L’histoire qui suit, s’est passée il y a environ un an. Je tiens à préciser qu’aussi incroyable que cela puisse paraître cette histoire est totalement vraie et j’en ai même gardé une vidéo…Je vais vous raconter comment j’ai rencontré et comment j’ai couché avec Fabiola Noguiera (l’orthographe diffère selon les sites) transsexuel star du porno !! Je suis propriétaire de 2 magasins de prêt à porter de luxe sur Marseille, et tous les ans je fais les salons en Italie. Me voici donc à milan pour le salon. Comme à chaque fois j’y passe trois jours. Je descends dans un bel hôtel, mais sans plus car je n’aime pas les palaces luxueux ou le service est trop froid à mon goût.Mes deux premiers jours de salon se passent normalement, je fais un peu de shopping et un peu de tourisme, le soir venu. Mon aventure commence le dernier soir. Ayant sympathisé avec le serveur d’un bar branché à côté de l’hôtel, je lui demande ou je peux passer une soirée inoubliable pour mon dernier soir (me doutant bien sûr qu’il touche une commission pour les lieux qu’il va m’indiquer). Il me dit que si je veux passer une soirée exceptionnelle, il connaît le lieu magique qu’il me faut. Bref le soir venu (vers les 11h), je prends un taxi pour me rendre dans le quartier voulu et me voilà parti à la recherche de mon bars/boîte/lounge/branché…Toc Toc, le videur m’ouvre, je viens de la part de Tonio (le garçon du bar, sans quoi pas la peine de se présenter). J’entre, un vestibule, des rideaux, une première salle, des rideaux, une deuxième salle (c’est la que je dois aller). Le cadre est comme je le pensais, un lupanar de luxe avec meuble de designer, lumière tamisée, bar avec une piste en parquet au milieu. La musique est bonne (style café del mar), il y a une dizaine de personnes, c’est tranquille.Je me dis que comme je le pensais, j’ai atterri dans un bordel de luxe, en plus j’aperçois plusieurs salles types salon privé. Me voilà au bar en train de boire du champ (y a pas mieux pour attirer les filles dans ces lieux là ) ; Je scrute la salle en observant les couples qui se forment et se déforment.D’une salle du fond, je vois sortir une déesse de 1M80, blonde, robe fourreau noir, qui claque des hanches langoureusement à chaque pas. Elle fait son tour discret, toise un peu l’assistance puis sort de la salle. Je suis déçu, cette fille m’excitait à mourir mais si je savais que ses seins que je voyais à travers le tissu noir étaient faux.. Du coup je me noie un peu plus dans mon champagne.Voilà plus d’une heure que je suis là et je me fais un peu chier, je pense sérieusement à rentrer à l’hôtel et me prendre un film de cul avec le pay per view. Mon regard se ballade quand je m’aperçois que sur la piste, ma déesse est en train de faire son numéro. Sur un morceau down tempo, elle se déhanche et ondule comme si elle faisait l’amour. Cette fille m’électrise, elle me rend fou. Je commande une nouvelle bouteille, en espérant que quand elle aura fini de rendre fous tous les mecs de la salle, elle me rejoindra !Elle danse seule comme ça pas loin d’une heure ! Inutile de vous dire dans quel état je suis. Enfin épuisée elle ralentit puis commence à s’arrêter. Je l’ai regardée pendant tout ce temps, je l’ai carrément matée, et elle m’a rendu quelques regards qu’elle a soutenus pendant plusieurs secondes. Je le sais maintenant elle va me rejoindre.Je la vois marcher, féline, perlée de sueur. J’ai l’impression qu’elle met une heure pour faire dix mètres… Elle s’assied à côté de moi et me dit qu’elle est ivre de fatigue et quelle meurt de soif. Je la sers dans mon verre, je la déshabille des yeux. Je crois que j’ai rarement vu une fille aussi belle. Elle me rend fou, en fait elle « transpire le sexe » j’ai envie de la prendre-la de suite devant tout le monde.On commence à parler, à se chercher, à jouer l’un avec l’autre. Même si je ne suis pas complètement bilingue, je parle assez bien italien pour comprendre quelle n’est pas de ce pays. Je lui fais remarquer son accent et elle m’explique qu’elle est brésilienne et quelle est là pour ses études. J’en crois pas un mot et je me dis qu’elle est venue faire la putte en Europe et vu l’engin, elle doit gagner une fortune. Bref on se cherche comme ça pendant plus d’une heure.Moi je passe mon temps à jouer avec le feu, je lui tourne autour de plus en plus prêts et à chaque fois que je suis trop prêt je me brûle. Je vérifie à ce quelle ne commande rien derrière mon dos, je connais trop le truc. Puis finalement vers les trois heures elle me dit quelle est fatiguée et quelle veut rentrer mais quelle serait rassurée si je l’accompagnais. Je sais très bien que même si elle me trouve « très sexy » puisqu’elle me l’a glissé à l’oreille, c’est surtout les 3000 francs de champagne que j’ai laissé qui motive sa décision. Mais là je suis prêt à tout pour coucher avec cette fille.On prend un taxi, et nous voilà parti pour chez elle. Arrivés en bas, pour me récompenser de l’avoir accompagnée, elle me propose « le » dernier verre. Elle habite un appart au troisième au-dessus d’un commerce, et l’appart du milieu sert de réserve au magasin. Elle me dit en montant l’escalier devant moi (ce qui me rendit encor plus fou quand je vis son string au travers de sa robe…) que c’est bien comme immeuble car il n’y a personne et quelle peut crier comme elle veut quand elle fait l’amour…Là je me dis que je vais la faire crier moi aussi et quelle s’en souviendra ! On rentre un appart style loft 80 m2 (pas pauvre l’étudiante) décoré dans le même style que la boîte… En fait il n’y a qu’une pièce fermée c’est la salle de bain, le reste est de plein pied. On s’installe dans la partie salon et elle me sert mon verre : Champagne qu’elle sort du frigo. Je scrute un peu la déco et je vois au fond de la pièce, à l’angle sur un pied, un caméscope. Je fais l’innocent et je lui demande si elle fait des essais pour le cinéma.Elle sourit en rigolant et m’avoue qu’elle adore se filmer en faisant l’amour. Moi je suis aux anges car je n’ai jamais réussi à me filmer pendant l’amour. Elle se lève, met en marche sa télé, le caméscope et là surprise nous passons à la télé ! A chaque fois qu’elle fait un pas j’ai envie de jouir. Elle revient vers moi et commence par me masser les épaules, puis elle me mordille l’oreille, commence à m’embrasser. Je lui demande si je peux prendre une douche, elle me conduit à la salle de bain. Là je profite pour faire trois choses importantes, planquer mon pognon dans mes pompes, me doucher, mais surtout me branler car sinon je sais que je ne tiendrais pas deux minutes.Je quitte la salle de bains, je me rassieds sur ma méridienne, je commence à lui caresser les fesses car elle est encore debout puis elle me quitte en me disant de me mettre à l’aise qu’elle allait aussi se doucher. Je me fous donc à poil sur la méridienne, assis au bord et je me surprends à me regarder dans la télé. De me voir à poil je me mets à bander. Je m’excite à me regarder, je suis là assis la bitte bien raide en train de me mater, j’ai envie de me branler pour me voir me toucher la bitte ! Cette situation m’excite à mort.Tellement attiré par mon sexe je ne me suis pas aperçu du retour de fabiola. En fait elle est là juste à côté de moi hors du champ de la caméra et elle me dit d’une voix suave « tu es très beau et ton sexe aussi. Je me retourne et là je tombe nez à nez avec la plus belle femme que j’ai jamais vu elle est debout les jambes croisées avec juste un petit filet de poil sur le pubis. Je suis bouche bée, elle le sait, je reste là à l’admirer.Ces seins sont parfaits son visage, ses yeux, sa silhouette, tout est parfait. Je commence à lui caresser les fesses, je suis hypnotisé, rien que de la toucher, je suis fou. Et là je vis la chose la plus incroyable et inoubliable de ma vie, pendant que je caresse les fesses de Fabiola celle-ci écarte ses jambes et laisse apparaître une verge en semi-érection. Je suis encore plus bouche bée cette femme sublime que j’ai désiré toute la nuit et que je possède enfin est un transexuel.Me voyant complètement hagard, elle me dit en me souriant « elle est belle, tu peux la caresser, je suis sûr que tu vas adorer ». Moi qui n’ai jamais vu pratiquement d’autre bitte que la mienne, je suis subjugué par la beauté de la sienne. Elle est lisse de couleur uniforme longue et déjà d’un beau diamètre pour une verge en semi érection, elle fait pas loin de 20 cm c’est plus que la mienne !Je sens le sang battre dans ma bitte, j’en peux plus, il faut que je la masturbe ! Je commence par délicatement frotter mon pouce et mon index autour du gland, ce qui à pour effet de lui procurer une énorme érection. Elle commence à gémir et me dire que c’est très bon. Comme elle est debout et moi assis j’ai la tête à la hauteur de sa bitte, je la voie en gros plan je peux même la sentir. Pendant que j’effectue un long vas et vient avec ma main droite, je lui caresse les couilles et le périnée avec ma main gauche. Elle balance sa tête en arrière et je vois ses longs cheveux blonds qui lui frottent le bout des seins. Elle continue à gémir et me caresse délicatement la tête. Moi je suis hypnotisé par ce sexe que j’ai dans mes mains et je viens juste de réaliser que je passe à la télé ! Cette vision m’excite au plus haut point, moi le baiseur de ces dames, le tombeur professionnel, je suis en train de branler une femme qui à une bitte énorme et j’adore ça !Je m’admire, comme dans les films de cul je regarde la caméra, ça m’excite au plus au point. Me voir comme ça me fait perdre mes derniers tabous, je commence à embrasser sa tige puis son gland. Dans ma tête je ne vis que pour une seule chose, la sucer, j’en ai envie comme on peut avoir envie d’une cigarette quand on arrête…Sentant ça Fabiola se penche devant moi, m’embrasse avec la langue (que je ne veux pas laisser sortir), puis attrape une télécommande et met en marche le caméscope. Je sais maintenant que je suis filmé et cette idée me permet de décoincer totalement. Enfin j’ouvre la bouche le plus grand possible, j’abaisse sa verge vers moi, j’avance ma tête, je referme ma bouche, je ferme mes yeux pour mieux sentir ce que je suis en train de vivre. Je commence à reculer ma tête en faisant tourner le plus délicatement ma langue autour de son sexe.C’est divin, ces quelques secondes me semblent durées une éternité. Je redescends lentement et je remonte en essayant de caresser le plus possible le tour de son gland. Je commence à prendre un certain rythme tout en essayant de varier ma succion et les endroits ou se pose ma bouche. Maintenant le monde c’est arrêté autour de moi, seul ce sexe que j’ai envie de dévorer compte. Je perçois au loin les couinements de Fabiola, elle commence à parler en brésilien avec une voix légèrement éraillée. J’ouvre les yeux puis lassés du spectacle de ce pubis qui avance et recul, je les lève pour regarder le visage de fabiola.Elle a les yeux mi-clos la bouche entrouverte, et à une respiration saccadée. Ces seins m’appellent. Maintenant que j’ai un bon rythme, je retire mes mains de sa verge et je pose la gauche sur ces fesses et la droite sur ces seins. Mes deux mains pétrissent son cul et ses seins, ma bouche trouve seul le chemin de son sexe, tantôt le gland, la tige, les couilles. Elle, elle a ses deux mains sur ma tête et ondule du bassin quand je l’ai en bouche. Ma main gauche commence à fouiller sa raie et trouve très vite son anus. Je commence lui branler le cul avec mon majeur.Je ne comprends plus du tout ce que Fabiola dit mais je pense qu’elle prend son pied. Moi je me vois dans la télé en train de sucer comme une salope et j’adore ça. J’ai envie qu’elle m’encule toute la nuit, qu’elle m’asperge de son sperme, qu’elle fasse ce qu’elle veut de moi ! Fabiola pose son pied sur le dossier de la méridienne, elle est toujours debout et m’offre ainsi son périnée et son anus. Je ne me fais pas prier, je les lèche, les aspire, les suce pendant que ma main droite lui branle le gland et qu’occasionnellement mon majeur droit lui viole l’anus.Elle en peut plus commence à râler je sens qu’elle est au bord de l’orgasme. Mine de rien ça fait presque vingt minutes que je la suce, et je sais qu’elle va bientôt jouir, mais je veux qu’elle m’arrose, qu’elle me frotte son gland sur la figure, qu’elle suce ma langue jusqu’à l’arracher. Alors je reprends ma pipe de plus belle, j’accélère je la suce partout ou ça lui plait, je l’encule avec deux doigts et en même temps je la branle.Elle commence à crier de plus en plus fort, j’accélère je la regarde dans les yeux, je veux qu’elle me regarde. Son visage se tend, se crispe, se déforme. Un, deux, trois, quatre longs jets de sperme me fouette le visage je sens qu’un jet atterri dans mon dos, je dirige sa bitte vers ma bouche encore deux longs jets puissants qui me tapent le palet, elle m’attrape la tête et m’oblige à la sucer, j’en profite jusqu’à la dernière goûte. Je sens son sexe qui commence à se ramollir dans ma bouche, je la regarde elle est au bord de l’évanouissement.Elle s’accroupit devant moi et commence à m’embrasser, je suce sa langue, elle mes lèvres, elle me lèche le visage et se frotte le sien contre le mien. Cela dure quelques minutes. Mon sexe coule comme si je m’étais pissé dessus. Fabiola commence alors à me rendre ma fellation inutile de vous dire qu’une star du porno de surcroît transsexuel qui vous suce c’est quelque chose !!!Elle est au bord de me faire jouir très rapidement et elle le sait. Alors elle se relève et me dit à l’oreille qu’elle me fera jouir quand elle aura envie, qu’elle me fera jouir du cul, de la bitte comme jamais j’ai connu. Elle redescend et commence à me lécher le périnée et le bord de l’anus, tout en m’effleurant le gland avec son pouce et son index. C’est divin.Pour en profiter encor plus je me couche sur le dos et je remonte mes genoux le plus loin possible à la missionnaire. Commence alors son festival. Ce que je vis à ce moment là je ne l’ai jamais vécu. Elle m’encule avec sa langue, un doigt deux, me mord les couilles la tige, j’ai l’impression d’être saoul, mon corps tremble je n’ai jamais ressenti des sensations pareilles. Fabiola le sait-elle est une experte, plusieurs fois elle me porte au bord de l’orgasme rien qu’en s’occupant de mon anus. Puis comme elle me l’a dit, elle décide et commence à me doigter de plus en plus, elle caresse ma prostate et au bout de quelque second, le big-bang.Dans ma tête ça explose j’ai l’impression de m’enfoncer dans la méridienne, je suis en train de jouir du cul comme jamais j’ai pus jouir de mon sexe. J’ai l’impression que je vais m’évanouir. Elle s’approche de mon oreille et me dit « ça c’est que le début, quand je vais t’enculer tu vas me supplier pour que je le fasse toute la nuit ».Je lui dis « vas y encule moi je veux sentir ta bitte dans mon cul, vas y déchire-moi le cul ». Elle se relève sourit et me dit pas encore. Elle change la casette est s’installe tête bêche sur moi. On va faire un soixante neuf. On commence part se branler et se sucer légèrement. Fabiola contrôle parfaitement mon sexe, dès qu’elle sent que je vais jouir, elle s’arrête et m’appuis très fort sur le périnée. Moi j’alterne tantôt je la suce, tantôt je la branle et je lui lèche l’anus et les couilles.On tient bien dix minute comme ça tous les deux au bord d’un nouvel orgasme. Alors Fabiola sentant qu’elle ne pourra plus m’empêcher de jouir très longtemps, arrête de s’occuper de moi pour me contrôler. Du coup elle s’assied le cul sur ma figure et commence à s’empaler sur ma langue, comme le fait une femme sur le sexe d’un homme. Elle monte et descend de plus en plus vite sur ma langue raide comme du bois, ses couilles me tapent le menton, son sexe lourd ma poitrine. Dans la télé je vois le sommet de mon crane et son cul superbe qui monte et qui descend. Fabiola se lève d’un coup part vers un tiroir, sort des capotes et revient.Elle me passe une capote en me suçant et de suite vient s’empaler sur ma bite en me chevauchant face à moi. Sa bitte me fouette le pubis je vois ses seins qui flottent dans l’air. Elle commence à gémir, visiblement elle adore se faire enculer, ce qui me donne encore plus envie de me faire enculer. Je commence à attrape sa queue et je la branle elle couine comme une folle.Comme depuis le début, elle contrôle parfaitement mon sexe pour que je ne jouisse pas. Ses couilles commencent à remonter, je sens son rythme qui s’accélère. Elle hurle ça y elle jouit du cul elle aussi. Je comprends mieux ce qui m’attend… Elle se retire, m’enlève la capote et c’est maintenant à mon tour d’y passer. Tout mon corps entier à envie de ces vingt centimètres, mon anus à été bien préparé, et je suis tellement excité que je mouille comme une fille.Je suis couché sur le dos à la missionnaire, son gland appuis contre mon anus, ça s’ouvre, centimètre part centimètre son membre me pénètre. Je suis déjà au bord de l’orgasme. Commence un long vas et viens, ça s’accélère, je cris comme une femme, je l’insulte, je la supplie de me casser le cul. Je vais jouir trois fois comme ça, en levrette, à la missionnaire et la dernière fois je suis sur le dos, enroulé comme pour faire le poirier, et elle debout entrain de me pilonner. Ce soir j’ai joui quatre fois du cul moi qui n’ai jamais connu cette sensation, je m’en souviendrais toujours. Quand elle à finit de me défoncer dans la position du poirier, Fabiola se retire, se met au-dessus de ma tête et commence à se branler et me gicle de plus belle sur la figure.J’essaie de tout avaler, je la suce et quand sa bitte se ramollie, elle me dit maintenant reste dans cette position je vais te faire jouir. Je sais que je vais me jouir dans la gueule et moi qui n’ai jamais osé allé jusqu’au bout qu’en j’ai essayé, je vais enfin connaître mon sperme. Fabiola se met debout, au-dessus de moi et commence à me lécher le périnée et l’anus, elle me caresse, me doigte, m’effleure les couilles et le gland. Je commence à gémir je la supplie de continuer, alors elle joue avec moi tant qu’elle peut.Me sentant au bord de l’orgasme elle me caresse doucement les couilles et le périnée, les premières gouttes de sperme commencent à me tomber sur le visage mais je ne jouis pas. Alors elle me caresse juste le bord du gland en me léchant l’anus et la j’explose. Je jouis comme jamais j’ai joui, je suis inondé de sperme, des litres et des litres, j’ai la bouche grande ouverte tellement je jouis, mais je ne peux pas crier. Je sens que le sperme déborde de ma bouche. Je sens la langue de Fabiola qui se mêle à la mienne. Je suis épuisé et je crois amoureux de cette femme à bitte. Une fois que nous avons avalé tout mon sperme, elle me dit en souriant « tu vois tu m’as suppliée, maintenant on va dormir et demain matin tu me supplieras encore ! ». Voilà mon histoire et finie et, comme Fabiola le dit, je l’ai encore suppliée le lendemain. Alors si mon histoire, qui aussi incroyable que cela puisse paraître, est vraie, vous a plu, faîtes-moi signe et j’écrirai la suite.