Jeune serveur de restaurant, fêtant le jour même mes dix-huit ans, j’ai été mandaté pour servir dans une soirée privée à la maison de mon patron, où Madame recevait des invitées de marque. (Suite du texte n° 12350)— Viens plus près, Alex. Je vais te parler de mon mari, maintenant. Tu gardes tout cela secret, n’est-ce pas ?— Avec ce que je viens de voir ! C’est promis, Madame.— D’accord… Il y a plusieurs années déjà , j’ai surpris mon mari en train de sodomiser une des serveuses de l’hôtel, alors qu’il me refusait à moi-même ce plaisir, prétextant que c’était sale et malsain… Après les violentes discussions qui ont suivi et ne désirant aucunement mettre en péril notre vie commune, nous avons fait un genre de pacte : nous pouvons nous amuser autant que bon nous semble, mais seulement le soir de ces fameux conseils d’administration. Par contre, nous devons le faire sans pénétrer, ni être pénétrés. Telle a été et est toujours notre entente, depuis au moins dix ans. Tu sais maintenant où est ma limite mais de toute façon, ce soir j’ai des invitées, et il faut toujours bien s’occuper de ses invitées.Elle me confia ensuite qu’elle avait demandé au directeur de la salle à manger de lui envoyer un jeune serveur en qui il avait toute confiance. Ce dernier lui a alors proposé ma candidature. Il a même ajouté que j’étais un jeune homme sérieux, discret et dévoué à mon travail et que je méritais de passer à l’âge adulte avec les plus beaux souvenirs qu’un jeune homme fêtant son dix-huitième anniversaire puisse garder de cette journée unique. Je compris alors pourquoi le Maître d’Ô m’avait dit : Souviens-toi que ton patron a été bon pour toi… — Je vais aussi te faire une autre confidence. Tu sais, mon mari était tout un étalon lorsque je l’ai connu. Mais maintenant il lorgne vers les jeunes poulettes plutôt que de s’occuper de sa femme, qu’il daigne ne prendre qu’une ou deux fois par mois. Et presque toujours à la missionnaire… OK, assez de lamentations, au travail maintenant ! Tu termines le montage des tables, moi je vais prendre une douche. Avec toutes les ardeurs que tu as mises à me rendre folle, j’en ai grand besoin. Lorsque je reviendrai, tu iras toi-même car tu dois être sur ton trente-six pour cette soirée. Mes invitées sont en droit de s’attendre à un service triple A… ou XXX si je peux m’exprimer ainsi. Je te mettrai un costume dans la salle de bain, rien de bien compliqué. Un petit pantalon de type planteur et une chemise de flibustier, ça te va ?— Oui, bien sûr. Ça va me changer un peu des costards de serveurs amidonnés.— Ah oui… rien en dessous !— Rien en dessous ?— Mais oui, ça facilite le travail, si tu vois ce que je veux dire.— Pas de problème, il ne me reste plus qu’à faire du bon travail !— Non, Alex, de l’excellent travail. Allez, au boulot !Ayant presque terminé la mise en place, il ne m’a fallu que cinq minutes pour parfaire le tout. Au moment où j’ai entendu Miss Laval sortir de la salle de bain et me dire que la place était libre, on sonna à la porte.— Alex, tu veux ouvrir, s’il te plaît.— Avec plaisir, Madame.— Miss Laval, mon bel Alex ! Tu dois m’appeler Miss Laval.— Oui, ma belle Miss Laval.— Allez, petit charmeur, ouvre la porte avant qu’elle ne la défonce.Ayant appris quelques mots de japonais, histoire de recevoir de meilleurs pourboires, et voyant à travers le judas que la dame était Miss Kyoto, j’ai ouvert la porte en disant :— Okaeri, Misu Kyoto San, kan’gei kikoku Québec. Bonjour Miss Kyoto, Bienvenue à votre retour au Québec.Elle de me répondre :— Aitsu zokugo kokugo. Kan’gei wakamono bushi, nan’jin’mei ?— Désolé, je ne connais que quelques phrases en japonais et vous avez parlé beaucoup trop vite. Entrez…— Merci, jeune samouraï. J’ai dit, toute surprise : « Mais il parle japonais ! » Puis je vous ai salué dignement en vous appelant jeune guerrier et je vous ai demandé votre nom.— Merci du compliment. Mon nom est Alex.— Alors bonjour Alex. Mon nom est Miss Kyoto.J’avais devant moi une toute petite femme d’origine nippone. Avait-elle trente ou quarante ans, aucune idée et aucun signe pour me le laisser deviner. Habillée de façon conventionnelle, elle avait à la main un petit balluchon, délicatement ficelé, contenant probablement ses habits pour la soirée. L’accompagnant au salon j’ai eu le plaisir de la voir se déplacer devant moi. C’était comme si elle marchait sur un nuage, bougeant à peine les hanches pour se déplacer.— Je peux vous servir quelque chose en attendant que Miss Laval descende ?— Oh oui, s’il vous plaît ! Je suis certaine qu’il doit y avoir un peu de champagne au frais dans cette somptueuse demeure… Et je sais Miss Laval friande de ce nectar des dieux.— Vous avez vu juste. Je reviens tout de suite. Mettez-vous à votre aise.Me rendant à la cuisine, j’ai alors senti son regard sur moi, me détaillant de la tête au pied. Cette dame était une habituée de ces soirées spéciales. Elle regardait donc la marchandise, peut-être en se demandant si elle y trouverait son compte. À mon retour, Miss Laval avait déjà rejoint son invitée et s’informait du voyage de Miss Kyoto. Me voyant revenir, elle m’a dit simplement :— Sers-moi en une coupe, s’il te plaît, mon petit guerrier chéri, et va à la douche. Je vais prendre soin de Miss Kyoto pendant ton absence.Et elles rirent toutes les deux. Arrivé au haut de l’escalier, je me suis aperçu que le deuxième étage avait été conçu en genre loft, sans mur ni cloison mais disposé de façon à ce qu’on ne puisse pas voir d’une pièce à l’autre, de la chambre à la salle de bain, du placard au lit et ainsi de suite, le tout disposé autour d’un pivot central. Trouvant facilement la salle de bain dans laquelle Miss Laval avait soigneusement placé mes habits du soir sur le dos d’un fauteuil, j’ai pu admirer le charme et la qualité des lieux. La douche, faite d’un mur de verre transparent avec plein de jets tout autour, me fit penser que les occupants devaient avoir un penchant exhibitionniste et voyeur assez développé. Je me suis alors dévêtu sans plus attendre et j’ai sauté dans la douche, ouvrant tous les jets possibles afin de goûter à ce genre de luxe, absent chez moi. Étant en train de me laver les cheveux, j’ai soudain senti une présence à mes côtés. À travers le rideau d’eau qui me couvrait les yeux j’ai pu entrevoir Miss Kyoto qui me regardait, les yeux scotchés, comme disent si bien mes amis Français, sur mon sexe qui s’était un peu raidi vu la puissance des jets.— Euh… Oui ?— Oh ! Excusez-moi, je ne voulais pas vous déranger…— Vous cherchez quelque chose ?— Oui… Vous savez… Quel est votre nom déjà  ?— Alex.— Alex… C’est ça ! Alors vous savez, Alex, il ne faut pas m’en vouloir, mais dans mon pays les hommes, en général, ne sont pas aussi bien pourvus que vous l’êtes. Ce qui ne veut pas dire qu’ils ne savent pas utiliser ce qu’ils ont, mais disons qu’à chaque fois que je viens dans votre pays, je ne peux m’empêcher de regarder les hommes nus, tant au repos qu’en pleine action.Ne sachant que dire, je suis resté sans voix.— Pourrais-je me joindre à vous sous la douche ? Deux jours dans les avions et les aéroports, je crois qu’un peu de savon crémeux ne me ferait pas de tort. Il me ferait plaisir si vous me laviez gentiment le dos, et peut-être que vous m’autoriseriez à vous faire de même ?— Oui, bien sûr ! Pourquoi pas ?Retirant lentement ses vêtements, Miss Kyoto me regarda droit dans les yeux, cherchant à savoir si j’aurais le courage de baisser les miens et de regarder son corps maintenant nu devant moi. Voyant que j’étais trop mal à l’aise pour le faire, elle baissa les yeux et me dit :— Vous pouvez me regarder, wakamono bushi, car c’est ce que j’ai fait tout à l’heure pour vous. Comment me trouvez-vous ? J’étais beaucoup plus belle il y a quelques années…Baissant alors les yeux, j’ai vu une femme dans un corps de jeune fille. Elle avait la taille fine, les hanches bien découpées, une poitrine toute menue dont les tétons, longs de deux centimètres, semblaient directement plantés entre ses côtes. Elle devait faire, avec ce que j’en sais aujourd’hui, du AA ou du AAA et les soutifs n’étaient d’aucune utilité pour elle. Tout cadrait avec son sourire dont les lèvres étaient fines et minuscules et ses yeux, tel un simple trait horizontal au milieu de son visage angélique. Son ventre était plat et son pubis complètement dépourvu de poils. On pouvait y voir, comme les lèvres de sa bouche, une petite fente verticale sans renflement aucun, tout juste un peu plus foncée que sa peau couleur de miel.— Vous avez un corps de rêve, Miss Kyoto.— Monsieur Alex San, n’essaieriez-vous pas de me séduire ?— Je m’excuse si je vous ai offensée.— Non, Alex San ! Vous devez savoir que, même dans mon pays, les femmes aiment se faire dire qu’elles sont jolies… Ce compliment me touche beaucoup. Merci de me voir avec ces yeux.Finissant ces mots, elle entra sous la douche tout en défaisant sa coiffure. Une tonne de cheveux lui est tombée sur les épaules. Je n’avais jamais vu une chevelure aussi longue et aussi soyeuse que la sienne. Couleur noir de jais, ses cheveux se répandirent délicatement sur ces épaules, lui cachant la poitrine à l’avant et la recouvrant jusqu’au bas des fesses à l’arrière. Elle les a rapidement tortillés en boudin. Levant les bras, elle en a fait un nœud tombant sur sa nuque, découvrant ainsi ses seins dont les pointes étaient maintenant toutes noires et bien droites. Me délectant à la vue de ses formes si délicates, ma petite branche bien plantée au centre de mon tronc s’est soudainement mise à se redresser, pointant maintenant vers le ciel. Ouvrant les yeux tout grands en voyant mon sexe maintenant au garde-à -vous, Miss Kyoto a mis sa main devant sa bouche et m’a lancé :— Alex San… C’est moi qui vous fais cet effet ?— J’ai bien peur que oui, bijo geisha… Vous êtes tellement belle !— Mais je suis si vieille à côté de vous ! Miss Laval m’a dit que vous aviez dix-huit ans aujourd’hui ?— Oui, aujourd’hui.— Alors, comme vous venez de le dire, puis-je être votre Belle Geisha, le temps de cette douche ?— Tout le plaisir sera pour moi, bijo geisha…Redirigeant son regard sur mon bas-ventre, elle a simplement ajouté :— Oh, ce qu’elle est belle ! Vous me permettez de rendre hommage à ce bijou qui s’est redressé pour moi ?Sans même attendre ma permission, elle s’est alors mis délicatement les genoux au sol, se retrouvant face à face avec mon pénis la regardant fièrement. Ouvrant lentement ses lèvres, elle s’est mise à me sucer si délicatement que j’en avais la chair de poule. Elle allait et venait lentement sur ma hampe, la suçant à l’entrée et la léchant à la sortie, passant et repassant sur le frein ainsi que tout le long de ma tige. Sentant mon plaisir imminent, elle a cessé sa douce caresse, s’est relevée et m’a regardé directement dans les yeux.— Venez avec moi, Alex San. Allons sur le fauteuil et rendons ce plaisir mémorable.N’étant plus maître de mes pensées, je voyais que si je la laissais prendre l’initiative, je ne serais plus maître de mon corps non plus. Mais comment résister à une telle femme, tellement exotique et si charmante ? Elle m’a guidé vers un grand fauteuil rond, presque aussi grand qu’un lit, et m’a invité à m’y allonger dessus. Faisant ensuite le tour de notre couche, elle est venue s’étendre sur moi, tête-bêche, me donnant ainsi son sexe à goûter. J’y ai alors découvert un tout petit clitoris qui ne demandait pas mieux que d’être sucé, caressé, mordillé délicatement dans le but de propulser sa propriétaire vers un monde meilleur.Me reprenant en bouche, elle s’est remise à la musique, jouant, tantôt du picolo, tantôt du trombone à coulisse avec mon membre tendu à l’extrême. À chaque passage de ma langue sur son petit bouton d’amour, je la sentais vibrer de plaisir et couiner doucement. Après plusieurs minutes de ce traitement, sans mot dire elle s’est relevée, est passée au-dessus de moi et s’est empalée tout doucement sur mon sexe, m’enfonçant en elle tout doucement, la tête haute, sa petite bouche toute grande ouverte qui semblait crier sans émettre un son. Les yeux clos, elle se délectait de ce moment. Quand je fus arrivé au fond du puits, elle a ouvert les yeux :— Tu n’as pas idée du bonheur que je ressens à te sentir, si gros, au fond de moi !— C’est aussi très bon de vous sentir m’enserrer ainsi, vous êtes si… petite… que je vous sens sur toute ma longueur et je me sens butter au fond de vous.Elle a alors commencé à monter et descendre doucement sur mon sexe, ouvrant la bouche à la descente et les yeux à la sortie. Sans qu’elle accélère le rythme, ses gémissements ont commencé, d’abord tout doucement puis de plus en plus forts, extériorisant ainsi le plaisir qui prenait place dans son corps. Tout à coup elle arrêta de souffler, de gémir et même de bouger. Et je sentis alors les contractions de son vagin sur mon pénis, faisant monter et descendre une vague comme si elle bougeait encore sur moi. Après une minute à peine de ce manège, elle a ouvert grands les yeux ainsi que la bouche :— Je jouis… Ah ! C’est bon ! Oui… OUIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiJ’ai alors senti une chaleur intense sur toute la longueur de ma queue toujours fichée au fond de son con. Il n’en fallut pas plus pour que je me répande en elle, expurgeant mon plaisir au fond de son corps. Elle recevait tout le foutre qu’elle avait si bien su faire monter du fond de mes couilles. J’ai alors perdu tout sens du raisonnable, sentant son corps bouger de gauche à droite, d’avant en arrière, tournant autour du pivot qui demeurait solidement fiché en elle. Même vidé de mon jus, ces mouvements faisaient continuer ma jouissance, encore et encore.Puis j’ai entendu une voix toute douce me dire :— Huuuuummmm, ça a été merveilleux, wakamono bushi !— Pour moi aussi, ma belle geisha. Je croyais ne plus pouvoir arrêter de jouir en vous. Vous êtes une femme comme il ne s’en fait pas ici.— Merci du compliment, c’est très flatteur pour moi de vous l’entendre dire. Maintenant que la tempête est passée et que le soleil est encore bien haut dans le ciel, je crois que nous devrions terminer cette douche et descendre avant que Miss Laval s’inquiète de notre absence…— Vous croyez qu’elle va s’inquiéter ?— Non. C’est elle qui m’a invitée à venir partager votre douche, sachant très bien que vous ne me refuseriez pas ce plaisir.Nous sommes retournés à la douche. Alors que j’étais prêt à sortir, Miss Kyoto m’a dit :— Viens ici, je vais raser les poils de ton sexe.— Ah oui ?— Oui, viens, tu vas voir. Le fait de sentir ton membre et tout son contour se frotter sur la chatte d’une femme, qu’elle soit poilue ou non, te donnera toutes sortes de nouvelles sensations… Tu aimeras.Je me suis retrouvé avec plein de savon tout autour du membre et déjà un petit rasoir avait commencé son travail. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’avais été mis l’âme et la queue à nue. En me donnant une petite tape sur le bout qui commençait déjà à se relever tant ses touchés avaient été doux et plaisants, elle a simplement ajouté, les yeux toujours rivés sur mon sexe grossissant à vue d’œil :— Dommage qu’on n’ait pas le temps, j’en aurais bien repris une bonne longueur de ce bel engin. Allez, au travail ! J’ai cru entendre la voix de Miss Ouaga. Prépare-toi à avoir la surprise de ta vie !— Ah oui ? Et pourquoi ?— Tu verras par toi-même. Disons que cette femme est… unique.Je me suis rincé et séché rapidement, enfilant en vitesse mon Panama Jack et la chemise de pirate posée sur le fauteuil par Miss Laval, afin d’aller servir les invitées de ma patronne. Il ne me manquait que les pendeloques autour du cou ainsi que deux pistolets à la ceinture pour ressembler à Jack Sparow. Mais, pour l’instant, je devais mettre de côté le fusil à un coup, caché au fond de ma culotte. J’étais prêt à quitter la salle de bain quand, me rattrapant au vol, Miss Kyoto déposa sur mes lèvres un doux baiser, suivi d’une petite phrase que je garderai toujours en tête. Fondant son regard dans le mien, elle me dit en effet :— Alex San, avec ta tendresse et ton sens de l’écoute aux plaisirs de ta partenaire, tu seras un amant de grand luxe… Dommage que nos pays soient si éloignés l’un de l’autre !— Vous êtes une femme merveilleuse, Miss Kyoto. J’envie l’homme qui est dans votre vie et surtout celui qui partage votre couche.— Allez, ouste, petit vicieux ! À croire que tu ne penses qu’à ça…Descendant quatre à quatre les marches de l’escalier j’ai retrouvé, assise au salon, Miss Laval en compagnie d’une immense femme à la peau d’ébène, vêtue d’une robe toute colorée. Venait d’arriver Miss Ouaga.À suivre