Je m’appelle Corinne. J’ai 43 ans au moment où j’écris ce texte. Je suis mariée à Laurent depuis 18 ans. Nous avons deux enfants. Je suis brune, cheveux courts, 1m60 pour 53 kg. On me dit souvent que j’ai un joli minois coquin et un sourire charmeur. Je complexe beaucoup sur ma poitrine que je trouve trop menue. Je fais du 85B. Je travaille dans un laboratoire médical et mon mari dans une société d’assurances. Les présentations étant faites, je vais vous raconter l’histoire qui m’est arrivée il y a 4 ans et qui a été pour moi le début d’un nouvel épanouissement sexuel.Depuis 18 ans de mariage, nous avons avec Laurent une vie amoureuse très tranquille. Nous faisons l’amour régulièrement et malheureusement assez mécaniquement. Je m’en contentais parce que je n’étais pas une femme ayant une libido très développée. Je parle au passé parce que tout ça a bien changé depuis.Tout a commencé le 20 décembre 2003. Comme chaque année, nous avons été invités à la soirée de fin d’année de la société de mon mari. Cela ne me réjouissait guère, mais c’était une tradition et Laurent y tenait beaucoup. Depuis 18 ans, j’étais habituée à ce genre d’efforts qui permettait la bonne harmonie dans notre couple. Je précise effort parce que je suis très timide et rencontrer nombre de personnes que je ne connais pas est assez pénible pour moi. Bien sûr, à force de pratiquer ce genre de soirée, j’avais sympathisé avec quelques collègues de mon mari et nous étions invités à dîner régulièrement chez certains d’entre eux.Lors de ces dîners d’ailleurs, j’appréciais particulièrement Éric, le voisin de bureau de mon mari. Un homme d’une trentaine d’années, très gentil, pas très beau, mais très prévenant et toujours à me faire des compliments sur ma façon de m’habiller. Je dois avouer que ce genre de compliments fait toujours plaisir à une femme, qui plus est quand cette femme est de 10 ans l’aînée du flatteur.Ce 20 décembre, je m’étais préparée, et j’en ai un peu honte, en pensant plus à Éric qu’à Laurent. J’avais envie qu’il me dise que ma tenue était superbe et qu’elle me mettait en valeur. J’avais choisi une robe noire, assez près du corps dont la longueur arrivait juste au-dessus du genou. En me préparant et me regardant dans la glace, je me trouvais assez sexy d’autant que cette robe était fendue sur le côté jusqu’à mi-cuisse. Décembre de cette année n’était pas trop froid, mais j’ai opté tout de même également pour des Dim-up. J’ai poussé le raffinement à mettre des nouveaux dessous que j’avais achetés pour l’occasion, un string blanc en dentelle et le soutien-gorge assorti. Et bizarrement, lorsque j’ai enfilé mes dessous, j’ai également pensé à Éric et ses compliments. Pourtant, il n’était pas prévu qu’il les voie.Sur le chemin de la soirée, Laurent m’a tout d’abord complimentée sur ma tenue, puis m’a fait remarquer que lorsque j’étais assise jambes croisées, un observateur avisé remarquerait immédiatement que je portais des Dim-up. Laurent n’est pas spécialement jaloux, mais j’ai senti dans sa voix comme un reproche. Il m’a dit que pour quelqu’un de timide qui n’aime pas être le centre d’intérêt, j’avais fait tout le contraire de ce qu’il fallait et que devant ses collègues ce n’était pas du meilleur goût. Il ne voulait pas qu’ils pensent que j’étais une salope. Cette dernière réflexion m’a particulièrement choquée. Ce n’est quand même pas parce que je suis habillée un peu sexy, que je suis quelqu’un qui couche avec tout le monde.Nous sommes arrivés vers 21 heures. La soirée se passait sur une péniche à Neuilly sur Seine. Nous n’étions pas les premiers, ni les derniers non plus. Laurent m’a présentée à ses collègues que je ne connaissais pas. Ces formalités me sont toujours pénibles. Que dire sinon des banalités. Je me sentais mal à l’aise dans ce genre de situations, d’autant que je sentais les yeux de certains hommes me parcourir des pieds à la tête, voire me déshabiller du regard. Je regrettais le choix de ma tenue. Discrètement, j’étais à la recherche de têtes connues. Mais à part une femme que j’avais vue une fois lors d’un dîner, personne ne m’était familier. Je passais donc la première heure de cette soirée près de mon mari avec une coupe de champagne en main.Alors que je commençais à sentir l’effet du champagne, j’ai senti le souffle de quelqu’un derrière moi qui a prononcé ceci :— C’est pour moi que tu t’es habillée si joliment ce soir ?Je me retournai, c’était Éric. J’étais tellement contente de voir un visage connu que mon sourire n’a pas pu cacher ma joie. Je lui ai fait quatre bises et le remerciai du compliment. Il ajouta :— Laurent te laisse te promener comme ça ? Ça fait dix minutes que je t’observe et je ne t’avais jamais vue dans une robe aussi… sexy.J’ai vu dans son regard beaucoup de désir. J’ai dû rougir immédiatement parce qu’il a ajouté :— Je te fais de l’effet semble-t-il ? Toi aussi tu m’en fais, mais ça ne se voit pas encore.Je devais être rouge comme une pivoine. Éric m’a laissée et est allé discuter avec un autre groupe. Laurent m’a préparé une assiette d’entrées et nous sommes allés nous asseoir à une table avec plusieurs de ses collègues très sympathiques au demeurant. Durant tout le repas, j’ai été très émoustillée par les phrases d’Éric. Je le cherchais du regard dans l’assistance, mais impossible de le trouver.Il devait être 1 heure du matin quand nous avons décidé de partir. La plupart des gens dansaient et Laurent et moi ne sommes pas de grands danseurs. Laurent faisait le tour de ses collègues pour leur souhaiter une bonne fin de soirée quand Éric s’est approché de moi, venant de nulle part, a posé ses mains sur mes hanches et m’a dit dans l’oreille :— Tu respires le sexe ce soir Corinne, je t’ai évitée toute la soirée parce que je n’avais qu’une envie, celle de passer mes mains sous ta robe et de découvrir par le toucher ce que j’ai aperçu quand tu étais assise. Tu as une jolie culotte blanche et de la voir subrepticement m’a fait bander toute la soirée. Je vais rentrer chez moi et me branler en pensant à toi. Appelle lundi sur le poste de ton mari au boulot, vers 10 heures. Il sera en réunion commerciale, son poste basculera sur le mien. Je t’invite au resto cette semaine.Il est reparti comme il était venu. J’étais troublée comme je ne l’avais jamais été jusque là. Le chemin du retour fut très pénible pour moi, je n’ai pas ouvert la bouche de tout le trajet. Le discours d’Éric m’avait excité. Je l’ai vérifié une fois arrivés chez nous. J’avais le string complètement trempé.Cette nuit-là, j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. J’imaginais Éric en train de se masturber en pensant à moi, en pensant à mon entrecuisse. Je décidai de l’appeler dès lundi comme il me l’avait suggéré et d’accepter son invitation à déjeuner.Le lundi suivant (j’avais posé une semaine de vacances), j’appelai sur le poste de mon mari à 10 heures précises. Comme me l’avait signalé Éric, mon appel fut transféré sur le poste d’Éric. J’étais dans un état d’excitation important. Dès que j’ai entendu sa voix, je n’ai pu m’empêcher de passer ma main entre mes cuisses et de me caresser mon clitoris. Cela faisait très longtemps que je ne m’étais pas donné du plaisir, seule.Éric me parla comme à une vieille amie. Sans allusion à la soirée du 20. Il me donna simplement rendez-vous près de la gare St Lazare, à midi, le mercredi suivant. Je lui laissai mon numéro de téléphone portable, au cas où il aurait un empêchement. Une fois le combiné téléphonique raccroché, je continuai à me caresser, à me doigter, tout en imaginant Éric en train de se masturber. Je me suis fait jouir fort en prononçant son prénom.Le mercredi arriva enfin. Je décidai de soigner ma tenue vestimentaire. J’avais envie d’exciter Éric, qu’il me dise des cochonneries. Je choisis un chemisier blanc transparent, une jupe droite au-dessus du genou, des cuissardes, un string noir en dentelle et pas de soutien-gorge. Devant la glace, j’envoyais clairement le message d’une femme en manque d’hommes.J’arrivai à l’endroit de notre rendez-vous et Éric m’emmena dans un restaurant du quartier. Durant la première partie du repas, il me parla de son travail, des rapports cordiaux qu’il entretenait avec mon mari. J’étais terriblement déçue de cette discussion superficielle qui n’était absolument pas en rapport avec ce qu’il m’avait dit à la soirée. Et tout à coup, alors que je désespérais d’avoir ce que je cherchais, Éric mit sa main sur ma cuisse et en me regardant dans les yeux me dit :— Tous les soirs, depuis la soirée, je me branle plusieurs fois en pensant à toi. J’ai envie de te baiser comme jamais j’ai eu envie d’une femme. Je ne pense qu’à ça. J’espère que je ne te choque pas ?Je lui répondis sans réfléchir :— Oh non, bien au contraire, tout ce que tu me dis m’excite beaucoup, tu me rends folle, je ne pense qu’à faire l’amour avec toi.Éric a immédiatement demandé l’addition. Sans dire un mot, il m’a pris la main pour m’entraîner en dehors du restaurant et nous avons pris la direction d’une rue proche de St Lazare, rue de Budapest. Au moment de franchir le pas de porte d’un hôtel de passe, Éric m’a dit :— Avec ta tenue d’aujourd’hui, tu passeras inaperçue ici.Éric a pris une chambre et le gérant de l’hôtel m’a regardée avec un drôle d’air. Éric avait raison, je ressemblais à une pute. Cette situation m’a encore plus excitée, si cela était possible.À peine entrés dans la chambre, Éric m’a plaquée contre lui, m’a embrassée avec envie et j’ai senti contre mon ventre, son sexe chargé de désir. Sa main a pétri mes fesses et tout doucement, il a relevé ma jupe pour me caresser par derrière. Il a passé un doigt sous mon string et en le ressortant, il m’a dit :— Cochonne, il t’en faut peu dis-moi. Tu es trempée comme si je t’avais léchée pendant des heures.Je gémissais sous ses caresses en écoutant ses mots. Puis, Éric m’a poussée sur le lit, a baissé son pantalon et a sorti de son caleçon son sexe gonflé.— Suce-moi ! Et après je te boufferai la chatte.Mon mari ne m’a jamais parlé comme ça. Personne d’ailleurs ne m’a dit ce genre de choses. C’était une révélation. Ça m’a rendu complètement folle. J’ai englouti sa queue et l’ai sucée très longtemps. Je sentais que je ruisselais entre mes cuisses. C’était tellement bon. Ensuite, Éric m’a allongée sur le lit. Il m’a léchée longtemps. Cela faisait une éternité que mon mari ne m’avait plus léchée. Moi qui adore ça. Moi qui suis avant tout clitoridienne. Éric m’a fait jouir. J’ai hurlé de plaisir.— Mets-toi à quatre pattes, maintenant je vais te prendre en levrette.Moi qui suis si timide et réservée dans ma vie de tous les jours comme dans ma vie sexuelle, je me laissais totalement aller :— Oh oui, défonce-moi, regarde ta queue rentrer et sortir de ma chatte.Éric m’a prise comme je le souhaitais et contrairement à mes habitudes, j’ai joui sous ses coups de boutoir. C’était la première fois de ma vie qu’un homme m’a fait jouir en me pénétrant.Éric est sorti de ma chatte et m’a demandé de le sucer pour qu’il puisse jouir dans ma bouche. Lorsque j’ai senti son sexe palpiter sous ma langue, j’ai su qu’il allait cracher rapidement. Son sperme est sorti par jets puissants au fond de ma gorge. J’ai tout avalé avec plaisir. Je n’avais pas envie d’en perdre une goutte. Je voulais garder le plus longtemps possible en moi le goût de cet homme qui m’avait donné tant de plaisir.Je suis rentrée chez moi dans un état second. Jamais je n’avais pris autant de plaisir dans un ébat amoureux. J’étais toute retournée par cette expérience. Malgré mes deux jouissances, j’avais encore envie de sexe. Comme si Éric avait réveillé ma libido en sommeil.Mon portable a sonné vers 17 heures. C’était Éric. J’ai immédiatement senti mon bas ventre devenir brûlant de désir.— Alors petite salope, tu es bien rentrée ? Cette petite partie n’est que le début de ce que j’ai envie de vivre avec toi.Je l’écoutais sans dire un mot.— Je vais te faire découvrir les sexe-toys, l’exhibitionnisme, la sodomie, le triolisme et beaucoup de choses dont tu n’as aucune idée encore.Je me caressais de nouveau. Puis, j’entendis Éric parler à quelqu’un à côté de lui :« Je parle à une cochonne de femme mariée et qui aime le sexe et que son mari délaisse depuis trop longtemps. »Je reconnu, dans le fond, la voix de son interlocuteur curieux qui se demandait à qui il parlait. C’était Laurent, mon mari. Éric me dit ensuite :— J’ai aussi des collègues qui seraient ravis de savoir que tu trompes ton mec. J’en ai discuté avec eux lors de notre dernière soirée commune. Je pense que tu ne seras pas farouche, n’est-ce pas ?J’ai répondu :— Je ferai tout ce que tu désires, j’ai tellement envie de sexe.Le soir Laurent m’a raconté innocemment que son collègue Éric ne changerait jamais au niveau sexuel et qu’il avait encore déniché une femme très coquine. Je dois dire que cette révélation a rendu ma petite chatte toute humide.