Bonjour, je me prĂ©sente : Alexandre, 28 ans, vivant en couple depuis 18 mois avec Caroline, 25 ans, qui est ma compagne depuis 3 ans ½ et, je l’espère, pour la vie…L’histoire qui suit est celle de notre rencontre.J’avais donc 25 ans et je commençais sĂ©rieusement Ă m’inquiĂ©ter ; puceau, Ă cet âge, ça n’est pas une catastrophe quand on y pense a posteriori mais sur le moment c’est vraiment un gros problème, si vous ĂŞtes ou avez Ă©tĂ© dans mon cas vous voyez ce que je veux dire !C’était d’autant plus frustrant que j’étais depuis mon plus jeune âge adepte de littĂ©rature Ă©rotique Que celle-ci soit de plus ou moins bonne qualitĂ©, la lecture d’une scène de sexe, que ce soit chez Sade, SAS, Grainville, LouĂżs ou bien d’autres a toujours Ă©tĂ© pour moi beaucoup plus excitant que les photos Ă©rotiques de blondes (ou brunes) siliconĂ©es (ou non) ouvrant aimablement leur jambes au regard de collĂ©gien boutonneux comme celui que je fus (quoi que citĂ© bouton j’ai eu de la chance)… comme vous sans doute Messieurs ! Mesdemoiselles, ne soyez point dĂ©solĂ©es : nous sommes ainsi faits…Mon Ă©ducation sexuelle fut donc essentiellement littĂ©raire et très peu photo ou cinĂ©matographique : pas Canal+ Ă la maison, la tĂ©lĂ©vision très bien surveillĂ©e par mes parents (je ne pouvais que rarement jeter un coup d’œil sur M6 le dimanche soir), Internet qui n’avait pas encore fait son apparition et des magazines oĂą finalement je tachais plus les pages des mĂ©diocres histoires Ă©rotiques que celles des jeunes filles Ă©voquĂ©es plus haut. Ă€ 25 ans, quand on a beaucoup lu, beaucoup fantasmĂ©, mais Ă peine embrassĂ© et touchĂ© un sein, je vous assure que les questions trottent dans la tĂŞte… les origines du mal sont connues : une grande timiditĂ© qui m’a fait louper bien des occasions… jeunes puceaux qui me lisez, croyez-moi : mieux vaut risquer se prendre 10 râteaux et sĂ©duire Ă la 11ème tentative que ne rien faire les 10 fois et la 11ème fois non plus d’ailleurs ! Les questions, elles, sont variables : et si j’étais homo (pourquoi pas, mais dĂ©jĂ que je ne peux pas draguer une fille alors draguer un mec dans ma petite ville de province oĂą tout se sait…), et si je devenais prĂŞtre (si, je vous assure, j’y ai pensĂ©Â !), etc.Arrivent donc mes 25 ans, et le mariage d’un des mes amis, Luc, avec Julie. Autant que je vous l’avoue tout de suite, j’étais très amoureux de Julie et ce mariage ne me plaisait pas vraiment… un vague espoir qu’elle le plaque m’avait toujours animĂ©, et comme elle Ă©tait devenue assez proche, qui sait… il faut que je vous dise que, si j’avais beaucoup de mal avec les filles, il suffisait que je les sache inaccessible pour savoir leur parler, les faire rire, bref les draguotter… l’absence d’enjeu me facilitait les choses et me rendait encore plus furieux de ne parvenir Ă rien avec les filles qui m’attiraient. J’allais donc au mariage avec une ferme intention : me bourrer la gueule. Ça faisait belle lurette que je ne partais plus au soirĂ©e, plein de bonnes intentions, en me disant ce soir j’oserai… j’avais maintenant des objectifs moins ambitieux mais que je savais pouvoir atteindre sans trop de mal.Les familles des mariĂ©s ne lĂ©sinaient pas, et mon objectif fut me semblait assez facile Ă atteindre vu que j’étais dĂ©jĂ bien entamĂ© Ă la fin du cocktail et de la bouteille de champagne que j’y avais descendu. La dĂ©shinibition Ă©tait bien entamĂ©e aussi, et j’avais mĂŞme rĂ©ussi Ă entamer la conversation avec Beatriz, jeune et jolie espagnole amie de la mariĂ©e qui Ă©tait bien Ă mon goĂ»t (et qui devait repartir dès le lendemain : encore une fois, l’absence d’enjeu – car tirer un coup un soir n’était pas un enjeu, j’étais non seulement timide mais naĂŻf et fleur bleue – me facilitait les choses) et qui aurait du thĂ©oriquement se trouver Ă mes cĂ´tĂ©s Ă table… sauf que je n’avais pas du ĂŞtre lĂ©ger, ou alors elle avait trouvĂ© mieux car un changement de dernière minute se produisit et je me retrouvai Ă cĂ´tĂ© de… Caroline.Caroline est la nièce de la mariĂ©e, elle a alors 20 ans et le moins qu’on puisse dire est que je ne l’ai pas remarquĂ© jusque lĂ . Je ne suis qu’un homme, et cette fille grassouillette et joufflue, aux grosses lunettes, forcĂ©ment avec mon cerveau primaire elle Ă©tait transparente. Transparent mĂŞme son immense sourire qui aujourd’hui me fait craquer plus que tout. Mais j’anticipe…Je ne suis donc pas ravi de ma nouvelle voisine ; elle, de son cĂ´tĂ© dĂ©teste Luc, le mariĂ©, (je le saurais après) et la balance penche en ma dĂ©faveur quand elle apprend que je suis un de ses amis. Ajoutez Ă cela que, tout Ă mon ivresse, je la bassine avec mon coup de foudre pour Beatriz comme le dernier des goujats et vous comprendrez qu’on n’était pas vraiment bien parti…Mais bon, je suis d’humeur joueuse et je dĂ©cide d’animer un peu la soirĂ©e : faire boire une gamine de vingt ans, une riche idĂ©e, très subtile… j’ignorais que je me piĂ©geais moi-mĂŞme ! Elle boit, je bois et finalement nous finissons par bien nous entendre. Nos conversations enflammĂ©es d’ivrognes dont le reste de la table est exclu d’office rĂ©parent le mauvais dĂ©part. Je n’ai objectivement aucune idĂ©e sur Caroline : elle ne me plait pas, elle n’est pas de la ville, ses parents sont dans la salle. C’est juste une fille avec qui j’apprĂ©cie de discuter, puis de danser, et on rediscute, et elle va aux toilettes… je ne me souviens absolument plus ce qui s’est passĂ© (j’ai du frĂ´ler le coma Ă©thylique ce soir-lĂ ), mais selon toute vraisemblance je l’ai suivi et, Ă son retour, nous nous sommes embrassĂ©s. Ça paraĂ®t beau, comme ça, mais ça n’a pas du l’être vraiment, je crois que dans le genre bourrin j’ai Ă©tĂ© un champion ce soir-lĂ . Heureusement qu’elle Ă©tait dans le mĂŞme Ă©tat !Voici la situation : Ă ma gauche, la tente ; Ă ma droite, les toilettes montĂ©es pour l’occasion ; devant le jardin qui se prolonge par un petit bois. Le baiser a du nous dessaouler un peu, en tous cas lorsque nous recommençons c’est un peu plus civilisĂ© pour elle comme pour moi, et nous devenons presque romantique, nous prenant la main pour gagner un endroit plus discret : le petit bois Ă©voquĂ© plus haut. Nous sommes en aoĂ»t, le temps est beau et la fraĂ®cheur de la nuit ne nous gĂŞne pas. Caroline le dos contre un arbre, moi contre elle, je l’embrasse et la caresse… elle accepte tout, je peux caresser ses seins sous sa chemise, glisser une main dans sa culotte… je crois que c’est Ă ce moment que j’ai rĂ©alisĂ© que mon heure Ă©tait venue, que celle que je tenais dans mes bras n’était peut-ĂŞtre pas le canon que j’avais idĂ©alisĂ©, mais qu’elle Ă©tait consentante… et qu’il ne fallait pas que je la lâche ! Instinct animal, sans aucun doute, qui me faisait minimiser les difficultĂ©s (dont la moindre n’était pas la prĂ©sence de ses parents… son père n’avait dĂ©jĂ pas apprĂ©ciĂ© notre attitude pendant le repas, et je ne le voyais pas laisser partir sa fille, en voiture qui plus est, avec un mec tel que moi ces soir-lĂ – et qui lui donnerait tort ?) ; j’étais comme mon sexe, tendu vers un seul objectif, et prĂŞt Ă le rĂ©aliser Ă tout prix… enfin presque, quand elle se refusa Ă moi après que je l’eux couchĂ© dans la mousse (euh, en fait il y avait des ronces aussi) je sus me tenir ! Peut-ĂŞtre fut-ce sa promesse de se dĂ©brouiller pour venir chez moi (encore un miracle, l’absence de mes parents) qui me fit Ă©viter le pire. Je ne crois pas que je l’aurais violĂ©, j’en suis sĂ»r mĂŞme mais il y a tant de choses que je n’aurais jamais pensĂ© faire et que j’ai fait ces soir-là … comme conduire ma voiture une dizaine de kilomètres dans un Ă©tat alcoolique avancĂ©, qui plus est avec une passagère, ce dont encore aujourd’hui j’ai honte.Enfin bref, ce qui est fait est fait… elle avait rĂ©ussi et nous nous sommes Ă©clipsĂ©s… directions chez moi. MĂŞme si nous nous roulons des pelles langoureuses Ă chaque feu rouge (que je respecte scrupuleusement), de mon cĂ´tĂ© la gĂŞne remonte. Heureusement, si j’allais vers l’inconnu Caroline Ă©tait plus sereine et son attitude me dĂ©tendait un peu. ArrivĂ© chez moi, je n’osais cependant pas me jeter sur elle, regrettant un peu ma bestialitĂ©Â ! je me demande mĂŞme si, si elle n’avait pas pris les choses en main, je ne serai pas encore puceau Ă l’heure qu’il est !C’est donc elle qui m’invite Ă lui montrer ma chambre ; elle se couche sur mon lit, je viens près d’elle, l’embrasse, la dĂ©shabille. C’est la première fois que je tiens une femme entièrement nue entre mes bras : alors que je ne croyais aimer que les maigres, je dĂ©couvre les joies des rondeurs. Oui, elle a vraiment de grosses fesses, mais quel plaisir de les malaxer ; enfouir ma tĂŞte pour le première fois entre ses jolis seins biens ronds, sucer ses tĂ©tons. Elle aussi me dĂ©shabille et pour la première fois je me retrouve nu devant une femme autre que ma mère ou ma sĹ“ur, sauf que celles-ci ne m’ont pas vu depuis bien des annĂ©es. Moi si pudique, je n’aurais jamais cru pouvoir me mettre nue devant une inconnue rencontrĂ©e quelques heures auparavant ! Mon excitation est Ă son comble… mais ne se traduit pas au niveau de mon bas ventre oĂą toute vellĂ©itĂ© d’érection s’est fait la malle ! OĂą est passĂ©e la belle gaule de tout Ă l’heure ? Trace, alcool ? Mon angoisse de louper une fois de plus une occasion de connaĂ®tre enfin le plaisir Ă deux n’amĂ©liore certainement pas les choses… Caroline est adorable, alors que je m’énerve elle fait tout pour amĂ©liorer les choses, me prenant dans sa bouche sans grand rĂ©sultat, faisant couler un bain que nous partageons… et finalement je peux enfin la pĂ©nĂ©trer, après des prĂ©liminaires dont la longueur devrait figurer au livre des records ! Je ne sais pas pour vous, mais pour moi ce fut hĂ©sitant : l’ouverture n’est pas si facile Ă trouver, surtout mort de trouille comme je l’étais ; sans que je lui dise, Caroline a bien compris qu’avec ses 5 ans de moins sa maturitĂ© sexuelle est plus aboutie que la mienne ! Mais nous y sommes enfin et c’est le bonheur pour moi, pour elle je ne crois pas que ce fut inoubliable. Nous avons fait l’amour 3 fois cette nuit-là … 25 ans d’abstinence, il fallait bien que je rattrape ça.Nous n’aurions jamais du nous revoir, c’est le genre d’histoire glauque ou chacun en gĂ©nĂ©ral est heureux de ne pas revoir l’autre un peu honteux de son comportement… Mais Caroline m’a rappelé… et j’ai acceptĂ© qu’on se revoie. De mon cĂ´tĂ©, l’envie bien sĂ»r de goĂ»ter Ă nouveau aux joies du sexe… pour elle je ne sais pas, peut-ĂŞtre la mĂŞme chose ?Notre seconde rencontre fut tout sauf romantique : j’étais lĂ pour baiser (tellement excitĂ© que j’avais dĂ» me branler dans les toilettes du train avant l’arrivĂ©e Ă V.) et elle ne disait pas non. Ă€ son tour elle m’a conduit chez elle, mais je n’ai pas pu attendre : j’ai commencĂ© Ă la caresser dans la voiture et une fois arrĂŞtĂ©e devant chez elle m’a pris dans sa bouche jusqu’à ce que j’éjacule sans pouvoir me retenir. Le reste de la nuit et du week-end ont Ă©tĂ© torrides, nous n’avons pas arrĂŞtĂ© de faire l’amour. Bien dĂ©cidĂ© Ă expĂ©rimenter, je lui ai lĂ©chĂ© la chatte et a ma grande fiertĂ© et rĂ©ussi Ă la faire crier. Plus tard, dans un cinĂ©ma, nous nous sommes conduits comme des singes en rut : ma main dans sa culotte, la mienne dans mon boxer nous essayions de nous faire jouir mutuellement !Et nous sommes restĂ©s ensemble depuis ce temps lĂ , la sexualitĂ© forcenĂ©e des dĂ©buts a laissĂ© la place Ă la tendresse et Ă l’amour, ce qui ne nous empĂŞche pas de temps en temps de nous rejouer ces scènes sauvages !Caroline aime particulièrement la levrette, alors que bizarrement j’ai attendu de longues semaines avant d’oser lui demander : j’avais peu de la choquer, et puis, sans doute, son gros cul que j’aime tant maintenant m’intimidait. Maintenant c’est comme ça qu’elle hurle le plus !Mais nous essayions de varier les plaisirs, les positions, les lieux… Pour moi j’essaie que chaque fois que nous faisons l’amour ce soit diffĂ©rent, ne serait-ce que par un petit dĂ©tail…J’aime ĂŞtre tendre et la serrer fort, mes jambes sur ses jambes, en faisant de petits mouvements…J’aime la pĂ©nĂ©trer le plus profondĂ©ment possible en profitant de sa souplesse pour replier complètement ses jambes sur ses jambes…J’aime la pĂ©nĂ©trer violemment en heurtant nos pubis l’un contre l’autre, en lui tenant les mains ou en la bâillonnant ou encore, parfois, en l’attachant…J’aime quand elle me chevauche et que c’est elle qui dĂ©cide ce qui est le mieux pour elle…J’aime quand elle est en levrette et que mon bassin vient heurter ses fesses pendant que je la tiens aux hanches avant de m’écrouler sur elle, anĂ©anti par le plaisir…J’aime m’arrĂŞter quand elle est au bord de la jouissance…J’aime lĂ©cher son sexe et la sentir Ă ma merci ; j’aime la faire hurler en lui mettant un doigt dans le vagin que viens rejoindre un autre dans l’anus, voir parfois un glaçon…J’aime quand elle me suce mĂŞme si je ne la trouve pas experte en la matière.Nous avons fait l’amour dans une voiture, dans l’entrĂ©e cochère de mon immeuble, dans la nature, face Ă la mer, dans l’escalier ; nous avons fait l’amour alors que d’autres dormaient Ă quelques mètres ; nous nous sommes faits surprendre en faisant l’amour (et ce n’est pas drĂ´le) ! Je lui ai lĂ©chĂ© le minou sur lequel j’avais auparavant renversĂ© du champagne… nous avons fait l’amour devant la fenĂŞtre ouverte… elle m’a sucĂ© dans un jardin public dĂ©sert.Je l’ai sodomisĂ© aussi et elle a rarement autant hurlé… je n’aurais jamais cru qu’elle accepterait en fait ce jour lĂ oĂą elle avait ses règles et oĂą je n’en pouvais plus. Bizarrement je ne lui ai pas fait mal la première fois… mais après, lorsque nous avons recommencĂ© une fois sur deux elle a eu mal alors je n’ose plus le faire car je ne supporte pas l’idĂ©e de lui faire mal ! C’est une pratique qui m’excite et me dĂ©goĂ»te Ă la fois, c’est un pur fantasme en fait…J’ai trompĂ© Caroline une fois. Je ne voulais pas connaĂ®tre qu’une seule femme, je crois, et ça a failli tout casser. J’ai couchĂ© avec Sandra une fois et je n’en garde pas un souvenir transcendant… a l’exception de son talent de fellatrice que Caroline est loin d’égaler, cette expĂ©rience ne m’a rien apportĂ© de vraiment intĂ©ressant ! Sandra m’excitait beaucoup, sans doute par sa diffĂ©rence (petit, maigre, très brune) : mais elle m’a permis de mieux apprĂ©cier Caroline et ses rondeurs gĂ©nĂ©reuses que j’aime de plus en plus. Oh certes c’est moins joli Ă regarder Ă la plage qu’un joli petit cul, mais au lit quel bonheur d’avoir de quoi se remplir la main !VoilĂ , c’était notre histoire ! Un peu soft peut-ĂŞtre pour RevebĂ©bĂ©Â : pas de sexe gĂ©ant, de voisine nymphomane, de fantasme Ă©changiste. Un peu triste peut-ĂŞtre comme vie sexuelle pour ceux qui ne jurent que par la quantitĂ©Â !Oh, je ne dis pas que je n’aurais pas aimĂ© expĂ©rimenter plus… mais pour l’instant je sais que je peux me faire plaisir et faire plaisir quand je veux, qu’elle sait ce que j’aime et que je sais ce qu’elle aime. Je peux aller la voir dans son bureau et me retrouver dans 5 minutes en train de la pĂ©nĂ©trer violemment sur la table… elle peut se glisser sous mon bureau pendant que j’écris et me prendre dans sa bouche… d’ailleurs elle le fait… je vais ĂŞtre obligĂ© de vous laisser…Vive l’amour Ă 2 !