Hello !Pourquoi tant de précipitation ? Mais bon… Puisque tu le veux, je vais te décrire notre première fois…On s’est donné rendez-vous dans un petit café pour faire connaissance. Nous discutons un peu, mais tu es taquine, comme tu le dis si bien. Je sens ton pied le long de ma jambe… Il remonte, caresse ma cuisse. Tu es si désirable, les joues empourprées par la luxure… Tu as un sourire coquin, quand ton pied commence à masser mon entrejambe… Ce que je cache dans mon pantalon… Tu m’as convaincu. Nous nous levons, il y a un hôtel juste en face, je te soupçonne d’avoir choisi ce café exprès… Mais je m’en fiche.Dans l’ascenseur tu te lances sur moi, tu m’enlaces et approches tes lèvres des miennes, je sens ton parfum, délicieux, enivrant. Je te prends par la taille, je t’attire à moi : comment te résister ?L’ascenseur ralentit, tu t’écartes de moi, poses ta main sur ma poitrine, puis tu la fais descendre le long de mon ventre jusqu’à mon entrejambe : tu as de la suite dans les idées. Les portes s’ouvrent, nous ne sommes pas au bon étage. Un homme entre dans la cabine. Il monte aussi, il nous interrompt surtout. Il est juste devant les portes, il nous tourne le dos. J’en profite : tu m’as rendu fou, assume ! Je t’enlace par derrière, j’embrasse ton cou, je mordille tes oreilles, je caresse tes seins à travers le tissu de tes vêtements… Audacieuse, tu plaques tes fesses sur mon bas-ventre, j’étouffe un gémissement. Soit l’étranger n’a rien remarqué, soit il fait semblant de ne pas nous entendre.La cabine arrête enfin sa course. Il sort en nous souhaitant une bonne journée. Nous lui répondons de même en riant.Nous arrivons à la porte de notre chambre, tu mets la clef dans la serrure et tu te tournes vers moi. Tu me saisis par le col, tes lèvres entrent en contact avec les miennes, ta langue caresse la mienne. Tu embrasses si bien. Je tâte la porte à la recherche de la clef, pendant ce baiser. J’ouvre, nous entrons, je referme derrière moi.Je retire mon sweat et mon T-Shirt, je suis torse-nu et tu as l’air d’aimer ce que tu vois. Je m’approche et je te plaque contre un mur : il n’est plus question de jouer à présent. Tu ris : tes mains me caressent la poitrine, elles descendent, s’aventurent toujours plus bas. Je t’embrasse, à nouveau nos langues dansent ensemble. Mes mains passent sous tes vêtements, je sens le tissu de ton soutien-gorge, je caresse tes seins, généreux, lourds, aux mamelons durs et gonflés de désir… Je t’enlève le haut, je vois ton soutien-gorge, il met ta poitrine en valeur : tu as l’art de choisir ce qui te va le mieux, ce qui va rendre fou les hommes autour de toi… Ta jambe s’enroule autour de ma cuisse. Tu m’embrasses à nouveau, puis tu me repousses. Tu t’écartes, et en quelques pas, de ta démarche de diva qui ne doit rien à personne, tu te places devant le lit. Tu enlèves ta jupe, puis ce petit string de dentelles qui épouse tes formes…— Tes bas… Garde-les ! M’entends-je dire à haute voix.Tu ris, t’assois sur le lit, et tu écartes les jambes lentement.Pour la première fois j’entends vraiment ta voix, haute, claire et chaude.J’approche, nous nous embrassons encore, tu es satisfaite de l’effet que tu as sur moi, d’instinct je sais ce que tu attends de moi. Mes lèvres touchent ton corps, ta bouche d’abord, ton cou toujours si enivrant de parfum… Ta poitrine, je lèche tes mamelons à travers le tissu de ton soutien-gorge, et je continue ma descente, ton nombril, puis ton sexe… Gorgé de désir, je pose un genou à terre, j’enroule mes bras autour de tes cuisses, je les caresse pendant que tu refermes tes jambes sur mes épaules, autour de ma tête. Je le devine, tu t’allonges, je te lèche… Les lèvres de ton sexe sont si pleines de désir. Ma langue les affole d’avantage. Je t’entends gémir, soupirer, danser sensuellement sous ma bouche. Je te goûte, tu es délicieuse, si tu savais ! J’attaque ton clitoris, offert à moi sans pudeur, simplement… L’excitation monte en toi, j’aime la façon que tu as de geindre. C’est soudain que tu me repousses.Je vois ta poitrine se soulever à un rythme effréné.— Ton pantalon : enlève-le !Je m’exécute : qui ne le ferait pas ? À présent je suis nu, entièrement, debout devant toi. Tu t’assois sur le bord du lit, tu te masturbes, je n’aime pas ça : ça devrait être moi. Mais tu me réserves d’autres surprises. De ta main libre, tu saisis mon pénis. Tu le caresses délicatement. Le contact de ta peau à cet endroit… Il est vaillant, dressé, juste pour toi : tu me regardes, gourmande.Je réponds par l’affirmative, dans un souffle… Puis je sens ta bouche, chaude, humide, ta langue danse sur ma verge. Je gémis plus fort, tu sais y faire… Tu la caresses, la masses, l’embrasses… Ta langue… Hors de ta bouche : y a-t-il plus désirable ? Je caresse ton visage avec ma main.Tu décides que c’est assez. Tu mènes la danse, mais qu’y puis-je ? Mon corps proteste, il veut encore te sentir. Et il va en avoir l’occasion. Tu te tournes, je te vois, sur le lit à quatre pattes. Ta main ouvre grand les lèvres de ton sexe, humide, gonflé d’envie. C’est l’instant souverain : je m’empare de tes fesses, jolies, belles, rondes, le dessert est exquis. J’entre en toi, je le fais lentement : il n’y aura pas de seconde fois pour ce spectacle, et il doit être parfait. Je t’entends gémir délicatement, sensuellement, un « oui » empreint de luxure franchit ta bouche. Je commence un mouvement de va-et-vient, nos corps sont à l’unisson. J’en profite, je caresse tes fesses, je remonte le long de ton dos, et enlève ton soutien-gorge. Il tombe sur les draps. Tu te redresses sur moi, dans la position de l’union de l’abeille. C’est si bon, ton vagin se resserre autour de moi, nos gémissements semblent être une seule chanson offerte à la luxure, et la sensualité. Encore !Ma main gauche caresse tes seins, la droite cherche ta bouche. Je ne peux pas le voir, mais je te sens sourire. Tu t’offres à moi dans tout ton érotisme. Tu lèches mes doigts, puis tu les suces délicatement, comme mon pénis un peu avant. Ma main quitte alors ta bouche, et s’en va, humide, caresser ton sexe. Mes baisers t’enflamment. Tu jouis ! Tu jouis si fort, tu m’inondes de plaisir. Je sens que je ne peux plus me retenir. À mon tour, je jouis en toi, comme jamais auparavant.Tu te retires. Ta poitrine se soulève à un rythme soutenu, tu as du mal à retrouver ton état normal.Voilà comment je vois ce moment… Délicieux, sensuel, torride… J’espère que ça t’as plu.@ bientôt peut être ?