couvertures. Son beau postérieur tend son pantalon et je devine qu’ainsi placée, sa poitrine doit peser dans son soutien. Dans sa position, son pull est un peu remonté de l’arrière et dévoile un beau morceau de peau. Je suis appelé par cette vision comme par un aimant et je résiste pas à introduire mes mains sous son pull, lui caressant le dos et les épaules. Je sens Manuella frémir sous mes doigts et, imperceptiblement, je glisse vers l’avant, jusqu’à empoigner ses seins.Inutile de dire que j’ai une érection complète !! Je me colle à elle pour bien lui faire sentir la dureté de mon entre-jambes.Elle se redresse et, gentiment, je la place face à moi, la regardant dans les yeux tout en continuant mes gestes sur sa poitrine, toujours dans son soutien. Je rejoins sa bouche, mais je constate avec surprise que sa naïveté est telle qu’elle ne sait pas bien embrasser. Comment son mari a-t-il ainsi pu laisser dormir les sens de sa si jolie femme ?Ma langue s’introduit dans sa bouche et j’agace le bout de sa langue. Elle réagit vite et rapidement nos deux langues sont entremêlées comme deux petits sexes amoureux.Pendant ce temps, je suis parvenu à désagrafer son soutien et ce sont maintenant ses deux seins nus que j’ai en main. Quelle splendeur de chair douce, de souplesse de la texture. Je ne les vois pas encore, mais je les sens ballottant au moindre mouvement et légèrement tombants. Ses tétons me semblent grands et longs. En tout cas ils apprécient mes caresses.Manuella a vite appris le rythme des baisers et bientôt nos salives mélangées coulent de nos mentons tandis qu’une sarabande déchaînée se passe dans nos bouches.Soudain, Manuella me repousse et s’écarte un peu de moi. Elle est pivoine et elle a les yeux baissés. Elle me dit :  » Monsieur, vous êtes trop bon avec moi et trop gentil. Je ne sais pas vous résister. Ce sera la première fois que j’aurai des gestes avec un autre homme. Je m’en veux, mais je suis contente  » Sur ce, elle vient se blottir dans mes bras et je sens sa lourde poitrine s’écraser contre mon torse.A mon étonnement, je sens ses doigts défaire le cordon de son pantalon et le faire tomber. Avec une petite contorsion, elle s’en débarrasse et se trouve en slip contre moi. Sur la même lancée, elle enlève son pull et je découvre enfin ses seins. Ils sont encore plus beaux que je ne le supposais. Ils sont mouvants mais fermes comme je les aime. C’est une splendeur.Manuella, d’elle-même, a repris possession de ma bouche et, ma foi, se débrouille très bien. Après un long massage de son pubis sur son slip mouillé, j’ai introduit ma main et caresse maintenant cette toison que je souhaite manger, dévorer, boire. Jamais je n’ai eu une telle envie d’une femme ….Son bassin bouge et oscille, appréciant mes caresses de plus en plus précises sur son bouton d’amour. » Monsieur, déshabillez-vous…..  » me dit-elle dans un murmure à peine audible.Vite, je fais tomber mon pantalon et ôte mon T Shirt. Nous sommes maintenant enlacés tous deux en slip. Sans brusquer, je pousse doucement Manuella sur le lit, tout en conservant ma bouche soudée à la sienne.Manuella touche la bosse de mon slip d’une main un peu peureuse ou hésitante et me dit : » Monsieur (c’est énervant, ces Monsieur !!), je peux ? « Je lui réponds :  » Oui, Manuella, tu peux tout. Donne-moi du plaisir et prends-en. J’ai envie de toi. « Je sens bien que mes paroles apaisent ses craintes et la libère de ses dernières inhibitions (elle ne pense plus à sa mère qui serait outragée en sachant ce que nous faisons !)Elle quitte ma bouche et, se redressant un peu, elle descend mon slip avec prudence, sans encore oser toucher mon sexe. Cependant, elle le regarde avec attention, comme si c’était le premier de sa vie. Je l’ai laissé faire. Elle s’est finalement enhardie et y a posé la main, très délicatement, comme pour une caresse subtile. À ce contact, j’ai manqué déjà me répandre, d’autant plus que je m’occupais de sa lourde poitrine bien reposée dans mes paumes, avec mes pouces qui agaçaient les boutons.Manuella avait maintenant ma queue bien en main et en avait découvert le gland d’où sortait déjà une goutte, prémisse de ma jouissance. Elle s’en approchait comme pour en sentir l’odeur. Je n’ai pas osé lui demander de me prendre en bouche. Cela lui viendrait bien d’elle-même.Je n’ai pas tardé à lui enlever son slip et là , sans plus attendre, je lui ai ouvert les cuisses et me suis mis à manger son minou avec frénésie. Ma langue, comme prise de folie, parcourrait toute sa fente, mes doigts jouaient dans les poils trempés, mon pouce titillait son clitoris, ma langue s’introduisait entre ses lèvres gonflées, très profondément en elle-même. J’étais déchaîné de passion et je buvais à la source abondante qui avait peuplé mes fantasmes.Manuella disait :  » Oh, monsieur, monsieur… oui c’est bon… c’est la première fois qu’on me fait ça… (imbécile de mari !) « Je la sentais jouir… ses seins ballottaient et sa tête était animée de mouvements incontrôlés. Elle avait les yeux fermés, la bouche entrouverte et des râles nombreux accompagnaient ses orgasmes. J’étais inondé et heureux. » Oh! , Monsieur, venez dans moi…. J’ai envie de vous sentir chez moi…. Vite.. « Comment résister ? J’ai quitté sa chatte dégoulinante et j’ai approché ma queue de l’orifice que je venais de quitter. D’un coup de bassin violent, Manuella s’est quasi empalée sur moi et, me laissant presque immobile en elle, elle a commencé une cavalcade endiablée. Ce n’était plus la naïve Manuella, mais une femme prise par l’amour et recherchant au fond d’elle-même tous les gestes de la jouissance.Dans sa langue, elle disait des mots sans suite, d’une voix basse toute changée.Quelle belle femelle en chaleur !! (sorry, mais je ne sais pas traduire autrement mon admiration.De mon côté aussi je m’étais mis en mouvement et, bien vite, nous nous sommes mis au même rythme de ce rodéo d’amour. Bien ancrée en elle, mes mains allaient de ses hanches à sa poitrine, je lui faisais manger mes doigts mouillés d’elle. De son côté, elle me mordillait les oreilles, léchait mon visage comme un petit chien heureux.Jamais je n’étais resté aussi longtemps dans un corps de femme. C’était divin.Peu à peu cependant, je sentais que je ne pourrais pas me retenir encore longtemps. J’hésitais à me libérer en elle, ne sachant pas si elle prenait la pilule.Comme si elle sentait mes scrupules, Manuella me dit :  » Oh! , monsieur, remplis moi … donne-moi tout de toi… oui, maintenant… « Cette adorable demande me libéra totalement et c’est à longs jets que je me répandis en elle. Manuella hurlait presque son plaisir et avait accéléré les mouvements de son bassin pour aider mon éjaculation.Longtemps après, je suis resté figé en elle, encore bien bandé, tandis que de son côté, maintenant complètement libre, elle jouait avec mon corps comme une gamine avec un nouveau jouet.C’est tout pantelant et nos corps moites d’heureuse transpiration que nous étions allongés sur les draps, apaisés mais toujours enlacés et nos cuisses entremêlées.Le moment était venu de ces agréables moments d’après l’amour, où les mains se cherchent, où les bouches échangent des baisers d’amour au lieu de passion, où les corps se préparent à de nouvelles joutes.Certains connaisseurs disent que le post coïtum est le meilleur moment. C’est vrai pour tous ceux qui savent le maîtriser et y voir une suite de l’acte d’amour. Je suis certain que le mari de Manuella, lui, il se lève, va pisser et fumer sa cigarette. Non, nous pas. Pendant encore une longue demi-heure nous avons connu des moments d’intenses contacts nous amenant à des jouissances plus calme, j’allais dire plus intellectuelles que passionnelle.Deux amants heureux se repaissaient de leurs corps qu’ils venaient de découvrir et qu’ils venaient de faire jouir dans un acte d’abandon total.Rarement j’avais connu une telle passion sexuelle, fondée sur une longue attente et des fantasmes souvent renouvelés.Finalement Manuella s’est détachée de moi et, se relevant dans sa somptueuse nudité, elle me dit : » Oh ! monsieur, que c’était bon…. Comment oublier maintenant ?… Je vais m’habiller car je dois encore nettoyer la cuisine et le salon. Merci pour tout… « Elle m’a laissé nu sur le lit, un peu pantois, avec un doux baiser. Je sentais encore son odeur sortir de tous mes pores et sur mes lèvres.Non, il n’y aura pas de suite, car comment raconter sans exagération, nos moments capiteux où, réunis maintenant par une même attirance sexuelle nous avons, de toutes les façons, apaiser nos sens. Il est vrai que le nettoyage de l’appartement n’est pas aussi soigné qu’avant… mais c’est par manque de temps. Nos débordements agréables étant de plus en plus longs.Ommegang.