Ma première orgie ou le jour où j’ai tout compris au sexe.
Dans un précédent texte, j’avais eu le plaisir de partager avec vous mon initiation au sexe (une histoire vraie frelatée dans le texte modestement intitulé « Mon initiation, où le jour où j’ai compris les femmes »). Vu qu’on ma souvent demandé une suite (si si, on me l’a vraiment demandée), la voici donc. Bien entendu, tout ce qui suit est véritablement et véridiquement vrai ! Cependant, par respect pour les personnes concernées, j’ai changées le nom des jeunes femmes qui apparaissent dans l’histoire (en fait, c’est surtout que je ne me souviens plus du nom de ces cochonnes).L’histoire se passe un an après ma merveilleuse initiation au sexe avec une amie de ma mère. Entre temps, j’avais eu de multiples aventures sexuelles, avec environ une centaine de jeunes femmes, mais jamais encore avec plusieurs en même temps. À nouveau, je commençais à m’inquiéter et me demander si j’étais normal. C’est vrai, j’ai toujours été un peu timide, et même si j’avais réussi à vaincre ma timidité en devenant un homme, tardivement, puisque j’étais resté puceau jusqu’à mes dix-huit ans, je restais au fond de moi un peu timide. Et là, je me posais des questions, car à dix-neuf ans, je n’avais toujours pas participé à une partouze ! Heureusement, grâce à un heureux concours de circonstances, ma vie devint normale lors de ce superbe mois de juin.J’avais décidé d’arrêté mes études car sa ne serre à rein. Vu que j’avais été jusque en seconde, j’avais a pris tout ce qu’il m’été utile de l’apprendre. J’avais bien compris que on apprener rien à les colles. Et donc, alors que tous les autres jeunes de mon âge étaient encore bloqués dans des salles de classe au lycée, ou pire, à l’université, j’avais la chance de passer une semaine de vacances à Saint-Tropez. La mega classe ! J’y étais invitée par une autre amie de ma mère qui appréciait beaucoup ma compagnie. Un jour, m’ennuyant un peu, j’étais parti me balader sur le porc. Là, las, je tombais sur une véritable colonie de cochonnes. Ah la la ! Un magazine organisait une séance de photos sur un yacht avec une bonne dizaine de mannequins anorexiques, et elles ne portaient rien d’autre que de minuscules maillots de bains. C’était incroyable. Alors que je me trouvais sur le quai, près du bateau, la bouche ouverte, un filet de bave dégoulinant sur mon ticheurte, un homme, parce qu’il y en avait quand même deux sur le bateau aussi, m’appela par mon surnom :— Eh toi ! La grande buse ! Viens là, j’ai un boulot pour toi !Je montais aussitôt sur le superbe yacht, sous les regards pleins d’envie des tops models. Je ne savais pas ce que me voulait le photographe (j’avais deviné qu’il était le photographe car il avait un énorme appareil autour du coup), mais je me doutais que voyant mon physique de rêve, il avait pensé à me voir poser au milieu de ces superbes jeunes filles. Je précise qu’elles portaient uniquement des bikinis, d’ailleurs particulièrement petits. Je n’en croyais pas mes yeux, ni même mes oreilles.— Il me manque un assistant, ce con est malade, et j’ai personne pour tenir le réflecteur, tu peux faire ça ? T’as l’air costaud, ce sera un jeu d’enfant, tu verras.— Euh, oui.Il me montra une espèce de grand truc en papier aluminium brillant et me dit de le tenir au-dessus de ma tête, sur le côté. C’était pour éclairer les filles, mais il y avait du soleil et en plus pas d’ampoule dans ce grand réflecteur, je n’ai pas compris à quoi ça servait, mais il avait l’air content et ça faisait rire les filles et comme on dit, fille qui rit est à moitié dans ton lit. Et là, elles étaient dix à rire ! Les salopes ! Elles étaient là, à poser les unes contre les autres, nues sous leurs maillots de bain, n’attendant que moi… Je me souviens parfaitement de toutes ces filles. Rien que d’y repenser, j’ai une érection de vingt-cinq centimètres.Dans l’ordre, de la gauche vers la droite, à moins que ce ne soit l’inverse, mais ce n’est pas très grave, il y avait deux blondes très minces, avec de tout petits seins, une brune encore plus mince, carrément maigre, une autre brune, mais bizarrement avec des seins normaux, mais très maigre elle aussi, une fille à la peau matte et aux cheveux noirs, mince, moins maigre que les autres et avec des jolis seins pas trop petits, une fille aux cheveux courts en bataille, je ne sais plus la couleur des cheveux, on dira qu’ils étaient roux, mais elle avait des fesses bien rondes, une fille à la peau noire, très maigre, qui n’avait quasiment pas de seins, et puis une autre blonde, aussi mince que les autres, et enfin une métisse superbe, c’était ma préférée à ce moment, avec un corps musclé de sportive très joli et des jolis cheveux frisés.En fait, vous l’aurez compté, ça ne faisait que neuf filles, mais j’aime bien dire dix parce que c’est plus rond et plus parlant que neuf. J’aurais pu affabuler et en rajouter une, mais je préfère rester honnête et rester dans l’exacte voracité des faits. Tenir le réflecteur était vraiment un boulot à la portée du premier abruti venu. Je me chargeais donc de ce travail avec brio. Il suffisait de le tenir levé toujours dans le même sens et pendant ce temps, je n’avais rien d’autre à faire que de mater les filles tranquillement. Le photographe leur faisait enchaîner les poses et parfois certaines partaient se changer et revenaient avec un bikini toujours aussi petit mais dans une autre couleur.A un moment, Melissa, métisse d’Ibiza, revint avec un string ficelle dont ladite ficelle disparaissait totalement entre ses deux magnifiques globes fessiers. J’en restais bouche bée. Elle se retourna vers moi et put constater l’effet que me fessait cette belle paire de fesses. La séance photo était finalement très longue et je commençais à fatiguer à tenir ce grand truc les bras tendus au-dessus de ma tête. Je le dis au photographe qui trouva que le moment tombait bien pour faire une pause. Rapidement, une des blondes vint me voir pour me proposer un petit massage des épaules pour me remettre de mes efforts. Bien évidemment, j’acceptais. La blonde, qu’on appellera Ingrid, me dirigea vers un transat et me dit de m’y allonger. J’ôtais mon ticheurte (oui, un ticheurte, pas un T-shirt, c’est Word qui le dit !) et m’allongeais sur le dos.— Tu n’enlèves pas ton short aussi ? Tu seras plus à l’aise me dit-elle alors, avec en sourire malicieux qui en disait long sur ses envies et tout en dégrafant son petit haut de bikini.— Euh, oui, répondis-je spontanément, en matant ces deux minuscules petits seins qui saillaient à peine sur ses joliesses côtes de mannequin anorexique (Je ne connaissais pas joliesses, mais Word m’a ordonné de mettre ça, alors, je lui fais totalement confiance!).— Mmmmhhh, pas mal, me dit-elle alors qu’elle découvrit mon sexe à demi dressé quand j’eus baissé mon short.— Eh ! T’es gonflée Ingrid, tu aurais pu nous attendre lui dit alors une brune qui nous rejoignit en enlevant elle aussi son haut de bikini, mais qui là fit apparaître deux seins et pas juste des côtes.Je m’allongeais et me laissais aller. Ingrid commença alors un massage par mes épaules, mais je sentis rapidement deux autres mains me masser les chevilles et remonter lentement le long de mes jambes musclées. La blonde descendait vers le bas de mon dos et quand j’ouvris les yeux, Melissa, la jolie métisse se trouvait devant moi, seins nus elle aussi et se mit à participer à la fête. Sur le transat à côté, une autre fille en massait une autre, et elles étaient déjà complètement nues.— C’est quoi ce bordel ! On peut pas vous laisser cinq minutes, putain ! Hurla le photographe qui revenait avec son assistant.— Qu’est-ce qu’on fait ? demanda ce dernier, tout penaud.— On va pas laisser ce pauvre gars tout seul, avec ces 9 pouffes ! On va l’aider ! Répondit le photographe en baissant son pantalon.Il y avait heureusement d’autres transats sur le pont du beau bateau, et le photographe s’y allongea, mais sur le ventre et une des blondes, on la pèlera Greta, se mit immédiatement à le sucer. C’est alors que Melissa me fit me retourner sur le dos. Ingrid en profita pour aussitôt s’empaler sur mon sexe dur comme du fer sans la moindre hésitation et sans le moindre préparatif malgré la petitesse de son sexe étroit de mannequin et la grandesse de mon pénis. De contentement, je poussais un grand cri : Râââââââhhhh !Ce cri fut en partie étouffé par la chatte de Melissa qui atterrit sur ma bouche. Pendant qu’Ingrid me chevauchait comme une furie, j’entrepris de brouter le minou de ma jolie métisse. Sous les caresses expertes de ma langue, Melissa eut rapidement un premier orgasme. Ce fut le premier d’une longue série puisque que grâce à mon expertise ès cunnilingus, je lui prodiguais rien de moins que cinq orgasmes en à peine cinq minutes. J’entendais des gémissements partout autour de moi. Entre les deux autres types qui besognaient chacun une fille et les filles qui s’amusaient entre elles, les cris de plaisir de cessaient pas un instant. D’ailleurs, sur les yachts voisins le spectacle avait du succès puisque de nombreux matelots admiraient la scène et à n’en pas douter ils étaient surtout admiratifs de mes performances sexuelles hors normes. Après son cinquième orgasme, Melissa s’évanouit et tomba dans les bras d’Ingrid qui elle aussi n’en pouvait plus de chevaucher mon puissant membre d’acier. Cela se fit d’ailleurs sous les applaudissements de l’équipage du yacht de la mafia russe située juste à côté.Je saluais les marins et les remerciais de leurs encouragements et laissais les deux filles se reposer un instant et me dirigeais vers le transat le plus proche ou une brune et une blonde se broutaient le minou mutuellement en un soixante-neuf endiablé. Je me plaçais devant l’un des deux bouts et présentais ma pine bien dure et encore pleine de la mouille d’Ingrid pour que la brune me suce quelques instants puis je m’enfonçais d’un trait dans le cul étroit de la jeune blonde, qui venait d’un pays de l’Est et s’appelait Sofia. La brune, une Italienne répondant au doux nom de Carla continuait à lécher le clitoris de la blonde qui ainsi excitée poussa un long cri de plaisir. Je la pistonnais comme un fou, échauffé comme jamais je ne l’avais été de ma vie entière ! J’avais l’impression que mon sexe n’avait jamais été aussi gros et dur. Et pourtant en tant normal il est déjà très gros et dur !Pendant ce temps, le photographe et son assistant prenaient en sandwich la rouquine aux cheveux courts. C’était finalement celle que je trouvais la moins jolie, et c’est pour ça que je ne citerai pas son prénom. À côté, Melissa était bien revenue de ses émotions et avait saisi le téléobjectif du photographe (je me souviens très bien qu’il s’agissait d’un Canon 400mm avec une focale de 5,6) et s’en servait comme d’un gode dans le sexe de la fille à la peau matte, je crois qu’elle était Sud-américaine et portait un nom impossible à retenir. Celle-ci avait bien paru avoir un peu mal au début, mais rapidement, ses cris de plaisir furent si puissants qu’on n’entendait plus qu’elle.Elle criait vraiment très fort, et n’en pouvant plus d’entendre ses hurlements de plaisir au final un peu fatigants, je décidais de la faire taire. Dans ce dessein, je quittais le cul de la russe Sofia pour aller lui planter mon sexe dans la bouche. La jeune tchèque fut évidemment déçue de voir s’éloigner un aussi beau membre, mais la Sud-américaine me suça avec un plaisir tel que cela fit aussi plaisir à la Slovaque qui se mit aussitôt à se masturber comme une folle. Elle n’eut pas le plaisir de regarder cette superbe fellation bien longtemps, car en moi aussi le plaisir montait, montait, montait…Cela faisait à ce moment environ trois quarts d’heures que je bandais comme un fou et pistonnais sans discontinuer vagin, anus ou bouche de top model, et je n’avais pas encore joui. La voir me sucer ainsi pendant que Melissa la godait avec fougue, le tout sous le regard hagard et plein d’envie de la Hongroise m’excitait incroyablement. Je n’en pus plus et éjaculais longuement dans la bouche de cette excellente fellationneuse.Le plaisir de sentir mon sperme couler en flots puissants ininterrompus dans sa bouche fut tel qu’elle eut alors un orgasme incommensurable. Elle se cambra comme tétanisée par la violence de cette vague de plaisir et ne put faire autrement que de laisser mon pénis sortir de sa bouche, laissant s’échapper quelques jets de mon précieux fluide corporel qui atterrirent sur ses seins et son ventre plat de top model. Melissa, sans lâcher le gode-téléobjectif, se jeta dessus comme une affamée, et lécha tout son corps pour ne pas en perdre une goutte. Les deux filles s’embrassèrent ensuite, histoire de se partager mieux encore mon précieux fluide.Je n’avais pas tout suivi ce qui s’était passé autour de moi, mais à ce moment, le photographe était pris dans un étonnant sandwich sodomite, la bite enfoncée dans le cul de la noire maigrichonne et la bite de son assistant dans son propre cul. Les trois semblaient y prendre un plaisir intense. Je me dis à ce moment qu’il n’était pas question que l’assistant m’approche.Après quelques secondes de repos, et alors que mon sexe n’avait pas complètement débandé, Melissa, métisse d’Ibiza, toujours dévêtue, vint vers moi comme une chatte en chaleur, et se mit à me pomper avec une sensualité et une bestialité telles que mon sexe durcit et gonfla au point qu’elle arrivait à peine à gober mon énorme gland rouge de désir. De peur qu’elle ne s’étouffe, je me levais et la fis se retourner. Elle s’appuya de ses deux mains contre la rambarde, face aux marins russes ravis, écarta les jambes et je m’enfonçais d’un trait dans sa chatte. Celle-ci était tellement mouillée que je ne sentais pas grand-chose, je décidais donc de le lui mettre ma bitte dans son joli petit anus. J’eus un peu plus de mal à m’y enfoncer. Elle semblait étroite de ce côté.— Non ! Pas par là, on me l’a jamais fait.Je pris cet encouragement à continuer au pied de la lettre et m’enfonçais d’un trait jusqu’à sentir ses adorables fesses rebondies contre le bas de mon ventre. Immédiatement, elle se mit à gémir de plaisir, d’autant plus que Sofia, qui avait toujours le téléobjectif enfoncé dans la chatte, était passée entre nos jambes et elle lui avait enfoncé une main entière dans le vagin. C’était génial, je sentais parfaitement les doigts de la Slovène contre mon pénis à travers la paroi de l’anus de Melissa. Par moments, la Biélorusse fermait presque entièrement sa main autour de mon pénis ! Ingrid nous rejoignit rapidement et reprit en main le téléobjectif pour reprendre le godage de Sofia.Ayant déjà joui une fois, cette fois je pouvais tenir un peu plus longtemps. Melissa abandonna après son dixième orgasme (ce devait faire une vingtaine pour l’après-midi). Légèrement fatigué, j’en profitais pour me coucher sur le dos sur un transat, et l’une après l’autre, les huit autres tops me chevauchèrent, même la rouquine, que je fis me chevaucher de dos pour profiter de ses fesses car c’est ce qu’elle avait de mieux. Je les besognais toutes ainsi, certaines revenant plusieurs fois pour avoir le plaisir de goûter au bonheur de sentir mon pieux de plaisir aussi bien dans leur sexe que dans leur anus. Même Melissa, après un peu de repos revint prendre sa dose de bite dans les fesses, car maintenant, elle ne voulait plus être prise que par là. Épuisés, le photographe et son assistant se reposaient en se caressant nonchalamment l’un l’autre, parfois rejoints par une fille en manque. Au bout d’une heure trois-quarts environ (oui c’est court, mais j’étais vraiment très excité), je sentis que j’allais venir. Je me levais et leur criais :— Je viens ! À table les filles !Toutes les filles se regroupèrent alors à genoux devant moi et me caressèrent tout le corps. Elles étaient en admiration pour mon superbe sexe bandé prêt à exploser. Soudain, je vins enfin et m’arrangeais pour que mes jets partent sur chacune d’elle et qu’il n’y ait pas de jalouse. Elles se mirent alors à me lécher le gland et se lécher entre elles trop heureuse de recevoir ma jouissance. Tous ensemble, de bonheur, nous criâmes :— Râââââââhhhh !C’est alors que les gendarmes de Saint-Tropez arrivèrent sur le pont pour nous demander d’arrêter, sous prétexte que nous avions soi-disant une attitude contraire aux bonnes mœurs et que certains voisins s’étaient plaints. Pourtant, tout le monde ne s’en était pas plaint, car en descendant du yacht, le patron du bar d’en face m’offrit une bouteille de champagne pour me remercier car sa terrasse avait été remplie tout l’après-midi.Si cette histoire vous a plu, n’hésitez pas à me demander la suite de mes aventures sexuelles véritables. J’ai encore plein de superbes histoires à partager avec vous. Comme la semaine dernière, où j’ai été littéralement violé par une équipe de foot féminin (avec les remplaçantes), ou encore pour vous raconter ma visite au salon de l’érotisme de Las Vegas où j’ai été choisi parmi 350.000 participants pour donner du plaisir sur scène à l’ensemble des meilleures actrices porno du monde.PS : Je sais que des personnes à la vie sexuelle triste et sans relief seront jalouses et auront du mal à croire en cette histoire. Mais je le re pète, tout est vrai, à quelques détails près, bien sûr…