Bonjour à tous et toutes,
J’ai toujours rêvé de raconter cette histoire taboue à quelqu’un, mais je n’ai jamais osé. En toute honnêteté, c’est en visitant ce site pour un plan cul sans lendemain que je suis tombé par hasard sur les histoires et les confessions intimes. Je vais apporter ma pierre à l’édifice pour la communauté en vous racontant ma première fois avec une mamie.
Je m’appelle Philippe, j’ai 31 ans et je suis infirmier. En tant que libéral, je fais énormément de visites à domicile dans les petits villages alentour. C’est un milieu rural où il y a beaucoup de personnes âgées. Chaque jour, je me fais draguer par les petites mamies qui sont toutes adorables. Et il y en a une qui s’est révélée être plus chaude que les autres. Autant les premières jouaient sur la séduction autant celle-ci voulait vraiment du sexe. C’était une femme de 75 ans à qui je venais faire des piqûres pour son diabète matin et soir. C’était encore une belle femme pour son âge, mais quand même avec un corps marqué par le temps. Au fil des semaines, elle a essayé de me séduire en étant très insistante. Elle me recevait en petite tenue, essayait de prendre des poses suggestives, etc. Je n’ai jamais été attiré par les personnes âgées et je peux même dire que le peu de fois où j’ai pu voir des images mettant en scène un jeune et une vieille, j’ai été pas choqué, mais dérangé. Pour moi, une mamie ou un papy, reflète l’image des grands-parents et en aucune façon celle du sexe. Pourtant, ce sont des hommes et des femmes comme nous qui bien avant nous d’ailleurs, ont connu les plaisirs du sexe.
Je vais en venir à ma première fois avec une mamie. C’est le but de cette histoire taboue non ? Je me rends chez cette femme de 75 ans un matin pour lui faire sa piqûre d’insuline. Lorsque je suis entré dans sa chambre, elle était allongée sur le dos dans une tenue coquette. Elle sentait très bon je devinais qu’elle sortait de la douche. Après les discussions habituelles, elle m’a dit que quelque chose la gênait sur son corps. Je me suis proposé de regarder de manière professionnelle et j’ai été gêné lorsqu’elle m’a dit que c’est au niveau du pubis. Elle a soulevé sa robe et m’a dévoilé son sexe sans culotte. Naturellement et sans être gênée, elle a pris son doigt et m’a montré ce qui la gênait. J’ai ouvert ma mallette j’ai pris des gants avant de toucher son pubis pour la manipuler. Je ne voyais rien de particulier et lui ai dit que son irritation était assurément due au frottement de la pilosité dans sa culotte. Elle m’a regardé d’un air coquin avant de me remercier et de me donner rendez-vous le soir pour la piqûre.
Le soir venu, je suis repassée chez elle pour lui faire sa piqûre. Elle m’a dit que son irritation avait passé et que c’est moi qui avais raison. Elle a soulevé de nouveau sa robe et m’a dévoilé un sexe rasé. J’ai vu immédiatement le manque de pratique due à son âge, car c’était loin d’être parfait. Mais je ne sais pour quelle raison, j’ai marqué un long temps d’arrêt comme étant fasciné par le corps de cette femme. J’ai regardé son sexe et j’ai naturellement avancé la main pour le toucher, mais à ce moment-là sans prendre de gants. J’ai touché sa peau qui était toute fine. Elle a écarté les cuisses et a guidé ma main vers sa vulve. Je l’ai senti trempée et très moelleuse. Je me suis surpris à avoir une érection et j’ai commencé à caresser de manière plus insistante son sexe. Elle m’a attrapé par le t-shirt et m’a fait m’approcher d’elle. Elle m’a mis la main au paquet ce qui a renforcé mon érection. Mes doigts se sont enfoncés très naturellement dans son sexe et j’avais l’impression que je pouvais y rentrer la main sans forcer. Le temps que je m’en aperçoive, elle avait défait la ceinture de mon pantalon et avait extrait mon sexe du caleçon. Avant même que je ne puisse dire quoi que ce soit, elle avait mis mon sexe dans sa bouche pour le sucer. J’ai fermé les yeux et j’appréciais la fellation de la mamie sur ma queue pendant que je lui doigtais de quatre doigts maintenant son vagin vieux de 75 ans. Elle a ralenti tout d’un coup et j’ai senti les soubresauts sous ses doigts. Je devinais qu’elle venait de jouir. Le temps que je me ressaisisse, à mon tour j’avais un orgasme et j’éjaculais sur son visage. Elle a frotté mon sexe sur sa peau pour en récupérer chaque goutte. Elle s’est tranquillement assise au bord du lit, a ouvert le tiroir de sa table de nuit pour en extraire un paquet de Kleenex. Elle a ainsi essuyé son visage et son sexe. Sa mouille lui coulait le long des cuisses et la couleur était peu engageante. Elle m’a salué en me donnant rendez-vous le lendemain matin.
Ce soir-là, je ne sais pas comment je suis rentré chez moi. J’avais l’esprit totalement occupé par ce qui venait de se passer. Le soir j’ai repensé à son corps et à cette chatte qui était fabuleuse. J’ai bien évidemment eu un problème éthique, car je venais d’avoir une relation sexuelle avec une patiente. Évidemment, il n’y a eu aucun abus de ma part sachant que cette femme était pleinement consciente de ses actes à ce moment-là et qu’elle était consentante. Elle savait très bien ce qu’elle faisait, un peu trop même !
Le lendemain matin, elle était totalement naturelle comme si rien ne s’était passé. Elle m’a même salué et presque évincé de chez elle en me donnant rendez-vous le soir. Toute la journée, j’ai ruminé et fulminé en étant vexé de me prendre un râteau par une mamie de 75 ans. Ça y est, elle avait eu ce qu’elle voulait et je ne l’intéressais plus. J’étais furieux ! Vers 16 heures, j’ai reçu un appel sur mon téléphone portable. C’était Madame X qui s’excusait de son comportement du matin et promettait de se rattraper ce soir. Elle m’expliquait avec cette petite voix mignonne qu’il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas ressenti autant de plaisir et qu’elle aimerait à nouveau si j’étais d’accord, recommencer. Pendant les deux heures qui ont suivi, j’étais terriblement excité et j’avais le cœur qui battait la chamade.
Lorsque je suis arrivé chez elle, elle s’est montrée très câline et naturellement j’ai répondu à ses caresses. Elle s’est mise nue et j’ai contemplé son corps que je trouvais à ce moment-là magnifique. Elle m’a demandé de me mettre nu à mon tour et de me coller à elle. Nous nous sommes aimés pendant un moment avant qu’elle me glisse dans le creux de l’oreille : « prends-moi ! » Elle était sur le dos et j’ai relevé ses cuisses. Je lui ai glissé un petit coussin sous les fesses pour préserver son bassin. J’ai présenté mon sexe devant son vagin et je l’ai pénétrée. J’ai pris énormément de précautions, car elle venait de m’avouer qu’il y avait plus de 20 ans qu’elle n’avait pas eu de relations sexuelles. J’y suis allé très lentement et nous avons pris beaucoup de plaisir ensemble. Elle m’a demandé de jouir en elle ce que j’ai fait.
Voilà pour ce qui était de ma première fois avec une mamie. Mon aventure dure avec elle depuis plusieurs mois. Mais auparavant j’avais pris soin de la radier en tant que patiente le soir même pour ne plus avoir un conflit d’intérêts. Je pouvais ainsi passer à l’heure que je voulais chez elle, mais comme amant et non comme infirmier. Cette histoire taboue me confirme dans l’idée que le proverbe qui dit il ne faut jamais dire jamais est bien vrai.
Philippe 31 Rians