Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 5
Sylvie va pouvoir écrire de nouveaux chapitres sur Jocelyn. Le légume qu’il était il y a encore quelques mois a bien changé. En fait de légumes, il en reste un, le concombre qu’il a entre les cuisses.
Proposée le 13/08/2022 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Ma tante et mes cousines se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 5Il porte un boxer blanc très moulant qui lui fait un sacré paquet entre les jambes, je m’approche de lui et le lui enlève…sa queue se libère et elle est déjà bien épaisse et assez longue et repose sur une très grosse paire de couilles,
Je lui retire ce dernier voile pour avoir en face de moi son formidable phallus. En quelques caresses savantes, je vois renaître le Phénix. J’ai de nouveau sous les yeux ce pieu hyper massif de mes souvenirs. Je le caresse avec volupté pour l’amener à la croissance maximum. Il me demande alors :
-J’ai un fantasme Sylvie, veux-tu me faire ma toilette ?Suite :
Je ne lui réponds rien mais le prends par la main et l’emmène dans ma salle de bain. Je finis de le dévêtir, le mets sous la douche et me savonne les mains. Il me demande d’une voix candide :
– Pourrais-tu laver mon entrejambe, s’il te plaît ?Je prends mon courage à deux mains et commence à savonner ses cuisses pour finir sur son chibre qui pend entre ses cuisses, rien que le savonner produit sur Jocelyn l’effet attendu et le « pont levis se lève ». Je touche cette barre de fer toujours aussi bien dressée et épaisse et en éprouve l’incroyable dureté. Je suis affreusement gênée mais à la fois folle de joie. Je ne m’attendais pas à ce que mon livre m’amène un jour à branler un sexe d’une telle taille !
Sans même m’en rendre compte, mes frottements deviennent des caresses. Je suis attirée par ce chibre immense comme un aimant par une plaque de tôle. Je ne peux plus résister, me déshabille moi aussi et me mets à branler puis à sucer son dard. J’aime faire des gorges profondes mais là, je n’y arrive pas. Il pose ses mains sur l’arrière de ma tête pour essayer d’aller encore plus loin sous mes haut le cœur. Il est très résistant après tous les mois où sa famille s’est exercée sans compter à essayer de le faire atteindre l’orgasme.
Soudain, je sens des soubresauts faire enfler encore si c’est possible ce formidable nœud.
Je lâche la bête pour assister au spectacle. Jocelyn se branle à une vitesse folle jusqu’à l’explosion en puissants jets de sperme en poussant un râle puissant. Il se vide comme à son habitude et me crépit des cheveux au menton de son foutre épais.
Je finis sa toilette, (et la mienne) le sèche consciencieusement avant de nous diriger vers ma chambre.Je reprends là où je m’étais arrêté mais sentant que ça glisse moins bien à force du va et vient de mes doigts sur sa peau sèche, je reprends son gland dans ma bouche chaude et humide et l’enduit de ma salive en le suçant et le pompant goulûment tout en continuant de lui chatouiller de l’autre main ses testicules.
Il ne lui faut pas longtemps pour retrouver la forme ou plutôt que sa verge demi molle ne redevienne le manche de pioche habituel. Mes mains expertes reprennent leur jeu de cache-cache avec son gland tout en accélérant la cadence en exerçant une pression plus forte sur le prépuce pour en faire jaillir l’objet de mes désirs.
Je le pousse et il tombe le dos sur le lit. Je me place à califourchon sur lui et lui souris.
-Je vais finir ta toilette par un rasage en règle.
Je vais dans la salle de bain et reviens avec un bol de mousse et un rasoir. Je lui enduis le pubis, les bourses et la base de sa verge tendue de mousse à raser et lui ordonne de rester immobile pour ne pas risquer de le couper et commence le rasage.
Je passe la lame sur ses testicules, puis remonte sur la base de la hampe, il se laisse faire, amusé par cette étrange caresse. Son sexe et toujours en pleine érection ce qui me facilite bien la tâche.
-T’as l’air d’apprécier petit coquin !!! Une fois complètement glabre, je passe ma main sur cette peau toute lisse, puis la referme à la base de cette colonne de chair et m’en sers comme d’un gode pour me frotter dessus. Je le tapote sur ma vulve puis après un instant d’appréhension, je me mords les lèvres pour ne rien laisser paraître et m’embroche avec une infinie lenteur sur cette monstrueuse excroissance de chair. Jamais je n’ai ressenti ça. Je suis pleine comme jamais, ce n’est pas la longueur qui produit cette sensation mais le diamètre inusité de ce pénis.
Je m’amuse beaucoup de vouloir me faire jouir avec un tel étalon, je laisse le plaisir m’envahir et mes muscles intimes se raidir et broyer sa pine sous la montée de la jouissance. Je laisse échapper un petit cri au coup de grâce quand nos ventres se touchent et que j’arrive à la jouissance, je prends un pied terrible à voir ma cyprine gicler le long de son membre tellement l’espace est restreint. Je ne peux plus retenir un petit rire nerveux de plaisir et de contentement. Il me regarde, fier d’avoir encore une fois contenter une femelle.
-A moi, maintenant ! lance-t-il.Il me bascule et c’est maintenant moi qui suis sous lui. Il se positionne à genoux entre mes cuisses et prends mes pieds qu’il pose sur ses épaules et reprends la parole.
-Bien ! Maintenant tu vas goûter de mon défonce-cul, ça sera moins drôle pour toi au début.
Il me badigeonne l’anus d’une bonne couche de lubrifiant puis passe sa main sur ma raie, il insiste un peu plus sur mon trou tout fripé. Il m’excite grave là mais cette pratique me fait peur car mon mari n’est pas fou de cette pratique donc mon expérience est assez restreinte. Je sens d’ailleurs ma rondelle se contracter rien qu’au passage de sa main, il n’arrête pas de la passer entre mes globes fessiers et introduit son petit doigt dans mon sphincter. Il change ensuite de doigt puis essaye même avec plusieurs.
Sa queue ne dégonfle plus, toujours aussi imposante. Il se redresse sur ses genoux, se rapproche jusqu’à ce que son gland bute contre la porte de mon cul. Avec une infinie douceur je sens la pression augmenter jusqu’à ce que l’anneau cède et que son gland franchisse l’obstacle.
-Putain que t’es gros, Jocelyn ! Fais gaffe quand même.
-T’aimes bien ?
-Oui…pour le moment, mais je la sens salement passer. Encule-moi ! Encule-moi comme la salope que je suis.Mon œillet brun bat au rythme d’un petit cœur quand il se retire pour mieux revenir, mais quand il écarte au maximum mes fesses, c’est sa langue pointue qu’il enfonce entre mes reins. Cela dure si longtemps que je m’impatiente en remuant du cul. Jocelyn comprend ma supplique muette et pose son nœud sur sa cible, me saisit aux hanches et pousse son manche qui disparait entièrement dans Mon fondement,
– HAAAAAA !! OUIIIII VAS-YYYYYY !!!! C’EST BOOOOOOOOOONNNNNN !!!
La douleur de l’intromission de son calibre est vite compensée par ce plaisir nouveau, je suis sûre que s’il le pouvait, il y mettrait ses couilles aussi !
– Tiens ! prends ça salope ! Si tout à l’heure tu marches comme un canard, tu sauras pourquoi ! HAN !Il me ramone le fion qui risque de rester béant comme un chou-fleur après une telle séance pendant un temps…j’ai perdu la notion du temps. A chaque coup de reins je couine comme une truie qu’on égorge.
– Aaahhh !! Oui ! Oui ! Ooouuuiii !!!! Baise-moi, encore plus fort, encule-moi et décharge tout ton foutre dans ma rondelle.
– Ne t’en fais pas Sylvie, Je vais remplir ton cul de chienne, te graisser le fion comme jamais ! Han ! Han ! Han …. OOOUUUAAAIIISSS !!!Je n’aurais pas dû l’exciter, je couine maintenant comme pas possible sous les énormes coups de boutoir de son pieu tendu et épais et il ahane à chaque fois qu’il bute au plus profond de moi… Je me branle en même temps la foufoune avec ma main droite pendant que je me fais empaler par cet émule du comte Dracula.
J’ai maintenant le cul si dilaté que sa queue rentre super bien dans mon trou, c’est vraiment booonnn !
-OOOOOHHHH !!!!!!!! OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!Je ne suis plus qu’une poupée de son ballotée dans tous les sens, il m’agrippe comme il peut, tantôt par mes fesses, tantôt par mes seins qu’il malaxe sans aucune retenue, me claque les fesses suivant ses envies de mâle dominateur. Mais malgré la violence de ses assauts et les marques qu’il laisse sur mon corps avec ses mains, j’en redemande :
– Achève-moi, je suis ta cochonne, ta chienne…mmmmfff, BAISE-MOI… OUIII… JOUIS EN MOI !!!
– Aaahhh ! T’en veux encore plus ma cochonne ? Tu vas devoir boire mon jus maintenant !
– OUIIIII !!!
– Prends ma grosse queue dans ta bouche de salope !
Il accélère la manœuvre une dernière fois puis se retire subitement. Sans tarder, je change de position et m’agenouille devant lui, présentant ma bouche ouverte et tenant mes seins douloureux à deux mains pour recevoir son offrande.
Il se masturbe frénétiquement devant moi, mon regard va de son visage à sa main qui glisse sur sa queue prête à cracher sa gourme.
– Je vais lâcher la sauce ! Ouvre ta bouche de salope et tu n’as pas intérêt à en perdre une goutte !!!
Je reçois une nouvelle fois de puissants jets dans la bouche ainsi que sur mon visage, et même sur mes seins.
– T’es trop bonne !! Oui !!!! Mais je vais te punir car tu en as partout.La queue géante n’entre même pas à la moitié dans ma petite bouche. J’entends sa voix grave proférer des mots crus, obscènes mais j’accepte de me plier à chacune de ses demandes. Il prend ma tête à deux mains, l’incline en arrière autant qu’il le peut et introduit sa verge souillée tout au fond de ma gorge et me baise la bouche à toute vitesse. Heureusement que son chibre n’est plus aussi rigide après s’être vidé les burnes mais je ne peux l’empêcher de franchir ma luette et de déformer ma trachée. Je sens mes poumons prêts à exploser. Il se retire juste le temps que je puisse reprendre ma respiration. Je respire bruyamment et m’étouffe à chaque fois qu’il force à nouveau mes lèvres et ma gorge. Jocelyn prend un réel plaisir et revient à la charge en tentant d’aller au plus profond possible dans ma gorge. Heureusement pour moi, après ses deux éjaculations, son pénis reprend enfin des proportions moins importantes et je réussis à supporter cette humiliation.j’ai aussi pris mon pied gravement et ma chatte en atteste tellement elle dégouline. Je nettoie avec ardeur la grosse dose de foutre épais qui me macule le corps et le visage. Un nouveau passage à la douche, séance de rhabillage et des adieux très chaleureux.
Je me cale dans mon divan en attendant que mon mari rentre de son boulot. Impossible de me concentrer sur mon prochain roman, je rêve tout éveillée à Jocelyn, le front brûlant (ainsi que la chatte). J’ai encore envie de me faire culbuter par lui, mais acceptera-t-il de revenir ?Mon mari vient de rentrer et je m’arrache bien malgré moi à la vision érotique de ce jeune homme doté d’un jonc si vigoureux… Un grand merci à sa tante et à ses cousines.J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.Fin.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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