Série « Femmes en uniforme » n° 1Jeune militaire frais émoulu de mes classes, avec le magnifique grade de caporal, je fus affecté à l’état-major de région dans la non moins magnifique tâche de chauffeur d’un officier supérieur.Ayant obtenu ce poste envié, dans une ville proche de ma résidence habituelle, je me présentai à bonne date pour prendre mes fonctions, auprès d’un certain colonel E. de la Métairie, ainsi que cela figurait dans mon ordre de mission.Après quelques errances au milieu de l’immense caserne, je finis par dénicher le service où officiait mon colonel, celui de la logistique de région.Le planton de garde m’indiqua le bon bureau et j’allais frapper à la porte où se trouvait une plaque gravée « Colonel A. de la Métairie ». Pas d’erreur, me dis-je rectifiant ma tenue.— Entrez, entendis-je après quelques secondes.J’ouvris la porte et je découvris alors une femme d’environ 40/45 ans, blonde, les cheveux en chignon, en uniforme marron clair, assise à son bureau. Je pensai d’abord à une quelconque ordonnance, mais les cinq galons de ses épaulettes me firent réagir comme il se doit.— Caporal… etc… À vos ordres, mon colonel, articulai-je avec ce qu’il fallait de rigueur, tendant mon ordre de mission.— Oui ? Ah vous êtes mon nouveau chauffeur pour quelques mois. Repos caporal…— Humm.— J’ai cru lire dans votre regard une certaine surprise ? Vous ne vous attendiez pas à une femme ? Un problème ?— Pas du tout mon colonel, je suis à vos ordres.— Bien, vous aurez l’occasion de me véhiculer souvent, car mes fonctions m’appellent à de nombreuses visites et inspections. Voyez l’adjudant de service, qui vous affectera et vous donnera la voiture, que je veux toujours impeccable, compris ?— Oui, mon colonel.— Rompez, caporal.Après ce premier contact, je m’enquis de mon logement, pris possession de la Safrane affectée à ce service, tentant de glaner toutes les informations utiles sur celle que j’allais conduire sur les routes de la région.Je recueillis des renseignements quelque peu contradictoires, certains la qualifiaient de vraie peau de vache tandis que d’autres insinuaient qu’elle était sous ses abords froids et de distance hiérarchique, sympathique et ouverte, qu’elle était une psychorigide indécrottable pour les uns et une salope qui se tapait tous les bidasses de la caserne pour les autres.Bref, je n’avais pas appris grand chose.Cette première journée se passa ainsi, sans que j’eusse à débuter effectivement mes fonctions. C’est le lendemain que le premier appel me parvint pour la prendre à 13.00 heures afin de visiter un entrepôt de matériel à environ 100 km.Elle sortit du mess des officiers, sa petite vache de cuir à la main, sanglée dans son uniforme très armée de terre mais qui lui seyait convenablement, remarquais-je, et n’enlevai rien à sa féminité. En définitive, je la jugeai très attirante.Je m’empressai d’aller au-devant d’elle.— Bonjour mon colonel, euh excusez-moi. Vous montez par-devant ou derrière ?Elle me fusilla du regard et horreur je m’aperçus, un peu tard, du double sens de ma question, rougissant sous mon béret.— Derrière, s’il vous plait…— Bien mon colonel.Je ne pus m’empêcher de mater ses jambes au moment où elle prenait place, sans pouvoir deviner si elle portait des bas ou des collants.Je démarrai doucement suivant le parcours et l’itinéraire indiqués. Mon colonel avait retiré de sa sacoche un petit dossier qu’elle parcourait.Je réglai légèrement le rétroviseur qui me donnait ainsi une vue de sa poitrine et je me fis la réflexion qu’elle n’était pas si mal que çà , ma colonelle.Soudain, elle m’adressa la parole.— Dites-moi caporal,— Oui, mon colonel…— Vous êtes content de votre service ?— Cette affectation me convient parfaitement, mon colonel. J’aime conduire. Et je suis euh très heureux de piloter une femme telle que vous.— Galant, le caporal. Vous êtes sursitaire non ?— Oui, mon colonel. J’ai fini mon deuxième cycle de fac…— Tant mieux alors, nous pourrons deviser. Auparavant, j’avais un chauffeur un peu moins, un peu plus fruste disons, alors pour les conversations, c’était limité. Remarquez, il avait d’autres arguments, ajouta-t-elle mystérieusement… mais nous verrons cela…— Bien mon colonel…Quelques kilomètres de silence me laissèrent méditer sur ces derniers propos.— Dites-moi caporal…— Mon colonel ?— Vous êtes d’où ?— J’habite à 50 kilomètres.— Ah je comprends, un débrouillard alors…comme çà vous pouvez rentrer tous les week-ends…— Je l’espère mon colonel.— Vous avez une petite amie, dites-moi ?— Non, mon colonel, pas en ce moment.— Oh..Les choses s’arrêtèrent là car nous arrivions bientôt. Je fis descendre ma passagère attendis deux heures avant qu’elle en eut terminé de cette visite. J’en profitai pour draguer une jolie bidasse de corvée de balayage. Mais ce fut l’heure de partir et je me dis qu’il en aurait fallu de seulement quelques minutes pour que l’on trouve un endroit tranquille.— Je te laisse, voilà mon colonel Salut…— Caporal ? nous repartons.— De suite, Madame, oh pardon je veux dire mon colonel.Elle sourit de ce lapsus et nous reprîmes le chemin du retour.Elle ne me dit pas un mot compulsant différentes notes mais, oh malheur, elle surprit mon regard dans le rétroviseur alors que je la regardai, son visage, mais principalement ses seins que je tentai d’imaginer.Nous franchîmes la grille vers 18.30 heures. Il n’y avait plus personne. Je la déposais devant son bâtiment.— Caporal ?— Oui, mon colonel ?— Voulez- vous venir dans 10 minutes dans mon bureau ?— Euh, certainement, mon colonel…— Quelques petites choses à mettre au point s’il vous plait caporal…— Oui euh à vos ordres.Ca y est, j’ai fait une connerie dès ma première journée pensais-je. Que me veut-elle ? J’échafaudai les pires hypothèses. C’est une vache. Je lui ai dit où j’habitais, elle va me muter à 1000 kilomètres d’ici, etc…La voiture rangée au garage, je revins vers le département logistique désert à cette heure et montai à son bureau.Je frappai à la porte discrètement.— Entrez caporal, entendis-je.Elle était assise à son bureau, tête nue, toujours aussi rigoureuse dans son uniforme.— Fermez la porte je vous prie…— Euh c’est fait mon colonel..— À clé.— Bien, oui, mon colonel.Un peu intrigué, je revins vers son bureau et me tins coi, attendant ses instructions.Elle me laissa ainsi, débout, sans rien dire, dessinant un objet longiligne sur son papier.— J’ai bien remarqué tu sais, petit cochon…J’eux du mal à déglutir, remarquant le ton dur et le tutoiement, ce qui me remémora mes pires hypothèses.— Euh. je ne sais pas ce que vous voulez dire, mon colonel…— Menteur avec çà …— Mais, euh..— Tu me matais dans la voiture, petit salopard. J’ai bien remarqué. Tu as essayé de voir sous ma jupe et tu as réglé le rétroviseur pour mieux me voir. Tu crois que je ne m’en suis pas aperçue ?— Non, je veux dire oui, mon colonel, pas du tout..— Ne mens pas, vicieux.— Je vous prie de m’excuser mon colonel, si j’ai pu, par inadvertance…— Et en plus, il s’empêtre…c’est trop facile. Tu ne vas pas t’en tirer comme çà .— Je ne voulais pas vous manquer de respect mon colonel, au contraire, je…euh…— Cela mérite une punition.Elle se leva alors de son siège, et vint vers moi, prenant au passage une fine badine de cuir.A peine plus petite que moi, elle me toisa, puis tourna autour de moi. Je ne bougeai pas d’un cheveu, au garde-à -vous.Soudain, elle me donne un coup de badine sur les fesses.— Petit cochon, tu voulais savoir ce qu’il y a sous ma jupe. Ça t’intéresse hein vicieux ?— Non mon colonel, ce n’est pas cela, non je..— Ne mens pas…— À genoux, mets-toi à genoux, ordonna-t-elle ponctuant ses instructions par un autre coup plus cinglant.Je tombai à genoux sur la moquette.Elle était derrière moi, faisant siffler sa badine dans l’air.— Tu dois être corrigé, mon petit caporal…— Oui, mon colonel.— Voilà qui est mieux, dit-elle m’infligeant un nouveau coup sur les fesses.— Enlèves ton pantalon.— Quoi ?— Tu m’as bien compris, petit salopard. Baisses ton pantalon, exécution.Je défis donc mon ceinturon, puis ma braguette et mon pantalon tomba sur mes cuisses. Elle le baissa elle-même avec la badine passant l’extrémité de cet engin sur mes cuisses, mes fesses, par-dessus le slip, donnant des petits coups, et puis un plus fort, à rythme irrégulier. Je sentis la badine entre mes cuisses remonter jusqu’à mon paquet dans mon slip.Un nouveau coup plus appuyé retentit sur mes cuisses.— Baisses ton slip aussi maintenant ordonna-t-elle de nouveau et plus vite que çà .Sans demander mon reste, je descendis aussi mon slip sur mes cuisses et me trouvai devant elle, les fesses offertes à son regard et sa cravache.Je sentais la badine passer sur mes globes sans ménagement aucun…— Tu as joli petit cul, caporal dit-elle juste avant de me donner un nouveau coup. Tiens, çà t’apprendra…— Aie, Aie…— Ça te fait mal hein ?— Oui…Arrêtez…— Très bien je te donne une chance d’échapper à une vraie punition.Sur ce, elle retourna s’asseoir sur son fauteuil, me laissant dans cette situation humiliante à souhait, cul nu devant son bureau.— Mets toi à quatre pattes, entendis-je.— Oui, mon colonel.— Face au bureau.. Allez plus vite que çà .Je pris cette position, devant son bureau. Je voyais ses genoux serrés et ses pieds croisés.— Fermes les yeux et ne triches pas caporal, sinon… Attention je te regardes.— Oui, mon colonel..— Avances un peu sous le bureau. Vas-y doucement encore un peu.Je fis ce qu’elle m’ordonna. Je captai alors quelques senteurs particulières.— Ouvres les yeux, caporal.Elle était assise, légèrement en arrière, me regardant bien, mais ce que je voyais bien, c’est qu’elle avait relevé sa jupe droite sur ses cuisses qu’elle écartait le largement possible. Je voyais son string noir tendu sur sa motte et les bas de couleur chair soutenus par un porte-jarretelles noir.Quelle vision me dis-je…— Alors ? petit vicieux, c’est ce que tu voulais voir non ? maintenant il faut assurer caporal. Allez, lèches moi la chatte.Elle écartait en même temps son string, dévoilant ses lèvres intimes où perlait la rosée de son excitation. Avec sa badine, elle approcha ma tête pour l’appuyer sur son sexe épilé avec soin.— Allez caporal, donne de la langue. Montres que tu sais faire plaisir à ta colonelle.Ma bouche collée à sa chatte, j’ouvris ses lèvres de ma langue et commençai à lécher, sucer, dévorer, boire le minou de ma cochonne de colonelle.Elle gémissait de plaisir, toujours avec sa main écartant son slip, tout en proférant diverses insanités qui m’excitaient encore davantage si faire se peut.— Vas-y, bouffes-moi, petit caporal, c’est bon de manger l’abricot bien juteux de sa colonelle oui…vas-y ta langue sur mon bouton.. Comme çà . Dis donc tu lèches bien…gourmand. Humm Tu n’en es pas à ta première chatte hein petit cochon…vas-y hum c’est bon. Mets-moi tes doigts aussi.Ma langue volait, virevoltait sur son clitoris, que j’aspirai, suçai, léchai, si bien qu’elle cria bientôt son orgasme.— Oh le gentil caporal, tu as bien fait jouir ta colonelle…Mets toi à poils maintenant.Je n’étais naturellement pas en mesure de refuser de telles instructions et me mis rapidement nu.— Viens t’asseoir devant moi sur mon bureau.Je m’exécutai et vins poser mes fesses sur le bord de son bureau, alors qu’elle demeurait assise devant moi, les seins à l’air et les cuisses écartées.Elle se mit à me masturber ainsi, observant de près ma queue. Puis elle se pencha pour me sucer, ce qu’elle fit avec la virtuosité d’une pipeuse expérimentée.Je fus à peine surpris de sentir son doigt explorer la raie de mes fesses et tâter mon œillet sur lequel elle fit une légère pression.— Allez, caporal, relèves tes jambes et montre moi ton cul.J’obéis à cet ordre pour lui exposer mes fesses qui semblaient particulièrement l’intéresser. Elle mit de la salive et de la mouille sur mon petit trou et le massa avec son doigt. Elle se pencha même pour cracher dessus et enfonça alors son doigt.Je me raidis quelque peu mais sa lubrification faisait son œuvre facilitant cette intromission. Peu habitué à ce type d’exercice, j’étais tendu, doublement d’ailleurs, car à ma grande surprise, je bandais comme un âne.— Ohh mon colonel que faites-vous ?— Tu le sens bien vicieux…Elle repris sa badine et en suça le bout, saliva sur l’extrémité pour retirer ensuite son index de mon cul et le remplacer par la badine.— Tiens prends çà , petit caporal, dit elle en faisant pénétrer plus avant la badine…Branle-toi devant moi…— Oui mon colonel, vous êtes vicieuse..— Tais-toi cochon répondit-elle en enfonçant la badine de 2 centimètres supplémentaires..— Aie…Mais, incapable de résister à l’engrenage, qui allait bien au-delà de mes pratiques habituelles, je pris ma queue en main et me masturbai devant elle, imaginant le spectacle qu’elle avait devant les yeux, la coquine, alors que je pouvais de mon point de vue mater ses seins ronds aux mamelons dressés, qu’elle pinçait de temps en temps.— Mais tu aimes çà vicieux…Vas-y branles-toi devant ta colonelle..— Oh oui c’est bon…Elle se pencha alors et ouvrant un tiroir de son bureau, elle en sortit un gode certes effilé mais de dimension certaine. Je sus tout de suite que cet engin était pour moi.Elle le trempa quelques instants dans sa chatte trempée au point que j’entendis le clapotement de sa mouille. Elle retira lentement la badine qui me sodomisait pour introduire ce godemichet en la place bien chaude. Cela rentra tout seul à ma grande surprise.— Oh le coquin. Dis tu aimes çà te faire enculer comme ça petit caporal ?— C’est la première fois, mon colonel…— Eh bien tu as des dispositions…Ma colonelle d’une main me branlai énergiquement et de l’autre manipulai le gode dans mon fondement.— Ohh oui mon colonel, c’est bon. Oui…Elle se pencha pour aspirer ma queue. Sa bouche chaude, ses lèvres serrées sur ma hampe, sa main serrant mes couilles et l’autre activant le gode, eurent pour conséquence de précipiter l’explosion et sans la prévenir, je giclai de longs et puissants jets de sperme que ma colonelle avala sans rechigner, fermant bien sa bouche sur ma bite pour ne rien perdre du foutre délicieux.— Ohhh mon colonel…vous êtes une grosse cochonne…— Oui, caporal, une très grosse cochonne.Sur ce, elle vint m’embrasser sur la bouche, et je goûtai sur sa langue les dernières gouttes de ma jouissance.Elle me retira alors le gode délicatement et sans autre fioriture, me regardant droit les yeux, le mit dans sa bouche, le nettoyant des sécrétions, de manière aussi gourmande que salope, tout en me tripotant la bite et les couilles, histoire d’entretenir une vigueur qui allait certainement servir.— Allez mon beau caporal, tu vas me foutre maintenant…je vois que tu bandes toujours autant.Elle me fit mettre debout tandis qu’elle s’appuyait sur son bureau, à plat ventre, faisant ressortir sa croupe, jupe relevée sur ses hanches.— Vas-y mon caporal, plantes moi ton engin…— Vous montez par-devant ou par derrière, demandais-je alors ?— Coquin, les deux, mon capitaine, rétorqua-t-elle.J’enfilai d’abord sa chatte toute baveuse de son désir. Je m’enfonçai, sans difficulté, comme dans de la crème.Je câlinai son petit trou en même temps que je limai son fourreau. Elle gémissait, feulait de plaisir, grognait même, défoncée sur son bureau.— Ramones moi caporal chéri, à fond vas-y..— Oui, ma colonelle.— Change de trou maintenant m’ordonna-t-elle entre deux halètements.— Oui. Oui..Je me retirai de son con pour appuyer mon gland sur sa pastille qui céda de suite, souple d’avoir probablement déjà beaucoup servie.— Ahhh oui, plantes moi ta bite dans le cul…— Oui, colonelle, je vous encule bien c’est bon…— Oui petit salaud. Défonces-moi.— Vous aimez ma bite colonelle ?— Tais toi et pistonnes moi, vicieux…— Oui han.. han…— Baise-moi bien mon petit militaire. Elle est bonne ta grosse queue vas-y; fourre la, bien ta colonelle.. Elle aime çà tu sais, par-devant et par derrière.C’est ainsi que le plaisir nous surprit de nouveau, ma queue bien au fond du cul de ma colonelle qui recueillit de nouveau mon foutre.— Oh oui caporal, vous êtes doté des qualités indispensables pour assurer la place de chauffeur qui est aussi mon garde du corps. Chauffez-moi donc souvent et gardez bien mon corps, sinon, je vous ferais de nouveau tâter de ma badine.Sur ces entrefesses, elle ne donna congé pour ce premier soir. Je me rhabillai rapidement la laissant quasi nue dans son bureau, une main entre ses cuisses.C’est seulement en quittant ce bureau, que je remarquais la plaque nominative sur son bureau. Ma colonelle s’appelait Edwige de la Métairie. »Merci Edwige » pensai-je avant d’aller vers le mess.Durant près de huit mois, nous eûmes l’occasion de renouveler ce type d’exercices et en définitive, j’en vins à considérer que mon service national s’était passé dans d’assez bonnes conditions, même si que n’avais pas complètement, quoiqu’un peu quand même, intégré le corps des officiers, mais j’y avais au moins satisfait mon goût pour l’uniforme.Commentaires et observations à chriscate@hotmail.com