PrĂ©ambuleJe m’appelle Mylène. Je suis professeur d’anglais dans un lycĂ©e professionnel. J’ai les cheveux châtains clairs, je mesure 1,70 m et je pèse environ 55 kg. Je ne suis pas jolie, mais on dit de moi, et je dois le confesser avec une certaine fiertĂ©, que j’ai beaucoup de charme. C’est vrai, je dois reconnaĂ®tre que j’ai un certain succès auprès de la gent masculine.Je vis seule depuis quelques temps dĂ©jĂ . Depuis qu’un imbĂ©cile m’a quittĂ©. Cette sĂ©paration m’a brisĂ© le cĹ“ur et m’a coĂ»tĂ© bon nombre de larmes. Je prĂ©fère donc vivre seule plutĂ´t que mal accompagnĂ©e ; mĂŞme si je ne suis pas contre quelques aventures qui sont restĂ©es jusqu’à prĂ©sent sans … lendemain.J’habite un appartement de type F3 propriĂ©tĂ© des HLM dont le cĂ´tĂ© sud-ouest ouvre sur deux balcons ; un pour le sĂ©jour et un autre pour la chambre que j’occupe. Ce dernier est rendu « opaque » sur l’extĂ©rieur par un muret de bĂ©ton. Une dernière prĂ©cision, j’ai partagĂ© cet appartement pendant un temps avec mon « ex ».VoilĂ , je crois avoir dĂ©crit de la façon la plus prĂ©cise possible ma vie et mon environnement pour la suite de mon histoire.1 – Ma Saint-SylvestreJe croyais bien que mon histoire avec mon « ex » (Thomas) Ă©tait enterrĂ©e Ă dĂ©faut d’être dĂ©finitivement oubliĂ©e, mais un Ă©vènement allait changer l’ordre normal de mes pensĂ©es. Je savais que Thomas Ă©tait Ă la recherche d’un appartement plus grand.En fait, je le savais de sa bouche, car il nous arrivait encore de nous … « frĂ©quenter », de nous voir serait le terme le plus exact. Ainsi, il n’était pas rare que nous passions les fĂŞtes de fin d’annĂ©e ensemble, lorsque la malchance faisait que nous nous retrouvions seuls, l’un comme l’autre. Le NoĂ«l chez l’un, le Nouvel An chez l’autre, mais en tout bien, tout honneur !Bien sĂ»r, il y avait eu ce rĂ©veillon de la Saint-Sylvestre oĂą, le vin aidant, nous avions eu des propos peu amènes l’un envers l’autre. Ainsi monsieur avait osĂ© me reprocher que si nous nous Ă©tions sĂ©parĂ©s, c’était parce que nos Ă©bats amoureux Ă©taient toujours restĂ©s bien trop sages, que jamais je n’avais voulu lui faire le moindre petit strip-tease et encore moins ce qu’il qualifiait de … petite gâterie. Alors, mon sang ou plutĂ´t mon mĂ©lange de sang et d’alcool ne fit qu’un tour.Ah ! Il le voulait son petit cadeau de NoĂ«l, eh bien il allait l’avoir ! N’écoutant que mon courage ou plutĂ´t ma colère (elle est toujours mauvaise conseillère et encore plus quand vous avez un peu bu et encore bien plus quand on n’en a pas l’habitude).Mais, avant de vous raconter le « petit cadeau », il faut que je vous dĂ©crive ma tenue vestimentaire. C’était, donc, soir de fĂŞte et ce n’est pas parce que l’on reste chez soi et que l’on reçoit son « ex » que l’on est moins coquette. Ainsi, pour l’occasion, j’avais sorti une tenue de circonstance. Un joli petit ensemble noir composĂ© d’un soutien-gorge et d’un brĂ©silien en dentelle, des bas auto-fixants de la mĂŞme couleur, une robe en popeline de coton vert d’eau dont le bustier ornĂ© de fronce horizontale s’arrĂŞtait juste au-dessus de ma poitrine. Pour cacher les bretelles de mon soutien-gorge et recouvrir mes Ă©paules, j’avais ajoutĂ© une tunique blanche en lin sans manches qui me descendait jusqu’à mi-cuisse et que j’avais laissĂ©e ouverte. Pour finir ma tenue de soirĂ©e, je portais des escarpins Ă talon haut. Lorsque je m’étais regardĂ©e dans la glace, je m’étais trouvĂ©e vraiment pas mal et j’avais pensĂ© « dommage ! ».Mais revenons Ă nos moutons, monsieur Thomas allait avoir droit au « grand jeu » et c’est sur une musique des plus classiques pour ce genre d’amusement que j’allais « m’exĂ©cuter ». Je me dirigeai vers la chaĂ®ne stĂ©rĂ©o pour y faire chanter Joe Cocker et son cĂ©lèbre You can leave your hat on et le show pouvait commencer.Au dĂ©but, j’ai senti dans le regard de Thomas une pointe d’inquiĂ©tude. Jamais il ne m’avait vue comme cela, mais le spectacle devait très probablement l’intĂ©resser car, Ă aucun moment, il ne me proposa d’arrĂŞter, ajoutant que ce n’était qu’une plaisanterie idiote et qu’il regrettait ses propos. D’ailleurs, il s’était confortablement installĂ© dans le divan, une flĂ»te de champagne Ă la main.Je me mis face Ă lui, mes yeux dans les siens, arrogante. En effectuant quelques pas de danse, je faisais descendre doucement les bretelles de la tunique. Une fois celles-ci arrivĂ©es en dessous des Ă©paules, la pesanteur fit son effet et le vĂŞtement se retrouva au sol Ă mes pieds. En me dĂ©hanchant langoureusement, je le ramassai et le plaçai sur le dossier d’un fauteuil.Maintenant, c’était Ă la robe qu’il fallait s’attaquer. Je ne faiblissais pas et je crois bien que je commençais Ă y prendre plus de plaisir que je n’aurais imaginĂ©. Pour enlever la robe, je devais descendre une fermeture Ă glissière qui partait de sous mon aisselle jusqu’à ma taille. Je commençai Ă la descendre doucement et, bientĂ´t, le bustier s’entrouvrit, faisant apparaĂ®tre la fine dentelle de mon soutien-gorge. Il va sans dire que je n’étais pas une « professionnelle » et je fus surprise de constater que, malgrĂ© mes dĂ©hanchements de plus en plus provocants, la robe verte restait quasiment en place. Je dus donc l’aider un peu en tirant sur le tissu au niveau de mes hanches et, après un bref glissement silencieux, je me trouvai en sous-vĂŞtements. Je me baissai en pliant les jambes de la façon la plus sexy possible pour ramasser la robe et la jeter au visage de Thomas.Mais, en face de moi, je sentais bien que mon spectateur s’impatientait. Visiblement, il n’était pas lĂ pour me voir en sous-vĂŞtements. Non, Monsieur en veut plus, eh bien je suis d’accord ! Il ne pourra pas dire qu’il n’a pas eu son petit spectacle ; mon orgueil reprenait le dessus. Rapidement, je dĂ©fis l’attache de mon soutien-gorge en me retournant. J’enlevai la fine dentelle et la lançai dans les airs, prĂ©sentant Ă Thomas mon dos nu.La première partie de son « cadeau » Ă©tait presque arrivĂ©e Ă son terme et il n’y avait plus qu’un minuscule morceau de tissu Ă retirer pour arriver au clou du spectacle. Je continuai Ă danser en pinçant entre deux doigts de chaque main le fin Ă©lastique de mon brĂ©silien. BientĂ´t, mon spectateur attentif allait redĂ©couvrir mon adorable petit cul, avec ses belles fesses bien dessinĂ©es. Je laissai choir Ă terre ma dernière protection en serrant les jambes, puis je la ramassai pour l’agiter tel un petit fanion au bout de mon bras droit. Puis, dans un geste de dĂ©fi, je me retournai pour faire face Ă mon inquisiteur en prenant bien soin d’écarter les jambes, offrant ainsi mon sexe ouvert Ă son regard. Je n’étais plus qu’à quelques centimètres de son visage et je pouvais presque ressentir son souffle sur ma peau. Le stratagème avait rĂ©ussi. Pendant quelques secondes, Thomas resta troublĂ©. C’était suffisant pour passer Ă la deuxième partie du cadeau. Je me jetai sur lui, le repoussant au fond du divan et, telle une panthère, j’ôtai le bouton de son pantalon et descendis sa braguette. Je retirai son sexe, gonflĂ© par le spectacle prĂ©cĂ©demment offert, de son ultime abri et le pris Ă pleine bouche. Il allait voir ce qu’il allait voir, ce connard !Il me semblait, ou je pensais que j’avais repris les choses en main ; dans la bouche, aurait Ă©tĂ© le terme le plus appropriĂ©. J’entrepris un lent et tendre va-et-vient sur la verge de ma « victime » et, Ă la rĂ©flexion, si victime il y avait, elle Ă©tait pour le moins consentante. Je m’appliquais de mon mieux, car je dois bien avouer que c’était une des premières fois que je rĂ©alisais ce genre de prouesse, mais, aux rĂ©actions de Thomas, je savais que je ne me dĂ©brouillais pas si mal en suçant, caressant ou malaxant son « service trois pièces ». Dans notre liaison, il y avait toujours une « petite » relation de dominant Ă dominĂ©e et lĂ , c’était moi qui dominait et j’en Ă©prouvais un sentiment de bien-ĂŞtre, malgrĂ© le fait d’avoir son instrument « rĂ©pugnant » dans la bouche.Dans ma bouche, oui, j’oubliais. Il Ă©tait dans ma bouche qui Ă©tait toujours « pucelle » et qui Ă n’importe quel moment pouvait recevoir son … Un haut-le-cĹ“ur et des frissons me parcoururent le corps, mais il n’était pas question de lâcher le morceau et le morceau Ă©tait digne d’une reine. Je sentais Thomas se dĂ©tendre ou se tendre au grĂ© de mes manipulations manuelles et buccales. Je me disais qu’il serait bien temps d’agir « avaler ou cracher ce venin infâme », lorsque cela arriverait. J’en Ă©tais dans ces rĂ©flexions lorsque, tout Ă coup, j’entendis taper Ă la porte.Pendant quelques secondes, je continuai mon Ĺ“uvre mais, bientĂ´t, on ne frappait plus Ă la porte. L’inopportun ou l’inopportune Ă©tait passĂ© au tambourinage. Non, il n’était pas question d’arrĂŞter maintenant, je le tenais et il allait « payer » ses remarques dĂ©sobligeantes, mais les coups Ă la porte redoublaient et si l’inopportun continuait, il allait rĂ©veiller tout l’immeuble. De dĂ©pit, je me levai laissant Thomas Ă ses … (Ă ce qu’il veut cet imbĂ©cile !), attrapai au passage ma tunique, l’enfilai et allai ouvrir tout de « go » ma porte et …Je me trouvai nez Ă nez avec Michel, mon voisin de pallier qui me gratifiait d’un « bonne annĂ©e, bonne santĂ©, Mylène » et, sans coup fĂ©rir, m’embrassait sur les deux joues. Ce faisant, il m’avait pris par les deux Ă©paules et fait lâcher le pan de ma tunique que je tenais sur mon corps dĂ©nudĂ©. Par chance, la lumière actionnĂ©e par une minuterie s’était Ă©teinte et il ne s’était aperçu de rien.Dans le sĂ©jour, Thomas avait vite repris ses esprits et il nous rejoignit dans le hall d’entrĂ©e. En croisant son regard, je compris que j’allais payer ses moments de perdition ou de frustration, voire les deux. Ă€ leur tour, les deux hommes s’embrassèrent sur les joues en se gratifiant de tous les vĹ“ux d’usage en cette pĂ©riode de l’annĂ©e. Mais, en mĂŞme temps, Thomas m’interdisait toute retraite dans le sĂ©jour afin que je puisse rĂ©cupĂ©rer quelques vĂŞtements. Il avait repris la main.J’étais coincĂ©e dans le hall de mon appartement par deux hommes dont un qui me savait uniquement vĂŞtue d’une tunique dont j’avais pu, Ă nouveau, rabattre les deux pans sur ma poitrine, de « DIM UP » et de chaussures Ă talon haut. Je n’étais plus qu’une « pute » ; oui, Thomas avait fait de moi sa putain et, lĂ , de nouveau, toute ma haine Ă son encontre commençait Ă ressurgir. Par chance, Michel avait bien « vĂ©cu » et il ne s’apercevait de rien.Et puis, ce fut un Ă©change de « politesse » entre les deux hommes qui voulaient s’inviter l’un l’autre Ă fĂŞter la nouvelle annĂ©e. Thomas insista un peu et, visiblement, Michel n’avait pas trop envie de refuser.Thomas m’ordonna plus qu’il me demanda d’offrir un verre à « notre » ami. « Quel salaud, pensais-je ! »ArrivĂ©s dans le sĂ©jour, je nous servis une flĂ»te de champagne. Thomas crut bon de proposer un toast Ă la nouvelle annĂ©e. Il leva son verre Ă bout de bras, Michel en fit de mĂŞme et moi Ă©galement. Grâce Ă Dieu, mes talons Ă©taient hauts et ma tunique ne se releva pas trop…. Thomas fut déçu.Quelques minutes passèrent et l’on vint Ă nouveau frapper Ă la porte. J’allais ouvrir lorsque Aurore entra en nous demandant ce que l’on faisait. Aurore Ă©tait la fille de Michel. Elle venait d’avoir 18 ans et j’étais Ă©tonnĂ©e qu’elle passât cette soirĂ©e avec ses parents. Elle mĂ©ritait son prĂ©nom, car c’était toujours comme une nouvelle journĂ©e qui commençait quand tu la voyais ou qu’elle t’adressait la parole. La gentillesse personnifiĂ©e !Les deux machins grommelèrent quelque chose d’incomprĂ©hensible qui devait vouloir dire qu’ils arrivaient.De mon cĂ´tĂ©, je fus prise d’une peur panique, car il n’était pas rare qu’Aurore ou sa mère rentre dans l’appartement après un bref « tocage » de la porte d’entrĂ©e. Et, si c’était elle qui Ă©tait venue nous chercher la première, elle serait entrĂ©e comme elle venait de le faire et m’aurait surprise Ă genoux, nue devant Thomas dans une position pour le moins scabreuse.Je remerciai Dieu de nous avoir envoyĂ© Michel et en oubliai presque la situation actuelle.Mais Thomas ne tarda pas Ă me la rappeler ; leur verre Ă peine fini, les deux hommes se levèrent, Thomas m’entraĂ®nant avec un plaisir non dissimulĂ© vers l’appartement voisin.Je crois que j’avais bien dessoulĂ© et mon trouble pouvait certainement se lire sur mon visage. J’étais entourĂ©e, maintenant, de personnes connues ou inconnues, car Michel et sa femme recevaient, pour l’occasion, quelques amis.Je dois confesser, aujourd’hui, que j’y prenais malgrĂ© tout un plaisir certain, car je sentais mon « intimité » de plus en plus humide. De la cyprine commençait Ă s’écouler de mon vagin. J’avais fait voler en Ă©clat dans cette soirĂ©e beaucoup de mes « principes », mais j’étais de plus en plus mal Ă l’aise. Je me demandais dans quel Ă©tat j’allais laisser cette pauvre chaise.Thomas ne fit, au cours de cette fin de soirĂ©e, que retarder notre retour dans mon appartement. Enfin, vers 5 heures du matin, nous rentrâmes chez moi. Je prĂ©fĂ©rais penser que personne ne s’était doutĂ© de ma « nudité », bien que je croie qu’Aurore s’en Ă©tait aperçue tout de suite. Bien sĂ»r, j’ai vu des regards un peu plus brillants que d’habitude, mais ce pouvait ĂŞtre l’alcool ou bien mon charme habituel qui avait encore agi. D’ailleurs, suite Ă cette soirĂ©e, personne n’a … Seule, Aurore m’avait susurrĂ© Ă l’oreille, lors de notre dĂ©part, de l’aider Ă devenir belle, elle aussi !Quant Ă Thomas, cet … imbĂ©cile, connard, abruti, salaud a souhaitĂ© dormir Ă la « maison » prĂ©textant qu’il avait beaucoup bu pendant cette soirĂ©e. Par gentillesse, soumission, amour ou toutes autres raisons, je l’ai autorisĂ© Ă rester, mais, dès son rĂ©veil, il a trouvĂ© une porte grande ouverte qui l’engageait Ă partir.