EXHIBEE PENDANT UN SPECTACLE 1/3———————————————————–Comme Manon s’y attendait après son expĂ©rience avec cinq hommes qui il y a quelques jours l’ont sautĂ©e en mĂŞme temps et amenĂ©e trop souvent Ă la jouissance et après qu’ils s’en soient vantĂ©s auprès de Bernard le directeur commercial de la sociĂ©tĂ© qui emploie son mari et la prostitue le tĂ©lĂ©phone de la putain sonne.- bonjour monsieur Bernard — la putain tu m’as mis en colère — je ne comprends pas monsieur Bernard, je m’occupe bien des clients que vous m’envoyez et mĂŞme quand ils sont plusieurs, comme pour les cinq rĂ©cemment — justement cela concerne ces cinq hommes, ils m’ont racontĂ© tes exploits: au lieu de leur donner du plaisir c’est toi qui en a pris et n’a pas cessĂ©e de jouir devant eux — je leur ai donnĂ© le plaisir qu’ils attendaient d’une prostituĂ©e mais avec tout ce que j’ai subi je n’ai malheureusement pas pu Ă©viter les orgasmes — tes excuses bidon je n’en veux pas. Je t’envoie des hommes pour te sauter et se soulager dans ton cul de putain et tu n’as pas Ă en profiter pour te montrer en spectacle — monsieur vous savez bien qu’il n’est pas facile Ă une femme de ne pas jouir quand elle est trop sollicitĂ©e — salope c’est Ă toi de contrĂ´ler tes Ă©motions et de te retenir, je vais finir par croire que tu ne vaux rien et cesser de te prostituer puis mettre ton mari au chĂ´mage en lui expliquant aussi ce que tu fais derrière son dos.- vous n’allez pas faire ça monsieur — si! et je lui dirais que c’est toi qui nous a demandĂ© de l’Ă©loigner pour pouvoir te faire sauter sans ĂŞtre dĂ©rangĂ©e -La perspective de voir son couple Ă©clater et que son mari apprenne qu’elle se prostitue effraie Manon qui montre Ă Bernard qu’elle lui est soumise.- ne faites pas ça monsieur je ferais n’importe quoi pour satisfaire vos exigences, prostituez moi autant que vous le voulez et avec n’importe qui. Punissez moi si vous jugez que je fais pas bien ce que vous me demandez, j’accepte les souffrances si vous me les imposez — la punition est prĂ©vue et elle sera Ă la hauteur de ma dĂ©ception. Mais Ă partir de maintenant tu vas te prostituer plus souvent pour t’aguerrir et mieux rĂ©sister car le plaisir t’est interdit — bien monsieur si c’est votre dĂ©cision j’accepte et pour commencer que voulez vous que je fasse concernant la punition — demain Ă dix sept heures va attendre sur la place de l’hĂ´tel de ville en tenue de putain. Tu vas ĂŞtre occupĂ©e pendant plusieurs jours — bien monsieur j’y serais -Manon ne demande pas d’explications, d’ailleurs Bernard ne lui en fournirait pas. L’homme coupe la communication.Bien avant l’heure prĂ©vue Manon attend sur la place et ne passe pas inaperçue dans ses habits très seyants et osĂ©s pour se montrer dans la rue.Un maillot blanc qui la moule sans soutien-gorge, ses escarpins assortis Ă très hauts talons, ses bas rĂ©silles rouges Ă jarretières et sa jupe rouge ultra courte qui cache Ă peine son string et laisse Ă la vue des passants le bas de ses fesses.Il est dix sept heures trente quand un homme en livrĂ©e l’aborde.- vous ĂŞtes la prostituĂ©e qui travaille pour monsieur Bernard — oui monsieur — venez -Elle suit l’homme jusqu’Ă une superbe et grande limousine, le quidam qui doit ĂŞtre le chauffeur d’une personnalitĂ© importante lui ouvre une portière arrière.- mettez vos mains dans le dos, excusez moi je fais ce que mon patron m’a ordonnĂ© -Manon s’exĂ©cute, il la menotte puis lui met sur la tĂŞte une cagoule sans ouverture pour les yeux. Il passe la ceinture de sĂ©curitĂ© autour de la taille de la prostituĂ©e puis va s’installer sur le siège conducteur.La voiture dĂ©marre en souplesse puis roule pendant un long moment, aveuglĂ©e par la cagoule Manon ne sait pas oĂą ils se dirigent.La voiture stoppe, avant de descendre le chauffeur lui dit:- attendez ici, je vais avertir ces messieurs de votre arrivĂ©e et vous devez savoir qu’Ă partir de maintenant vous allez ĂŞtre filmĂ©e en permanence — merci de me l’avoir dit monsieur mais ce n’est pas un problème, depuis que ceux qui m’ont asservie me prostituent j’ai l’habitude d’ĂŞtre filmĂ©e et photographiĂ©e -Peu de temps après elle entend des pas et comprend que plusieurs personnes s’approchent, la portière s’ouvre. Des mains attrapent Manon et la sortent de la limousine puis les mains la tiennent par les bras et marchant en essayant de calquer son rythme sur celui de ses accompagnateurs elle est entraĂ®nĂ©e elle ne sait oĂą.Tout le monde s’arrĂŞte. On lui retire la cagoule, Manon qui Ă©tait dans le noir cligne des yeux.Elle s’aperçoit qu’elle est dans une cave au plafond en forme de voute et oĂą il y a de nombreux anneaux fixĂ©s dans les murs et sur le plafond, des chaĂ®nes sont entassĂ©es sur le sol qui est couvert de paille. Trois hommes sont lĂ , vĂŞtus de tenues rouges type inquisiteurs, avec une croix blanche imprimĂ©e sur l’avant. Le vĂŞtement descend jusqu’Ă leurs pieds. sur leurs tĂŞtes ils ont enfilĂ© des cagoules rouges comportant uniquement des ouvertures pour les yeux.Elle entend une voix caverneuse, donc dĂ©formĂ©e intentionnellement.- retire tes vĂŞtements, ici tu n’en n’auras pas besoin -Pendant qu’elle se dĂ©shabille elle s’aperçoit qu’elle est filmĂ©e sous toutes les coutures le camĂ©raman se dĂ©place autour d’elle et se contorsionne pour avoir une meilleure vue sur les endroits du corps de Manon qui l’intĂ©ressent.Un participant lui met un Ă©norme et pesant collier cloutĂ© autour du cou qu’il ferme avec un cadenas puis il fixe des bracelets en cuir munis d’anneaux mĂ©talliques Ă ses poignets et ses chevilles puis lui met une boule/bâillon dans la bouche et attache les lanières du bâillon cĂ´tĂ© cou.- je l’ai Ă©quipĂ©e pour tout le temps qu’elle va passer ici, maintenant pendons la -Elle doit lever ses bras et joindre ses mains, deux hommes la soulèvent et elle se retrouve suspendue Ă l’aide d’un crochet passĂ© dans les anneaux des bracelets et dans un anneau du plafond, elle ne touche plus le sol.La camĂ©ra est fixĂ©e sur un trĂ©pied et continue Ă tourner pendant que les trois quidams s’en vont la laissant seule avec sa souffrance.Les trois inquisiteurs rĂ©apparaissent mais ne la dĂ©crochent pas, elle doit ouvrir la bouche dans laquelle un homme passe un coton tige puis Ă©carter les jambes, un long coton tige s’enfonce et se dĂ©place dans ses parties intimes. EnsachĂ©s les cotons tige sont remis Ă un valet qui se tenait Ă l’extĂ©rieur de la geĂ´le.- Firmin portez ça immĂ©diatement Ă Arthur dans son labo, qu’il fasse les analyses habituelles et nous disent rapidement si notre prisonnière est saine — bien monsieur, j’y vais tout de suite -Un des homme fait son inspection et vĂ©rifie l’Ă©tat des dents et de la cavitĂ© buccale de Manon avant d’en faire autant dans sa chatte en Ă©cartant les grandes lèvres avec ses mains gantĂ©es. Il termine par la vĂ©rification de l’anus.- elle me semble en bon Ă©tat pour une prostituĂ©e — si les rĂ©sultats en laboratoire sont corrects nous allons pouvoir nous divertir avec elle sans arrière pensĂ©e -Ils quittent la cellule laissant un larbin fermer la grosse porte en bois et verrouiller.Tard dans la soirĂ©e les trois compères qui s’Ă©clairent avec des lanternes sont de retour dans la geĂ´le.- les rĂ©sultats sont bons tu vas pouvoir satisfaire nos envies. Mets toi Ă genoux et bois Ă la source notre nectar -Manon obĂ©it, gĂŞnĂ©e par le poids des chaĂ®nes elle soulève la robe de celui qui se trouve le plus proche d’elle, constatant que le sexe est Ă nu et que l’homme bande dĂ©jĂ elle caresse les bourses puis le pĂ©nis avant d’approcher son visage et de lĂ©cher avant d’enfoncer le membre dans sa bouche pendant que la robe qu’elle a lâchĂ©e retombe sur elle la cachant aux yeux des autres.Ayant trop attendu ce moment la fellation ne dure pas bien longtemps, l’homme se raidit et sa queue tressaute dans la bouche de la prostituĂ©e qui est inondĂ©e de sperme qu’elle prĂ©fère avaler avant se sucer encore la verge pour la rendre propre.Elle Ă©merge de sous la robe et le mĂŞme scĂ©nario se reproduit avec le deuxième homme puis le troisième. Ensuite Manon reste Ă genoux attendant de nouveaux ordres.Les envies des trois inquisiteurs assouvies il sortent sans dire un mot du cachot, un serviteur y pĂ©nètre et pose devant elle une Ă©cuelle dans laquelle des morceaux de pains et quelques pommes de terre trempent dans un bouillon, comme il y a une cuillère en bois elle s’en sert.Son repas terminĂ© l’homme qui attendait impassible l’enchaĂ®ne et la bâillonne puis s’en va et ferme Ă clĂ© la porte en bois munie d’une trappe. Manon ne sachant pas quoi faire reste debout pendant un moment puis trouvant ses chaĂ®nes trop lourdes, car elles tirent sur ses bras, elle s’allonge dans la paille attendant le sommeil gĂŞnĂ©e par les fĂ©tus de paille qui irritent sa peau.Pendant la nuit plusieurs visiteurs se prĂ©sentent dans la geĂ´le s’Ă©clairant Ă l’aide de torches, c’est d’abord deux fois un homme seul puis deux mâles ensemble. Si une fois son bâillon est retirĂ© pour qu’elle fasse une fellation et reçoive le sperme dans sa gorge, l’homme attend qu’elle l’ait recrachĂ© sur le sol pour la rĂ©duire de nouveau au silence.Pour les autres, deux fois elle n’a qu’Ă Ă©carter les jambes et attendre que la queue qui va et vient dans sa chatte s’y soulage et une fois c’est Ă genoux qu’elle se fait sodomiser et qu’elle reçoit le sperme dans ses intestins.Le matin arrive, elle se sent sale. Avec son dĂ©jeuner, composĂ© d’un bol de cafĂ© et de pain rassis, un larbin amène un seau d’eau, un savon, une Ă©ponge et une serviette.Elle fait ses besoins sur les toilettes Ă la turc situĂ©es dans un angle de la cellule, la longueur des chaĂ®nes est suffisante pour les atteindre puis elle se lave.En cours de matinĂ©e elle est dĂ©barrassĂ©e des chaĂ®nes et emmenĂ©e les poignets et chevilles menottĂ©es jusque dans une pièce oĂą allongĂ©e sur un lit on lui met un bandeau sur les yeux pour l’aveugler, elle comprend que certaines personnalitĂ©s ne veulent pas ĂŞtre reconnues.Des hommes viennent la retrouver, elle fait des pipes quand des queues s’enfoncent dans sa bouche. Quand quelqu’un se met sur elle et la pĂ©nètre dans la position du missionnaire elle coopère et fait bouger son bassin en rythme avec les coups de reins qu’il donne. Elle n’oppose pas de rĂ©sistance quand des bras la retournent et comprend vite qu’elle doit se mettre Ă genoux, prise en levrette des pĂ©nis lui dĂ©foncent la chatte ou le cul.Ses orifices sont bien arrosĂ©s de sperme qui s’Ă©chappe de son vagin et de son fondement, coule entre ses fesses et sur ses cuisses.AccompagnĂ©e par uns soubrette jusque dans une salle de bain puis de retour dans sa cellule elle est de nouveau pendue au plafond par les poignets, on ne vient la dĂ©crocher que pour qu’elle puisse manger et pendant un court instant. les membres douloureux elle prend son mal en patience.Les pas de plusieurs personnes rĂ©sonnent puis la porte du cachot s’ouvre, deux femmes vĂŞtus d’habits faisant penser au moyen âge entrent accompagnĂ©es d’un soldat en armure et cĂ´te de mailles.- prĂ©parons la pour le spectacle -DĂ©crochĂ©e et ses pieds touchant le sol, dĂ©barrassĂ©e des chaĂ®nes elle doit enfiler une robe longue ou plutĂ´t une guenille qui parait sale (elle a Ă©tĂ© vieillie et salie artificiellement), elle a Ă©tĂ© dĂ©chirĂ©e un peu partout.Elle n’a ni culotte ni soutien-gorge, profitant d’une grande dĂ©chirure du tissu Ă cet endroit son sein gauche apparait presque entièrement et le droit ne demande qu’Ă sortir car le vĂŞtement est dĂ©chirĂ© mais un peu moins Ă cet endroit.Debout son sexe est Ă peine cachĂ© par les lambeaux de tissu qui retombent jusque sous les genoux mais si elle fait des mouvements ce n’est plus le cas.On l’enchaĂ®ne de nouveau puis une corde est accrochĂ©e Ă son collier avant qu’on ne la tire en dehors de son cachot jusqu’Ă l’extĂ©rieur du bâtiment oĂą elle est retenue prisonnière.LĂ elle est remise Ă deux hommes dĂ©guisĂ©s en soldats revĂŞtus d’armure, cĂ´tes de mailles, chausses et heaumes ou casques, avec une Ă©pĂ©e Ă la taille.EmmenĂ©e enchaĂ®nĂ©e et bâillonnĂ©e jusqu’aux Ă©curies, elle trĂ©buche souvent pendant le parcours car ses lourdes chaĂ®nes entravent sa marche et les inĂ©galitĂ©s des pavĂ©s qui recouvrent le sol ne l’aident pas. ArrivĂ©e sur place elle voit un cheval attelĂ© Ă une carriole rudimentaire en bois faisant penser qu’elle date d’un siècle bien ancien.Des mains s’agrippent Ă ses bras, elle est jetĂ©e dans la carriole aux roues en bois. Ses chaĂ®nes sont fixĂ©es aux anneaux vissĂ©s dans les planches.C’est escortĂ© de quatre soldats en armures, cĂ´tes de mailles, boucliers et armĂ©s de lances, montĂ©s sur des chevaux harnachĂ©s de selles datant d’une autre Ă©poque, que le convoi se met en marche. l’homme qui dirige le cheval attelĂ© au chariot est habillĂ© comme un manant du moyen âge.Pendant que la charrette roule elle reste debout et doit se cramponner pour ne pas tomber lorsque les roues de l’engin passent sur les inĂ©galitĂ©s du chemin pavĂ©.Dans une grande Ă©tendue herbeuse Manon aperçoit un camp composĂ© de tentes sur lesquelles flottent des Ă©tendards, bannières et des oriflammes. Elle voit des tables et chaises en bois grossier ainsi que des d’objets divers qui font penser Ă un camp militaire du moyen âge.Des soldats et des femmes dĂ©guisĂ©es en cantinières s’affairent ou sont assis et discutent.Il y aussi beaucoup d’armes et autres objets stockĂ©s par catĂ©gories: des lances, des Ă©pĂ©es, des boucliers, des arcs et des arbalètes. Plusieurs bombardes sont exposĂ©es ainsi qu’une potence.Le long du camp des barrières ont Ă©tĂ© installĂ©es et une centaine de personnes, hommes et femmes, y sont agglutinĂ©es. JuchĂ©e sur la carriole Manon, honteuse d’ĂŞtre exhibĂ©e ainsi, passe devant les spectateurs avant de bifurquer vers le centre du camp lĂ oĂą se trouve une grande cage faite de barreaux mĂ©talliques.ArrivĂ©s près de celle-ci la carriole et son escorte s’arrĂŞtent, la prostituĂ©e est empoignĂ©e par deux soldats qui la descendent sans douceur de la charrette et l’enferment dans la cage avec toujours les chaĂ®nes fixĂ©es Ă ses poignets et ses chevilles.Manon comprend qu’ici va se jouer un spectacle mĂ©diĂ©val et qu’elle en fait partie mais qu’elle ne va pas avoir le beau rĂ´le.Pour commencer une vingtaine de soldats Ă l’Ă©quipement rappelant le moyen âge ( casques, armures, cĂ´tes de maille) et en selle sur des chevaux passent au galop devant les spectateurs avant de se battre entre eux avec des Ă©pĂ©es mais sans chercher Ă gagner les duels.Le spectacle se poursuit, extraite de la cage Manon toujours affublĂ©e du bâillon est hissĂ©e sur un cheval et se retrouve sur le ventre couchĂ©e en travers de la monture dĂ©pourvue de selle, les poignets et les chevilles sont reliĂ©es entre eux par une corde qui passe sous le ventre de l’animal.Plusieurs cavaliers brandissant des oriflammes l’entourent, l’un deux saisit les rĂŞnes de son cheval puis ils se mettent en route d’abord au pas puis au galop passant et repassant devant l’assistance.Pendant que son cheval galope Manon dans une position inconfortable est bien secouĂ©e puis elle glisse et se retrouve sous le ventre de l’animal pendant qu’ils longent l’endroit oĂą les spectateurs sont alignĂ©s et ont une vue superbe sur ses fesses.Les cavaliers s’aperçoivent qu’elle est dans une position dĂ©licate mais sur leurs chevaux ils continuent Ă avancer et passent plusieurs fois devant l’assistance qui commente ce qu’elle voit car d’autres parties du corps de Manon apparaissent quand les secousses la dĂ©placent.Sur les lieux une croix de Saint AndrĂ© vient d’ĂŞtre installĂ©e, elle est un peu inclinĂ©e, Manon dĂ©barrassĂ©e de sa robe en haillon doit se coller contre la croix, Ă©carter les jambes et les bras puis pendant que des mains la soulèvent et la maintiennent pour qu’elle reste en place.Elle se retrouve les poignets et les chevilles attachĂ©s aux poutres qui la constituent. Sa nuditĂ© n’Ă©chappe pas Ă l’assistance qui placĂ©e pas très loin d’elle en aperçoit suffisamment pour commenter, rire et se gausser.Les cavaliers participent d’abord Ă un concours en utilisant leurs lances sur un mannequin en paille d’abord statique puis en mouvement solidement attachĂ© sur la selle d’un cheval carapaçonnĂ© de cuir Ă©pais et de plaques mĂ©talliques pour Ă©viter de le blesser.Au bout d’un moment un concurrent est dĂ©clarĂ© vainqueur et Manon, qui est censĂ©e reprĂ©senter la lie de la sociĂ©tĂ© au moyen âge, devient sa propriĂ©tĂ©. Des hommes en armes la libèrent et le gagnant, la tirant par la corde accrochĂ©e Ă son collier, l’emmène jusque dans une des tentes.