Line, hésitante, enfonce trois doigts dans le cratère en fusion de sa maman. Ses gestes sont maladroits, elle n’ose en mettre davantage. Sa maman en plein délire lui dit :
– Enfonce toute ta main ma chérie, fouille bien maman !Line obéit, elle regarde sa main disparaitre dans l’antre de l’enfer. Sa maman glousse :
-Oui comme ça tourne ta main, ramone-moi bien, oh, c’est trop bon !
Line sent le vagin brulant de sa maman enserrer son poignet, elle ferme le poing et fait un mouvement de piston. Sa maman pousse des :
-Oui, oui, plus fort, plus fort  !
Roland, est émerveillé par le spectacle que lui donne les deux femmes, sa queue se met à grossir dans son pantalon. Il retire rapidement son pantalon et son slip, saisit son manche et le branle énergiquement. Sa maman grogne comme un animal, il s’approche, cesse de se branler, il ouvre le corsage de sa maman. Et prend dans la valise les pinces. Il les place sur les mamelons et tourne la petite molette pour les écraser. La maman hurle :
-Plus fort mon chéri, serre les à fond, mon Dieu je vais jouir Line, Line plus vite, plus vite !
La main, enduit de jus visqueux, coulisse aisément dans la gaine qui est sûrement habituée à de plus gros diamètres. La maman grince des dents, elle gémit de plaisir en implorant ses enfants :
-Mon chéri, donne ta queue à sucer à maman, je veux avaler ta semence, donne, donne vite, Line, Line, mon Dieu, tu me fais mourir encore, encore !
 Roland offre aux lèvres charnues de sa maman sa queue tendue. La goulue, se jette dessus comme une vorace. Elle suce comme une déesse la bite gorgée de sang de son enfant. Le garçon s’accroche à la chevelure de sa maman et lui baise la bouche comme un forcené. Il envoie plusieurs giclées dans la gorge de sa maman qui déglutie difficilement les décharges abondantes de sa progéniture. Roland retire sa queue de la bouche gourmande et envoie un dernier jet, sur le visage de sa maman.
La coquine est sur le point d’exploser, elle grogne comme un dragon. Soudain, Line retire sa main du ventre maternel et, prend dans la valise le plus monstrueux des godes. Elle le pose contre la chatte entrouverte de sa maman, l’engin et l’enfonce en appuyant de toutes ses forces. Le monstre ce fait avalé par la chatte distendue au maximum. La maman pousse de râles terribles, ses yeux sont révulsés. Line appuie au hasard sur l’un des boutons qui orne l’appareil. Le gland de l’engin se met faire des rotations. Sa maman se met à se cabrer en poussant des gémissements affreux. Line appuie sur un second bouton, le montre ondule en vibrant.
C’en est trop pour Marion, elle hurle en jouissance comme une malade. Line appuie sur le dernier bouton, plusieurs jets d’un produit blanchâtre remplissent la chatte de la jouisseuse qui rugit comme un fauve. Roland regarde sa maman se tortiller sur le canapé, il tire sur la chainette des pinces et étire fortement les mamelons de sa maman pousse un OUI phénoménal puis, jouit une seconde fois.
 Line reste bouche bée devant la puissance des jouissances de sa maman. Lentement elle retire le monstre destructeur. Et regarde le trou béant avec angoisse. Un filet visqueux blanchâtre s’écoule du trou béant. Marion halète, sa respiration est rapide, son souffle court. Son anus est secoué de frémissements. Roland presque hypnotisé par l’anus qui frétille, le caresse doucement puis enfonce jusqu’à trois doigts dans la gaine étroite. Sa maman s’avance sur le bord du canapé, elle regarde avec ses yeux embrumés son enfant et, lui dit :
-Il est à vous mes chéris, faites en ce que vous voulez, maman est une chienne qui ne désire que jouir !
Ă€ suivre
valeraine