Il se peut que dans cette histoire il y ai des contradictions sur certaine chose avec l’époque oĂą se passe l’histoire. Des choses du style : des bas, une guĂŞpière, un porte-jarretelles, du latex, etc…C’est ça l’avantage des fantasmes. On peut le transporter oĂą l’on veut.Merci de votre comprĂ©hension et bon plaisir.A toi, StĂ©phanie…On me nomme Madame de Baincourt. Je suis une sorte de Libertine, bien que d’autre me dise Courtisane. J’en ai cure. Moi, tout ce qui m’intĂ©resse, c’est le plaisir : le plaisir de la bonne chaire, le plaisir du bon vin, le plaisir des bons mots, le plaisir du sexe.Je suis la protĂ©gĂ© d’un gentilhomme dont je tairais le nom qui m’a installĂ© dans une superbe demeure Ă la campagne. Je suis suffisamment proche de Paris pour m’y rendre en calèche.Les soirĂ©es que j’organise sont très couru. Qui n’a pas un jour dĂ©sirez boire du champagne dans un verre moulĂ© Ă partir de la forme d’un de mes seins.Mon gentilhomme s’occupe admirablement bien de moi et je ne manque de rien. Pourtant, je pense que nos jours sont comptĂ©s. Le peuple gronde de plus en plus fort contre le Roi. Ceci reste le cadet e mes soucis pour l’instant.Je possède Ă©galement de nombreux serviteurs et femmes de chambre. Mon gentilhomme me rendant que très rarement visite, je pris un jeune paysans sous mon toit et m’occupais personnellement de son Ă©ducation. C’était un jeune homme intelligent et je savais qu’il irait loin.J’avais Ă©galement sous mon aile une jeune fille qui m’avait Ă©tĂ© confiĂ©, Ă l’âge de douze ans, par son père suite Ă la mort de sa mère. Je faisais aussi son Ă©ducation.Un intendant venait deux fois par semaine apprendre au jeune homme ainsi qu’à la jeune fille les mathĂ©matiques, les sciences, la lecture et l’écriture.Mon Ă©ducation Ă moi Ă©tait tout autre. Je leur appris le plaisir du sexe. Je fis dĂ©florer la jeune fille, Ă l’âge de quinze, par le fils du palefrenier. Maintenant elle savait comment s’y prendre avec la gente masculine. Quand au jeune homme, je lui appris Ă honorer une femme et le bougre savait s’y prendre.A la tombĂ© de la nuit, on allumait un feu dans le petit boudoir. Je m’installais dans le canapĂ© pour dĂ©guster des friandises. Le chocolat venait de faire son apparition. Mon jeune paysans venait me rejoindre et sans que le demande, il glissait sous mes jupon et taquinait ma chatte de sa langue comme il savait bien le faire. Je lui offrais alors mes liqueurs en guise de remerciement. Il me suçait divinement bien me faisant gĂ©mir de bonheur.« Continuez, je suis fière de vous »Je continuais Ă manger mes friandises tout en me faisant lustrer la chatte.Je me rappel de la fois ou l’on avait Ă©tĂ© dĂ©rangĂ© par Juliette, ma petite protĂ©gĂ©e.Elle s’était endormi au bord de la rivière dans la forĂŞt. Lorsqu’elle s’était rĂ©veillĂ©e, il faisait nuit noire. Elle avait trouvĂ© son chemin mais avait eu peur des bĂŞtes de la nuit. La pauvre tremblait des pieds Ă la tĂŞte.Je m’apprĂŞtais Ă sucer Ă mon tour le pieu de mon jeune paysan lorsqu’elle frappa Ă la porte du boudoir. Je remis de l’ordre dans mes vĂŞtement maugrĂ©ant après la personne qui pouvait bien nous dĂ©ranger en pareil moment.Je dĂ©couvris Juliette tremblante. Je la pris dans mes bras et l’amenait sur le canapĂ© près du feu. Je fis signe Ă mon jeune paysans de prendre place dans le fauteuil. J’en avais pas fini avec lui.Je m’installais alors dans le canapĂ© tenant Juliette contre mon giron. Elle sanglotait.Je savais comme la rĂ©conforter. Je posais alors sa tĂŞte au creux de mon Ă©paule et lui donnait des petit bisous dans le cou avant de sortir ma langue pour le lui lĂ©cher ainsi que l’oreille. Je la sentis se dĂ©tendre. La caresse de ma langue dans le cou faisait toujours son effet sur elle.Elle releva la tĂŞte de mon Ă©paule et me regarda.« Ca va mieux ma belle? »« Embrassez moi Madame? »Nos lèvres se touchèrent. On se fit de petit bisous nos langues se touchant, lĂ©chant nos lèvres, avant de s’embrasser plus franchement. Le jeune homme ne devait pas en perdre une miette. Tant mieux, il n’en sera que meilleur.La belle embrassait bien et j’en suis pour beaucoup. Je dĂ©grafais alors son corset afin de dĂ©gager sa jeune poitrine. Je la caressais alors pendant qu’elle dĂ©grafais mon propre corset. Je lui donnais un coup de main et j’offris ma poitrine plantureuse Ă ses douces caresses.Je retirais mon corset et la belle alterna les coup de langues sur mes seins et ma bouche. C’était dĂ©licieux. Je lui fis le mĂŞme hommage. De temps en temps on s’embrassait Ă grand coup de langue. On devint fiĂ©vreuse toutes les deux..On retira alors nos longs jupons afin d’être plus Ă l’aise. Je la reprit alors au creux de mon Ă©paule et fit glisser ma main vers sa jeune toison. Elle gĂ©mit lorsque mes doigts cueillirent le rĂ©sultat de son Ă©moi sur ses lèvres.« Continuez Madame, c’est trop bon. »Je taquinais alors son clitoris pendant que nos bouches se joignaient Ă nouveau pour un dĂ©licieux baiser.Soudain, je me rappelais de la prĂ©sence du jeune garçon. Je regardais en sa direction et souris. Il ne perdait pas une miette de notre spectacle et se masturbait doucement.Je le montrais Ă Juliette d’un mouvement de tĂŞte. Elle sourit Ă son tour en le voyant. Il souriait de son cĂ´tĂ©, aux anges de voir deux femmes se donner du plaisir devant lui.Je regardais alors Juliette. Elle comprit ce que je voulais.On se leva toutes les deux et on alla s’agenouiller près du jeune homme. Je pris alors son superbe pĂ©nis d’entre ses doigts et l’avalais. Je lui prodiguais alors une superbe fellation sous les yeux de Juliette. Je ne la quittais pas des yeux pendant tout ce temps.Je le lui donnais ensuite Ă le sucer. Je la regardais faire. Elle avait Ă©tĂ© Ă bonne Ă©cole. Elle finit par le recracher et nos langues glissèrent le long du pieu et du prĂ©puce.J’avais envi d’elle maintenant. Nos langues se mĂŞlèrent Ă nouveau.Je me levais et allais m’allonger sur le canapĂ©. Elle vint s’installer sur moi pour m’embrasser et me sucer les tĂ©tons. Je jeune homme nous rejoignit. Je le sentis glisser une main sur ma chatte et me pĂ©nĂ©trer de ses doigts. Il lapait Ă©galement les liqueurs de Juliette. Je repoussais alors Juliette afin qu’elle s’occupe de ma chatte. La belle me suça aussi bien que mon jeune paysans. Celui ci branlait d’une main Juliette, et de l’autre son pĂ©nis. Il grogna et Ă©jacula sur son ventre. Je jouis Ă mon tour sous la bouche de Juliette.Alors qu’elle venait m’offrir le rĂ©sultat de son travail, le jeune homme glissa ses doigts en moi afin de boire la liqueur qui aurait du lui revenir si Juliette n’était pas intervenu.Certain soir, les attouchements buccaux de mon jeune Ă©lève ne suffisaient pas Ă calmer mes ardeurs. Je me couchais tout de mĂŞme mais mon corps, en proie Ă ses douces pulsions, ne me laissait pas de rĂ©pits.Je repoussais alors les draps et me masturbais. Je me mis donc Ă rĂŞver du jeune paysans, de ma protĂ©gĂ©, du jeune homme qui l’avait dĂ©pucelĂ©.Ce jour lĂ , je m’étais rendu dans les Ă©curies afin de demander au palefrenier si je pouvais disposer de son fils dans la soirĂ©e. Le palefrenier Ă©tait bel homme, musclĂ© et grand. J’avais dĂ©jĂ vu son fils faire l’amour avec l’une de mes servantes et si le père Ă©tait aussi bien montĂ© que le fils, cela devait faire des Ă©tincelles.Sa femme Ă©tait servante chez le gentilhomme et ne venait que très rarement voir son mari et son fils. Pauvre homme, la solitude devait lui peser.Je ne le voyais que très rarement parce que son regard me troublait au plus profond de mon ĂŞtre.« Mon fils sera Ă vos ordres Madame. Dite l’heure et il sera chez vous. »« Merci. Pour 22 heures alors. »« Il y sera Madame. »Je pris congĂ© encore bouleversĂ©e par son regard pĂ©nĂ©trant.Une heure avant l’arrivĂ©e du jeune homme, je fis venir Juliette dans mes appartements. Elle Ă©tait surprise du fait que je la fasse venir Ă une heure si avancĂ©. Je la reçu vĂŞtu uniquement d’une paire de bas et d’un porte-jarretelle.« Madame a besoin de mes services. »« Oui ma belle Juliette. Madame de Porterie m’a fait part d’un sujet particulier que j’aimerais mettre en Ĺ“uvre Ă mon tour. Seulement il me faut une aide dans la prĂ©paration.Je m’installais dans une chaise près d’une vasque remplit de mousse et ou trĂ´nait un rasoir. J’écartais alors les jambes.« Ravissante Juliette, pouvez vous venir me lustrer la chatte. Il me faut une salive abondante pour mon projet. »La belle prit place sans broncher et sa langue coquine se mit en Ĺ“uvre. C’était dĂ©licieux. Je la laissais me lĂ©cher un bon moment jouissant de plaisir puis l’écartais dĂ©licatement.J’appliquais alors la mousse sur mes poils pubien et autour de mes lèvres juteuses. Je l’étalais sous le regard attentif de Juliette, toujours Ă quelque centimètre. Je tendis un doigt, et malgrĂ© la mousse elle le suça avidement.Ma liqueur et sa salive remplissaient bien leur office. Je pris le rasoir et me rasais la chatte.« Madame, vous ĂŞtes folle! »« Non ma tendre Juliette. J’aimerais me sentir aussi nue que lorsque j’avais 12 ans, l’âge oĂą je me suis masturbĂ©e la première fois. »Je fis place net et me retrouvais comme je l’avais dit. Je rinçais, lui donnais une serviette pour m’essuyer et allais m’allonger sur le lit. Je lui fis signe de me rejoindre.On s’embrassa tendrement.« Peux tu me montrer la sensation que cela fait maintenant. »Elle repris sa place entre mes cuisses et me caressa. Je gĂ©mis en tremblant tellement la sensation Ă©tait dĂ©licieuse. Sa langue avait un tout autre effet sur ma chatte.Plus que quelque minute avant l’arrivĂ©e de l’étalon.« Viens ma belle que je te remercies de ton assistance. »Je la calais entre mes coussins tout en la dĂ©vorant de baisers. Je remontais le bas de se robe de chambre et allais honorer Ă mon tour sa petite chatte dĂ©jĂ bien juteuse. Je la fis mouiller abondamment en prĂ©paration de la suite.A 22 heures, on frappa Ă la porte. Ponctuel le jeune homme. Je levais la tĂŞte, tout en massant le sexe de Juliette. Je la regardais. Je la vis paniquer lorsque je dis Ă la personne d’entrer.Le beau jeune homme apparut. Juliette Ă©tait rouge de honte.« DĂ©shabille toi beau mâle! Notre amie est prĂŞte Ă te recevoir. »Juliette me regarda alors le regard plein de questions. Je lui souris et retournais Ă mon repas sans quitter le dĂ©shabillage du jeune homme. Ho quel magnifique queue! Du regard, je fis comprendre Ă Juliette de regarder en direction du jeune homme. Elle le fit et rougis encore plus.Il astiqua son membre dĂ©jĂ en plein Ă©rection. Sans quitter la petite chatte juteuse, je lui fis signe de nous rejoindre. Il ne se fit pas prier.Je sentis ses mains sur mes fesses. Je lâchais alors mon repas.« Non beau jeune homme, tu n’es pas lĂ pour moi, bien que cela me dĂ©sole un peu.Je regardais Juliette.« C’est pour elle que j’ai fait demander tes services.Je pris les mains du jeune homme et les posais sur Juliette. On la dĂ©shabilla. Elle tremblait de peur et de dĂ©sir je suppose.« Vas y dĂ©licatement. Les pĂ©tales de cette jeune fleur ne sont pas encore totalement ouverte. Elle a besoin de l’engrais dont tu disposes et en abondance. »Il s’approcha d’elle et l’embrassa en douceur. Elle se laissa faire et rĂ©pondit favorablement. Il la caressa alors doucement de ses mains, de sa bouche et de sa langue. Son corps se mit Ă tanguer.Je me mis Ă l’écart, jouant les spectatrices. Mon choix du beau mâle avait Ă©tĂ© judicieux. Sa bouche se posa lĂ oĂą j’étais il y a quelque minute. Il but ses liqueurs.« Vas y maintenant, prend la! »Il s’installa entre les cuisses de Juliette. Je m’approchais d’elle, la prenant contre moi.« Allez, c’est maintenant ou jamais. »Son sexe se posa Ă l’entrĂ©e de sa vulve. Je la sentis trembler. Il s’enfonça alors doucement en elle. J’embrassais Juliette, sĂ©chant ses larmes Ă coup de langue. Je sentis son corps trembler lorsqu’il la dĂ©flora.« J’ai mal, » me disait elle.« Chut, chut, cela va passer. Ce ne sera plus qu’un lointain souvenir. »Le jeune homme commença son travail de piston, tout en douceur. Juliette se mit Ă gĂ©mir. Au bout de quelque minutes, elle semblait aller mieux, gĂ©missant non plus de douleur mais de plaisir.« Ca va Juliette? »« Ho oui Madame, c’est trop bon. »« Tu veux que je lui demande d’arrĂŞter? »« Non, non tout mais pas ça. »« Allez y jeune homme, elle est tout Ă vous maintenant. »Il accĂ©lĂ©ra alors le rythme. Juliette hurlait. Je m’installais au coin du lit et les regardais tout en me masturbant. Le spectacle me plaisait mais je voulais autre chose, une belle queue dans ma chatte humide.Je pensais alors au père du jeune homme. Il n’était pas insensible Ă mes charmes.Je quittais le lit et passait une longue capeline, restant nue dessous. C’est de sexe que je voulais et non de mondanitĂ©. Je pris une lanterne et sortis.La fraĂ®cheur de la nuit me fit du bien. Je me dirigeais alors chez le palefrenier.J’étais de plus en plus excitĂ©e Ă mesure que je me rapprochais de chez lui. La capeline dĂ©voilait ma nuditĂ© Ă chacun de mes pas. J’étais un vrai appel au viol.J’entrais dans sa maison sans frapper alors qu’il Ă©tait en plein ablution vĂŞtu que de son pantalon. Il sourit en me voyant comme si il s’y attendait. Ce sourire me fit mouiller un peu plus. Je retirais ma capeline lui offrant ma nuditĂ©. Le vĂŞtement avait caressĂ© mes seins pendant le trajet et mes tĂ©tons Ă©taient alors arrogants.Tremblante de dĂ©sir, je me collait alors dans son dos humide. Je caressais alors se corps musculeux.Il se retourna, avec toujours ce sourire Ă©nigmatique et ses mains se posèrent enfin sur moi. Elles Ă©taient larges et très rugueuses. Mon corps tremblait un peu plus Ă se contact. Il me flatta la poitrine, les hanche et les fesses. Je mouillais comme une jeune collĂ©gienne.Il me poussa alors vers son lit. Je m’y allongeais sur le dos Ă©cartant mes cuisses, offrant mon sexe imberbe en cadeau. Sa vu semblant lui plaire. Il me pinça les tĂ©tons me faisant gĂ©mir de douleur et sa main descendit vers ma fĂ©minitĂ©.Je gĂ©mis Ă nouveau lorsque ses doigts touchèrent mes lèvres.« Tu mouilles ma salope? » dit il.« Oui, je mouille pour toi. »Il sourit et descendit son visage entre mes cuisses. Je sentis sa respiration sur ma chatte et une langue commença Ă aller et venir sur mes chairs liquĂ©fiĂ©es.Il n’était pas aussi douĂ© que mon jeune paysans et ma Juliette, mais cela me suffisait. J’étais trop excitĂ©e pour lui en tenir grief.« Je veux ta queue. » luis dis le regard lubrique.Je l’aidais Ă se dĂ©barrasser de son pantalon et le poussais Ă ma place dans le lit. Comme je l’avais devinĂ©, il Ă©tait aussi bien dotĂ© que son fils. Je le pris dĂ©licatement dans ma main et le branlais tout en allant lui offrir ma bouche et mes seins Ă lĂ©cher. Sa main me caressa l’intimitĂ©. Je lĂ©chais ensuite son torse en gĂ©missant de plaisir.Je me redressais et me positionnant au-dessus de son superbe membre, je m’empalais. Une fois que mes chairs intimes furent adaptĂ©es Ă son pieu, je me lançais dans une chevauchĂ© sensuelle.« Oh ce que ta queue et bonne. Elle me remplit Ă merveille. »Je le chevauchais ainsi un bon moment, avant qu’il ne dĂ©cide de me prendre en levrette, autre position autres bonheurs. Il me tenait par les cheveux et les seins, me pourfendant dĂ©licieusement.« Oui, baise moi plus fort! »Ce fut alors la position la plus conventionnel, celle du missionnaire. Je nouais mes jambes sur ses reins et criais mon bonheur.Je ne sais si il le faisait toujours, ou si j’étais la cause de cela, mais il sembla essayer avec moi d’autre combinaisons.Il m’allongea, glissa dans mon dos et me pĂ©nĂ©tra ainsi.Ensuite on alterna la position en levrette et celle du missionnaire. Mon corps luisait de sueur, enfin il me taquinait correctement le clitoris et maintenant ses coup de boutoir Ă©tait plus robuste.Je jouissais entre ses bras, la tĂŞte en arrière. Il arrĂŞtait de tempe en temps sa cadence et venait m’embrasser et me lĂ©cher les tĂ©tons dur comme de la pierre. Il me susurrait aussi des mot doux.« Ce que tu es bonne, ma salope. Cela fait longtemps que j’en rĂŞvais. »« Moi aussi. Moi aussi. Mais arrĂŞte de causer et baise moi encore plus fort. »Il repartait de plus belle. Il Ă©tait très bon amant. Je jouis de nombreuse fois sans qu’il ne s’arrĂŞte. J’étais dans un nuage ouatĂ© de plaisir.Son corps se raidit, sa tĂŞte bascula en arrière et il me dĂ©versa son flot de sperme dans la chatte, le pubis et le ventre tout en râlant de bonheur. Je jouis encore une fois.Je cueillis un peu de sa semence afin de la goĂ»ter. Je le regardais tout en faisant cela.Il sourit et se leva pour aller chercher une serviette. Tout en douceur, il m’essuya le corps humide de sueur et de son sperme.Il s’allongea ensuite près de moi et on s’enlaça. Nos bouche s’unirent en un tendre baiser.« Madame dĂ©sire t’elle que je la raccompagne chez elle? »Il avait repris la place de son rang.« Je ne suis pas attendue. Votre fils s’occupe de ma protĂ©gĂ© Ă merveille, » je lui pris le sexe entre mes doigt, « et peut-ĂŞtre que celle-ci voudra encore un peu de mes services. »« Madame est une vrai cochonne? »« J’aime que l’on me dise cela. »Son pĂ©nis tressaillit et recommença Ă gonfler sous la caresse de mes doigts.« Vous n’êtes pas mal non plus? » lui dis je en souriant.Je me dressais et allais sucer ce magnifique pieu. Je l’astiquais longuement avant qu’il ne jouisse dans ma bouche. Quel bonheur.On s’endormit enlacĂ©. Il me rĂ©veilla très tĂ´t afin que je rejoigne ma demeure sans trop Ă©veiller les soupçons. Il me baisa une dernière fois de la nuit.Je dormis toute la journĂ©e, le corps endoloris par tant de turpitude. La jeune Juliette me rĂ©veilla dans l’après-midi. Elle se dĂ©shabilla et me rejoignit sous les drap. Elle me parla de sa nuit. Je lui fis part de la mienne. On resta au lit Ă se caresser tendrement, sans plus.Madame de Porterie, femme qui m’avait fait redĂ©couvrir le plaisir d’un sexe imberbe, Ă©tait une femme aussi libertine que je l’étais. Elle goĂ»tait, tout comme moi, au joie du tribadisme, mais c’était surtout un dominatrice. Je me rappels encore de notre première rencontre. J’en ai gardĂ© un bon souvenir.C’était une soirĂ©e organisĂ© par elle pour son arrivĂ© dans la rĂ©gion. La plupart de mes amants et amantes faisaient partis des invitĂ©es. Je papillonnais des uns aux autres. Il n’y avait pas de secret dans tout cela. J’embrassais sur la bouche, sans complexe, les femmes devant leur mari, mari qui avait Ă©galement goĂ»tĂ© Ă mes charmes.Madame de Porterie m’observa pendant tout la soirĂ©e. Je me faisais rĂ©gulièrement peloter les fesses par les couples avec qui je conversais. Je rĂ©ussi Ă m’éclipser dans une pièce afin de me faire lustrer le minou par une jeune femme sous les yeux de son mari.C’est dans cette pièce qu’elle me retrouva alors que je reprenais mes esprits. A cĂ´tĂ© d’elle se tenait un homme que je voyais pour la première fois, vĂŞtu d’un unique pantalon en cuir. Elle me dĂ©signa du doigt.« PrĂ©pare la moi, je vous rejoint dans cinq minute, » dit elle.Celui-ci s’approcha et me prit par la main. Il m’entraina avec lui dans les couloires de la maison.On arriva dans une pièce ou trĂ´nait un lit en plein milieu. Des chandelier au quatre coin l’éclairait. On s’approcha du lit et une fois au pied de celui-ci, l’homme commença Ă dĂ©grafer mon corset. Je le laissais faire, goĂ»tant au plaisir de se faire dĂ©shabiller par un si bel homme. Me seins Ă©mergèrent du tissus, les tĂ©tons bandĂ©s. Je cherchais le contact de sa main mais celui-ci reculait constamment. Ma chatte mouillait. Il s’attaqua ensuite Ă mes jupons.Ceux-ci tombèrent Ă terre un a un autour de mes jambes. Il m’aida Ă enjamber le tas de tissus et me fit asseoir sur le bord du lit.Il prit mes vĂŞtements et alla les poser sur une chaise au coin de la pièce.